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Suisse Romande

Un Prix suisse de l’oenotourisme comme carte de visite

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Un weekend chargé en manifestations viticoles. Avec la 4e édition de Lavaux Passion, à Cully, mais aussi une grande fête pour les 10 ans de l’inscription de la région de Lavaux au patrimoine mondial de l’UNESCO… Et pour lancer les hostilités, ce vendredi se déroulent les Rencontres suisse de l’oenotourisme. Et pour la première fois, le Prix suisse de l’oenotourisme sera remis. Une soixantaine de professionnels sont inscrits, ils viennent de tout le pays. Et pour Yann Stucki, chef de projet Vaud oenotourisme, ce prix a un but précis : rappeler que la Suisse a une carte à jouer, à l’échelle nationale et internationale. Yann Stucki :

Yann StuckiChef de projet Vaud oenotourisme

Après cette journée de Rencontres suisses d’oenotourisme, le public pourra célébrer lui aussi la vigne. Activités et dégustations seront au menu de Lavaux Passion, samedi et dimanche, toujours à Cully.

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Culture

La main, le gant et du bois gravé au Musée Jenisch Vevey

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La main est notamment à l'honneur dans deux des trois nouvelles expositions au Musée Jenisch Vevey (archives). (© Keystone/NOEMI CINELLI)

Le Musée Jenisch Vevey a présenté mardi ses trois nouvelles expositions à voir dès vendredi et jusqu'à fin août. Il met à l'honneur la main mais aussi le gant ainsi qu'une "promenade dans les bois gravés".

Intitulée "La main (et) le gant", la première exposition décline ce motif du 16e siècle jusqu'à la création contemporaine, "symbole de pouvoir, de dévotion comme de séduction, outil d'exploration tactile indispensable au travailleur comme à l'artiste", résument les responsables dans leur dossier de presse.

A travers un choix d'½uvres issues des collections du musée enrichi de prêts extérieurs, cette exposition thématique propose "un éclairage inédit sur les fonctions narratives de la main, tantôt à nu, tantôt gantée". Les dessins, estampes, sculptures, peintures et vidéos rassemblés témoignent "de la puissance créatrice et métaphorique des jeux de mains et de leurs accessoires de choix, les gants". A découvrir jusqu'au 18 août prochain.

Les mains chez Kokoschka

"Kokoschka à portée de main" est la deuxième exposition à voir, jusqu'au 25 août. "Les mains occupent une place centrale et symbolique dans l'art de l'artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886 Pöchlarn - 1980 Montreux)", rappelle le musée. Elles sont souvent représentées "de manière exagérée, puissante et dramatique, mettant en évidence leur importance dans la communication humaine et la traduction émotionnelle".

Elles sont plus qu'un simple élément anatomique, elles sont des moyens d'expression, des symboles de relation humaine et des représentations de la créativité artistique. Elles valent aussi pour leur dimension narrative, en particulier pour évoquer le pouvoir ou la religion, note le musée.

Promenade dans les bois

La troisième exposition à l'affiche, "Pierre Aubert. Maître des bois", visible aussi jusqu'au 25 août, invite à une promenade dans les bois gravés de Pierre Aubert, réalisés pendant près de 60 ans de carrière. Dans plus de 1200 planches, le graveur a "habilement exploité le potentiel expressif du noir et blanc de la taille d'épargne (technique de gravure) en une danse infinie d'ombre et de lumière".

Né et décédé aux Mollards-des-Aubert (1910 - 1987) dans la maison familiale située au c½ur des forêts et pâturages de la Vallée de Joux, Pierre Aubert s'est surtout consacré aux représentations de paysages qui constituent son domaine d'expression favori. Il a notamment gravé les alentours et le bourg de Romainmôtier où il a vécu de nombreuses années, mais aussi Paris et la Provence.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Occupation à l'UNIL: rectorat et gouvernement d'accord pour l'arrêt

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A l'UNIL, l'occupation diurne se poursuit tout comme le dialogue avec le rectorat. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le rectorat de l'Université de Lausanne (UNIL) et le Conseil d'Etat vaudois ont convenu lundi lors d'une séance que l'occupation du bâtiment de Géopolis par des étudiants pro-palestiniens devait cesser, a indiqué mardi au Grand Conseil le ministre Frédéric Borloz. Aucun ultimatum n'a en revanche été annoncé.

Le chef du Département de l'enseignement et de la formation professionnelle (DEF) s'est exprimé dans le cadre d'une résolution PLR-UDC invitant le gouvernement à prendre toute mesure garantissant que les missions premières de l'UNIL, soit la formation et la recherche, se fassent en toute sécurité et sans entrave pour l'ensemble de la communauté universitaire. Le texte a été accepté par la droite, avec 71 oui, contre 54 non du côté de la gauche.

Avant le vote, le ministre de tutelle de l'UNIL a reconnu que l'occupation "se passe de manière pacifique". Il a toutefois estimé que "des lignes rouges ont été dépassées". "Des centaines d'étudiants ne sont pas à l'aise d'aller au cours. J'ai reçu moi-même des messages et des témoignages". Il a aussi évoqué des "messages racistes, déplacés et irrespectueux".

"La situation doit à un moment donné s'arrêter. Lors d'une réunion à laquelle j'ai été convié hier avec le rectorat de l'UNIL, il a été convenu que l'occupation devait cesser", a dit M. Borloz. Il n'a fait référence à aucun délai ni ultimatum. La mission de l'université doit être garantie en toute sécurité et sans entrave, a-t-il encore ajouté.

