Vaud
Sursis pour le conducteur du drame de Caux

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Deux ans de prison avec sursis: c'est la peine dont a écopé le jeune Egyptien conducteur de la voiture qui avait chuté dans un ravin à Caux (VD) l'an dernier. L'un des passagers, étudiant à l'Ecole hôtelière de Glion, avait perdu la vie dans l'accident.
Lors du procès en septembre, le procureur Hervé Nicod a demandé une peine de deux ans de prison, dont six mois ferme, a-t-il indiqué à Keystone-ATS, revenant sur une information de 20 minutes. La Cour a considéré que vu l'absence d'antécédents et son jeune âge, le pronostic était favorable et qu'il avait droit à un sursis intégral.
Ayant produit des certificats médicaux, le prévenu a été jugé en son absence. Il était représenté par son avocat. Sa peine a été assortie de 1000 francs d'amende et de 16'000 francs de frais de justice.
Ivre au volant
Le jeune homme de 19 ans était renvoyé pour homicide par négligence, violations des règles de circulation, ivresse au volant et dénonciation calomnieuse. Les faits s'étaient produits fin mai 2017.
Six étudiants de l'école avaient pris place à bord de la voiture qui avait plongé dans un ravin, sur une route étroite et sinueuse des hauts de Montreux. L'un d'entre eux, un Costaricain de 19 ans, avait péri. Les cinq autres occupants, originaires du Liban, d'Egypte, d'Allemagne et des Pays-Bas, avaient été légèrement blessés.
Fausse version
Dans un premier temps, trois des jeunes gens s'étaient entendus pour donner une fausse version à la police. Ils avaient prétendu que le conducteur était l'un des étudiants qui n'avait pas bu. Le vrai conducteur avait ensuite rapidement quitté la Suisse et n'avait pas répondu aux convocations. Le procureur avait finalement eu de ses nouvelles.
La justice a par ailleurs condamné les deux étudiants qui avaient tu le nom de celui qui était au volant, l'un pour dénonciation calomnieuse, l'autre pour induction de la justice en erreur. Les deux ont écopé de 90 jours-amende avec sursis.
(ATS)
Lausanne
Faux policiers: interpellation grâce à la victime d'une tentative
Un ressortissant français âgé de 19 ans et domicilié en France a été arrêté à la suite d'une tentative d'escroquerie aux faux policiers à Moudon (VD), grâce à la vigilance de la personne qu'il avait contactée par téléphone. Dénoncé au Ministère public, l'homme a été condamné par voie d'ordonnance pénale immédiate, a indiqué vendredi la police cantonale.
Les faits se sont déroulés il y a une semaine (vendredi 16 mai), précise la police vaudoise dans son communiqué. Contactée téléphoniquement vers 22h30 par un homme, une ressortissante suisse âgée de 71 ans a composé le 117 et a expliqué qu'un individu, qui prétendait travailler pour la police, allait passer à son domicile de Moudon pour récupérer ses cartes bancaires, détaille-t-elle.
Une patrouille s'est alors rapidement rendue sur place et les gendarmes ont réussi à interpeller un individu qui quittait les lieux. Interrogé, ce jeune Français a reconnu être l'auteur de la tentative d'escroquerie, poursuit la police.
Plus de 500 cas déjà en 2025
Celle-ci rappelle au passage que cette arnaque aux faux policiers a toujours cours dans le canton de Vaud. Pour l'année 2025, quelque 564 cas de faux policiers dont 159 réussites ont déjà été recensés sur le territoire cantonal, informe-t-elle.
La police cantonale rappelle également qu'elle ne se rend jamais chez des particuliers pour saisir les cartes bancaires ou les objets de valeur. Elle incite les personnes à rester vigilantes lorsqu'elles reçoivent un appel téléphonique de ce type et à composer directement le numéro 117.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: l'assainissement des sols pollués est loin de débuter
Il y a exactement quatre ans, fin mai 2021, Lausanne annonçait la détection de dioxines dans des sols des hauts de la ville. Cette pollution, d'une ampleur inédite en Suisse, semble avoir été causée par l'ancienne usine d'incinération du Vallon. Les travaux d'assainissement ne sont toutefois pas près de commencer. Explications.
"Nous ne disposons pas d'un horizon pour le début des mesures d'assainissement", indique la Direction générale de l'environnement (DGE) du canton de Vaud dans une réponse écrite à Keystone-ATS. "Les questions sont complexes tant au niveau juridique, législatif et technique pour une pollution d'une telle ampleur (...). Le temps investi pour y répondre est donc à la mesure de la complexité de la situation", souligne-t-elle.
Quelque 240 hectares - environ 343 terrains de foot - doivent potentiellement être assainis sur un périmètre allant d'Epalinges à Ouchy, et du Parc de Valency à l'ouest de Pully. Dans les zones les plus touchées, les concentrations de dioxines dépassent les 115 nanogrammes par kilo de sol, alors que la Confédération exige un assainissement au-delà de 20 nanogrammes.
