Suisse
Un ex-négociant de Glencore a versé des pots-de-vin au Nigeria
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Un ancien négociant du géant des matières premières Glencore a plaidé coupable devant un tribunal de New York. Selon les procureurs, il était impliqué dans un complot visant à corrompre des responsables de la compagnie pétrolière nationale du Nigeria.
Dans une prise de position diffusée lundi soir, le groupe zougois a indiqué avoir pris connaissance de l'accord passé entre son ancien collaborateur et le ministère américain de la Justice (DOJ), assurant que les faits décrits étaient "inacceptables" et n'avaient pas leur place chez Glencore.
Le colosse de Suisse centrale assure coopérer pleinement avec le DOJ et les autres autorités américaines dans leurs enquêtes, et indique avoir pris une série de mesures pour ce genre de cas, réaffirmant son engagement à "agir de manière éthique et responsable dans tous les aspects de ses activités".
A en croire des informations recueillies par les agences de presse Bloomberg et Reuters, l'ex-employé de Glencore a été au service de la multinationale zougoise au Royaume-Uni jusqu'en 2019. Il a pu éviter une peine de prison moyennant le paiement d'une caution de 500'000 dollars.
Selon l'accusation, les pots-de-vin étaient versés à plusieurs fonctionnaires, au Nigeria et ailleurs, en échange de quoi la Nigerian National Petroleum Corp attribuait des contrats pétroliers et fournissait des types de pétrole plus lucratifs à des conditions plus favorables.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Moins facilement contourner les obligations militaires en Suisse
Les doubles nationaux doivent moins facilement pouvoir contourner les obligations militaires suisses. Le National a adopté mercredi, dans une version amendée, une motion du Conseil des Etats en ce sens. Ce dernier devra se prononcer à nouveau.
Dans son texte, le conseiller aux Etats Mauro Poggia (MCG/GE) ciblait les Franco-suisses, en demandant qu'il ne leur soit plus possible de se soustraire à leurs obligations militaires en Suisse en participant à la "Journée défense et citoyenneté" en France. La Chambre du peuple est allée plus loin: tous les doubles nationaux suisses ne doivent plus pouvoir remplacer le service militaire en Suisse par un "pseudo-service" dans le deuxième pays d'origine.
Ainsi, pour être reconnu, le service militaire accompli par les doubles nationaux suisses à l'étranger doit être comparable à celui effectué en Suisse. Dans le cas contraire, les personnes concernées doivent payer l'intégralité de la taxe d'exemption de l'obligation de servir en Suisse.
Cette demande correspond à celle d'une motion de Stefanie Heimgartner (UDC/AG), encore pendante au National.
Nombre négligeable
Le Conseil fédéral était opposé au texte. Seul le nombre de conscrits "perdus" en France a une influence sur les effectifs de l'armée helvétique, a indiqué le ministre de la défense Martin Pfister. En moyenne, au cours des dix dernières années, 731 personnes concernées n'ont pas été incorporées par an en Suisse.
C'est pourquoi le gouvernement s'est dit disposé à entamer des négociations avec la France. Mais il refusait de revoir les dispositions pour les sept pays avec lesquels la Suisse a des accords en la matière. Cela créerait de l'insécurité juridique à long terme, a estimé M. Pfister.
Et de relever que le nombre de personnes concernées dans les autres pays que la France est tellement négligeable qu'entamer des négociations nuirait à la réputation de la Suisse. Sans succès. Au vote, la motion a été adoptée par 147 voix contre 25. Les oppositions sont venues des Vert-e-s. Une douzaine de socialistes se sont abstenus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Voitures neuves: les hybrides rechargeables continuent de séduire
En novembre, le nombre de voitures de tourisme mises en circulation est resté pratiquement stable sur un an, selon la statistique officielle de la Confédération. Les hybrides rechargeables et les véhicules électriques ont toujours la cote auprès des Suisses.
Au total, 25'216 véhicules à moteur ont été mis en circulation en Suisse en novembre 2025, ce qui représente une petite progression de 1% sur un an, rapporte mercredi l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans son relevé mensuel.
