Après avoir représenté la Suisse à l’Eurovision en mai dernier avec "Voyage", Zoë Më nous revient avec un 3ème EP "Loup Garou".

Après avoir fait briller la Suisse à l’Eurovision en mai dernier avec sa chanson en français "Voyage", Zoë Më fait son retour sur la scène musicale avec un nouvel EP intitulé "Loup Garou", dont la sortie est agendée au 21 novembre. La jeune artiste fribourgeoise est venue présenter ce nouveau projet dans le 6/9 sur LFM.

Depuis sa prestation remarquée à l’Eurovision, où elle a captivé 166 millions de téléspectateurs, la carrière de Zoë Më a pris une autre dimension. Elle a partagé les changements profonds survenus dans sa vie depuis cet événement marquant. Un changement de vie dont elle a pris conscience que très récemment au contact de son public.

Dans la foulée de cette prestation mondiale, Zoë Më a évoqué pour nous la suite de sa carrière avec son nouvel EP, "Loup Garou". Un titre qui ne doit rien au hasard, qui reflète la dualité de l’artiste, qui jongle entre ses racines linguistiques et ses influences musicales comme elle nous l'a expliqué. En effet, Zoë Më souhaite mettre en avant ses deux visages : d’une part, son affection pour le français, qu’elle considère comme étant une langue appropriée pour l’imaginaire, et d’autre part, l’allemand, qu’elle trouve plus adapté pour évoquer la réalité. D'autre part, la dualité qui l'habite quant à ses différents styles musicaux également.

"Loup Garou" n’est pas un projet de dernière minute, certaines chansons ayant été écrites bien avant sa participation à l’Eurovision, témoignant de l’attachement de l’artiste à ce projet de longue date qui verra le jour le 21 novembre. Bien que l'EP ne soit pas encore disponible à ce jour, Zoë Më se concentre déjà sur de nouvelles créations, promettant encore de nouveaux titres à ses fans dans un avenir proche.

Des fans de l’artiste qui pourront la retrouver en concert le 27 novembre au Nouveau Monde à Fribourg, avant de la voir en première partie de Louane à l’Arena de Genève le 29 novembre. Une première partie de Louane qui ne doit rien au hasard, les deux artistes s'étant rencontrées à Bâle en mai dernier dans les coulisses du Concours Eurovision de la chanson.

La Revue vaudoise est de retour, depuis octobre dernier, dans son chapiteau de bois au port de Territet, à Montreux. Karim Slama, au casting de cette édition 2025, est venu nous présenter cette nouvelle mouture dans le 6/9 LFM.

La Revue vaudoise est de retour, depuis le 9 octobre dernier, au port de Territet à Montreux. Le spectacle a lieu une nouvelle fois dans le traditionnel "Magic Mirror", à savoir un chapiteau de bois, composés de toiles et de miroirs, conçu comme une salle de bal itinérante des années folles.

Comme les précédentes éditions, la Revue vaudoise revisitera l'actualité locale et régionale, mélangeant humour, musique live et esprit cabaret. Les sketches passeront différents sujets d'actualité au peigne fin. Il sera notamment question de football féminin avec la Suisse qui a accueilli l'Euro féminin cet été ou encore de la piscine de Porrentruy qui a refusé l'accès à sa piscine aux Français. Une actualité détournée dans un sketche faisant subir le même sort dans la revue aux piscines vaudoises. Une séquence que Karim Slama apprécie beaucoup, comme il l'a dit au micro d'Evan Kangni et de Guillaume Gétaz.

Du côté de la troupe, le public retrouvera, outre notre invité,  Nathalie Devantay, Jenny Lorent, Pierre Aucaigne et David Charles alias MC Roger. Ils seront accompagnés par le beatboxeur Keumart et sa complice Léa Gamba pour la touche musicale. Olivier Delaloye complètera le casting.

La mise en scène de cette 7ème édition est co-signée Karim Slama, et Jean-Luc Barbezat que l'on retrouve également dans le clip de l'hymne de la Revue Vaudoise 2025 aux côtés de Jenny Lorant et David Charles. Karim Slama qui a également co-écrit les textes de cette Revue vaudoise 2025 à voir jusqu'au 31 décembre.

