International
Quatre astronautes ont décollé vers la Station spatiale avec SpaceX

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Trois astronautes américains et un Allemand se sont envolés mercredi soir pour une mission de six mois en orbite dans la Station spatiale internationale. Le décollage, plusieurs fois repoussé, devait initialement avoir lieu il y a dix jours.
Ils doivent remplacer l'équipage qui vient de quitter l'ISS, dont faisait partie le Français Thomas Pesquet, rentré sur Terre dans la nuit de lundi à mardi.
Ils ont été lancés depuis la Floride par une fusée Falcon 9 de SpaceX, mercredi soir à 21h03 heure locale (03h03 jeudi en Suisse). Leur capsule Dragon doit ensuite s'amarrer à la station jeudi à 19h10 (01h10 vendredi en Suisse). Leur décollage a été salué par des applaudissements nourris dans la salle de contrôle de SpaceX.
Les astronautes de la Nasa, Raja Chari, Kayla Barron et Tom Marshburn, ainsi que l'astronaute de l'agence spatiale européenne (ESA) Matthias Maurer, attendaient en quarantaine depuis des jours au Centre spatial Kennedy.
Ils devaient initialement partir fin octobre mais le décollage a plusieurs fois été retardé, notamment à cause de la météo, puis d'un "problème de santé mineur" chez l'un des astronautes - sur lequel la Nasa n'a pas fourni plus de détails.
Capsule neuve
L'agence spatiale a donc décidé de ramener sur Terre l'équipage de Crew-2, dont Thomas Pesquet, avant de faire décoller Crew-3. La période de passation entre les deux équipages, qui a normalement lieu en apesanteur durant quelques jours, n'a ainsi pas pu avoir lieu.
La mission s'appelle Crew-3 car elle est la troisième opérationnelle vers l'ISS assurée par SpaceX pour le compte de la Nasa. Mais il s'agit en réalité de la cinquième fois que l'entreprise d'Elon Musk lance des humains en orbite: avant Crew-1 et Crew-2, une mission test (Demo-2) avait acheminé deux astronautes vers l'ISS. Et en septembre, SpaceX a également lancé quatre touristes pour trois jours dans l'espace, indépendamment de la Nasa.
L'équipage de Crew-3 a embarqué mercredi dans une capsule Dragon flambant neuve, dont l'exemplaire a été baptisé "Endurance". Pour l'Américain Tom Marshburn, il s'agira du troisième séjour dans l'espace. Il a déjà volé à bord d'une navette spatiale en 2009, puis d'une fusée Soyouz en 2012-2013.
Les trois autres astronautes feront en revanche le voyage pour la première fois. Matthias Maurer sera le douzième Allemand à se retrouver en orbite.
Accueil de touristes
Ils seront accueillis par l'Américain Mark Vande Hei, resté là-haut et qui a fêté mercredi son anniversaire, seul dans le segment américain de la station. Deux cosmonautes russes sont également à bord.
La mission comprendra de nombreuses expériences. L'une d'elles a pour but d'observer les effets du régime alimentaire sur la flore intestinale et le système immunitaire des astronautes, leurs défenses étant souvent affaiblies par un séjour prolongé dans l'espace. Ils auront ainsi la possibilité de consommer une plus grande sélection de fruits et légumes lyophilisés (courge, kale...) ainsi que du barramundi, un poisson.
Les astronautes de Crew-3 réaliseront aussi des sorties dans l'espace notamment pour poursuivre l'installation de nouveaux panneaux solaires sur l'ISS.
Et ils accueilleront deux missions touristiques: des Japonais amenés par un vaisseau spatial russe Soyouz à la fin de l'année, puis en février 2022 des passagers de la mission Ax-1, organisée par la société Axiom Space en partenariat avec SpaceX.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël: manif pour les otages de Gaza au 600e jour de la guerre
Des milliers de personnes se sont rassemblées mercredi soir à Tel-Aviv en soutien aux otages de Gaza, point d'orgue d'une mobilisation au 600e jour de la guerre. Les manifestants ont réclamé un cessez-le-feu avec le Hamas qui permettrait la libération des otages.
"Le peuple avec les otages", pouvait-on lire sur les pancartes brandies par la foule compacte sur la "place des Otages" haut lieu de la mobilisation en faveur des captifs enlevés par le mouvement islamiste palestinien lors de son attaque sur Israël ayant déclenché la guerre, le 7 octobre 2023.
"Cela fait plus de 100 jours que j'ai été forcé de laisser mon frère derrière moi. Tant qu'Eitan et les autres otages ne sont pas de retour, je suis encore en captivité", a dit au micro Iair Horn, libéré en février lors d'une deuxième trêve à Gaza, sans son frère.
"Terminez cette guerre et ramenez les 58 otages", a-t-il ajouté à l'adresse du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, dont le gouvernement a mis fin à cette trêve mi-mars et intensifié depuis l'offensive dans le territoire palestinien.
