Économie
UBS en pourparlers pour racheter Credit Suisse, selon le FT
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/03/credit-suisse-la-bns-et-la-finma-ne-se-sont-pour-lheure-pas-exprimes-sur-larticle-du-financial-times-image-pretexte-1000x600.jpg&description=UBS en pourparlers pour racheter Credit Suisse, selon le FT', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
UBS, la première banque suisse, est en pourparlers pour le rachat total ou partiel de Credit Suisse, son rival en grandes difficultés, affirme vendredi le Financial Times (FT). Ce avec la bénédiction expresse de la BNS et de la Finma, selon le quotidien économique.
La Banque nationale suisse (BNS) et la Finma ont indiqué à leurs collègues américains et britanniques que le rachat par UBS était "leur plan A" pour stopper la crise de confiance dont souffre Credit Suisse, écrit le FT, citant une source anonyme ayant connaissance de ces pourparlers.
La banque centrale suisse "souhaite une solution simple avant que les marchés n'ouvrent lundi", assure le quotidien des affaires, qui reconnaît qu'il n'est pas certain qu'un accord puisse être trouvé. UBS veut évaluer quels risques un rachat total ou partiel de son rival pourrait faire courir à ses propres activités, a expliqué une autre source anonyme au FT.
No comment
Contacté par l'agence AWP par téléphone, Credit Suisse n'a pas souhaité commenter l'article, tandis que la Finma et la BNS n'étaient pas joignables vendredi en fin de journée.
Jeudi, l'agence de presse Bloomberg rapportait qu'UBS et CS avait rejeté un article de presse à propos d'une fusion contrainte. L'UBS préfère se concentrer sur sa propre stratégie et hésite à prendre des risques en relation avec le Credit Suisse, était-il indiqué.
Interrogé par AWP tard vendredi soir, un porte-parole de l'UBS s'est contenté de confirmer les propos tenus par le CEO Ralph Hamers lors d'une conférence mercredi, selon lesquels l'UBS se concentre sur sa propre stratégie. La plus grande banque suisse n'a pas fait d'autres commentaires.
Dans la tourmente
Credit Suisse est dans la tourmente depuis deux ans, mais les choses se sont accélérées mercredi quand les investisseurs - ébranlés par la faillite de la Silicon Valley Bank aux Etats-Unis - ont vendu massivement les titres de la deuxième banque suisse. L'action a valu seulement 1,55 franc au plus fort de la tempête, un plus bas historique.
Credit suisse est considéré comme un maillon faible du secteur bancaire depuis une série de scandales et un plan de restructuration qui peine à convaincre. A la fin de la journée de mercredi, la capitalisation boursière de la banque zurichoise était inférieure à 7 milliards de francs, une somme dérisoire pour l'une des 30 banques au monde considérées comme trop importantes pour les laisser faire faillite.
Soutien de la BNS
Mercredi soir, après être restée silencieuse toute la journée, la banque centrale suisse a apporté un soutien verbal et offert des liquidités. Dans la nuit de mercredi à jeudi, Credit Suisse lui a emprunté 50 milliards de francs pour se donner un ballon d'oxygène et avancer dans sa restructuration.
Pour la BNS, il s'agissait de rassurer les marchés du monde entier. Cela a fonctionné pour un temps. Les investisseurs ont fait grimper l'action, mais ce n'était qu'un bref répit: le titre a rechuté de plus de 8% vendredi. Cette banque, fondée en 1865, qui a été un acteur essentiel du miracle économique suisse, ne vaut plus en Bourse que 8 milliards et quelques de francs, quand UBS en vaut 56,6 milliards.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Léger rebond des prix à la production et à l'importation en avril
Les prix à la production et à l'importation (PPI) ont poursuivi leur ascension en avril enregistrant une hausse de 0,1% par rapport au mois dernier. En glissement annuel, le niveau des prix a ralenti de 0,5%.
L'indice PPI calculé par l'Office fédéral de la statistique (OFS) s'établit désormais à 106,9 points, soit 6,9 points au-dessus de son niveau de référence de décembre 2020. Ce renchérissement est dû essentiellement à la production autochtone (+0,2%), tiré par les prix des machines(+1,1%). Des hausses ont aussi été constatées dans les produits pétroliers (+3,2%), les équipements électriques (+0,4%) et la viande et produits carnés (+1,2%).
Les prix des produits importés sont, eux, restés stables, les baisses de prix dans les hydrocarbures (-6,2%), le kérosène (-5,9%), l'aluminium brut (-6,8%), les ordinateurs portables (-4,6%) et le café vert (-3,3%) ayant compensé le renchérissement des machines (+1,3%), de l'essence (+6,0%), des instruments et fournitures à usage médical et dentaire (+2,0%) ainsi que les meubles (+1,2%).
Sur un an, les prix à l'importation ont reculé de 1,8%, tandis que ceux à la production n'ont pas bougé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La croissance accélère en Suisse début 2025
La croissance économique a accéléré en Suisse au premier trimestre 2025, le produit intérieur brut (PIB) augmentant de 0,7% par rapport au trimestre précédent, après +0,5% au dernier partiel 2024, a annoncé jeudi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats
Économie
Royaume-Uni: le PIB progresse de 0,7% au premier trimestre
Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a progressé de 0,7% au premier trimestre, a annoncé jeudi l'Office national des statistiques (ONS).