Court débat gauche-droite

La résolution déposée par la présidente du PLR Vaud, Florence Bettschart-Narbel, a donné lieu à un court échange gauche-droite, opposant "liberté académique et débat démocratique" à "problème sécuritaire et démonstration de force".

La députée de la gauche radicale Elodie Lopez (EP) a rappelé le "dialogue exemplaire" entre manifestants et direction de l'UNIL. Cette résolution vient "discréditer un message de paix et de solidarité", a-t-elle dénoncé. Pour le président du PS Vaud, Romain Pilloud, la demande de la résolution "est déjà respectée": les cours se déroulent en sécurité et l'ensemble des missions de l'UNIL est toujours assuré.

"Quelles que soient leurs motivations, l'occupation d'un bâtiment de l'UNIL pose différents problèmes, notamment l'accès aux cours, aux bureaux et la garantie d'un espace de recherche et formation sécure", a au contraire estimé Mme Bettschart-Narbel. "Plusieurs témoignages démontrent que ces manifestations à l'intérieur de l'UNIL provoquent un sentiment d'insécurité pour certains membres du corps enseignant et étudiant", souligne sa résolution.

Non contraignante, la résolution consiste en un voeu envoyé au Conseil d'Etat. Celui-ci a trois mois pour informer le Parlement de la suite qui lui est donnée.

A l'UNIL, les étudiants avaient mis fin mercredi soir dernier à leur occupation nocturne, après six nuits passées dans le hall du bâtiment Géopolis. Ils y sont revenus jeudi matin pour poursuivre leur mobilisation diurne. Les discussions se poursuivent dans le calme entre la direction et le collectif pro-palestinien.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Lausanne: le Miam Festival prend des accents bruxellois ce week-end

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Le Miam Festival fait son retour à la Place de la Riponne lors du week-end de la Pentecôte (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Miam Festival s'installe à nouveau sur la Place de la Riponne à Lausanne lors du week-end de la Pentecôte. Plus d’une quarantaine de stands et de food trucks régionaux proposeront des spécialités culinaires du monde entier dès samedi 18h00. Pour la première fois, la manifestation accueille une ville invitée, Bruxelles.

Au menu notamment, la "célèbre" gaufre de Bruxelles, des croquettes au fromage flandrien mi-vieux et au fromage suisse, ainsi que les fameuses frites, préparées selon la tradition par Belga, représentant la communauté belge de Lausanne. Caviste et épicerie fine du Plat pays seront également au rendez-vous.

Outre les délices belges, près d’une trentaine de pays seront représentés. Parmi les nouveautés, des beignets sucrés congolais, des spécialités marocaines ou encore de la cuisine du Cachemire (nord de l’Inde).

Côté boisson, la bière sera sur le devant de la scène afin de mettre à l’honneur les spécialités bruxelloises. Les autres boissons proposées au Miam seront exclusivement locales.

Petits et grands pourront profiter gratuitement et sans réservation d'ateliers tout au long du week-end. Rendez-vous le dimanche au Palais de Rumine pour les adultes, le lundi à l’Espace récréatif de la Grenette pour les petits et tout le week-end à l’espace animations du Village Bruxellois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Transports publics: Un pas vers une communauté tarifaire valaisanne

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Le parlement cantonal fait un pas vers une communauté tarifaire valaisanne pour les transports publics. Il a demandé mardi au Conseil d'Etat de se pencher sur la création d'une telle structure (photo d'illustration). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Grand Conseil valaisan veut faciliter la création d'une communauté tarifaire pour l'utilisation des transports publics au sein du canton. Il a chargé mardi le Conseil d'Etat, via un postulat, de réfléchir à une solution allant dans ce sens.

Ce genre de réseau est "très avantageux pour les usagers et les touristes, par leurs tarifs et surtout grâce à un billet unique valable avec toutes les sociétés de transports publics", relève le postulat issu des rangs de l'UDC, du PS, du Centre et des Vert-e-s. Les intérêts de communautés tarifaires sont "indéniables" parce qu'elles permettent "plus d'aisance et moins de complications", tout en encourageant l'utilisation des transports publics.

Par 107 voix contre 20, le parlement a suivi. Le postulat a été transmis au Conseil d'Etat pour réponse.

Le Centre du Haut-Valais était contre. En 2003, une étude a conclu que l'introduction d'une communauté tarifaire en Valais n'était pas judicieuse, car elle comprendrait plus de 100 zones différentes et perdrait les usagères et usagers, a détaillé la formation pour qui l'idée est "disproportionnée et plus d'actualité, au vu des outils développés par les CFF". De plus, la Confédération ne soutient plus ce genre de projet, et le Valais devrait donc en soutenir seul les coûts, a-t-elle argué.

"Intérêts indéniables"

Le canton de Vaud a développé une communauté tarifaire de plus de 100 zones sur ses trois cents communes, a néanmoins illustré le PS. Et de rappeler que le Valais est le seul canton romand à ne pas disposer d'un tel réseau.

Il s'agit aussi de "mettre autour d'une table les acteurs transports publics. Il y a actuellement beaucoup de projets d'agglomération et chacun est en train de réfléchir à son petit système", a abondé l'UDC. Si le canton ne "prend pas les devants, on risque de se retrouver avec des systèmes différents pour aller de Martigny à Sion".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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