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Suisse

Un nouveau gain millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Un nouveau millionnaire grâce au Swiss Loto samedi (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Une personne est devenue millionnaire samedi grâce au Swiss Loto. Elle a deviné les six bons numéros et empoche 1 million de francs. Il fallait cocher les numéros 5, 9, 16, 22, 23 et 25. Le numéro chance était le 6, le rePLAY le 7 et le Joker le 514321.

Lors du prochain tirage mercredi, 36,8 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Fribourg Olympic se joue de Spirou

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Arnaud Cotture et Fribourg ont été solides à domicile en Europe Cup (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Fribourg Olympic a signé son deuxième succès de la 2e phase de l'Europe Cup. A domicile, les joueurs de Thibaut Petit ont dominé Spirou Charleroi 95-87.

Déjà vainqueurs des Bleges chez eux, les Fribourgeois ont poursuivi leur maîtrise devant leur public. Olympic n'a jamais véritablement tremblé. Le champion de Suisse a fait la différence en deuxième mi-temps. Après vingt minutes de jeu, le score était de 49-45 en faveur des Fribourgeois, puis de 70-58 après trois quarts. Charleroi a tout donné dans l'ultime période pour ramener l'écart de 16 points à 8.

Quatre hommes se sont illustrés côté Olympic, à commencer par Anthony Williams, auteur de 22 points avec notamment un 4/7 à 3 pts. Belle performance de Natan Jurkovitz avec 19 points et 8 rebonds, ainsi que d'Arnaud Cotture (18 points) et Eric Nottage (14).

Fribourg compte deux victoires et deux défaites en quatre rencontres. Les deux premiers du groupe sont qualifiés pour la suite.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Partners Group termine 2024 sur une note positive

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Partners Group a attiré de nouveaux capitaux l'an dernier. (archive) (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Pour Partners Group, 2024 aura été un bon cru. Le gestionnaire d'actifs zougois a attiré de nouveaux capitaux l'an dernier et a légèrement augmenté ses actifs sous gestion.

La masse sous gestion du groupe a augmenté de 7% à 152 milliards de dollars au 31 décembre 2024, indique mardi dans un communiqué la société zougoise spécialisée dans le capital-investissement. La demande clientèle a crû, conformément aux prévisions de la direction, à 22 milliards de dollars, en hausse de 22% par rapport à l'année précédente.

Il s'agit de la meilleure année de levée de fonds jamais enregistrée pour le secteur de la gestion de patrimoine privé, selon Partners Group. "Le marché revient lentement à la normale", a commenté David Layton, partenaire et directeur général de l'entreprise, cité dans le communiqué.

Les chiffres sont légèrement inférieurs aux attentes des analystes consultés pour élaborer le consensus AWP. Ces derniers tablaient sur une masse sous gestion de 155,6 milliards et une demande de la clientèle de 22,9 milliards.

Nouvel afflux d'argent frais attendu

L'année dernière, 22 milliards ont été investis, contre seulement 13 milliards en 2023. Entre-temps, 18 milliards ont afflué dans les caisses grâce aux ventes et aux sorties de participations, contre 12 milliards l'année précédente. Pour rappel, Partners Group s'est séparée de plusieurs participations ces dernières semaines.

En décembre, le groupe a introduit en Bourse la chaîne de magasins Vishal Mega Mart en Inde et vendu le groupe VSB, acquis en 2020, au géant français Totalénergies. Au niveau des investissements, le gestionnaire d'actifs a pris en novembre une participation dans Bluesea Hotels, une chaîne d'hôtels en Espagne, et, en octobre, il a acquis plusieurs immeubles résidentiels en Italie.

Pour 2025, Partners Group s'attend à un nouvel afflux d'argent frais, avec un total de nouveaux actifs clients de 26 à 31 milliards. Les prévisions sont donc beaucoup plus optimistes qu'elles ne l'étaient récemment. Plusieurs initiatives clés ont été lancées en 2024 pour stimuler la croissance future du groupe.

Partners Group publiera ses résultats annuels détaillés le 11 mars.

Partenariat avec Blackrock

Par ailleurs, le gestionnaire d'actifs n'a communiqué aucun objectif financier concernant sa collaboration avec Blackrock. Les portefeuilles proposés conjointement seraient gérés activement par les deux sociétés et les revenus et les coûts seraient partagés, a déclaré la direction lors d'une conférence téléphonique. Toutefois, aucune directive n'a encore été émise.

Le groupe basé à Zoug a annoncé en septembre qu'il lancerait une nouvelle offre avec son concurrent américain. Une solution d'investissement commune pour les investisseurs privés devrait être "opérationnelle" au cours du premier semestre 2025, selon un rapport intermédiaire sur l'exercice 2024 publié mardi soir.

Parallèlement, Partners Group a confirmé ses prévisions concernant la part des revenus des commissions à la performance d'environ 20% pour l'exercice 2024 écoulé. "Les chiffres au second semestre ont été conformes à ceux du premier semestre", a déclaré le patron David Layton.

Au premier semestre 2024, les commissions à la performance ont représenté 17% des recettes totales. En 2023, ce taux était de 19%, après être tombé à 14% en 2022.

A la clôture de la Bourse suisse, l'action a gagné 0,8% à 1291 francs, dans un SLI en progression de 0,12%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Swiss Steel maintient la suppression de 130 postes à Emmenbrücke

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Le 7 décembre, plusieurs centaines d'employés de Swiss Steel avaient manifesté contre les licenciements à Emmenbrücke. (archive) (© KEYSTONE/PHILIPP SCHMIDLI)

Le sidérurgiste lucernois Swiss Steel maintient ses plans de restructuration malgré l'aide d'urgence promise par le Parlement à Berne. Au total, 130 emplois doivent être supprimés sur le site de production Steeltec à Emmenbrücke.

