Lausanne
Un plan d'action pour éradiquer le littering au bord du lac
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Les images ont fait vivement réagir. Depuis quelques semaines, chaque week-end c’est pareil: les bords du lac à Lausanne sont jonchés de déchets. La Municipalité prend de nouvelles mesures pour tenter d'améliorer la situation.
Des photos prises à l’aube le samedi ou encore le dimanche montrent des scènes de désolation. Sur les réseaux sociaux notamment, les réactions sont vives et demandent aux autorités de réagir pour endiguer ce phénomène de littering.
Message reçu 5 sur 5 du côté de la Municipalité de Lausanne, qui indique que de nombreuses mesures ont déjà été prises par le passé.
La Municipale Natacha Litzistorf condamne une fois de plus ces agissements :
Alors pour tenter d’endiguer ce phénomène de littering au bord du lac à Lausanne, la Municipalité a adopté hier (jeudi) un plan d’action à court, moyen et long terme.
Explications de la Municipale Natacha Litzistorf :
Il y a d’ailleurs une sorte de “mode” qui interpelle l’exécutif lausannois: celle de laisser traîner ses déchets volontairement, en signe de défiance.
La Municipale Natacha Litzistorf :
Économie
Credit suisse: les parties ont fini de plaider
Les parties ont fini de plaider dans l'audience du Tribunal fédéral consacrée à la plainte de deux actionnaires de Credit suisse contre la Confédération. Ce couple réclame une indemnité pour la perte subie suite à la reprise par UBS.
L'avocat des plaignants a souligné qu'à de nombreuses reprises le Conseil fédéral, la FINMA et la Banque nationale avaient fait des déclarations lénifiantes sur la situation de la banque zurichoise. L'intervention du Conseil fédéral aurait aggravé la situation alors qu'une faillite de Credit suisse était loin d'être certaine.
Pour l'homme de droit, le recours au droit d'urgence et la pression exercée sur Credit suisse et UBS montrent que la reprise ne s'imposait pas. La hausse des actions UBS par la suite avait montré que cet établissement faisait en réalité une bonne affaire.
Les risques de la Bourse
La représentante de la Confédération a rappelé que celui qui achète et vend des actions doit en assumer les risques. Pour que la responsabilité de l'Etat soit engagée, il faut que l'un de ses agents ait commis un acte illégal et qu'un dommage en résulte. Ces conditions ne sont pas remplies.
A l'issue de ces plaidoiries, la 2e Cour de droit public s'est retirée pour délibérer. La séance sera reprise pour la lecture du verdict.
Les deux plaignants réclament 54'601 francs, plus intérêts, à la Confédération pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, ils avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral a affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Faux policiers: interpellation grâce à la victime d'une tentative
Un ressortissant français âgé de 19 ans et domicilié en France a été arrêté à la suite d'une tentative d'escroquerie aux faux policiers à Moudon (VD), grâce à la vigilance de la personne qu'il avait contactée par téléphone. Dénoncé au Ministère public, l'homme a été condamné par voie d'ordonnance pénale immédiate, a indiqué vendredi la police cantonale.
Les faits se sont déroulés il y a une semaine (vendredi 16 mai), précise la police vaudoise dans son communiqué. Contactée téléphoniquement vers 22h30 par un homme, une ressortissante suisse âgée de 71 ans a composé le 117 et a expliqué qu'un individu, qui prétendait travailler pour la police, allait passer à son domicile de Moudon pour récupérer ses cartes bancaires, détaille-t-elle.
Une patrouille s'est alors rapidement rendue sur place et les gendarmes ont réussi à interpeller un individu qui quittait les lieux. Interrogé, ce jeune Français a reconnu être l'auteur de la tentative d'escroquerie, poursuit la police.
Plus de 500 cas déjà en 2025
Celle-ci rappelle au passage que cette arnaque aux faux policiers a toujours cours dans le canton de Vaud. Pour l'année 2025, quelque 564 cas de faux policiers dont 159 réussites ont déjà été recensés sur le territoire cantonal, informe-t-elle.
La police cantonale rappelle également qu'elle ne se rend jamais chez des particuliers pour saisir les cartes bancaires ou les objets de valeur. Elle incite les personnes à rester vigilantes lorsqu'elles reçoivent un appel téléphonique de ce type et à composer directement le numéro 117.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: l'assainissement des sols pollués est loin de débuter
Il y a exactement quatre ans, fin mai 2021, Lausanne annonçait la détection de dioxines dans des sols des hauts de la ville. Cette pollution, d'une ampleur inédite en Suisse, semble avoir été causée par l'ancienne usine d'incinération du Vallon. Les travaux d'assainissement ne sont toutefois pas près de commencer. Explications.
