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Roglic leader du général après sa victoire sur la 17e étape

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(©KEYSTONE/EPA EFE/MANU BRUQUE)

Primoz Roglic (Jumbo-Visma), double tenant du titre, est repassé leader du Tour d'Espagne. Ceci grâce à sa victoire en solitaire et sous la pluie au sommet des lacs de Covadonga pour la 17e étape.

Roglic s'est extirpé du peloton des favoris à 60 kilomètres de l'arrivée en compagnie du Colombien Egan Bernal (Ineos-Grenadiers), qu'il a déposé à sept kilomètres de la ligne, dans la partie la plus pentue de la montée finale, et s'est envolé vers la victoire.

Le Slovène récupère ainsi le maillot rouge qu'il avait abandonné aux épaules du Norvégien Odd Christian Eiking (Intermarché - Wanty-Gobert) lors de la 10e étape à Rincon de la Victoria, après une chute sur le flanc droit dans une descente alors qu'il tentait une attaque.

Il s'agit de sa 3e victoire d'étape sur cette édition 2021 de la Vuelta, après ses succès lors de la 1re et de la 11e étape. C'est aussi sa 14e victoire d'étape sur un grand Tour.

La Jumbo-Visma a même réussi le doublé, Sepp Kuss ayant franchi la ligne en deuxième position, 1'35 secondes derrière son leader. Au général, Roglic compte désormais 2'22 d'avance sur son premier poursuivant, l'Espagnol Enric Mas (Movistar). Gino Mäder continue d'impressionner. Arrivé avec Kuss et les autres poursuivants, le coureur de Baharaïn pointe au 10e rang du général à 6'58.

C'est un véritable coup de massue portée par le Slovène sur cette Vuelta 2021, dont la dernière étape, un contre-la-montre dans les rues de Saint-Jacques-de-Compostelle, semble aussi promise au tout frais champion olympique de la spécialité, comme le premier chrono de ce Tour d'Espagne à Burgos.

Roglic a mené la danse au classement général après la première et la deuxième étape avant d'être doublé par Rein Taaramae (Intermarché - Wanty-Gobert) et Kenny Elissonde (Trek-Segafredo), puis a récupéré le maillot rouge entre la 6e et la 9e étape, avant de le céder à Eiking.

Un formidable coup de panache, après son Tour de France gâché par un abandon prématuré dès la 9e étape en raison d'une mauvais chute.

En cas de sacre final, Roglic pourrait devenir le premier coureur à rafler trois Vuelta de rang depuis Roberto Heras (2003, 2004, 2005).

Et après l'étape reine ce mercredi, la Vuelta ne s'arrête pas: jeudi, le peloton gravira pour la toute première fois de l'histoire de la boucle espagnole le terrible Gamoniteiru, un col interminable de 15 km à 10-12% de pente moyenne qui culmine à plus de 1700 m.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Golubic s'incline lourdement au 2e tour à Paris

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Viktorija Golubic n'a inscrit que 2 jeux dans son 2e tour à Paris (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Ce n'est pas cette année que Viktorija Golubic (WTA 78) disputera pour la première fois les 16es de finale à Roland-Garros. La Zurichoise de 32 ans s'est inclinée au 2e tour mercredi.

La vice-championne olympique 2021 de double a même été lourdement battue (6-0 6-2 en 55') par Amanda Anisimova (WTA 16), qui avait atteint le dernier carré en 2019 sur la terre battue parisienne à l'âge de 17 ans. Elle a su sortir la tête de l'eau après un premier set cauchemardesque pour elle, mais n'a rien ou faire au final.

Viktorija Golubic a, comme souvent, payé cher son déficit de puissance. Amanda Anisimova l'a pleinement exploité, en remportant notamment 75% des points disputés derrière la deuxième balle de service de la Suissesse (12/16). L'Américaine a certes commis 22 fautes directes, mais elle a surtout armé 26 coups gagnants.

Auteure quant à elle de 10 erreurs non provoquées et de 4 "winners" seulement (1 dans le premier set !), Viktorija Golubic a fait illusion en signant le break d'entrée dans la deuxième manche. Elle ne l'a pas confirmé, mais a résisté jusqu'à 2-2. Amanda Anisimova a alors serré sa garde pour empocher les quatre derniers jeux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Thames Water écope d'une amende salée pour pollution

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Thames Water est sous le feu des critiques en raison de déversement de quantités importantes d'eaux usées dans les cours d'eau britanniques. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Le régulateur britannique de l'eau Ofwat a infligé mercredi une amende record de près de 123 millions de livres (137 millions de francs) au plus grand distributeur d'eau du Royaume-Uni, Thames Water.