La croissance, enregistrée juste avant des hausses d'impôts sur les entreprises et l'entrée en vigueur des droits de douane de Donald Trump, s'est révélée supérieure aux attentes.
La progression du PIB s'explique "en grande partie grâce aux services, bien que la production ait également progressé de manière significative, après une période de ralentissement", a commenté la directrice des statistiques économiques de l'ONS, Liz McKeown. Le consensus des analystes interrogés par l'agence Bloomberg tablait sur une croissance plus modeste de 0,6%.
Cette hausse est une bonne nouvelle pour le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en juillet dernier et qui a fait de la croissance économique sa priorité, mais s'est heurté pendant des mois à une économie en stagnation. "Au cours des trois premiers mois de l'année, l'économie britannique a connu une croissance plus rapide que celle des États-Unis, du Canada, de la France, de l'Italie et de l'Allemagne", s'est félicitée la ministre britannique des Finances Rachel Reeves dans un communiqué.
"Dans un contexte d'incertitude mondiale, nous faisons aujourd'hui les bons choix dans l'intérêt national", a-t-elle affirmé, évoquant notamment l'arrangement commercial signé avec les Etats-Unis pour échapper partiellement aux droits de douane de Donald Trump ou l'accord de libre-change tout juste conclu avec l'Inde.
L'embellie économique du Royaume-Uni devrait cependant n'être que limitée: les entreprises sont déjà confrontées, sur le deuxième trimestre, aux fortes hausses de cotisations patronales décidées par le gouvernement, mais aussi à l'entrée en vigueur des droits de douane de Donald Trump sur les produits du monde entier.
"Malgré l'accord commercial conclu la semaine dernière avec les États-Unis", les taxes américaines sur les produits britanniques "restent nettement plus élevées qu'avant le mois d'avril", relève Yael Selfin, analyste chez KPMG. La dynamique économique devrait selon lui "ralentir de manière significative au cours des prochains trimestres, augmentant la probabilité que le gouvernement n'atteigne pas ses objectifs budgétaires" et soit contraint d'annoncer de nouvelles coupes.
Estimant que les surtaxes douanières américaines étaient susceptibles de faire ralentir l'inflation britannique et de freiner l'activité économique dans le pays, la Banque d'Angleterre a d'ores et déjà abaissé la semaine passée son principal taux directeur d'un quart de point de pourcentage, à 4,25%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Bond des investissements étrangers en Suisse l'année dernière
Alors que l'Europe peine à convaincre, la Suisse séduit de plus en plus les investisseurs étrangers. Les projets ont ainsi augmenté de près d'un quart (24,7%) sur un an en 2024, selon une étude publiée jeudi par le géant de l'audit et du conseil EY.
Les investissements directs étrangers en Suisse ont considérablement augmenté en 2024, passant de 89 à 111 en un an, précise un communiqué diffusé jeudi. Cette progression semble s'inscrire dans une tendance, puisque les projets étaient au nombre de 58 en 2022.
Les Etats-Unis ont fortement contribué à la progression enregistrée l'année dernière, en témoignent les 27 projets recensés, ce qui représente une envolée de 69% et la création de 131 emplois. Le pays de l'Oncle Sam est désormais le plus grand investisseur sur territoire helvétique, derrière la France et l'Italie. Les entreprises allemandes ont pris le chemin inverse, réduisant drastiquement (-41%) les projets à 14, pour 123 emplois crées.
Les sociétés suisses ne sont pas en reste et accentuent leur présence sur le Vieux Continent. En 2024, les investissements helvétiques en Europe se sont enrobés de 4,7% à 247, ce qui a permis d'y créer 11'872 emplois, selon le décompte de l'European Attractiveness Survey. La France (57 projets pour 1149 emplois), l'Allemagne (47 projets, 4426 emplois) et le Royaume-Uni (22 projets, 611 emplois) figurent dans le trio de tête.
La Suisse est ainsi le sixième investisseur en Europe, un classement dominé par les Etats-Unis (942 projets et 58'144 emplois).
Malgré cela, les investissements étrangers en Europe se sont tassés l'année dernière de 5% à 5388 projets.
Pour établir son étude, EY ne prend en considération que les investissements créateurs d'emplois et exclue ainsi les opérations de fusions-acquisitions et les placements en portefeuille.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
InternationalIl y a 3 jours
Gaza: l'armée israélienne annonce avoir bombardé un hôpital
-
CultureIl y a 3 jours
Gérard Depardieu condamné à 18 mois de prison avec sursis
-
InternationalIl y a 3 jours
Un volcan en éruption aux Philippines
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Quatre cimetières valaisans profanés
-
CultureIl y a 3 jours
Crash du MH17 en Ukraine: la Russie responsable, selon l'OACI
-
FootballIl y a 3 jours
Belle occasion pour Sion et Winterthour
-
CultureIl y a 2 jours
Eurovision: la participation de Céline Dion reste incertaine
-
CultureIl y a 2 jours
Au procès de P. Diddy, la chanteuse Cassie raconte son calvaire