"Nous ne disposons pas d'un horizon pour le début des mesures d'assainissement", indique la Direction générale de l'environnement (DGE) du canton de Vaud dans une réponse écrite à Keystone-ATS. "Les questions sont complexes tant au niveau juridique, législatif et technique pour une pollution d'une telle ampleur (...). Le temps investi pour y répondre est donc à la mesure de la complexité de la situation", souligne-t-elle.
Quelque 240 hectares - environ 343 terrains de foot - doivent potentiellement être assainis sur un périmètre allant d'Epalinges à Ouchy, et du Parc de Valency à l'ouest de Pully. Dans les zones les plus touchées, les concentrations de dioxines dépassent les 115 nanogrammes par kilo de sol, alors que la Confédération exige un assainissement au-delà de 20 nanogrammes.
Environ 3000 parcelles, comme des jardins ou des parcs, sont concernées. Des investigations doivent déterminer si les dioxines y dépassent les valeurs limites et si des enfants sont susceptibles d'y jouer. Si les deux cases sont cochées, un assainissement s'imposera.
Changer la terre...
Les autorités s'activent pour déterminer la meilleure façon d'assainir ces sols, en fonction de l'efficacité, du coût et de l'impact environnemental des méthodes à disposition.
L'une des solutions consiste à excaver les terres souillées par des dioxines pour les mettre en décharge et à les remplacer par des terres non polluées. Le canton y songe sérieusement. Les terres de remplacement seraient prises sur des chantiers de construction où des matériaux terreux excédentaires doivent être évacués. "Les prix sont de l'ordre de plusieurs dizaines de francs par m3 et varient selon l'offre et la demande", précise la DGE.
Cette option comporte cependant des "défis techniques", comme trouver suffisamment de sols non pollués, disponibles pour les remplacements. Elle impacte également la ressource en sol, puisqu'elle implique la mise en décharge d'importants volumes de terre.
...ou la nettoyer
Trois projets pilotes ont été mis sur pied afin d'explorer des alternatives. L'un d'entre eux, dit de "traitement physicochimique", a consisté à injecter de l'eau et des bulles d'air de très petite taille dans les sols touchés par les dioxines, afin de détacher les polluants et de les concentrer en surface. Ce procédé de "lavage de terre" s'est toutefois avéré inefficace.
Un autre projet, dit de "traitement thermique", a permis de confirmer que les dioxines pouvaient être retirées des matériaux terreux à des températures de l'ordre de quelques centaines de degrés. Cette méthode est donc techniquement "envisageable pour traiter les sols excavés lausannois". Cependant, les experts s'attendent à ce que la qualité du sol soit détériorée par un tel traitement.
Enfin, un projet dit de "biorémédiation" fait encore l'objet de tests. La méthode a consisté dans un premier temps à isoler en laboratoire des bactéries naturellement présentes dans des sols lausannois et capables de dégrader les dioxines, puis de les cultiver en laboratoire pour une éventuelle utilisation sur le terrain.
Dans un deuxième temps, ces bactéries ont été introduites dans trois échantillons de sols issus de parcelles publiques polluées à des degrés divers, afin d'évaluer leur efficacité à dégrader les dioxines qui y sont présentes. Cette phase est toujours en cours. "Aucune conclusion ne peut être tirée à ce stade", précisent les autorités.
Patience nécessaire
Cette dernière méthode aurait l'avantage de "pouvoir être mise en oeuvre directement" sur le terrain sans devoir littéralement déplacer des montagnes de terre. Elle présente cependant des inconvénients. D'une part, son efficacité reste "encore à démontrer", d'autre part, le temps de traitement pourrait s'étaler sur "plusieurs années, voire dizaines d'années", explique le canton.
Au final, quelle que soit l'option retenue, la patience sera de mise. "Les assainissements pourraient s'étaler sur plusieurs années", prévient la DGE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Marchés: rendre possible la vente d'alcool distillé à l'emporter
Les vignerons et arboriculteurs vaudois pourront prendre des commandes et vendre à l'emporter des boissons alcoolisées distillées sur les marchés et lors de manifestations. Donnant suite à une motion PLR, le Conseil d'Etat propose au Grand Conseil une modification de la loi sur les auberges et débits de boissons (LADB).
L'objectif est précisément de permettre aux municipalités d'autoriser les prises de commandes et la vente à l'emporter de tous types de boissons alcoolisées - tant fermentées que distillées - dans le cadre des autorisations de manifestations, de foires ou de marchés qu'elles délivrent, indique jeudi le gouvernement dans ses décisions hebdomadaires.
