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Émissions

Un repas de soutien pour l'avenir de Tess Sugnaux.

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Un repas de soutien aura lieu le samedi 23 février à Granges-Marnand en faveur de la joueuse de tennis professionnelle Tess Sugnaux.

Cette jeune athlète qui fêtera dans 2 semaines ses 24 printemps a remporté en décembre 2018 le titre de championne suisse à Bienne et elle est actuellement 500ème mondiale. Malheureusement, ne pouvant pas financer ses déplacements, elle se voit dans l'obligation de refuser de participer à des tournois.

Pour l’aider à poursuivre son rêve, un repas de soutien est organisé ce samedi au Battoir de Granges-Marnand. Le prix pour participer à cette soirée est de 75.- par personne. Il comprend le repas avec une fondue chinoise (sanglier, bœuf, poulet). L’apéritif et le café sont offerts.

La soirée sera animée par un concert et une tombola.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’à vendredi midi par téléphone au 079 241 21 69 ou par mail jumien.gabriel@bluewin.ch

Ecoutez l’interview de l’organisateur de l’événement, Gabriel Jumien :

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Dans les coulisses de l'Eurovision avec Jean-Marc Richard

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C’est un évènement chaque année: l’Eurovision est un concours qui rassemble désormais plus de 160 millions de téléspectateurs! La finale de la 69ème édition ne dérogera pas à la règle ce samedi à Bâle.

Si on fait les comptes de toutes les éditions, selon les spécialistes:

La victoire est revenue dans 72,9 % des cas à un.e artiste solo.

Côté thème, 59,7 % des chansons élues  parlent d’amour, de sentiments ou de relations.

Et les femmes l’emportent: plus de la moitié des gagnants sont des gagnantes à 56,3 %!

Derrière les chiffres, il y a des histoires et Jean-Marc Richard, avec 33 ans de commentaires au compteur (34 samedi!), est bien placé pour nous les raconter.

C’est ce qu’il a fait chaque semaine depuis le début de cette année et jusqu’à aujourd’hui au micro de Valérie Ogier.

Retour sur ces anecdotes et les titres qui vont avec en 16 épisodes !

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Double Face

Double Face : Valérie Lemercier à l'affiche d'"Aimons-nous vivants"

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Valérie Lemercier et Gérard Darmon dans le dernier film de Jean-Pierre Améris : "Aimons-nous vivants". / @Pathé

Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris étaient les invités de Valérie Ogier dans Double Face à l'occasion de la sortie du film "Aimons-nous vivants". Rencontre avec le réalisateur et l'actrice principale de cette comédie romantique tournée en partie à Genève.

Lors de la tournée promotionnelle du film "Aimons-nous vivants", Valérie Ogier a eu l'opportunité de rencontrer Valérie Lemercier et le réalisateur Jean-Pierre Améris. Le film, actuellement à l'affiche, est une comédie abordant des thématiques profondes telles que la vie, la mort, la vieillesse et le déclassement social, tout en offrant une belle dose d'humour.

Valérie Lemercier a partagé avec enthousiasme, au micro LFM, qu'elle se reconnaît dans son personnage, notamment par son optimisme et sa capacité à s'intéresser aux autres. Cependant, elle a souligné deux différences notables : contrairement à son personnage, quand elle dit non, c'est un non définitif. Elle apprécie la joie de vivre que son rôle dégage, de cette femme s'émerveillant de tout, tout le temps, même si, parfois, dans sa propre vie elle nous confie être habitée par des moments de hauts mais aussi de bas. Un film qui se déroule principalement à Genève, dans un cadre à la fois exotique et familier pour Valérie Lemercier. Exotique car à l'étranger et en des lieux dans lesquels elle n'avait pas eu l'occasion de tourner et familier puisque connaissant déjà Genève et sa région.  Un film dans lequel les rebondissements sont nombreux ce qui a aussi beaucoup plus à l'actrice.

Valérie Lemercier, actuellement à l'affiche du film "Aimons-nous vivants", n'en garde pas moins le désir ardent de remonter sur scène. Passionnée par l'écriture, elle souhaite créer des rôles qu'elle pourra interpréter, tout en se laissant également tenter, dans le même temps, par la danse et le chant. Au micro de Valérie Ogier, elle a partagé que plusieurs de ses projets, initiés avant le film de Jean-Pierre Améris, sont sur le point de voir le jour. Elle évoque notamment son prochain spectacle.

Dans "Aimons-nous vivants", Valérie Lemercier incarne Victoire, une femme pleine de vie et avide de liberté. Un personnage flamboyant qui croise le chemin d'Antoine Toussaint, interprété par Gérard Darmon, un chanteur célèbre en quête de rédemption après un AVC. Leur rencontre inattendue révèle à Antoine qu'il peut être aimé pour ce qu'il est, et non pour son statut.