L'interview de Karim Slama dans le 6/9 LFM :

Revue vaudoise avec Karim Slama

revuevaudoise.ch

Cheffe sommelière à l'Hôtel de Ville de Crissier, Charline Pichon, élue "Sommelière de l'année" 2025 par Gault&Millau, était l'invitée du 6/9 LFM.

Cheffe sommelière à l’Hôtel de Ville de Crissier depuis près de trois ans, Charline Pichon, 32 ans, a su s’imposer comme une figure incontournable du monde de la sommellerie en Suisse. En binôme jusqu’à l’hiver dernier avec Thibaud Gardette, elle œuvre dans un établissement qu’elle a toujours rêvé de rejoindre. Elle franchit le pas en proposant ses services à la maison de renom en 2017  avec l'envie de collaborer alors avec Benoît Violier, autrefois chef de la prestigieuse maison. Non sélectionnée dans un premier temps, Charline Pichon réussi, malgré tout, à réaliser son rêve en 2018, après le départ de Mathieu Quetglas, lequel est devenu "Sommelier de l’année" en 2022.

Originaire d’Angoulême, en Poitou-Charentes, Charline Pichon a été bercée dès son plus jeune âge par l’univers du vin, grâce à son grand-père vigneron qui l’emmenait avec lui dans les vignes. Une immersion précoce qui a éveillé en elle une passion pour le vin, qu’elle a approfondie lors de sa mention complémentaire en sommellerie. Une passion qui ne s’est jamais démentie pour la jeune cheffe sommelière qui consacre chaque matin de son temps à déguster entre cinquante et cent vins, comme elle nous l'a confié dans le 6/9 sur LFM.

Sous sa conduite, la carte des vins de l’Hôtel de Ville de Crissier est aujourd'hui très diversifiée. Plus de 50% des ventes proviennent de vins suisses, témoignant de son engagement à promouvoir les productions locales tout en offrant une expérience unique à ses clients.

Charline Pichon honorée par le Gault&Millau, en octobre, a également reçu le prestigieux “Michelin Sommelier Award” 2025. Un doublé rare salué par son établissement, qui a également été couronné de trois étoiles au Guide Michelin cette même année. Sous la direction de Franck Giovannini, l’Hôtel de Ville confirme ainsi son statut d’excellence et de référence sur la scène gastronomique mondiale.

www.restaurantcrissier.com

Charline Pichon, cheffe sommelière de l’Hôtel de Ville de Crissier et meilleure sommelière de l’année

Avec plus de 3'000 autopsies à son actif, Philippe Boxho fait parler ceux qui ne le peuvent plus. Le médiatique médecin légiste belge était l'invité du 6/9 LFM pour évoquer son quatrième best-seller "La mort, c'est ma vie".

Le phénomène littéraire Philippe Boxho était l'invité du 6/9 LFM. Ce Belge de 60 ans exerce le métier de médecin légiste depuis plus de trois décennies et dirige l’Institut de médecine légale de l’Université de Liège. Connu pour ses ouvrages captivants, il aime à partager sa passion pour la médecine légale.

Dans son dernier livre "La mort, c'est ma vie", Philippe Boxho démystifie la mort, avec un ton direct et une pointe d'humour quand bien même, au quotidien, il s'efforce de trouver des réponses aux causes de la mort. Néanmoins il nous a confié être davantage impressionné par la vie, "un mystère plus grand que la mort". Une mort qu'il qualifie de normale étant entendu que que celle-ci est inscrite dans nos gênes.

Dans son dernier ouvrage, "La mort, c'est ma vie", disponible aux Editions Kennes, Philippe Boxho revient sur de nouvelles affaires criminelles au cours desquelles ses compétences ont été requises. Il consacre également deux chapitres inédits au linceul de Turin et au plafond de la chapelle Sixtine pour lesquels il applique ses méthodes d’analyse scientifique pour mieux comprendre ces grands mystères historiques.

Philippe Boxho, médecin légiste et auteur de “La Mort, c’est ma vie”