Vaud
Mathieu Jaton défend la rénovation du 2m2c
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En cas de non le 10 février à la rénovation du Centre de Congrès de Montreux (2m2c), la capacité légale de l'Auditorium Stravinski serait réduite à 300 personnes. Congrès et festivals en pâtiront, s'inquiète Mathieu Jaton, patron du Montreux Jazz Festival (MJF).
La rénovation du Centre de congrès de Montreux (VD) est vitale. "Un refus ne compromettrait pas uniquement le Montreux Jazz", relève Mathieu Jaton dans une interview publiée vendredi par 24 heures.
Et de citer la Saison culturelle, les autres congrès et festivals qui ne rentreraient pas dans une salle de 300 places. "L'atout du Stravinski est sa capacité modulable, susceptible d'accueillir un dîner de 800 personnes ou un concert avec 2000 spectacteurs", rappelle-t-il.
Opérationnel
"Il est difficile de se rendre compte à quel point cette salle est devenue mythique et nous permet d'exister". C'est un "bijou qui a fait ses preuves, en matière d'acoustique notamment", souligne Mathieu Jaton. "Pourquoi des monstres - Stevie Wonder, Prince ou Lady Gaga - ont-ils décidé de s'y produire?" questionne-t-il.
"La virulence de la campagne avant le référendum m'inquiète. Je comprends que des personnes s'opposent à ce projet. Mais je ne peux pas perdre de vue qu'il faut non seulement mettre le bâtiment à niveau et en sécurité, mais aussi le rendre opérationnel", note le boss du MJF.
Pas de plan B
Interrogé sur le coût élevé des travaux, Mathieu Jaton réplique qu'il ne l’est pas en regard avec les opportunités de développement que la rénovation représente et, surtout, du risque élevé de perdre des événements culturels. Et de rappeler qu'il n'y a pas de plan B en cas de non.
"Si le projet est rejeté ce 10 février, l’Etablissement cantonal d’assurance nous donnera-t-il un délai supplémentaire pour remettre le 2m2c aux normes? Rien n’est moins sûr. Ou décrétera-t-il la capacité maximale de nos salles à 300 personnes?" interroge-t-il.
Solide et pertinent
Elaboré au terme d'un processus fastidieux qui a duré huit ans, le projet "n'est pas une lubie de quelques politiques", affirme le directeur du MJF. "Le projet élaboré par la Municipalité est solide et pertinent, sans augmentation d’impôt et sans coupe dans d’autres budgets communaux. Les contribuables montreusiens ne financeraient que la mise en sécurité (27 millions de francs) du bâtiment, propriété de la Ville."
La mise à niveau (33 millions) sera prise en charge par les acteurs touristiques, via la nouvelle taxe communale de séjour. Et les travaux visant à développer le centre (24 millions) relèveraient de la responsabilité de la société d’exploitation du centre (CCM SA)."
"C'est une solution entrepreneuriale et pas politique", observe M. Jaton qui rappelle que le Centre de congrès rapporte aussi: "Il a réalisé plus de six millions de chiffre d'affaires l'an dernier".
(KEYSTONE-ATS)
Culture
Les dessins naturalistes s'invitent aux Naturéum à Lausanne
Les dessins naturalistes s'invitent au Naturéum (Muséum cantonal des sciences naturelles) à Lausanne. Jusqu'au 19 avril 2026, à travers l'exposition "Natura picta", le public peut venir (re)découvrir la nature au Jardin botanique grâce au regard sensible et précis du dessinateur Philippe Marle.
L'exposition met à l'honneur le dessin naturaliste, pratique à la croisée de l'art et de la science, célébrant la beauté et la complexité du monde vivant. Animaux, plantes et minéraux s'y dévoilent sous le trait délicat du crayon, la légèreté de l'aquarelle et la finesse de la gravure. Ce voyage graphique nous rappelle que dessiner la nature, c’est d’abord apprendre à la regarder, indique les responsables dans un communiqué.
"Natura picta" met en dialogue les oeuvres lumineuses de Philippe Marle - planches originales, carnets d'esquisses et compositions inédites - avec les collections historiques du Naturéum. "Le parcours met en évidence l'évolution d'un art de l'observation minutieux, autrefois essentiel à la classification du vivant, et aujourd'hui redécouvert pour sa puissance poétique et sa capacité à relier l'humain à son environnement", notent les responsables.