Valérie Lemercier se réjouit de son rôle dans ce film, affirmant qu'elle se laisse porter par la direction du metteur en scène, se concentrant uniquement sur son jeu. Elle nous confie avoir particulièrement apprécié sa collaboration avec Jean-Pierre Améris, qui puise dans son vécu pour nourrir ses créations. Ce film, coécrit avec Marion Michaud se veut une comédie romantique touchante et authentique.

Dans le film "Aimons-nous vivants", le statut de l'artiste et la solitude sont notamment abordés. Valérie Lemercier nous confie être aussi sujette à cette solitude. Elle la ressent particulièrement lorsqu'elle sort de scène. Un sujet traité dans son film "Aline". Contrairement à Antoine Toussaint, interprété par Gérard Darmon, dans le film, qui semble prisonnier de son succès, Valérie Lemercier aborde la célébrité avec légèreté. Elle la décrit comme agréable, jamais intrusive, mais plutôt sympathique, et si un jour elle ne peut plus jouer, elle ne se sentirai pas dépossédée d'elle-même, elle saurai trouver du plaisir, de la joie dans d'autres activités.

Valérie Lemercier tout comme Gérard Darmon ont accepté avec enthousiasme d'interpréter leurs rôle dans le 7ème film de Jean-Pierre Améris, un choix qui a ravi le réalisateur. Des rôles sur mesure pour l'un et pour l'autre Lemercier. Il s'est réjoui de les voir jouer ensemble. Les deux comédiens avaient déjà partagé l'affiche dans "Bienvenue à bord" d'Éric Lavaine en 2011.

Jean-Pierre Améris, admiratif des parcours de Lemercier et Darmon, n'hésite pas à qualifier Valérie de "génie comique" et à souligner l'autodérision dont a pu faire preuve Gérard Darmon dans de précédents rôles. Le réalisateur, qui a parfois dû faire face à des refus de la part d'autres acteurs, comprend que chacun doit être en accord avec ses choix artistiques pour donner le meilleur de lui-même.

Jean-Pierre Améris s'est souvent impliqué personnellement dans ses films, comme dans "Les émotifs anonymes", ayant lui-même été l'un d'entre eux dans le passé. Il parvient à transcender ses peurs et ses inquiétudes à travers le rire, une approche qui se retrouve dans son dernier film, "Aimons-nous vivants". Un road movie qui se déroule principalement à Genève et dans ses environs, mettant en lumière des lieux familiers pour le réalisateur, originaire de Lyon. Un tournage qui outre certains décors suisses a vu la participation d'acteurs du cru, dont Jean-Pierre Gos, particulièrement apprécié par le réalisateur français.

Dans ce Double Face, avec en invités Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris, cette dernière partage quelques confidences sur sa vie dans cette dernière séquence. Elle avoue, entre autres, aimer rire, peu dormir la nuit d'où la nécessité de sieste quotidienne. Côté gastronomie, elle préfère les plats simples et chauds, savourés loin de la table. Passionnée de couture, elle en parle avec fierté, elle évoque pour nous ses créations et une autre facette de sa personnalité. Actuellement, son grand plaisir est de composer des chansons, un projet qui lui tient à cœur. Bien qu'elle ait déjà réalisé sept morceaux, elle précise qu'aucune date de sortie pour un éventuel album n'est encore à l'ordre du jour.

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Double Face

Double Face : Frédéric Borloz, un destin politique inattendu

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Frédéric Borloz était l'invité de Double Face sur LFM. / @Keystone, Laurent Gillieron

Frédéric Borloz était l'invité de Double Face. Un portrait tracé entre carrière, expériences et défis pour le chef du département vaudois de l'enseignement et de la formation professionnelle.

Enfant, Frédéric Borloz se rêvait grutier, comme une suite logique aux activités familiales dans la construction. Puis avec les années comme nombre de ses camarades d'école : pilote de ligne. Un passage scolaire obligé dont il ne retiendra que les bons moments. Notre invité reprendra finalement, quelques années plus tard, la société fiduciaire fondée par son père, Guy Borloz. Rien, a priori, ne le prédestinait à une carrière politique mais le destin en a décidé autrement.

Bien qu’il n’ait pas grandi dans un environnement profondément politisé, son père et un oncle s’y étaient brièvement frottés, mais pas son grand-père, il s'intéresse à la chose politique. Et c’est presque par accident qu’il entre au conseil communal d’Aigle, en cours de législature, à la faveur d’un appel de son entourage. Inscrit initialement sur une liste en tant que "cardinal", rôle souvent destiné à compléter la liste sans visée électorale, il se retrouve embarqué dans le jeu politique.

