Économie
Aide au logement: le Valais mandate Immo-Solidaire
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/09/immo-solidaire-vient-en-aide-aux-personnes-qui-rencontrent-des-difficultes-a-trouver-un-logement-en-raison-par-exemple-dun-revenu-modeste-de-chomage-ou-encore-dendettement-image-symbolique-1000x600.jpg&description=Aide au logement: le Valais mandate Immo-Solidaire', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le canton du Valais veut aider les personnes en situation de précarité à trouver un logement plus facilement. Dans cette optique, il a mandaté l'association Immo-Solidaire qui oeuvre déjà sur ce sujet depuis 2012 dans certaines communes.
Immo-Solidaire vient en aide aux personnes qui rencontrent des difficultés à trouver un logement en raison par exemple d'un revenu modeste, de chômage, ou encore d'endettement. Après analyse du dossier déposé, l'association se porte garante auprès du propriétaire ou de la régie en signant le bail à loyer, explique à Keystone-ATS Eliane Rosset, directrice de l’association. Elle pratique ensuite une forme de sous-location.
"Ce partenariat nous permet d'élargir notre soutien aux personnes qui ne bénéficient pas forcément de l'aide sociale mais qui ont des difficultés à trouver un logement", notamment pour des raisons de solvabilité, relève Roland Favre, chef de l’Office de coordination des prestations sociales. Fruit de cette collaboration, Immo-Solidaire, qui dispose déjà d'un bureau à Sembrancher, ouvrira, dès le mois d’octobre, un second site qui permettra d’accueillir les demandes du Haut-Valais et du Valais central.
Réponse à un besoin
En 2020, l'association a reçu 120 demandes d'aide. Les catégories les plus représentées dans le cadre de ce soutien sont les familles monoparentales et les personnes seules, selon l'Etat du Valais. Sur ces requêtes, 37 ont abouti, 47 ont été annulées soit parce que les personnes ont trouvé un logement, soit car elles n'ont plus donné de nouvelles, et quatre ont été refusées.
Trente-deux demandes n'ont pas été traitées car elles émanaient de personnes vivant à l'extérieur des communes partenaires de l'association, souligne Eliane Rosset. Jusqu'ici, Immo-Solidaire travaillait de manière localisée avec des communes comme Martigny, Sierre, Monthey ou encore Bagnes qui participaient à son fonds de réserve. Avec la nouvelle implication du département de la santé, des affaires sociales et de la culture via son service de l’action sociale, l'association pourra désormais aussi répondre à ces requêtes.
Pour 2021, le canton a attribué une enveloppe d'environ 180'000 francs, souligne Roland Favre. Un montant qui devrait couvrir les locaux et les salaires des employés, ajoute-t-il. Les charges d'exploitation d'Immo-Solidaire se montent elles à 423'000 francs, "mais devraient augmenter avec cette expansion", relève la directrice de l'association.
Un bilan sera effectué d'ici à deux ans "afin d'analyser les retours et les chiffres", note-t-elle. Mais "il s'agit d'un partenariat que nous souhaitons pérenniser", complète Roland Favre.
Vers l'autonomisation du locataire
Il y a davantage de demandes sur les communes de plaine ou en ville, où les régies sont bien installées, que sur celles de montagne", détaille Eliane Rosset. "Lorsqu'une personne nous demande de l'aide, nous intervenons auprès du bailleur. S'il s'agit d'un propriétaire privé, nous arrivons la plupart du temps à le convaincre de signer un contrat directement avec le locataire. En revanche, dans le cas des régies, nous signons le bail".
A moyen terme, l'association souhaite pouvoir convaincre certaines grosses régies de donner la possibilité au locataire de reprendre le bail à son nom, s'il a pu payer les mensualités sans retard ou difficulté. "Bien sûr, nous restons en support, mais l'idée est de permettre aux locataires de recouvrer une autonomie dans la gestion de leur logement.
Pour Roland Favre, l'accompagnement que propose Immo-Solidaire permet aussi de "donner des clés" à ces locataires pour qu'ils apprennent "à prendre soin de leur logement" et éviter qu'ils ne perdent leur caution, par exemple.
Immo-Solidaire travaille en étroite collaboration avec les centres médico-sociaux et services de curatelles, ainsi que d’autres services officiels en fonction des situations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Construction: entrepreneurs et syndicats ont trouvé un accord
Les entrepreneurs et les ouvriers du bâtiment représentés par les syndicats se sont mis d'accord sur une nouvelle convention collective de travail (CCT) dans le secteur de la construction. Ils l'ont annoncé vendredi après la dixième série de négociations.
Il a notamment été convenu d'introduire une nouvelle planification du temps de travail à partir du 1er janvier 2027, selon le communiqué de la Société suisse des entrepreneurs (SSE) et des syndicats Syna et Unia. A noter qu'à partir d'une certaine mesure, le temps de déplacement comptera à l'avenir comme des heures supplémentaires.
Cette convention a une durée de six ans, de début 2026 à fin 2031, mais le résultat des négociations doit encore être approuvé par les instances décisionnelles des deux parties, précise le communiqué. Au cours des négociations intenses, les deux camps se sont rapprochés et sont convaincus d'avoir trouvé une solution qui rendra le secteur de la construction plus attractif pour les employés actuels et la relève.
Une CCT pour 80'000 travailleurs
La convention collective nationale dans le secteur de la construction existe depuis le 1er janvier 2023 et expire à la fin de cette année. Elle régit les salaires et les conditions de travail des quelque 80'000 personnes employées dans le secteur de la construction en Suisse.