La procédure de consultation, lancée à la mi-novembre 2024, est désormais terminée, a annoncé mardi soir Swiss Steel dans un communiqué. L'objectif était d'examiner toutes les options possibles pour répondre aux défis économiques de l'entreprise et assurer un avenir durable au site d'Emmenbrücke, dans le canton de Lucerne.

Au terme de cette consultation, le sidérurgiste a décidé de maintenir la suppression de 130 postes de travail. Et ce, malgré l'aide d'Etat accordée par les chambres fédérales en décembre et qui prévoit d'alléger les coûts d'utilisation du réseau électrique pour les aciéries.

Le nombre de licenciements prévus a été réduit à un maximum de 50 personnes, contre 80 auparavant, une fois les départs naturels pris en compte. Les mesures relatives au personnel seront mises en ½uvre au premier trimestre 2025.

Pour rappel, le Conseil national et les Conseil des Etats ont approuvé le 17 décembre à Berne une loi urgente pour venir en aide aux entreprises sidérurgiques d'importance stratégique. Quatre entreprises sont concernées: Stahl Gerlafingen, en Argovie, Swiss Steel à Emmenbrücke, dans le canton de Lucerne, Novelis et Constellium, toutes deux en Valais.

Concrètement, ces aciéries pourront bénéficier de réductions allant jusqu'à 37,4 millions de francs sur leurs achats d'électricité pendant quatre ans. Avec les prestations du canton de Lucerne qui y sont liées, cela représente un soutien de 25 millions de francs répartis sur quatre ans pour Swiss Steel à Emmenbrücke, ajoute le syndicat Unia mardi soir dans un communiqué. Pour obtenir cette aide étatique, les entreprises devront déposer une demande au Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC), au plus tard le 31 mai 2025, et remplir un certain nombre d'exigences assez complètes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Lausanne

L'avenir papier de la FAO est en jeu au parlement

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Aujourd'hui, seuls Vaud et Appenzell Rhodes-Intérieures n'ont pas procédé à un basculement numérique de leur Feuille des avis officiels (photo symbolique). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'avenir en format papier de la Feuille des avis officiels (FAO) se joue au Grand Conseil. Alors que le Conseil d'Etat souhaiterait basculer en version numérique, une majorité de députés aimerait garder ou du moins prolonger d'ici 2029 ou 2030 le journal institutionnel en papier, qui paraît deux fois par semaine.

Le gouvernement a annoncé fin juin dernier vouloir opter pour une transition numérique et un accès gratuit aux publications de la FAO. Son projet a été mis en discussion mardi au parlement, mais après un premier débat, aucune décision définitive n'a été prise.

Les élus veulent se donner le temps de réfléchir aux amendements de la commission qui a examiné l'exposé des motifs du projet de décret (EMPD). Celle-ci propose de garder la version papier encore quatre ans jusqu'au 31 décembre 2028 et de lancer d'ici là un appel d'offres pour une version papier indépendante (entreprise privée et financée par les abonnements et la publicité), mais avec une aide au démarrage de l'Etat.

Une motion en arrière-garde

Ces modifications ont, dans l'ensemble, été bien accueillies, mais d'autres solutions pourraient être envisagées. Ce d'autant plus qu'une motion interparti du PLR Sergei Aschwanden demande au Conseil d'Etat de revenir sur sa décision et exige ainsi un moratoire sur la version papier jusqu'à fin 2030.

Ce texte n'a pas été discuté mardi, en accord avec le motionnaire, car la tenue d'un deuxième débat immédiat sur l'EMPD n'a pas remporté la majorité des deux tiers des députés. La discussion reprendra prochainement.

La présidente du gouvernement Christelle Luisier a rappelé qu'une version numérique de la FAO permettrait des économies de près d'un million de francs par année, assurerait un accès gratuit au site et coûterait aussi moins cher pour les communes. La ministre s'est dite favorable à une aide étatique au démarrage d'une future publication papier privée.

Dans l'hémicycle, plusieurs parlementaires ont défendu la survie d'une édition papier de la FAO, alors que d'autres ont estimé dans le même temps que le compromis trouvé par la commission était plutôt bon, surtout à droite (PLR, UDC, Vert'libéraux). A gauche les avis étaient plus partagés. Le deuxième débat en plénum pourrait sans doute amener de nouveaux amendements.

Plateforme du SECO

Pour le Canton de Vaud, il s'agirait de rejoindre la plateforme exploitée par la Confédération. Le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO) a en effet développé une plateforme qu'il met à disposition des cantons pour publier leurs avis officiels. Dix cantons, bientôt onze avec Nidwald, ont déjà opté pour cette solution, dont, en Suisse romande, le Valais, et plus de soixante communes.

Pour les différentes autorités qui publient dans la FAO, la nouvelle plateforme offre la possibilité d'informer plus rapidement la population puisqu'il sera possible de publier des avis quotidiennement. Cette solution nécessiterait un coût unique pour la mise en oeuvre du projet à hauteur d'environ 130'000 francs, imputé au budget de fonctionnement de la Chancellerie, selon l'Etat.

Aujourd'hui, seuls Vaud et Appenzell Rhodes-Intérieures n'ont par ailleurs pas procédé à un basculement numérique de leur FAO. Certes, une version numérique, hébergée sur un serveur vaudois, existe depuis 2012, mais elle n'est pas en libre accès. Actuellement, c'est Print Conseil Logistique (PCL) à Renens qui a le mandat de prestation pour la FAO.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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