A l'appel du Forum des familles, principale organisation plaidant pour un cessez-le-feu et la libération des otages, des centaines de personnes s'étaient auparavant réunies à des carrefours en Israël à 06h29 (05h29 en Suisse, heure du début de l'attaque du Hamas.
Des pancartes portant le chiffre 600 ont été placées le long des routes et des manifestations se sont succédé toute la journée.
"Pendant les premiers jours de captivité, j'étais convaincue que [l'armée] et l'Etat d'Israël feraient tout pour nous ramener (...) au plus sous quelques jours", a déclaré, lors d'un rassemblement au kibboutz Nir Oz, Karina Engel-Bart.
Elle a été libérée avec ses deux filles lors de la première trêve, fin novembre 2023, mais la dépouille de son mari, tué le 7-Octobre, reste retenue à Gaza.
"Mais je me suis trompée [...] ils sont encore 58 à Gaza et doivent être libérés maintenant", a-t-elle ajouté.
Nir Oz, est le kibboutz en lisière de Gaza avec le plus d'habitants enlevés, dont 14 toujours retenus à Gaza, parmi lesquels seuls trois sont présumés vivants.
Sur la pelouse du kibboutz, des ex-otages, proches d'otages et habitants côtoient des soutiens venus de tout le pays. Pas de pancartes mais des rubans jaunes (symbole de la mobilisation pour les captifs) sur les t-shirts et l'estrade où se succèdent les orateurs.
Sur 251 personnes enlevées le 7-Octobre, 57 restent retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par les autorités israéliennes. Le Hamas retient aussi toujours la dépouille d'un soldat israélien tué en 2014 lors d'une précédente guerre à Gaza.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Andrew Tate et son frère inculpés de viol et trafic d'êtres humains
L'influenceur masculiniste britannico-américain Andrew Tate et son frère Tristan ont été inculpés en janvier 2024 pour viol, trafic d'être humains et coups et blessures au Royaume-Uni. Le bureau du procureur (CPS) a fait cette annonce mercredi.
Dix chefs d'inculpation ont été retenus à l'encontre d'Andrew Tate, 38 ans, y compris celui de "proxénétisme", pour des faits concernant trois victimes présumées. Tristan Tate, 36 ans, fait face à onze chefs d'inculpation pour des faits concernant une victime présumée.
Les deux hommes sont sous le coup d'un mandat international émis par le Royaume-Uni, rappelle le CPS, qui précise que les faits reprochés s'étendent entre 2012 et 2015.
Il n'a pas donné davantage d'informations. Il n'a pas non plus précisé pourquoi il communiquait plus d'un an après avoir procédé à ces inculpations.
Andrew et Tristan Tate sont également poursuivis en Roumanie pour traite d'êtres humains et viol. Ils sont accusés d'avoir dupé plusieurs femmes à des fins d'exploitation sexuelle, y compris des mineures.
Fin février, ils ont quitté le pays pour les Etats-Unis après que leur interdiction de quitter le territoire roumain a été levée.
Par ailleurs, les autorités pénales de Floride ont engagé une enquête pénale à leur encontre, disant avoir "une tolérance zéro pour l'exploitation d'êtres humains et la violence contre les femmes".
Au Royaume-Uni encore, quatre femmes accusent Andrew Tate de viols et violences au civil. Né aux Etats-Unis d'un père américain et d'une mère britannique, Andrew Tate, qui est un ancien combattant professionnel de kickboxing, a été banni d'Instagram et TikTok pour des propos misogynes.
Il est suivi par plus de 10 millions de personnes sur le réseau social X, où il s'exhibe muscles saillants, fumant des cigares et fascinant les adolescents avec ses voitures de luxe. Il y promeut des thèses masculinistes et monnaie ses conseils aux hommes pour les aider à devenir riches.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
C'est déjà fini pour les Suisses
Il n’y a pas eu de miracle pour Jil Teichmann (WTA 97) à Paris. Malgré un début de rencontre remarquable, la gauchère s’est logiquement inclinée 6-3 6-1 devant la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.
Jil Teichmann a mené 3-1 0-30 avant de subir la loi de la Bélarusse qui s’avance comme la grandissime favorite du tournoi même si elle n’a encore jamais joué une finale à Roland-Garros. Au fil des minutes, Aryna Sabalenka a imposé sa formidable puissance pour ne laisser que des miettes à son adversaire, le jeu de l’honneur du second set à 4-0 pour être précis.
Huitième de finaliste du tournoi en 2022, Jil Teichmann n’a pas signé l’impossible exploit pour porter encore les couleurs suisses à Roland-Garros. Après les défaites de Stan Wawrinka lundi, de Viktorija Golubic et Jil Teichmann mercredi, la quinzaine se poursuivra sans aucun ressortissant de Swiss Tennis encore en lice dans les simples. Classé bien trop loin pour être protégés par un statut de tête de série, ce trio abordait, il est vrai le tournoi avec des ambitions fort limitées.