Un an plus tard, le PLR le sollicite à nouveau : il leur faut un jeune candidat à présenter à la municipalité. Le parti est clair avec lui : sa candidature est symbolique, sans objectif d’élection. Mais le sort en décide autrement. Élu contre toute attente, ce plébiscite bouleverse sa vie.

Dès lors, la politique ne le quitte plus. Il devient député au Grand Conseil vaudois en 2002, puis syndic d’Aigle en 2006. Il prend ensuite la tête du PLR vaudois et accède au Conseil national en 2015. Enfin en 2022, il est élu au Conseil d’État vaudois, où il prend les rênes du département de l’enseignement et de la formation professionnelle.

Un parcours hors du commun pour Frédéric Borloz qui n'était pas un élève studieux, de son propre aveu. Il garde néanmoins de bons souvenir de sa scolarité durant laquelle il a obtenu un CFC d'employé de commerce et un diplôme de commerce.

En parallèle de ses études, il nous rappelle avoir rejoint les Jeunesses radicales, à l'âge de 16 ans, marquant ainsi le début d'un engagement politique qui ne le quittera plus. Au fond de lui, il ressentait déjà un certain intérêt pour la chose publique, bien qu'il n'ait pas eu de modèle politique clair à suivre. Cependant, il nous confiera avoir été profondément marqué par la présidence de Ronald Reagan. En parallèle de son engagement, en tant que "comptable" pour les Jeunes radicaux, il s'est plongé dans la lecture d'ouvrages politiques, dont un en particulier sur John F. Kennedy, abordant la notion de vérité en politique. Au fil du temps, bien que s'interrogeant sur son engagement, il restera fidèle à la Jeunesse radicale, en affinité avec les idées de ce qui est aujourd'hui le Parti Libéral Radical (PLR).

La politique, depuis sa jeunesse jusqu'à aujourd'hui, accapare une bonne partie de son temps. Malgré un agenda bien fourni, Frédéric Borloz nous confie trouver toujours le moyen de se consacrer à ses passions. Amateur de vélo et amoureux de la montagne, il accorde également une place primordiale à sa famille.

Originaire d'Ormont-Dessous, Frédéric Borloz est un homme profondément attaché à sa région, le Chablais, et à sa ville d'Aigle. Entre lac et montagne, il a trouvé un équilibre qui lui est cher. Ancien syndic d'Aigle de 2006 à 2021, il a quitté ce poste, il y a quatre ans, sans aucun regret, savourant un temps libre retrouvé consacré notamment à sa famille. Le temps de quelques mois tout du moins avant de reprendre le chemin de l'engagement public, élu conseiller d'État vaudois en 2022, à la tête du département de l'enseignement et de la formation professionnelle. Une démarche entreprise avec le soutien de son épouse.

En politique, l'ouverture d'esprit est une qualité essentielle selon Frédéric Borloz. Accepter que chacun soit différent est fondamental.  L'ingratitude, en revanche, est une attitude qu'il n'apprécie guère. Dans un monde où les efforts et les sacrifices sont souvent invisibles, reconnaître le travail des autres est important selon notre invité.

Frédéric Borloz nous a confié également, au micro de Valérie Ogier et d'Isabelle Bertolini, se considérer comme un bon vivant aimant les petits plaisirs simples de la vie. Une qualité qui le sert dans son quotidien et dans les échanges qu'il entretient avec les autres notamment. Une certaine bonhommie qu'il aurait peut-être eu du mal à mettre en pratique si il avait été au Conseil des États ou au Conseil fédéral. Des emplois qui manquent à son palmarès mais cela ne l'affecte pas. Ce qui compte avant tout, pour lui, c'est de garder la maîtrise de son temps. Il apprécie cette liberté de pouvoir profiter de chaque instant sans être écrasé par le poids de la fonction et des obligations qui les accompagnent. Une liberté à laquelle il n'aurait pour rien au monde voulu renoncer.

Double Face se conclut toujours par notre séquence du "Tac-au-tac", auquel n'a pas échappé notre invité. Des questions en rafale qui nous ont appris, entre autres, que Frédéric Borloz apprécie particulièrement David Bowie.

La version intégrale du Double Face consacré à Frédéric Borloz est également disponible ici :

Double Face L'intégrale avec Frederic Borloz

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Styleto !

Phénomène fulgurant de la nouvelle génération pop française, l’artiste était de passage aux Docks à Lausanne. Elle nous a accordé quelques minutes précieuses dans sa tournée...

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