Des ateliers de dessin naturaliste, des visites commentées et des rencontres avec le peintre-illustrateur, installé près de Besançon en Franche-Comté, complèteront l'exposition.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le rythme infernal du LS va encore s'accélérer
Le Lausanne-Sport enchaîne les rencontres à un rythme effréné depuis le début de la saison. Et ce n'est pas près de s'arrêter, car le programme du LS va vite devenir "encore plus fou".
Le match nul contre l'Omonia Nicosie, jeudi en Conference League, à peine digéré, Peter Zeidler et ses joueurs avaient déjà le regard tourné vers le FC Sion, qu'ils accueillent dimanche en championnat. Un duel tout aussi important, qui ne fait qu'annoncer un calendrier délirant.
Neuf matches en l'espace de quatre semaines, entre le 23 novembre (à Saint-Gall) et le 21 décembre (réception de Lucerne), voilà ce qui attend les Vaudois après la dernière trêve internationale de l'année. Avec cinq affiches de Super League, un 8e de finale de Coupe de Suisse à Yverdon (le 3 décembre) et trois duels européens au programme, les supporters du LS peuvent se réjouir: le menu ne pourrait pas être plus copieux.
"Le rythme était déjà un peu fou, il va devenir encore plus fou", a lâché Peter Zeidler jeudi peu avant minuit, en conférence de presse d'après-match. L'entraîneur allemand n'a même pas eu le temps d'être frustré par le penalty raté d'Olivier Custodio, qui aurait pu permettre au LS d'arracher la victoire contre les Chypriotes. Il ne pensait déjà qu'aux hommes qu'il allait aligner dimanche lors du derby romand.
Quel bilan à Noël ?
Mais où en seront les Lausannois au moment de mettre les crampons au chaud pour profiter des fêtes et recharger les batteries ? En championnat, difficile à dire, tant Lausanne (8e, à six points du podium) alterne le bon - des récitals contre Young Boys (5-0) et Bâle (5-1) - et le moins bon - un sabordage à Lucerne (2-2) et une défaite dans le derby lémanique contre Servette (3-1) - ces derniers temps.
En revanche, l'escouade de Peter Zeidler semble avoir davantage de certitudes sur la scène européenne, où elle n'a plus perdu depuis son entrée en lice à Skopje le 24 juillet. A mi-parcours de la phase de ligue, les Lausannois figurent ainsi toujours dans le top 8, synonyme de qualification directe pour les 8es de finale.
Il sera difficile d'y rester jusqu'au bout, car l'adversité va monter d'un cran pour Lausanne, qui doit encore se déplacer sur la pelouse du Lech Poznan et accueillir la Fiorentina. Mais avec un 7e point récolté jeudi contre l'Omonia, actuel leader du championnat chypriote, le LS peut sereinement envisager un printemps européen.
"Ce n'est pas encore fait"
"Avec une troisième victoire, on aurait déjà pu planifier le voyage pour les barrages", a quand même regretté Zeidler, pas entièrement convaincu que les 7 points feront l'affaire pour rallier la phase à élimination directe: "Il faudra sans doute plus cette année, mais pourquoi pas aller faire quelque chose en Pologne, il y aura une belle ambiance."
Le mentor de la Tuilière, qui a succédé à Ludovic Magnin en juin, est toutefois persuadé que l'aventure européenne du LS va se poursuivre. "Avec cette équipe et notre public, on va vivre ce printemps européen. Ce n'est pas encore fait, mais j'y crois", a-t-il assuré.
Le club vaudois possède en tout cas un effectif suffisamment fourni pour survivre à son calendrier infernal. Avec un buteur, Theo Bair, qui semble avoir trouvé son rythme de croisière (8 buts en 12 matches depuis son arrivée), les artistes Gaoussou Diakité et Beyatt Lekoueiry en soutien, et une défense suffisamment concurrentielle pour reléguer Bryan Okoh, une des recrues phares du mercato estival, sur le banc, Peter Zeidler peut compter sur des joueurs de qualité à chaque poste.
Sa gestion du temps de jeu de chacun et sa capacité à motiver ses joueurs, que ce soit face à Yverdon ou contre la Viola, sera décisive ces prochaines semaines. Pour que le LS puisse passer la trêve hivernale en chaussons et avec l'assurance de continuer à jouer sur tous les tableaux en 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Le budget 2026 de Montreux dans le rouge pour 4,5 millions
Le budget 2026 de la commune de Montreux (VD) affiche un déficit de 4,5 millions sur une enveloppe globale de plus de 200 millions de francs. Des changements structurels au sein de l'administration et la nouvelle péréquation financière cantonale justifient une augmentation des charges de fonctionnement tout en maintenant un déficit constant, indique vendredi sa Municipalité.