"Notre enquête a révélé une série de manquements de l'entreprise au niveau de la construction, l'entretien et l'exploitation d'infrastructures", a résumé David Black, directeur général de l'Ofwat, dans un communiqué, précisant que l'entreprise est aussi sanctionnée pour le versement de dividendes indus à ses actionnaires.

Souffrant d'un sous-investissement dans un système d'égouts qui date, pour grande partie, de l'époque victorienne, les compagnies des eaux britanniques, privatisées depuis 1989, sont sous le feu des critiques depuis plusieurs années à cause du déversement de quantités importantes d'eaux usées dans les cours d'eau et en mer.

Thames Water est la plus grande: elle dessert la région de Londres et 16 millions de clients, soit un quart de la population britannique.

Mais l'entreprise croule sous une montagne de dettes et ses finances fragiles font planer le spectre d'un plan de sauvetage public potentiellement ruineux pour l'Etat si elle ne parvient pas à trouver les financements privés dont elle a besoin.

L'enquête de l'Ofwat sur le réseau de Thames Water a mis en évidence des débordements "réguliers", lors desquels des eaux usées se retrouvent dans les cours d'eau, et ajoute que "l'ampleur réelle des déversements" est sans doute encore plus importante que ce qui est relevé par la compagnie.

"Nous prenons très au sérieux notre responsabilité envers l'environnement et (...) nous avons déjà progressé dans la résolution des problèmes", a réagi Thames Water dans un communiqué.

L'amende pour ces faits s'élève à 104,5 millions de livres, "la plus lourde amende jamais infligée par l'Ofwat", à laquelle s'ajoutent 18,2 millions de livres à l'issue d'une enquête séparée qui pointe le versement de dividendes "injustifiés".

L'Ofwat a précisé mercredi que 131,3 millions de livres de dividendes seraient récupérés au profit des clients, et indique que désormais "aucun autre versement" aux actionnaires ne pourra être effectué sans son approbation préalable.

Thames Water, détenue par un consortium d'actionnaires, au premier rang desquels un fonds de pension canadien et un autre britannique, cherche activement un repreneur. Le fonds d'investissement américain KKR est le "partenaire privilégié" dans ces discussions de rachat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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L'Italien Antonio Filosa nommé directeur général de Stellantis

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Antonio Filosa, qui a fait toute sa carrière dans le groupe Fiat-Chrysler (FCA), était l'un des profils internes favoris pour prendre le poste de directeur général. (archive) (© )

Le constructeur automobile Stellantis a annoncé mercredi la nomination de l'Italien Antonio Filosa au poste de directeur général, en remplacement de Carlos Tavares, évincé en décembre.

Antonio Filosa, qui était jusqu'à présent directeur pour l'Amérique du Nord et du Sud pour Stellantis, avait été nommé également début février à la tête d'une nouvelle direction mondiale de la qualité.

Stellantis "annonce que son conseil d'administration a élu à l'unanimité Antonio Filosa en tant CEO, à l'issue d'un processus de recherche approfondi de candidats internes et externes, mené par un comité spécial du conseil d'administration dirigé par son président exécutif, John Elkann", indique le constructeur dans un communiqué publié mercredi matin.

Le groupe "tiendra une assemblée générale extraordinaire, qui sera convoquée dans les prochains jours, afin d'élire Antonio Filosa au conseil d'administration en tant qu'administrateur exécutif de la société", précise l'entreprise. "Entre-temps, afin de lui donner les pleins pouvoirs et d'assurer une transition efficace, le conseil d'administration lui a accordé les pouvoirs de CEO, à compter du 23 juin".

Antonio Filosa, qui a fait toute sa carrière dans le groupe Fiat-Chrysler (FCA), était l'un des profils internes favoris pour prendre le poste de directeur général, vacant depuis la mise à l'écart de Carlos Tavares début décembre 2024.

