Lausanne
Un parcours-découverte sur les traces des abattoirs de Malley

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"Malley en quartiers", un parcours-exposition à ciel ouvert retrace l'histoire des anciens abattoirs de la Ville de Lausanne. A découvrir dès vendredi dans le quartier de Malley, dans l'ouest lausannois.
Ce projet de médiation culturelle, subventionné par l'Office fédéral de la culture, est le résultat d'une recherche de deux ans. Il revient sur les activités des abattoirs de Malley, de leur construction en 1945 à leur abandon en 2002. Et invite à réfléchir à notre rapport à l'animal et à la consommation de viande.
Un large programme de conférences, visites accompagnées, exposition, concerts et projections est à découvrir durant les trois jours d'inauguration, de vendredi à dimanche. La participation est gratuite, sur inscription. L'exposition-parcours restera en principe en libre accès jusqu'en février 2021, a indiqué à Keystone-ATS Salvatore Bevilacqua, chef de projet et président de l'Association Architecture, alimentation et urbanisme (AAU).
Neuf étapes
L'itinéraire est jalonné de neuf bornes-étapes qui résument les opérations de transformation de l'animal en un produit carné, et font le lien avec le contexte historique et social de l'époque. Le projet s'appuie sur les travaux de chercheurs de l'Institut des humanités en médecine CHUV-UNIL.
Malley, friche urbaine, est aujourd'hui en pleine mutation. Le quartier conserve les traces d'une "industrie de la viande", même si l'essentiel des installations a été démoli en 2015. Pour l'essentiel, seuls subsistent un bâtiment administratif et le haut-relief du sculpteur Pierre Blanc qui marquait l'entrée du site.
A la sortie de la 2e Guerre mondiale, Lausanne s'était dotée d’abattoirs industriels flambant neufs, modernes et hygiéniques. Avec l'automatisation et le travail à la chaîne, les conditions de travail y étaient parfois rudes: certains jours, on abattait de 05h30 à 18h00 à une cadence soutenue et dans un bruit assourdissant.
Précieux témoignages
Les chercheurs ont accordé une attention particulière à la collecte de sources orales auprès des anciens employés des abattoirs ainsi que des habitants du quartier. Il s'agissait d'une part de compléter les sources écrites par de précieux témoignages, d'autre part d'écrire une histoire vivante et inclusive, explique l'AAU.
"Ces abattoirs sont un condensé d'enjeux liés à l'alimentation, à la santé et aux questions juridiques des droits des animaux. On y parle aussi des travailleurs, de savoir-faire qui sont aujourd'hui en déclin ou remis en question", ajoute M. Bevilacqua.
Un site internet (www.malleyenquartiers.ch) accompagne le parcours et permet d'approfondir les thèmes abordés. Il est prévu qu'il soit encore enrichi de témoignages. Une publication suivra en février 2021.
Lausanne
Mondial M19: fin de parcours pour la Suisse
Le rêve a pris fin vendredi soir pour l'équipe de Suisse M19. Elle s'est inclinée 84-70 devant la Nouvelle-Zélande en quart de finale de "sa" Coupe du monde, à Lausanne.
Les protégés du coach Ivan Rudez, ancien entraîneur des Lions de Genève, n'ont donc pas réussi à confirmer l'exploit signé mercredi en 8e de finale face à la France (86-79 après prolongation). Ils lutteront pour les rangs 5 à 8 samedi et dimanche.
Cet échec restera toutefois certainement anecdotique à l'heure de tirer le bilan final. L'équipe de Suisse, présente en tant que pays-hôte, a déjoué tous les pronostics en se hissant dans le top 8 après avoir pris la 2e place du groupe C (derrière Israël) avec deux succès pour une défaite.
Même si les 16 équipes en lice ont toutes participé à la phase à élimination directe, les jeunes Helvètes n'ont rien volé. Ils ont battu en poule la République dominicaine pour s'offrir un 8e de finale face au 3e de la poule D, et sont revenus de nulle part avant de sortir la France.
Leur beau parcours valide également le travail effectué au Centre National de Swiss Basket, dont l'homme fort est Ivan Rudez et où de très nombreux joueurs sont passés. Mais pas la "star" de l'équipe, Dayan Nessah (19 ans depuis le mois d'avril), qui a été formé au FC Barcelone.
Le futur joueur de la Cleveland State University s'est notamment montré dominant face à la France (22 points, 15 rebonds, 5 passes). Vendredi soir, le Genevois a inscrit 19 points. Les Suisses menaient 44-38 à la mi-temps, mais ils se sont effondrés lors du troisième quart, perdu 29-12.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Action de "Droit de rester" devant les bureaux d'Isabelle Moret
Le collectif vaudois "Droit de rester" a mené vendredi à la mi-journée une courte action pacifique devant les bureaux à Lausanne de la conseillère d'Etat Isabelle Moret, en charge de l'asile, a constaté Keystone-ATS. Une petite dizaine de personnes ont dénoncé la violence et la fréquence des renvois forcés des migrants, notamment des enfants.
Les membres du collectif critiquent la manière dont la ministre PLR en charge de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM) et du Service de la population (SPOP) gère les renvois renforcés décidés par la Confédération. Ils dénoncent un "durcissement de la politique migratoire du canton" et "la mise en place, par idéologie ou pour des basses raisons financières, un véritable système xénophobe", écrivent-ils dans un manifeste publié le même jour.