Environ 3000 parcelles, comme des jardins ou des parcs, sont concernées. Des investigations doivent déterminer si les dioxines y dépassent les valeurs limites et si des enfants sont susceptibles d'y jouer. Si les deux cases sont cochées, un assainissement s'imposera.
Changer la terre...
Les autorités s'activent pour déterminer la meilleure façon d'assainir ces sols, en fonction de l'efficacité, du coût et de l'impact environnemental des méthodes à disposition.
L'une des solutions consiste à excaver les terres souillées par des dioxines pour les mettre en décharge et à les remplacer par des terres non polluées. Le canton y songe sérieusement. Les terres de remplacement seraient prises sur des chantiers de construction où des matériaux terreux excédentaires doivent être évacués. "Les prix sont de l'ordre de plusieurs dizaines de francs par m3 et varient selon l'offre et la demande", précise la DGE.
Cette option comporte cependant des "défis techniques", comme trouver suffisamment de sols non pollués, disponibles pour les remplacements. Elle impacte également la ressource en sol, puisqu'elle implique la mise en décharge d'importants volumes de terre.
...ou la nettoyer
Trois projets pilotes ont été mis sur pied afin d'explorer des alternatives. L'un d'entre eux, dit de "traitement physicochimique", a consisté à injecter de l'eau et des bulles d'air de très petite taille dans les sols touchés par les dioxines, afin de détacher les polluants et de les concentrer en surface. Ce procédé de "lavage de terre" s'est toutefois avéré inefficace.
Un autre projet, dit de "traitement thermique", a permis de confirmer que les dioxines pouvaient être retirées des matériaux terreux à des températures de l'ordre de quelques centaines de degrés. Cette méthode est donc techniquement "envisageable pour traiter les sols excavés lausannois". Cependant, les experts s'attendent à ce que la qualité du sol soit détériorée par un tel traitement.
Enfin, un projet dit de "biorémédiation" fait encore l'objet de tests. La méthode a consisté dans un premier temps à isoler en laboratoire des bactéries naturellement présentes dans des sols lausannois et capables de dégrader les dioxines, puis de les cultiver en laboratoire pour une éventuelle utilisation sur le terrain.
Dans un deuxième temps, ces bactéries ont été introduites dans trois échantillons de sols issus de parcelles publiques polluées à des degrés divers, afin d'évaluer leur efficacité à dégrader les dioxines qui y sont présentes. Cette phase est toujours en cours. "Aucune conclusion ne peut être tirée à ce stade", précisent les autorités.
Patience nécessaire
Cette dernière méthode aurait l'avantage de "pouvoir être mise en oeuvre directement" sur le terrain sans devoir littéralement déplacer des montagnes de terre. Elle présente cependant des inconvénients. D'une part, son efficacité reste "encore à démontrer", d'autre part, le temps de traitement pourrait s'étaler sur "plusieurs années, voire dizaines d'années", explique le canton.
Au final, quelle que soit l'option retenue, la patience sera de mise. "Les assainissements pourraient s'étaler sur plusieurs années", prévient la DGE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
À domicile, Yverdon gagne et chute
Cette fois les jeux sont faits. Yverdon est relégué en Challenge League. Malgré une victoire 3-2 contre le FC Zurich au Municipal, les Nord-Vaudois terminent le championnat de Super League à la 12e place, la faute aux victoires de Grasshopper et Winterthour.
À l'occasion de cette dernière journée de Super League, Yverdon était dans la pire posture possible. Dernier du classement, le club nord-vaudois devait impérativement gagner pour espérer se maintenir. Mais son sort dépendait aussi du résultat de ses concurrents. Grasshopper, 11e avec 36 points (à égalité avec YS) recevait St-Gall. Et Winterthour, 10e avec 37 points recevait le FC Sion. La soirée s'annonçait tendue.
Avec un peu de patience…
Qu’elle a été compliquée la première mi-temps pour Yverdon. Paul Bernardoni a dû se faire l’auteur de plusieurs belles parades, heureusement pour ses coéquipiers. Marley Aké a, par deux fois, plus ou moins réussi à s'échapper, sans succès malgré les sorties du gardien zurichois. Des actions à l'image de ce qu'a proposé YS dans ce début de match: des amorces d'occasions, sans plus.
Et alors qu'on se disait que les Nord-vaudois étaient en souffrance (notons une statistique: possession de balle à moins de 30% pour YS en première mi-temps), voilà que leurs adversaires directs enfonçaient un peu plus le couteau dans la plaie en prenant le lead dans leurs rencontres respectives.
Juste avant le retour aux vestiaires, Christian Marques a néanmoins redonné un peu d'espoir au nombreux spectateurs du Municipal. Yverdon a bénéficié d'un corner. Vegard Kongsro a tenté d'envoyer au fond en prenant le ballon de la tête. Devant la cage, Yanick Brecher a repoussé. Mais le gardien du FCZ a renvoyé la balle sur Marques qui a pu ouvrir le score.
