R. Kelly purge une peine de prison de 31 ans pour abus sexuels sur des enfants et demande à être libéré de sa détention fédérale et assigné à résidence, estimant que sa vie est en danger derrière les barreaux.

Une requête d'urgence pour une permission de sortie temporaire a été déposée devant un tribunal fédéral mardi 10 juin et allègue que trois fonctionnaires du Bureau des prisons (BOP) ont mis au point un complot visant à faire tuer Kelly par un autre détenu.

Le dossier, qui a été obtenu par le magazine People, contient une déclaration du détenu, Mikeal Glenn Stine, qui affirme que trois personnes haut placées lui ont demandé d'exécuter le complot alors qu'il purgeait sa peine au pénitencier américain de Tucson, en Arizona.

Stine a affirmé être membre de la Fraternité aryenne et avoir été nommé commissaire à un moment donné, ce qui lui donnait le "pouvoir d'ordonner des passages à tabac, des coups de couteau et des exécutions qui ont été effectués par d'autres membres de la Fraternité aryenne."

Il affirme qu'un fonctionnaire du BOP qui avait précédemment "ordonné à [Stine] d'ordonner des agressions, des passages à tabac et des meurtres de détenus" l'a approché au sujet du meurtre du chanteur et qu'il a ensuite été transféré à l'autre bout du pays, à l'Institut correctionnel fédéral de Butner, en Caroline du Nord, où Kelly est derrière les barreaux, et a finalement été placé dans la même unité que lui.

S'il accomplissait l'acte, Stine déclare que les fonctionnaires lui ont dit qu'il serait autorisé à s'évader et à vivre ses derniers mois en « homme libre », ce qui l'a séduit parce qu'il a dit qu'on lui avait diagnostiqué un cancer en phase terminale à l'époque.

Peu après avoir été transféré, il affirme qu'un fonctionnaire s'est approché de lui et lui a dit : “Vous devez faire ce pour quoi vous êtes venu ici.”

Après avoir observé Kelly pendant des semaines, il a toutefois changé d'avis et a parlé au chanteur du prétendu complot.

Miley Cyrus a fait de rares confidences sur sa querelle et réconciliation avec son père Billy Ray Cyrus. La chanteuse a traversé une phase difficile au cours de laquelle les relations au sein de sa famille se sont détériorées et il lui a fallu du temps pour commencer à réparer les liens, en particulier avec son père.

S'adressant à Monica Lewinsky dans le cadre de son podcast Reclaiming, elle a déclaré : "Comment avez-vous appelé votre décennie ? La décennie noire ? Oui, nous en avons eu une. La moitié d'entre nous ne se parlait plus à un moment donné et nous avons fait dû changer ça."

Miley a expliqué qu'elle ressentait beaucoup de loyauté envers sa mère Tish après le divorce de ses parents, ce qui a affecté sa relation avec son père.

Elle a ajouté : "Dans cette situation, j'ai vu ce qui se passe quand on ne nettoie pas les choses au fur et à mesure qu'elles se produisent.

Elles s'empilent vraiment, et tout d'un coup, on se dit "Oh mon Dieu, ça fait dix ans, c'est un gâchis et je ne sais pas par où commencer. C'est de l'accumulation émotionnelle."

Trace Cyrus, le fils de Billy Ray Cyrus, a qualifié son père d'"homme le plus nul qui ait jamais marché sur la planète" dans un message cinglant posté sur les réseaux sociaux.

Le frère de Miley Cyrus s'en est pris à son père dans un post sur Instagram dans lequel il affirme que Billy Ray n'a pas assisté aux funérailles de la grand-mère bien-aimée de Trace, Loretta Finley - connue sous le nom de Mammie - il y a cinq ans parce qu'il ne voulait pas prendre l'avion pour Los Angeles. Trace a souligné que le chanteur avait récemment fait un voyage en Italie pour passer des vacances avec sa petite amie Elizabeth Hurley.

Dans son post, Trace a écrit : "Cet homme est tellement avide de célébrité que c'en est pathétique. Il s'est vraiment envolé pour l'Italie pour un défilé de mode mais n'a pas voulu venir à Los Angeles pour les funérailles de Mammie alors qu'il était encore marié à ma mère. Même après que sa fille lui ait offert un jet privé de 60 000 dollars comme il l'avait demandé, il n'est toujours pas venu, même après que l'avion ait été payé. Honnêtement embarrassé de t'avoir jamais considéré comme mon idole. Tu es l'homme le plus nul qui ait jamais marché sur la planète Terre”

Justin Baldoni a l'intention de poursuivre sa bataille juridique avec Blake Lively.

L'acteur a intenté un contre-procès de 400 millions de dollars contre sa co-star de "It Ends with Us", son mari Ryan Reynolds, Leslie Sloane - l'attachée de presse du couple - et le journal New York Times, après qu'elle ait accusé son ancienne collègue de lui avoir causé une "grave détresse émotionnelle", mais lundi le juge Lewis J. Liman a rejeté son action en justice.

Malgré cela son avocat Bryan Freedman a souligné qu'ils avaient encore des choses à dire et qu'ils allaient modifier leur plainte.

Il a déclaré à Us Weekly dans un communiqué : "La déclaration de victoire prévisible de Mme Lively et de son équipe est fausse, alors soyons clairs sur la dernière décision. Alors que la Cour a rejeté les plaintes liées à la diffamation, elle nous a invités à modifier quatre des sept plaintes déposées contre Mme Lively, ce qui permettra de présenter des preuves supplémentaires et d'affiner les allégations. Cette affaire concerne de fausses accusations de harcèlement sexuel et de représailles, ainsi qu'une campagne de diffamation inexistante, que l'équipe de Mme Lively elle-même qualifie commodément d'"introuvable" parce qu'elle ne peut pas prouver ce qui ne s'est jamais produit."

L'avocat de Justin pense que ce dernier est certain de gagner sa bataille judiciaire.

"Plus important encore, les affirmations de Mme Lively ne sont pas plus vraies aujourd'hui qu'elles ne l'étaient hier, et avec les faits de notre côté, nous avançons avec la même confiance que celle que nous avions lorsque Mme Lively et ses acolytes ont entamé cette bataille et nous attendons avec impatience sa prochaine déposition, qui sera suivie d'une audience" a-t-il conclu.