Par catégorie, 19'587 voitures de tourisme ont rejoint les routes helvétiques le mois dernier, soit un léger recul de 1% par rapport à novembre 2024. Dans le détail, le nombre de nouveaux véhicules à essence sur le marché a diminué de 10%, les moteurs diesel de 18% et les hybrides normales de 8%. En revanche, les hybrides rechargeables ont bondi de 35% et les voitures électriques ont progressé de 15%.
Entre janvier et novembre 2025, les nouvelles immatriculations pour les voitures de tourisme affichent également une diminution, de 2%. Les véhicules à essence ont reculé de 19% et les moteurs diesel de 27%. A l'opposé, les hybrides normales ont connu une hausse de 4%, les hybrides rechargeables de 26% et les voitures électriques de 15%.
A noter également que les motocycles perdent de la vitesse: les nouvelles mises en circulation s'inscrivent en baisse de 5% en novembre. Au total, 1649 deux-roues ont trouvé preneurs ce mois-là.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Plus de 135'000 signatures pour l'initiative anti-armes nucléaires
L'initiative pour que la Suisse rejoigne le Traité d'interdiction des armes nucléaires (TIAN) a abouti. Plus de 135'000 signatures seront remises le 23 décembre à la Chancellerie fédérale, a annoncé mercredi la Campagne pour l'abolition des armes nucléaires (ICAN).
L'initiative populaire, lancée en juillet 2024, a reçu "un large soutien dans toutes les régions du pays", a ajouté l'ONG à Genève, s'exprimant au nom de l'Alliance pour l'interdiction des armes nucléaires. La Suisse n'a aucune influence sur les politiques nucléaires des puissances dotées, mais elle serait "fortement" affectée par leurs conséquences, estime un membre du comité, Annette Willi.
Malgré une pression de la société civile et une demande du Parlement fédéral pour que la Suisse rejoigne le TIAN, le Conseil fédéral temporise depuis des années. Il met en avant des raisons de politique de sécurité, alors que les pays dotés de cet armement sont hostiles à l'accord.
"Il n'est pas acceptable que d'autres Etats dictent notre politique en matière d'armes nucléaires", insiste Mme Willi. Près d'une centaine de pays ont signé cet arrangement et 74 en sont Etats parties.
Celui-ci était entré en vigueur en 2021. Il interdit l'utilisation, le développement, la production, les essais, le stationnement, le stockage et la menace d'utilisation d'armes nucléaires. Mais aussi d'assister quiconque pour ces activités.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Swatch Group confirme des perquisitions en Italie
Swatch Group a confirmé mercredi à AWP que le gendarme de la concurrence italien (AGCM) avait mené mardi des inspections dans les locaux de la société en Italie. Celui-ci soupçonne l'horloger biennois de se livrer à des pratiques anti-concurrentielles.
Les enquêteurs suspectent notamment Swatch Group d'imposer des prix de vente à ses revendeurs dans le pays.
L'agence de presse française AFP a révélé mardi que l'entreprise suisse, tout comme le groupe horloger japonais Citizen, qui compte la marque genevoise Frédérique Constant mais aussi Bulova, Vagary et Alpina, étaient dans le collimateur des enquêteurs italiens.
L'AGCM a ouvert une enquête et mené des inspections dans les locaux italiens des deux groupes pour "vérifier une éventuelle violation de l'article 101 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE), consistant en la fixation des prix publics affichés sur les canaux en ligne de leurs distributeurs agréés".
Mesures de rétorsion ?
"Nous confirmons que les autorités italiennes ont visité les locaux de Swatch Group Italie afin d'obtenir des informations concernant une possible pratique non conforme sur les procédures de prix de nos marques Tissot Italie et Mido Italie. Le groupe coopère et participe pleinement à cette procédure et souhaite faire toute la lumière sur cette violation potentielle de Tissot Italie et Mido Italie", a déclaré sur ce sujet à AWP un porte-parole de Swatch.
Selon le gendarme italien de la concurrence, Swatch Group et Citizen surveilleraient en parallèle les prix pratiqués par leurs revendeurs, avec des mesures de rétorsion pour ceux qui proposent des remises. Le porte-parole n'a pas réagi sur ce point précis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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