Les entrepreneurs et les syndicats se sont longtemps écharpés pour dessiner les contours de ce nouveau texte. Sans un nouvel accord, il y aurait eu un vide juridique et, dans le pire des cas, selon les syndicats ces dernières semaines, une grève nationale dans le secteur. Les syndicats ont notamment critiqué le refus des entrepreneurs d'accorder des horaires de travail compatibles avec une vie de famille. Ils réclamaient également le paiement des temps de trajet vers les chantiers et une augmentation salariale substantielle.
Il a également été convenu dans la nouvelle CCT que les entreprises pourraient choisir un modèle de temps de travail avec une durée quotidienne constante et, en contrepartie, davantage d'heures supplémentaires et de réduction du temps de travail. À l'avenir, une réglementation simplifiée des heures supplémentaires et la possibilité de créer un compte de vacances pour les employés qui souhaitent accumuler des heures supplémentaires seront également applicables.
L'accord comprend également un paquet salarial, une protection contre l'inflation et "des augmentations substantielles des suppléments et des indemnités dans le secteur des travaux souterrains". Répondant à Keystone-ATS, le porte-parole de la SSE Matthias Engel a déclaré que ce paquet salarial représentait une augmentation de plusieurs pourcents sur la durée totale de la convention.
Plainte pas retirée
Du côté des constructeurs, une assemblée extraordinaire des délégués se tiendra le 17 décembre 2025 pour décider du résultat définitif. Pour les syndicats Syna et Unia, les conférences professionnelles qui statueront sur le résultat des négociations auront lieu respectivement les 20 et 24 janvier 2026.
Selon M. Engel, la SSE ne retirera pas la plainte pour violation présumée de la paix du travail, qui a récemment été déposée auprès du tribunal de paix à Zurich. Du moins tant que des grèves sont encore envisagées, a ajouté le porte-parole de la SSE.
A l'automne, les ouvriers du bâtiment de plusieurs villes de Suisse avaient organisé des manifestations pour obtenir un résultat satisfaisant dans les négociations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Suisse achètera moins de F-35 que prévu pour respecter le budget
La Suisse achètera "autant d'avions F-35 que possible" dans la limite de l'enveloppe financière de 6 milliards de francs. Aucun crédit supplémentaire ne sera alloué, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La volonté populaire sera respectée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque et d'ingérence
L'Allemagne a attribué vendredi à la Russie une "attaque informatique" visant son système de contrôle du trafic aérien ainsi qu'une "campagne" de déstabilisation durant les dernières législatives allemandes,. L'ambassadeur russe à Berlin a été convoqué.
"Le service de renseignement militaire russe GRU est responsable de cette attaque" informatique commise en août 2024 et "la Russie a tenté, à travers la campagne Storm 1516, d'influencer et de déstabiliser" la dernière élection en février, a déclaré un porte-parole du ministère allemand des affaires étrangères lors d'un point presse régulier.
Contactée vendredi par l'AFP, l'ambassade russe à Berlin n'avait pas réagi immédiatement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Hausse des frais et disponibilité en baisse après la fusion CS-UBS
La fusion entre les deux plus grandes banques du pays Credit Suisse et UBS a érodé la compétitivité dans certains segments de marché. Le Conseil fédéral ne constate pourtant "aucun effet négatif généralisé sur la concurrence", selon un rapport publié vendredi.
Une étude de BAK Economics réalisée sur mandat du Secrétariat à l'économie (Seco) montre que la fusion UBS-CS a érodé la compétitivité dans certains domaines, précise le document. La fusion s'est en effet traduite par une diminution de la concurrence dans les crédits aux entreprises d'un montant important, les financements syndiqués structurés, les émissions d'emprunts en francs suisses et la conservation globale de titres.
"Aucun effet négatif généralisé n'a pu cependant être constaté sur les prix, les marges ou les positions de négociation; plus précisément, les effets observés ne peuvent être mis sur le compte de la fusion de manière univoque", écrit le Conseil fédéral.
Le gouvernement estime toutefois nécessaire d'adapter les procédures de contrôle des concentrations. Cela vaut en premier lieu pour la procédure applicable lorsque l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) se substitue à la Commission de la concurrence (Comco) dans le cadre de fusions bancaires. Le Conseil fédéral examinera dans quelle mesure la coopération entre les deux organes de surveillance peut être améliorée dans le cadre de l'entraide administrative.
Le Conseil fédéral juge inopportune l'introduction de l'instrument de l'enquête sectorielle dans le droit suisse de la concurrence, dont l'examen a été expressément souhaité par le Conseil national. Cela augmenterait la charge administrative et l'insécurité juridique pour les entreprises.
Le rapport publié vendredi fait suite au postulat 23.3444 "Fusion UBS-CS. Évaluation de l'importance du point de vue du droit de la concurrence et de l'économie nationale" déposé le 4 avril 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
LausanneIl y a 1 jour
Budget vaudois: le gouvernement revient sur deux mesures contestées
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: près de 300 manifestants devant l'Hôtel de police
-
SuisseIl y a 3 jours
Les pétards devraient être interdits en Suisse
-
VaudIl y a 14 heures
Succession de Ruiz: les socialistes ont choisi Roger Nordmann
-
InternationalIl y a 2 jours
OpenAI va pouvoir utiliser les personnages de Disney
-
GenèveIl y a 2 jours
Le Grand Conseil genevois enterre le projet de budget d'Etat 2026
-
GenèveIl y a 3 jours
Le député MCG Thierry Cerutti annonce porter plainte contre la RTS
-
VaudIl y a 3 jours
Bavois (VD): 59 kilos de haschich découverts dans un camping-car