"Coups, enfants menottés et détentions administratives arbitraires: le niveau extrême de violence qu'exerce le canton causant de graves traumatismes à une population déjà très vulnérable. Il ne s'agit malheureusement que du dramatique aboutissement d'une maltraitance administrative délibérée déployée à tous les niveaux", affirment-ils.
"Droit de rester" exige notamment un moratoire sur l'exécution des renvois jusqu'au traitement de sa pétition par le Grand Conseil vaudois. Il demande aussi par exemple "la mise en place d'un espace sécurisé permettant aux exilés de signaler les violences, notamment sexistes et sexuelles, ainsi que les abus de pouvoir commis par des fonctionnaires de l'EVAM et du SPOP".
Interrogés par Keystone-ATS, les services de Mme Moret n'ont pas souhaité ni réagir ni commenter cette action et les demandes du collectif. "Nous n'avons pas reçu à ce jour de demande formelle d'échanges ou de dialogue", répond le Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Droit de préemption: Lausanne veut revendre sept immeubles
La Ville de Lausanne souhaite revendre les droits de superficie de sept immeubles qu'elle a acquis par voie de préemption. Les acquéreurs sont des coopératives et une société immobilière propriété de la Ville (Bâtir ABC).
La vente de ces immeubles doit rapporter plus de 50 millions de francs, indique vendredi la Ville de Lausanne. La moitié servira à réalimenter le fonds d'acquisition, l'autre moitié sera réservée à l'assainissement énergétique du patrimoine communal.
L'achat via le droit de préemption puis la revente de ces immeubles permet notamment à la Ville de "pérenniser la dimension d'utilité publique des logements, garantir le maintien des locataires en place et assurer l'assainissement énergétique des bâtiments", rappelle-t-elle dans son communiqué.
Pour mener à bien cette opération, la Municipalité demande au Conseil communal l'autorisation de constituer des droits distincts et permanents (DDP) de superficie sur les parcelles concernées et de procéder à la vente des immeubles.
Depuis l'introduction du droit de préemption en 2020, la Ville de Lausanne a exercé son droit à quinze reprises, permettant d'acquérir 327 logements. "C'est ainsi plusieurs centaines de logements qui ont été soustraits à la spéculation financière avec la garantie de conserver les baux existants", affirme-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
VD: un élève sur deux a pris un congé joker pour la première année
Introduits pour la première fois durant l'année scolaire 2024-2025, les congés joker vaudois ont été très sollicités. Sur les quelque 96'000 élèves du canton, près de 43'000 ont utilisé cette possibilité, soit presque un élève sur deux. La majorité des congés ont été pris les vendredis, souvent en lien avec des week-ends prolongés ou avant les vacances.
Le Département de l'enseignement et de la formation professionnelle (DEF) du conseiller d'Etat Frédéric Borloz a livré vendredi les premiers chiffres de cette mesure inédite sur sol vaudois. Déjà instauré dans d'autres cantons, le congé joker offre aux familles la possibilité de demander jusqu'à six demi-journées d'absence par année scolaire sans avoir à en fournir la justification.
"Après une année complète d'utilisation, le canton de Vaud dispose des premières données quantitatives. Les chiffres montrent que cette offre répond à une véritable attente de la part des familles", écrivent les services du ministre PLR.
Diminution des taux d'absence?
Au total, 42'691 élèves ont eu recours au congé joker au moins une fois, ce qui représente 44 % des effectifs de l'école obligatoire. La grande majorité (25'651) n'en a demandé qu'un seul. Ce congé représente 7% de l'ensemble des absences scolaires.
"La comparaison des motifs d'absence avec les années précédentes pourrait démontrer que la mise en place du congé joker contribue à la diminution des taux d'absence pour raison de santé, ainsi que des demandes de congés individuels pour raisons personnelles", note le département.
Autre constat: les congés joker sont utilisés tout au long de l'année. Des pics notables sont observés autour des congés scolaires en particulier les vendredis, par exemple le 20 décembre, le 14 février et le 11 avril.
Le record a été atteint le 6 juin, veille du week-end de Pentecôte, avec 3908 requêtes enregistrées pour une seule journée, selon les chiffres. En moyenne, cela représente un peu moins d'une demande de congé joker par classe ce jour-là.
Hausse des requêtes en fin d'année
Les données récoltées montrent aussi une utilisation plus soutenue des congés joker lors des dernières semaines de l'année scolaire. Plus de 16'000 demandes ont été recensées rien que pour le mois de juin.
Sur les 17 journées qui comptabilisent le plus de congés joker, onze sont concentrées dans les six dernières semaines avant les vacances d'été. Les pics sont particulièrement marqués pour six de ces dates qui comptabilisent plus de 2000 congés.
Pour enrichir cette première analyse chiffrée, la Direction générale de l'enseignement obligatoire et de la pédagogie spécialisée (DGEO) va procéder à une évaluation qualitative du congé joker en consultant les établissements et les associations de parents d'élèves. Sur la base de ces retours et des analyses du DEF, d'éventuels ajustements seront apportés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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