Jusqu'ici, Vaud était l'un des derniers cantons romands qui n'avait pas adapté sa législation à de telles possibilités. La députée libérale-radicale Laurence Cretegny avait donc déposé une motion pour rectifier le tir, arguant qu'il était par exemple possible de vendre de la damassine ou de l'absinthe sur d'autres marchés romands. Son texte avait été largement accepté en plénum en octobre dernier.
Actuellement, l'autorisation ne peut valoir que pour les boissons alcooliques fermentées, à savoir la bière, le cidre et le vin, ce qui exclut de cette possibilité les boissons alcooliques distillées. "Ce projet de modification de la loi vise ainsi à mettre en valeur la production locale et artisanale, à uniformiser la pratique en la matière entre les différents cantons et à éviter une distorsion de concurrence avec les autres commerces", argumente le Conseil d'Etat.
A noter que le principe de l'interdiction de la vente itinérante de boissons alcoolisées, lui, est maintenu. Ce changement de loi sera prochainement débattu au Parlement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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René Devaux
18 juin 2021 à 18:56
Tout ces gens faut les coller comme tout le monde!!! 150 balles à chaque détritus jetté! Maintenant à Lausanne c'est le règlement, je vois pas pourquoi ça n'est pas appliqué aussi au bord du lac! Il faut sanctionner fermement ces agissements!!! Pour la loi ces gens sont des délinquants, ils doivent être punis comme tel! Incroyable que ce ne soit pas encore fait! Pourquoi la loi n'est elle pas appliquée au bord du lac? Pourquoi? C'est une zone de non-droit? Pourquoi eux sont intouchables? Parce que c'est des pauvres petits gens fatigués qui ne font que de s'amuser??? Quoi??? Et alors??? Moi aussi je travaille dur tout les jours mais je ne vais pas au bord du lac déverser mes kilos de déchets!!! Rien ne justifie ce laisser aller et le laxisme de la ville, alors que maintenant le litering est amandable!!! Pourquoi la loi n'est elle pas la même pour tout le monde??? Moi j'ai pris 150 balles au centre ville parce que j'ai jeté par terre un minuscule morceau de papier recyclé deux centimètres sur un, soit la taille de deux confettis (!!!!), soudain un type sorti de nul part s'est jeté sur moi et j'ai dû payer!!! Et ces gens, eux, se permettent de jeter des poubelles entières dans les plus beaux coins de la ville et personne ne leur dit rien!!! C'est ignoble, injuste et inadmissible!!! C'est quoi ça!!! Cette ville marche sur la tête! La ville doit traiter tout le monde de la même façon! Pourquoi moi je dois payer pour un confetti et eux ils paient rien pour leurs immenses sacs d'emballages plastique, de sagex, de plats en aluminium, de restes de côtelettes et de poulets, qui couvrent des kilomètres carrés de nature??? Pourquoi on les choppe pas, eux??? C'est encore moi, un pauvre type sans le sou, qu'on opprime en faisant payer de façon arbitraire une fortune pour entretenir ces immondes individus qui eux ne sont même pas un tout petit peu inquiétés!!! C'est abject, insupportable!!! Cette ville malhonnête tient là l'occasion de redorer un peu son blason et faire rentrer un bon paquet d'argent dans les caisses et en même temps l'opportunité d'éduquer cette tripotée de larves nuisibles et rampantes en tapant là où ça fait mal!!! Alors qu'est-ce qu'ils attendent nom de bleu!!! Ca me donne envie de déposer plainte pour avoir subi un traitement différent que le 99,999999% des gens malfaisants qui eux ne se privent pas pour polluer!!! J'ai pas de mots assez forts pour exprimer mon dégoût face à cette ville et ses lois branlantes qui ne sont pas appliquées de la même façon à tout le monde!!! On m'a fait payer pour ces gens!!! C'est odieux!!!
René Devaux
18 juin 2021 à 20:05
Merci pour avoir publié mon commentaire. C'est que depuis ma tendre enfance j'ai toujours pris garde à ne rien laisser par terre par amour de la nature et le jour où je jette un ridicule et insignifiant morceau de papier recyclé qui se sera décomposé dans l'heure qui suit, hé ben je me fais gauler. Et quand je vois après comment les gens jettent tout par terre de partout en toute impunité ben franchement, j'en ai vraiment gros.
Moi
20 juin 2021 à 09:08
Faudrait surtout que la fameuse brigade de la propreté urbaine descendent au bord du lac au lieu de trainer en ville à glander.....