Économie
Raiffeisen: Thomas Müller proposé comme président
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/11/une-fois-elu-m-muller-succedera-a-guy-lachappelle-qui-a-du-demissionner-en-juillet-a-la-suite-dune-affaire-judiciaire-archives-1000x600.jpg&description=Raiffeisen: Thomas Müller proposé comme président', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La banque Raiffeisen proposera l'élection de Thomas Müller au poste de président de son conseil d'administration lors de l'assemblée générale extraordinaire qui se tiendra début décembre. Deux autres administrateurs ont également désignés.
Thomas Müller est membre du conseil d'administration de Raiffeisen Suisse depuis 2018 déjà, et il a, à ce titre, joué un rôle clé dans l'élaboration de la "Stratégie Raiffeisen 2025", précise mercredi un communiqué.
Agé de 56 ans, l'expert financier, est également président de la Commission des offres publiques d'acquisition (Copa). Il a aussi occupé des postes de direction auprès notamment des banques EFG International et de Safra Sarasin.
Une fois élu, M. Müller succédera à Guy Lachappelle, qui a dû démissionner fin juillet 2021 suite à une affaire judiciaire. L'intérim est assuré actuellement par Pascal Gantenbein.
Le conseil d'administration proposera en outre la nomination de Sandra Lathion et Martin Sieg Castagnola en tant qu'administrateurs.
Mme Lathion est une experte dans le domaine du droit des marchés financiers et de la conformité. Elle est actuellement membre du conseil d'administration de la Banque cantonale du Valais (BCVs), mais se retirera dès qu'elle sera élue au conseil de Raiffeisen Suisse. L'avocate siège également au conseil d'administration de Swisscom et a travaillé chez Credit Suisse auparavant.
Quant à M. Sieg Castagno, il dispose d'une vaste expérience dans la gestion financière et la gestion des risques, notamment au niveau des banques de détail et privée.
Jusqu'en 2020, il a été membre de la direction de Vontobel en tant que directeur des finances. Le nominé a également occupé des postes de cadres auprès de la Banque cantonale de Zurich.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La Bulgarie prête à devenir le 21e Etat à adopter l'euro en 2026
La Commission européenne a annoncé mercredi que la Bulgarie remplissait les conditions pour adopter la monnaie unique au 1er janvier 2026. Sofia deviendra le 21e membre de la zone euro, trois ans après l'entrée de la Croatie.
La décision formelle doit être prise le 8 juillet par les ministres des Finances de l'UE, mais aucune opposition n'est attendue, alors que ce pays de 6,4 millions d'habitants, le plus pauvre du bloc, respecte l'ensemble des critères techniques. La Banque centrale européenne (BCE) a également rendu mercredi un avis positif.
"Félicitations Bulgarie!", a lancé la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen. "Grâce à l'euro, l'économie bulgare deviendra plus forte, avec plus d'échanges avec les partenaires de la zone euro, plus d'investissements directs étrangers, un accès amélioré aux financements, plus d'emplois de qualité et de meilleurs revenus", a-t-elle déclaré dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Le Parlement boucle la grande réforme des douanes
Le Parlement a bouclé la révision totale de la loi sur les douanes. Le Conseil national s'est rallié mercredi aux Etats sur un dernier point technique de ce projet mammouth, qui vise entre autres à réduire la bureaucratie pour les entreprises d'import-export.
Très technique et touchant une grande quantité de lois, le projet comprend la numérisation des processus douaniers (programme DaziT), le profil professionnel des gardes-frontière ou encore le traitement des données personnelles sensibles.
Le Parlement y a ajouté divers allégements administratifs et assouplissements des régimes douaniers en faveur des entreprises. Autre point, contesté en vain par la gauche, les douaniers pourront prélever et comparer des profils ADN hors du cadre d'une procédure pénale.
La révision n'a pas été un long fleuve tranquille. Le programme DaziT a été critiqué à l'interne pour n'avoir pas assez pris en compte l'avis du personnel des douanes, des critiques relayées par plusieurs commissions parlementaires.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Résidences secondaires: Saint-Moritz reste la station la plus chère
Saint-Moritz, dans les Grisons, conserve son titre de marché de résidences secondaires le plus cher des Alpes, selon une étude d'UBS. En constante augmentation depuis cinq ans, les prix des logements de vacances devraient diminuer en 2025.
A Saint-Moritz, un appartement de vacances haut de gamme coûte au minimum 22'300 francs par mètre carré, selon la dernière étude "UBS Alpine Property Focus 2025" publiée mercredi. Verbier, en Valais, occupe la deuxième place du classement avec des prix à partir de 22'100 francs le mètre carré. Les stations de Zermatt, en Valais, Gstaad, dans l'Oberland bernois, et Andermatt, dans le canton d'Uri, complètent le top cinq.
Ailleurs en Europe, Courchevel détient la palme de la station la plus chère des Alpes françaises. Les prix des résidences secondaires haut de gamme y atteignent au moins 17'900 francs par mètre carré. Avec des prix à partir de 13'900 francs le mètre carré, Kitzbühel arrive en tête du classement en Autriche. Cortina d'Ampezzo, qui accueillera les prochains Jeux olympiques d'hiver, est la destination la plus chère des Alpes italiennes, avec des prix à partir de 11'800 francs le mètre carré.
