International
La communauté internationale veut des élections crédibles en Libye
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Les dirigeants réunis vendredi à Paris dans le cadre de la conférence sur la Libye ont appelé à la tenue d'élections "inclusives"et "crédibles" dans ce pays en décembre. Ils ont menacé de sanctions tous ceux qui y feraient obstacle.
"Il est important que toutes les parties prenantes libyennes se mobilisent résolument en faveur de l'organisation d'élections présidentielles et législatives libres, régulières, inclusives et crédibles le 24 décembre 2021", ont souligné les dirigeants et ministres d'une trentaine de pays, protagonistes ou médiateurs dans la crise libyenne.
"Les personnes ou entités à l'intérieur ou à l'extérieur de la Libye qui tenteraient d'entraver, de remettre en cause, de manipuler ou de falsifier le processus électoral et la transition politique devront rendre des comptes et pourront être inscrits sur la liste du Comité des sanctions de l'ONU", ont-ils ajouté dans la déclaration finale.
Le secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres, a également exhorté tous les camps rivaux libyens à contribuer au "processus électoral" et à "respecter" le résultat des élections afin de parachever la transition dans ce pays après dix ans de chaos.
Elections incertaines
Les élections, les premières de l'histoire du pays, restent très incertaines sur fond de regain de tensions entre camps rivaux, entre ouest et est du pays, à l'approche de l'échéance.
La présidentielle et les législatives, aboutissement d'un processus politique laborieux parrainé par l'ONU, sont censées tourner la page d'une décennie de chaos depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011 et mettre fin aux divisions et aux luttes fratricides.
"Sans ces élections, il n'y aura pas de gouvernement en état de marche l'an prochain en Libye", a averti un haut responsable américain.
Les pays présents à la conférence sont impliqués au côté des belligérants - l'Egypte, les Emirats arabes unis ou la Russie auprès de l'homme fort de l'Est libyen, la Turquie auprès du camp de Tripoli - ou dans le règlement de la crise (Allemagne, Italie, France).
Ignazio Cassis présent
La vice-présidente des Etats-Unis Kamala Harris, dont le pays a été moins actif ces dernières années sur le dossier, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi et des chefs d'Etat de pays voisins (Niger, Tchad..) étaient présents.
L'Allemande Angela Merkel, l'Italien Mario Draghi et les Libyens Mohamed Al-Manfi, président du Conseil présidentiel, et Abdelhamid Dbeibah, Premier ministre ont coprésidé la conférence, au côté d'Emmanuel Macron.
La Suisse était représentée par le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis. "Il est primordial que les élections se tiennent dans un environnement qui permette aux Libyens d'exercer leur droit de vote en sécurité. Dans les semaines cruciales à venir, la Libye aura plus que jamais besoin de notre unité pour l'accompagner sur ce chemin difficile", a déclaré le conseiller fédéral dans son discours.
Absence d'Erdogan et Poutine
La Russie était représentée par son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov. La Turquie n'a délégué qu'un vice-ministre des Affaires étrangères, Sedat Önal.
"L'absence des présidents algérien Tebboune, turc Erdogan et russe Poutine et l'impasse actuelle en Libye" risquent "d'entacher cette séquence libyenne", relève Hasni Abidi, directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen à Genève.
Emmanuel Macron, qui a déjà organisé deux conférences sur la Libye en 2017 et 2018, s'est vu aussi reprocher d'avoir favorisé l'homme fort de l'Est libyen, le maréchal Khalifa Haftar, au détriment du camp de l'Ouest même si Paris affiche désormais une plus grande neutralité.
La conférence a aussi endossé "le plan libyen de départ des forces et mercenaires étrangers". Plusieurs milliers de mercenaires russes - du groupe privé Wagner -, syriens pro-turcs, tchadiens et soudanais sont encore présents en Libye, selon l'Elysée.
Mais la Turquie se montre peu pressée d'engager un retrait de ses forces. Le Kremlin dément, lui, tout envoi de militaires ou mercenaires en Libye ainsi que tout lien avec le groupe Wagner.