Le tennis suisse est vraiment au creux de la vague avec un Stan Wawrinka en bout de course, une Belinda Bencic trop souvent trahie par son corps et une relève qui tarde à justifier toutes les promesses entretenues ces dernières années. On doute que le rebond puisse se produire dans un mois à Wimbledon.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Face aux mesures de Trump, l'angoisse des étudiants étrangers
Se sentant "déshumanisés" par l'administration Trump, des étudiants étrangers abandonnent leur rêve d'étudier dans les grandes universités américaines. D'autres, déjà sur place, s'interrogent sur leur avenir aux Etats-Unis.
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump s'est lancé dans une vaste campagne contre des universités qu'il accuse de propager une idéologie "woke", de servir de courroie de transmission au parti communiste chinois, voire d'être des bastions de l'antisémitisme sur fond de bombardements israéliens dans la bande de Gaza palestinienne.
Réseaux sociaux des universitaires étrangers surveillés
Son administration a coupé des subventions de recherche à différents établissements, arrêté et menacé d'expulsion des manifestants propalestiniens, demandé l'interdiction à la prestigieuse Harvard de recevoir des étudiants étrangers, et ordonné, mardi, la suspension du traitement de leurs visas pour passer au crible leurs réseaux sociaux.
Autant de mesures qui angoissent de jeunes universitaires comme le Pakistanais Abdullah Shahid Sial, 20 ans, étudiant en économie et mathématiques appliquées à Havard, qui se sent "déshumanisé" par l'administration américaine.
"C'est vraiment malheureux. Vous avez des jeunes de 18, 19, 20 ans qui viennent ici sans famille et qui, pour la plupart, n'avaient jamais mis les pieds aux Etats-Unis. Et là, ils se retrouvent confrontés à des situations que même des avocats redouteraient", dit-il.
"Rares sont les universités qui offrent autant d'opportunités que Harvard. Malgré ses quelques défauts, c'est un endroit formidable. Mais je conseille vivement (aux candidats) de postuler à davantage d'universités et de s'assurer d'avoir un plan B", ajoute-t-il.
Originaire de Lahore, dans le Pendjab pakistanais, Abdullah Shahid Sial dit avoir un ami diplômé de Harvard qui voulait poursuivre ses études dans cette université, considérée comme l'une des plus prestigieuses au monde. Mais, ajoute-t-il, après avoir soumis son dossier à l'école de droit de Harvard et Columbia à New York et deux autres institutions britanniques "pas aussi réputées", son ami a fini par opter pour le Royaume-Uni.
"Il préférait de loin Harvard, mais (...) il n'en pouvait plus de cette incertitude qui planait sur ses études".
"En plein brouillard"
Bien que bloquée temporairement par un juge, la décision de l'administration Trump d'empêcher Harvard de recevoir des étudiants étrangers inquiète des milliers de jeunes universitaires qui pourraient ne pas pouvoir retourner en classe après les vacances d'été.
"Je me doutais bien que je ferais partie du groupe cible de Trump. Mais là, je suis en plein dedans. Une de mes options serait de partir pour l'étranger (...) J'ai postulé à Oxford (Royaume-Uni) à cause de toutes les mesures prises par Trump", explique Karl Molden, étudiant de Harvard originaire d'Autriche. "C'est vraiment très difficile", dit le jeune homme de 21 ans, qui étudie la politique et les lettres classiques.
Des professeurs de Harvard disent de leur côté ressentir aussi l'impact des mesures de l'administration Trump par le biais de témoignages de collègues à l'étranger qui avaient tendance à promouvoir les universités américaines auprès de leurs meilleurs étudiants.
"J'ai entendu des professeurs dans d'autres pays qui disaient 'nous encourageons nos meilleurs étudiants à aller aux Etats-Unis' et se demandent aujourd'hui s'ils peuvent encore dire une chose pareille", a déclaré à l'AFP le professeur Ryan Enos lors d'une manifestation mardi destinée à dénoncer les mesures de l'administration Trump.
Une étudiante espagnole qui refuse d'être identifiée par crainte de mesures de représailles, à l'heure où le gouvernement américain promet de surveiller les comptes des réseaux sociaux des universitaires étrangers, souhaite néanmoins venir étudier à Columbia, à New York.
"Ca fait peur, car on se dit que toute notre activité sur les réseaux sociaux peut être scrutée, par exemple le fait qu'on like des publications pro-Palestine, ou des publications anti-Trump. Tout ça peut potentiellement nous priver de visa", dit-elle à l'AFP.
"Je suis en plein brouillard", lance de son côté Alfred Williamson, un étudiant de Harvard d'origine gallo-danoise. "Comme beaucoup d'autres étudiants internationaux, je m'accroche simplement à l'espoir que Harvard remporte sa bataille (judiciaire) contre la Maison Blanche", dit l'étudiant de 20 ans en physique.
Pour le Pakistanais Abdullah Shahid Sial, les étudiants étrangers à Harvard sont contraints d'espérer une victoire dans "cette bataille à laquelle personne ne souhaitait s'engager": "c'est vraiment regrettable d'en arriver là".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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