Depuis 2020, les prix des résidences secondaires dans les Alpes ont augmenté en moyenne d'environ 30%, ce qui correspond à une hausse annualisée de 5,5%. En cause, la pandémie de coronavirus et l'essor du travail hybride qui ont déclenché un boom durable de la demande dans l'ensemble de la région alpine.
En 2024, les prix dans les principales destinations analysées ont progressé d'environ 2,3% en moyenne, avec un pic de 4% observé en France et en Italie. En Suisse, les prix des résidences secondaires ont augmenté de près de 3% l'an dernier. Seule la région alpine autrichienne a enregistré un recul des prix, d'environ 3%.
Diminution des prix attendue
Pour cette année, la dynamique des prix devrait s'affaiblir. "Les perspectives économiques pour l'Europe restent prudentes, l'inflation pèse sur le pouvoir d'achat des ménages et les coûts de financement élevés rendent l'acquisition d'une résidence secondaire alpine particulièrement onéreuse", souligne l'auteur de l'étude, l'économiste immobilier Maciej Skoczek, cité dans le communiqué.
Avec l'assouplissement de la loi sur les résidences secondaires décidé en octobre 2024, la pénurie d'offre actuelle devrait s'atténuer et davantage de biens immobiliers devraient arriver sur le marché suisse. Les logements qui relèvent de l'ancien droit peuvent désormais être agrandis jusqu'à 30%. Au premier trimestre 2025, le nombre de demandes de permis de construire dans les destinations touristiques était déjà supérieur d'environ 10% à celui de l'année précédente, atteignant ainsi son plus haut niveau depuis 2017.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
La politique de Trump assombrit les perspectives des PME suisses
Les PME suisses n'ont jamais été aussi pessimistes. Les tensions géopolitiques et en particulier la politique douanière de Donald Trump pèsent sur leur humeur, selon le baromètre établi par la Neue Zürcher Zeitung et la Haute école spécialisée Kalaidos.
L'indice général affiche -6,3 points en 2025, son niveau le plus bas depuis sa création. L'an dernier, il était encore légèrement positif, à 0,6 point. Cette valeur témoigne d'une forte insécurité des PME pour les douze mois à venir.
Les effets de la politique économique protectionniste des Etats-Unis se fait particulièrement sentir. Selon l'enquête, ils pèsent sur les attentes en matière d'exportations ainsi que sur les décisions d'investissement et d'achat. Près de 60% des entreprises interrogées considèrent leurs perspectives de croissance comme davantage négatives en raison de la politique douanière de Donald Trump.
L'instabilité géopolitique croissante et les inquiétudes sur la fiabilité des chaînes d'approvisionnement mondiales renforcent le scepticisme général. La moitié des sondés s'attendent en outre à une détérioration des réglementations légales (53%) et à une évolution négative de la fiabilité des chaînes d'approvisionnement (54%).
Néanmoins, une majorité de petites et moyennes entreprises (56%) continue de croire à une amélioration de leur propre compétitivité. Une tendance qui est toutefois elle aussi à la baisse.
Réorientation vers l'Europe
En réaction aux bouleversements géopolitiques, de nombreuses PME helvétiques réorientent leur présence internationale. L'Europe gagne en importance par rapport aux Etats-Unis et à la Chine, tant comme site de production que comme marché. Près des deux tiers considèrent l'Europe comme une solution alternative et attractive aux Etats-Unis.
Dans le même temps, on voit augmenter la demande d'un positionnement plus fort de l'Europe et de la Suisse en matière de sécurité et de politique étrangère, y compris une hausse des investissements dans la défense et la sécurité informatique. Pour près de 90% des sondés, l'Europe devrait investir davantage dans la sécurité militaire. Un chiffre qui est d'un peu plus de 80% pour la Suisse.
Forte résilience des PME
Les perspectives à moyen terme sont elles aussi marquées par l'incertitude. Beaucoup de choses dépendent de l'évolution des relations internationales, notamment avec Washington.
Il est décisif de savoir dans quelle mesure les PME suisses parviennent à s'adapter stratégiquement aux nouvelles conditions-cadres mondiales et à développer leur résilience dans une économie mondiale de plus en plus multipolaire.
Les entreprises jugent leur propre résilience relativement élevée, selon le baromètre. Elles ont également prouvé à plusieurs reprises ces dernières années leurs capacité de résistance.
Le sondage a été réalisé du 4 au 23 avril auprès des dirigeants de 519 entreprises suisses. Seules les réponses des PME ont été prises en compte pour ce baromètre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
Grand ConseilIl y a 2 jours
UNIL: le changement de logo est "superflu" pour des députés
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Raclette ou raclonette: la paix a été signée à Saint-Gingolph (VS)
-
CultureIl y a 3 jours
Lausanne: plus de 7000 personnes font vibrer le Chocolate Festival
-
InternationalIl y a 3 jours
Navire d'aide pour Gaza avec Greta Thunberg à bord
-
InternationalIl y a 3 jours
Verstappen sous la menace d'une suspension
-
InternationalIl y a 3 jours
Le Mexique aux urnes pour élire tous ses juges, à l'ombre du crime
-
SuisseIl y a 2 jours
Des recommandations pour éviter un nouveau déraillement au Gothard
-
FootballIl y a 3 jours
Fabio Celestini: un avenir en question après le doublé