Le dépôt de candidatures pour l'élection du chef d'Etat --premier scrutin au suffrage universel en Libye - s'est ouvert lundi. Les spéculations vont bon train sur les intentions de Seif al-Islam Kadhafi, fils de l'ancien "Guide", et du maréchal Khalifa Haftar.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des Israéliens pénètrent dans Gaza pour en demander la réoccupation
Plusieurs Israéliens sont entrés jeudi dans la bande de Gaza malgré l'interdiction de l'armée. Ils ont hissé le drapeau israélien dans une ancienne colonie, appelant à la réoccupation du territoire palestinien.
Des comptes de la droite israélienne ont diffusé sur les réseaux sociaux une photo montrant une vingtaine d'hommes, femmes et enfants rassemblés autour d'un drapeau israélien planté sur un terrain vague, affirmant qu'elle avait été prise à Kfar Darom.
Cet ancien kibboutz du centre de la bande de Gaza avait été évacué, avec 20 autres colonies, lors du désengagement unilatéral d'Israël en 2005.
Depuis, une frange de la droite israélienne appelle au rétablissement des colonies israéliennes à Gaza. Ce courant s'est fait plus audible après l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre dans le territoire, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien.
"Ramenées en territoire israélien"
Plusieurs responsables israéliens ont depuis appelé à l'évacuation des Palestiniens de Gaza et au retour du contrôle d'Israël sur le petit territoire.
L'armée a indiqué jeudi que les personnes qui avaient pénétré dans la bande de Gaza avaient été "ramenées en territoire israélien", ajoutant avoir empêché "des dizaines" d'autres de s'infiltrer par un autre point de la frontière, même si certaines ont réussi à franchir les barrières de sécurité.
"Toute entrée dans une zone de combat est interdite, met en danger les civils et perturbe les opérations de Tsahal (l'armée, NDLR) dans la zone", a-t-elle ajouté.
"Début d'une nouvelle ère"
Lors d'un rassemblement à Sderot, ville frontalière de Gaza, Daniella Weiss, figure de proue du mouvement des colons, a déclaré devant une centaine de partisans que "avec l'aide de Dieu, ce lever de drapeau marquera le début d'une nouvelle ère, une ère où nous retournerons à Gaza".
"Ni les Indonésiens, ni les Turcs, ni les Egyptiens, ni aucun autre pays, seul le peuple d'Israël gouvernera Gaza", a-t-elle affirmé, en référence aux pays évoqués pour participer à une future mission de stabilisation sur le territoire.
La semaine dernière, le mouvement ultranationaliste pro-colonisation Nachala, cofondé par Mme Weiss, avait annoncé dans une lettre son intention d'organiser un lever de drapeau à Gaza, une initiative soutenue par le ministre de la Sécurité nationale issu de l'extrême droite, Itamar Ben Gvir, ainsi que par dix autres ministres et plus de vingt députés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Report en vue pour l'accord UE-Mercosur, sur fond de manifestation
Le président brésilien Lula a ouvert la voie jeudi à un report en janvier de l'accord commercial entre l'Union européenne et des pays du Mercosur. Cela au moment où les agriculteurs européens faisaient entendre leur colère à Bruxelles.
Négocié depuis plus de 25 ans, ce traité de libre-échange permettrait à l'UE d'exporter davantage de véhicules, machines, vins et spiritueux en Argentine, au Brésil, au Paraguay et en Uruguay. Dans le sens inverse, il faciliterait l'entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel et soja sud-américains, ce qui alarme les filières concernées.
Le dirigeant brésilien a relaté un échange téléphonique avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni. Selon son récit, Mme Meloni lui a demandé de la "patience, une semaine, dix jours, un mois", en assurant que l'Italie soutiendrait l'accord in fine. Lula va transmettre la requête aux autres dirigeants latino-américains du Mercosur pour trancher.
Répit de courte durée
Mais le report semble désormais en bonne voie et offre un répit de courte durée à la France, qui ne cesse de marteler que l'accord n'est pas acceptable en l'état.