M. Filosa avait déjà été promu fin 2024 directeur pour l'Amérique du Nord et du Sud, et directeur de toutes les marques américaines (Chrysler, Dodge, Ram).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Climat: l'UE confiante pour ses objectifs 2030, en attendant 2040

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Il y a plus d'un an, la Commission recommandait une baisse de 90% des émissions de CO2 en 2040 par rapport à 1990, depuis, elle n'a jamais osé mettre formellement la proposition sur la table. (archive) (© )

L'Union européenne est en bonne voie pour atteindre ses objectifs climatiques en 2030, s'est réjouie la Commission mercredi, même si le flottement persiste sur les ambitions du continent en 2040.

Après avoir évalué les plans énergie-climat de la plupart des Etats membres, Bruxelles table sur une baisse de 54% des émissions européennes de gaz à effet de serre en 2030 par rapport à 1990, tout près de l'objectif de 55% visé par l'UE.

"Nous devons maintenant nous appuyer sur cette dynamique", a réagi Wopke Hoekstra, le commissaire européen en charge du climat.

"Il s'agit d'un moment décisif: chaque secteur, dans chaque Etat membre, doit contribuer", a-t-il réclamé.

Selon la Commission, l'Europe a déjà réduit de 37% ses émissions depuis 1990, dont 8% en 2023, et l'objectif 2030 est à portée de main.

Bruxelles relève toutefois des disparités entre Etats membres et souligne les difficultés en matière de protection des forêts et de séquestration du carbone.

Cette "faiblesse de nos puits de carbone, conséquence de la détérioration de nos forêts est inquiétante et il faut y remédier au plus vite", a prévenu l'eurodéputé centriste Pascal Canfin (Renew), tout en saluant la "bonne nouvelle" des estimations globales en 2030.

L'exécutif européen souligne aussi que la plupart des pays membres se sont alignés sur son objectif d'atteindre une part des énergies renouvelables dans la consommation totale de 42,5% d'ici 2030.

Avec une mauvaise élève du point de vue de Bruxelles, la France, même si Paris ne cesse de défendre son énergie nucléaire "décarbonée".

Trois Etats - la Belgique, l'Estonie et la Pologne - sont pointés du doigt pour n'avoir pas encore remis leur plan énergie-climat (Pniec). Ils "doivent le faire sans délai", a exhorté la Commission.

Après ce satisfecit pour 2030, le plus dur reste à faire sur la route de la neutralité climatique promise par l'Europe en 2050.

Virage "pro-business"

Car les Vingt-Sept vont d'abord devoir s'accorder sur l'étape intermédiaire de 2040, et les négociations piétinent.

Il y a plus d'un an, la Commission recommandait une baisse de 90% des émissions de CO2 en 2040 par rapport à 1990 au sein de l'UE. Depuis, elle n'a jamais osé mettre formellement la proposition sur la table des Etats.

Car certains jugent l'objectif inaccessible. D'autres comme la France ne cachent pas leur scepticisme et demandent des garanties sur la décarbonation de l'industrie.

Embarrassée, la Commission européenne pourrait envisager des flexibilités dans son mode de calcul en 2040, peut-être grâce à l'achat de crédits carbone sur les marchés internationaux.

L'exécutif européen promet de soumettre une proposition avant l'été et assure que l'UE sera prête pour la prochaine conférence de l'ONU sur le climat (COP30) en novembre au Brésil.

Mais ces atermoiements suscitent l'inquiétude des écologistes, qui espéraient une mobilisation européenne après le retrait des Etats-Unis de Donald Trump de l'accord de Paris sur le climat.

Et les ONG s'alarment d'un détricotage en règle du Pacte vert, le fameux "Green Deal" adopté lors du précédent mandat d'Ursula von der Leyen.

Confrontée à la concurrence chinoise et aux menaces douanières de M. Trump, l'Union européenne a en effet entamé un virage pro-business ces derniers mois.

Report de la loi contre la déforestation, suspense sur l'avenir d'un texte consacré à la "vigilance" environnementale des multinationales etc: Bruxelles entend réviser une série de lois, au nom de la lutte contre la "bureaucratie".

Et le contexte a changé au sein des 27 avec la montée de l'extrême droite.

La socialiste espagnole Teresa Ribera, vice-présidente de la Commission en charge de la Transition propre, a peiné à se faire entendre jusqu'ici.

"Nous devons créer les conditions nécessaires" pour baisser les émissions de 90 % d'ici à 2040, a-t-elle appelé mercredi.

Avec les résultats du jour, l'Europe vient de "prouver que des objectifs fiables et prévisibles, fondés sur des données scientifiques, ainsi qu'une réglementation adéquate, sont efficaces", a-t-elle assuré.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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