International
Procès clos contre des dirigeants du foot
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La justice suisse n'est pas parvenue à mener à terme le premier procès contre les instances du football. Entamés le 9 mars, les débats ont été reportés en raison du coronavirus et un verdict ne pourra pas être rendu avant le délai de prescription le lundi 27 avril.
Le Tribunal pénal fédéral (TPF) a annoncé mardi qu'il ajournait au 27 avril le procès mené contre les anciens présidents de la Fédération allemande de football (DFB) Theo Zwanziger et Wolfgang Niersbach, l'ancien secrétaire général de la DFB Horst R. Schmidt et le Suisse Urs Linsi, ex-secrétaire général de la FIFA.
Les quatre hommes étaient accusés de malversations en marge de la Coupe du monde 2006 en Allemagne. Ils répondaient d'escroquerie, ou de complicité d'escroquerie dans le cas de Wolfgang Niersbach. La prescription étant de quinze ans pour ces délits, il aurait fallu que le TPF rende son verdict d'ici au 27 avril 2020, faute de quoi l'action pénale serait éteinte.
Sous le signe du coronavirus
Or le procès ouvert le 9 mars a été suspendu quatre jours plus tard en raison du coronavirus et n'a pas repris depuis lors. La procédure instruite contre Franz Beckenbauer pour les mêmes faits avait été séparée en raison de l'état de santé de l'ancien capitaine de l'équipe d'Allemagne. Elle sera également prescrite le 27 avril.
Vu l'issue de la procédure, les accusés pourront prétendre à une indemnité pour leurs frais de défense. Le TPF devra encore se prononcer sur ce point
Début mars, Theo Zwanziger et Horst R. Schmid n'avaient même pas fait le déplacement de Bellinzone, invoquant le risque de contamination par le virus. En raison de leur âge, les quatre accusés font partie des personnes à risque. La Cour des affaires pénales en avait tenu compte en décrétant le huis clos et en prenant plusieurs mesures sanitaires.
Les trois Allemands et le Suisse devaient s'expliquer sur un versement de 6,7 millions d'euros (10 millions de francs) en marge du Mondial 2006. Les premiers faisaient alors partie de la présidence du comité d'organisation de la manifestation.
Selon l'acte d'accusation du Ministère public de la Confédération (MPC), ils auraient, avec l'aide d'Urs Linsi, camouflé la destination véritable de ces 6,7 millions. Ceux-ci devaient permettre de rembourser un prêt contracté personnellement par Franz Beckenbauer, qui assumait la présidence d'honneur du comité d'organisation.
Prêt et avance
Le "Kaiser Franz" avait obtenu ce montant auprès de Robert Louis-Dreyfus qui dirigeait alors Adidas. Franz Beckenbauer avait besoin de cet argent afin de convaincre le trésorier de la FIFA Mohammed Bin Hammam d'accorder une avance de 250 millions d'euros pour l'organisation du Mondial.
Franz Beckenbauer espérait que le prêt serait remboursé par la DFB, mais il s'était heurté au refus du président de l'époque Gerhard Mayer-Vorfelder. Afin d'obtenir un feu vert au versement des 6,7 millions. Theo Zwanziger et Horst R. Schmidt auraient eu l'idée de faire passer ce montant pour une contribution de la DFB au gala d'inauguration du Mondial organisé par la FIFA.
A cet effet, ils se seraient assuré la complicité d'Urs Linsi. Celui-ci aurait encaissé l'argent de la DFB sur un compte de la FIFA puis l'aurait viré à Robert Louis-Dreyfus afin de rembourser le prêt initialement souscrit par Franz Beckenbauer. Wolfgang Niersbach aurait été mis au courant de la manoeuvre.
Parmi les quelque 25 procédures ouvertes par le MPC depuis 2015 sur les affaires liées à la Fédération internationale de football association (FIFA), une vingtaine sont encore en cours.
Ainsi, à fin février, le MPC a annoncé la mise en accusation de l'ancien secrétaire général de la FIFA Jérôme Valcke, du président du PSG Nasser Al-Khelaifi et d'un troisième homme pour corruption lors de l'attribution de droits de retransmission. (cause SK.2019.45)
International
Pologne: candidat pro-européen en tête de la présidentielle
Le candidat pro-européen Rafal Trzaskowski est arrivé dimanche légèrement en tête du premier tour de l'élection présidentielle en Pologne, selon un sondage à la sortie des bureaux de vote. Il devrait affronter au second tour le candidat nationaliste Karol Nawrocki.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
La coalition de droite remporte les législatives au Portugal
La coalition gouvernementale de droite modérée au Portugal a remporté les élections législatives anticipées de dimanche. Elle aura cependant toujours du mal à former une majorité stable, selon un sondage à la sortie des urnes de la télévision publique RTP.
