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Vaud

Les travaux de la route 177 vont bon train

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Dans le canton de Vaud, les travaux de la route 177 avancent bien.

Ils sont même en avance puisqu’une partie du tronçon sera ouverte à la circulation dès le 21 décembre. Il s’agit du contournement de la commune de Penthaz, entre Vufflens-la-Ville et Mex. Selon Nuria Gorrite, la conseillère d’Etat en charge des infrastructures, ce tronçon permettra à 7'000 à 10'000 véhicules de transiter chaque jour, et ainsi d’éviter de traverser Penthaz pour rejoindre l’autoroute. L’ouverture complète de la route est prévue pour octobre 2018. À terme, cette RC 177 a plusieurs objectifs. Nuria Gorrite :

Nuria GorriteConseillère d’Etat en charge des infrastructures

L’aspect environnemental du projet revêt une importance particulière. Nuria Gorrite :

Nuria GorriteConseillère d’Etat en charge des infrastructures

Et un aspect social a aussi été lancé à l’occasion du chantier de cette route 177. Nuria Gorrite :

Nuria GorriteConseillère d’Etat en charge des infrastructures
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Lausanne

Occupation à l'UNIL: rectorat et gouvernement d'accord pour l'arrêt

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A l'UNIL, l'occupation diurne se poursuit tout comme le dialogue avec le rectorat. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le rectorat de l'Université de Lausanne (UNIL) et le Conseil d'Etat vaudois ont convenu lundi lors d'une séance que l'occupation du bâtiment de Géopolis par des étudiants pro-palestiniens devait cesser, a indiqué mardi au Grand Conseil le ministre Frédéric Borloz. Aucun ultimatum n'a en revanche été annoncé.

Le chef du Département de l'enseignement et de la formation professionnelle (DEF) s'est exprimé dans le cadre d'une résolution PLR-UDC invitant le gouvernement à prendre toute mesure garantissant que les missions premières de l'UNIL, soit la formation et la recherche, se fassent en toute sécurité et sans entrave pour l'ensemble de la communauté universitaire. Le texte a été accepté par la droite, avec 71 oui, contre 54 non du côté de la gauche.

Avant le vote, le ministre de tutelle de l'UNIL a reconnu que l'occupation "se passe de manière pacifique". Il a toutefois estimé que "des lignes rouges ont été dépassées". "Des centaines d'étudiants ne sont pas à l'aise d'aller au cours. J'ai reçu moi-même des messages et des témoignages". Il a aussi évoqué des "messages racistes, déplacés et irrespectueux".

"La situation doit à un moment donné s'arrêter. Lors d'une réunion à laquelle j'ai été convié hier avec le rectorat de l'UNIL, il a été convenu que l'occupation devait cesser", a dit M. Borloz. Il n'a fait référence à aucun délai ni ultimatum. La mission de l'université doit être garantie en toute sécurité et sans entrave, a-t-il encore ajouté.

Court débat gauche-droite

La résolution déposée par la présidente du PLR Vaud, Florence Bettschart-Narbel, a donné lieu à un court échange gauche-droite, opposant "liberté académique et débat démocratique" à "problème sécuritaire et démonstration de force".

La députée de la gauche radicale Elodie Lopez (EP) a rappelé le "dialogue exemplaire" entre manifestants et direction de l'UNIL. Cette résolution vient "discréditer un message de paix et de solidarité", a-t-elle dénoncé. Pour le président du PS Vaud, Romain Pilloud, la demande de la résolution "est déjà respectée": les cours se déroulent en sécurité et l'ensemble des missions de l'UNIL est toujours assuré.

"Quelles que soient leurs motivations, l'occupation d'un bâtiment de l'UNIL pose différents problèmes, notamment l'accès aux cours, aux bureaux et la garantie d'un espace de recherche et formation sécure", a au contraire estimé Mme Bettschart-Narbel. "Plusieurs témoignages démontrent que ces manifestations à l'intérieur de l'UNIL provoquent un sentiment d'insécurité pour certains membres du corps enseignant et étudiant", souligne sa résolution.

Non contraignante, la résolution consiste en un voeu envoyé au Conseil d'Etat. Celui-ci a trois mois pour informer le Parlement de la suite qui lui est donnée.

A l'UNIL, les étudiants avaient mis fin mercredi soir dernier à leur occupation nocturne, après six nuits passées dans le hall du bâtiment Géopolis. Ils y sont revenus jeudi matin pour poursuivre leur mobilisation diurne. Les discussions se poursuivent dans le calme entre la direction et le collectif pro-palestinien.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Lausanne: le Miam Festival prend des accents bruxellois ce week-end

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Le Miam Festival fait son retour à la Place de la Riponne lors du week-end de la Pentecôte (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Miam Festival s'installe à nouveau sur la Place de la Riponne à Lausanne lors du week-end de la Pentecôte. Plus d’une quarantaine de stands et de food trucks régionaux proposeront des spécialités culinaires du monde entier dès samedi 18h00. Pour la première fois, la manifestation accueille une ville invitée, Bruxelles.

Au menu notamment, la "célèbre" gaufre de Bruxelles, des croquettes au fromage flandrien mi-vieux et au fromage suisse, ainsi que les fameuses frites, préparées selon la tradition par Belga, représentant la communauté belge de Lausanne. Caviste et épicerie fine du Plat pays seront également au rendez-vous.

Outre les délices belges, près d’une trentaine de pays seront représentés. Parmi les nouveautés, des beignets sucrés congolais, des spécialités marocaines ou encore de la cuisine du Cachemire (nord de l’Inde).