Apothéose inutile
Après la pause, les Yverdonnois sont revenus en feu (et on ne parle pas des feux d'artifice des ultras verts et blancs). À la 52e, ils se sont créés une belle occasion avec Moussa Baradji. Mais quelques secondes plus tard, c'est William LePogam qui a doublé la mise. Le capitaine a tout fait tout seul, récupération, neutralisation de l'adversaire, entrée dans les 16m, shoot et but (53e).
Les hommes de Paolo Tramezzani, lancés, n'allaient pas s'arrêter là. Hugo Komano a encore creusé l'écart à la 58e. Lui au centre, Marley Aké sur sa gauche, tous deux courant en direction du but. Komano a fait signe à son coéquipier de lui mettre le ballon en avant avant de se faufiler entre les défenseurs zurichois pour aller marquer. Dans les tribunes, Antonio Marchesano et Varol Tasar ont laissé exploser leur joie. Mais la fête a été de courte durée. C'étaient en effet des buts pour l'honneur malheureusement. Car pendant ce temps-là, Winterthour et Grasshopper menaient 2-0.
Zurich à ensuite privé Paul Bernardoni d'un blanchissage. Une bête perte de balle de la part des Yverdonnois dont a profité Damienus Reverson. L'attaquant remettra ça dans le temps additionnel. On en restera donc là. Et Yverdon a dit au revoir à la Super League.
Abattus
En zone mixte, là où se déroulent les interviews des joueurs, l’ambiance était donc morose après le coup de sifflet final.
“L’équipe est abattue. C’est jamais facile de vivre une descente, lâche de son côté le capitaine William LePogam Peut-être même plus pour ceux qui ont eu la chance de connaître toutes les promotions.” Ce qui est frustrant, c’est de faire un pas en arrière et de se souvenir que le 15 mars, Yverdon battait Servette à la Praille et était sur une très bonne lancée. On n’aurait pas forcément imaginé le club dans cette situation à ce moment-là. Mais tout a dégringolé ensuite. Qu’est-ce qui s’est “cassé” dans cette équipe après ce fameux match?
Pour Le Pogam, ce sont les performances dans cette dernière phase du championnat qui ont fait défaut à son équipe.
Yverdon, de par la philosophie instaurée par les dirigeants, a également vu un grand nombre de joueurs débarquer et quitter le Municipal. Et ce, à chaque début de saison. Difficile d’imaginer que cela permette de créer un groupe sain et constant, capable de construire quelque chose sur le long terme. Ce jeudi, le capitaine yverdonnois n’a cependant pas voulu blâmer qui que ce soit.
Yverdon est donc relégué en Challenge League. Grasshopper jouera les barrages contre le FC Aarau. Dans l'autre moitié du tableau, le Lausanne Sport jouera une place en Europe. Ce sera samedi du côté de la Praille face au Servette FC.
Football
Yverdon relégué, GC en barrage, Winterthour sauvé
Le Relegation Group de Super League a rendu son verdict au terme de l'ultime journée jeudi soir.
Yverdon est relégué en Challenge League, alors que Grasshopper disputera un barrage face au 2e de Challenge League Aarau les 27 et 30 mai.
Les trois équipes concernées par la relégation se sont imposées jeudi. Mais le succès (3-2, après avoir mené 3-0) obtenu au Stade Municipal par Yverdon face au FC Zurich s'est avéré inutile: GC (2-0 face à St-Gall) et Winterthour (2-0 devant Sion) ont en effet également ajouté trois points à leur total.
Winterthour, qui accusait encore 12 longueurs de retard sur Yverdon - et 7 sur Grasshopper - à la fin mars, a donc sauvé sa peau grâce à un superbe "rush" final. Les hommes d'Uli Forte n'ont perdu qu'un seul de leurs neuf derniers matches de championnat, décrochant six succès durant le "money time".
A l'inverse, Yverdon paie cher la série de neuf matches sans victoire (quatre défaites, cinq nuls) débutée après un succès fêté sur la pelouse de Servette le 15 mars, série qui a pris fin ce jeudi. Intronisé fin décembre pour remplacer Alessandro Mangiarratti sur le banc, Paolo Tramezzani a échoué dans son opération maintien.
Yverdon va donc retourner à l'échelon inférieur, après un passage de deux saisons en Super League. Pour Grasshopper, le spectre d'une nouvelle relégation est toujours bien présent: le barrage face à l'ambitieux FC Aarau, qui aura l'avantage de recevoir au match retour, n'aura rien d'une partie de plaisir.
GC très vite à l'abri, Winti aussi
La cause yverdonnoise fut très vite désespérée jeudi soir. Grasshopper a ainsi ouvert la marque dès la 12e minute face à St-Gall, pour prendre virtuellement trois longueurs d'avance sur la formation du Nord vaudois (avec en outre une bien moins mauvaise différence de buts). Le 2-0 des Sauterelles est tombé à la 69e.
Winterthour a également très vite débloqué la situation face à un FC Sion déjà assuré de son maintien. Une réussite de Christian Gomis à la 23e a permis aux banlieusards zurichois de dépasser GC et de s'offrir un matelas de quatre unités sur Yverdon. Et "Winti" s'est mis à l'abri à 40e, Gomis signant un doublé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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