L'extrême droite a par contre atteint la barre de 20% des voix et talonne l'opposition socialiste, selon un sondage à la sortie des urnes de la télévision publique RTP.
D'après cette enquête, le camp du Premier ministre sortant Luis Montenegro aurait obtenu entre 29 et 34% des suffrages, contre 21 à 26% pour le Parti socialiste et 20 à 24% pour le parti d'extrême droite Chega ("Assez").
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Présidentielle en Roumanie: le candidat pro-européen en tête
Le maire pro-européen de Bucarest Nicusor Dan ressort en tête du second tour de l'élection présidentielle dimanche en Roumanie, selon deux sondages réalisés à la sortie des urnes. Il est crédité de plus de 54% des suffrages.
Le scrutin a été marqué par une forte participation dans un climat tendu. A la clôture des bureaux de vote à 21h00 (20h00 en Suisse), le candidat centriste est crédité de plus de 54% des suffrages, contre quelque 45% pour le chef du parti nationaliste AUR qui a cependant revendiqué la victoire, invoquant des "fraudes".
La publication de ces chiffres a été accueillie dans la confusion, les deux candidats revendiquant la victoire. Au quartier général de Nicusor Dan, installé dans un parc de Bucarest, le quinquagénaire a salué tout sourire "la victoire d'une communauté de Roumains désireux d'un profond changement".
"Savourons cette soirée et à partir de demain, reconstruisons la Roumanie", a-t-il ajouté devant ses partisans chantant "Europe" et "Unité".
Au même moment, son rival, s'exprimant devant le Parlement, s'est proclamé "le nouveau président de la Roumanie", comptant sur les votes de l'importante diaspora pour gagner et dénonçant des "fraudes".
M. Simion, un souverainiste fervent admirateur de Donald Trump, avait largement dominé le premier tour le 4 mai avec près de 41% des voix, le double de son adversaire.
Mais de nombreux Roumains se sont mobilisés entretemps pour renverser la donne d'un scrutin présenté comme crucial pour l'avenir européen de ce pays voisin de l'Ukraine, cinq mois après la rarissime annulation d'un scrutin entaché de soupçons d'ingérence russe.
Le taux de participation s'est élevé à près de 65%, contre seulement 53% au premier tour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Alcaraz bat Sinner en finale à Rome
Jannik Sinner a dû s'avouer vaincu en finale du Masters 1000 de Rome, où il effectuait son retour à la compétition après ses trois mois de suspension pour dopage.
Le no 1 mondial s'est incliné 7-6 (7/5) 6-1 devant le lauréat de l'édition 2024 de Roland-Garros Carlos Alcaraz (ATP 3).
Cette finale de rêve a tenu ses promesses, tout du moins dans sa première manche. Le "revenant" Jannik Sinner, qui n'avait plus joué depuis sa finale victorieuse à l'Open d'Australie fin janvier, a eu sa chance. Mais il n'est pas parvenu à convertir l'une des deux balles de set qu'il s'est procurées à 6-5 à la relance.
Carlos Alcaraz a écarté le danger, avant de dominer les débats dans un jeu décisif dont il a gagné les trois premiers points. Et l'Espagnol a surfé cette vague en signant le break d'entrée dans la deuxième manche, enfonçant le clou en s'emparant une deuxième fois du service adverse pour mener rapidement 5-0.
Jannik Sinner a ainsi vu sa belle série s'arrêter. Vainqueur de ses 26 derniers matches, l'Italien n'avait plus connu la défaite depuis le 2 octobre 2024 et la finale du tournoi de Pékin. Il avait alors déjà subi la loi de Carlos Alcaraz, qui a cueilli dimanche à Rome sa quatrième victoire d'affilée face à son grand rival.
Ils sont prêts
Malgré cet échec, Jannik Sinner a démontré qu'il serait très certainement compétitif à Roland-Garros (25 mai-8 juin) où il aura l'occasion de monter en puissance. Déjà titré dans le Masters 1000 de Monte-Carlo ce printemps, Carlos Alcaraz sera toutefois bel et bien l'homme à battre à Paris.
A noter que les deux hommes affichent désormais le même bilan dans des finales: 19 titres conquis, pour 6 échecs au stade ultime! Alcaraz est toutefois mieux "loti" avec quatre Majeurs à son actif (trois pour Sinner) et sept Masters 1000 (quatre pour l'Italien).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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