Côté boisson, la bière sera sur le devant de la scène afin de mettre à l’honneur les spécialités bruxelloises. Les autres boissons proposées au Miam seront exclusivement locales.

Petits et grands pourront profiter gratuitement et sans réservation d'ateliers tout au long du week-end. Rendez-vous le dimanche au Palais de Rumine pour les adultes, le lundi à l’Espace récréatif de la Grenette pour les petits et tout le week-end à l’espace animations du Village Bruxellois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Vaud: tassement des ventes de voitures électriques

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Les ventes de voitures électriques et hybrides rechargeables stagnent dans le canton de Vaud (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Sur les 24'000 voitures neuves vendues l'an dernier dans le canton de Vaud, 59% étaient des véhicules hybrides ou électriques. Après une forte progression entre 2020 et 2022, les ventes pour ce type de modèles semblent toutefois se tasser.

Parmi les voitures neuves à propulsion alternative, les modèles hybrides associant un moteur thermique à un moteur électrique comptent pour deux tiers des ventes, contre un tiers pour les voitures purement électriques. Un modèle hybride vendu sur cinq peut être rechargé via la prise de courant, précise mardi Statistique Vaud.

La part de marché des voitures électriques et hybrides rechargeables a stagné à 27% du total des ventes de voitures neuves l'an dernier. Un véritable tassement après des hausses de 9 et 4 points de pourcentage en 2021 et 2022.

Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer ce ralentissement, comme la hausse des prix de l'électricité et, donc, la réduction de l'écart de coût d'utilisation entre les voitures électriques et thermiques traditionnelles.

L'absence de bornes de recharge à domicile et le fait que les locataires ne puissent pas installer eux-mêmes des bornes privées constituent également des freins, poursuit le communiqué.

Vaud sur le podium

Selon Statistique Vaud, la tendance est comparable au niveau national. Et de prévenir que l'objectif de la feuille de route sur la mobilité électrique, qui vise à augmenter cette part à 50% d'ici à la fin 2025, "pourrait être plus difficile à atteindre".

Les statistiques montrent aussi que la part de voitures purement électriques atteint 3,6% dans le canton en 2023, soit davantage qu'en moyenne nationale (3,3 %). Vaud occupe le 3e rang derrière Zoug (6,8%) et Zurich (4,1%). Sur le plan régional, la part des voitures électriques est la plus élevée dans les communes du district de Nyon.

512 voitures pour 1000 personnes

Parmi les autres évolutions, Statistique Vaud indique que le nombre de voitures pour 1000 personnes a diminué dans le canton, et ce plus fortement que dans le reste du pays.

En terre vaudoise, on compte 512 voitures pour 1000 personnes en 2023 (540 en moyenne suisse). Vaud occupe le quatrième rang des cantons les moins motorisés, derrière Bâle-Ville (324), Genève (418) et Zurich (482).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Vetropack: le site de St-Prex ne peut plus être rentable

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Début mars, Johann Reiter, CEO du groupe Vetropack, gauche, et Claude R. Cornaz, droite, président du conseil d'administration avaient annoncé l'ouverture d'une procédure de consultation sur l'avenir du site de production suisse de St-Prex (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

En dépit des propositions mises sur la table par les représentants du personnel, le site Vetropack de St-Prex, n'était plus rentable, ont soutenu ses responsables lors d'une conférence de presse mardi.

"Nous avons eu de nombreux entretiens avec les personnes concernées, ainsi que les pouvoirs politiques, tout cela afin de nous faire une idée aussi claire que possible pour voir si l'usine pouvait continuer à fonctionner. Toutefois, même après un examen approfondi et détaillé nous ne voyons plus de possibilité de continuer l'exploitation de manière rentable, et nous avons décidé de l'arrêter d'ici fin août", a déclaré le directeur général de Vetropack Johann Reiter, devant les médias réunis à St-Prex.

Le CEO a précisé que 182 emplois seraient supprimés par étapes, dont 50% d'ici fin août. "Les premiers licenciements auront lieu ces prochains jours", a-t-il précisé. Seuls garderont leur poste, une douzaine d'employés, environ, du secteur du recyclage.

Selon le responsable, le souhait des employés d'adopter une technologie de fusion de verre par oxy-combustion connectée à un générateur d'oxygène, n'était pas rentable, requérant à elle seule un investissement de 60 millions de francs.

"C'est dur et amer. Nous regrettons vraiment les suppressions et cela n'a rien à voir avec les performances des travailleurs. Nous voulons leur offrir le plus de soutien possible. Un plan social prévoyant des mesures d'assistance sera mis en place prochainement", a-t-il assuré.

Présente lors de la conférence de presse, une délégation du personnel soutenue par le syndicat Unia s'est dite "offensée par le manque de respect avec lequel les employés avaient été traités". "Ceux-ci ont appris par la presse ce matin, ce qu'il allait advenir du site, alors qu'il avait été convenu que les travailleurs seraient informés en premier", a dénoncé la syndicaliste d'Unia, Nicole Vassalli.

"En outre, durant les négociations nous n'avons ni pu rencontrer le CEO du groupe, ni le président du Conseil d'administration Claude Cornaz", a-t-elle souligné.

De son côté, M. Reiter a regretté le manque de communication avec le comité du personnel. "Nous sommes cotés en bourse, nous avons donc dû informer les médias vers 08h00. Auparavant, la responsable des ressources humaines a essayé de joindre le représentant du comité du personnel", a-t-il justifié.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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