Le déficit du budget 2025 était de 4,2 millions de francs. Les charges de fonctionnement atteignent 204 millions (+18,3% par rapport à 2025), principalement en raison de la réorganisation de la péréquation et des contributions intercommunales. Les recettes, elles, s’élèvent à près de 200 millions (+18,6 %), portées notamment par des revenus exceptionnels, dont un legs de 3,8 millions destiné à un fonds spécifique, précise la Ville dans son communiqué.
Les recettes fiscales demeurent stables à environ 103 millions de francs, tandis que le revenu du patrimoine progresse à 11,6 millions, "reflet d’une optimisation de la gestion des biens communaux", selon la Municipalité.
Malgré le résultat négatif, le budget 2026 conserve une marge d'autofinancement positive de 1,2 million, "signe d'une gestion prudente et responsable", selon la Municipalité.
Sur le plan économique, la Ville maintient ses investissements essentiels et "poursuit une politique budgétaire équilibrée, centrée sur la qualité des prestations à la population et la maîtrise des coûts". La fin prochaine du projet de rénovation du Centre de congrès (2m2c) marquera une étape-clé, en offrant un outil modernisé au service du développement économique et culturel de Montreux, soulignent encore les autorités communales.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Baukultur Festival: célébrer la transformation du bâti à Lausanne
A l'occasion de ses 150 ans, la revue Tracés - espazium lance un nouveau festival tout public dédié à la culture du bâti. Intitulé Baukultur Festival - "Tout se transforme!", l'événement investira Plateforme 10 à Lausanne du 12 au 16 novembre. Sept installations et sept expositions y exploreront la transformation de la matière et du patrimoine avec des techniques innovantes ou traditionnelles.
En Suisse, environ 5000 bâtiments sont démolis chaque année et 80% des déchets proviennent du secteur de la construction. Face à ce constat et en partenariat avec le Mudac, le Baukultur Festival met en lumière des pistes concrètes pour construire autrement et transformer l'existant au lieu de démolir et reconstruire.
Le 12 novembre, le public pourra assister à des démonstrations de construction utilisant des techniques anciennes (pisé, chaux) et innovantes (terre compactée, mycélium). Il pourra observer et participer à certaines étapes, telles qu'extinction de la chaux vive, pisé, pressage de blocs de terre crue.
Un pavillon en dalles de béton recomposées, conçu par le laboratoire SXL de l’EPFL, sera monté en direct. Le 15 novembre dans l'après-midi, place sera faite aux visites guidées et démonstrations.
Transformations et reconversions
Dans la galerie Signal-L, sept expositions présenteront des projets de transformation développés par des architectes, chercheurs et étudiants de la HES Fribourg et de l'EPFL: rivières remises à ciel ouvert, bureaux convertis en logements, infrastructures routières devenues parcs urbains.
La revue Tracés elle présentera une dizaine de reconversions exemplaires récemment réalisées en Suisse: une usine transformée en crèche, un silo en hôtel ou encore un entrepôt de vin en logements. "La preuve que rien ne se perd, tout se transforme", concluent les organisateurs.
Issu de la Déclaration de Davos (2018), le concept de Baukultur/Culture du bâti réunit l'ensemble des acteurs de l'environnement construit: architectes, ingénieurs, urbanistes, paysagistes, entreprises, chercheurs et spécialistes du patrimoine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Leone Stephane
7 février 2019 à 14:45
Très bien, mais qu en est-il de l'augmentation des coûts pour les exposants et pour les activités? Les consommateurs verront-ils leur entrée subir une augmentation démesurée?
Les prix en Suisse subissent déjà des hausses qui défis toute logique. Cela sera encore pire si les coûts de location et les frais divers augmentent. Car comme d'habitude, au final, ce sera le peuple et son porte monnaie qui en pâtira.
Je pense notamment au prix des entrées de concerts pour Le Montreux Jazz Festival ainsi que pour Polymanga, qui ont vu leur billets augmenter de plus de 20% d'une année à l'autre alors que se sont des activité qui touchent les jeunes et les familles en grande partie.