Ce délai supplémentaire est un revers pour la Commission européenne, l'Allemagne et l'Espagne qui poussaient pour une signature dans les prochains jours.
Ursula von der Leyen espérait parapher ce traité de libre-échange samedi, lors du sommet du Mercosur dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu. Mais elle avait besoin au préalable de l'aval d'une majorité qualifiée d'Etats membres à Bruxelles.
Et la France, l'Italie, la Pologne et la Hongrie étaient prêtes à former une minorité de blocage pour s'y opposer. "Le compte n'y est pas pour signer cet accord", a répété Emmanuel Macron jeudi.
Lacrymogènes et vitres brisées
Jeudi à Bruxelles, en marge d'un sommet européen entre chefs d'Etat et de gouvernement, des milliers d'agriculteurs sont venus faire entendre leur colère.
Pneus en feu, jets de pommes de terre et de projectiles auxquels ont répondu des canons à eau et des tirs de gaz lacrymogènes de la police. La situation a été particulièrement tendue autour des institutions européennes, protégées par un important dispositif policier.
Selon la police bruxelloise, 7300 personnes, avec une cinquantaine de tracteurs, ont pris part à la manifestation autorisée, principalement dans le calme. Mais 950 tracteurs supplémentaires s'étaient massés dans le quartier européen, engorgeant plusieurs rues.
Dès la matinée, la police a usé de canons à eau pour disperser certains manifestants. Des feux de pneus ou de poubelles ont émaillé la manifestation.
"Concurrence déloyale"
Mercosur, taxes sur les engrais, réforme de la Politique agricole commune (PAC): les sujets de mécontentement sont nombreux, ont rappelé plusieurs manifestants interrogés par l'AFP.
Le Mercosur? "C'est de la concurrence déloyale, ils vont importer des produits, traités avec des choses que nous, on n'a pas le droit d'utiliser (...). On nous ramène des poulets de merde", fustigeait la Française Florence Pellissier, 47 ans, agricultrice de grande culture (betterave, maïs, colza) en Seine-et-Marne.
"On est là pour dire non au Mercosur, surtout parce qu'on a l'impression qu'aujourd'hui, Ursula (von der Leyen) veut passer en force, elle veut imposer sa loi", a protesté de son côté Maxime Mabille, producteur laitier belge.
"L'Europe sera toujours derrière vous"
La présidente de la Commission européenne a rencontré dans la matinée une délégation d'agriculteurs. "L'Europe sera toujours derrière vous", a promis Ursula von der Leyen, dans un message diffusé sur X à l'issue de la réunion.
La Copa-Cogeca, principal lobby agricole européen, a revendiqué 10'000 manifestants venus de plusieurs pays, notamment de nombreux Français. "Notre fin = votre faim", résumait un slogan peint sur un cercueil noir.
Réglementations pas respectées
Les pays sud-américains du Mercosur sont accusés par de nombreux agriculteurs européens de ne pas respecter les réglementations environnementales et sociales auxquelles eux-mêmes sont soumis, avec à la clé l'opportunité de vendre des produits moins chers.
Ces inquiétudes s'ajoutent à celles sur la réforme des subventions de la PAC, que la Commission européenne est accusée de vouloir "diluer" dans le budget européen.
Pour les agriculteurs français, la gestion par le gouvernement Lecornu de l'épizootie de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) vient encore amplifier le mécontentement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des démocrates US publient de nouvelles photos liées à Epstein
Des élus démocrates au Congrès américain ont publié jeudi de nouvelles images liées à Jeffrey Epstein. Cela à la veille de la date limite pour la publication par le gouvernement de Donald Trump des documents en sa possession sur le criminel sexuel mort en prison.
Les 68 nouvelles images proviennent des 95'000 que les élus avaient dit la semaine dernière avoir reçues des légataires de Jeffrey Epstein.
Leur publication vise à faire pression sur le gouvernement de Donald Trump, qui doit divulguer au plus tard vendredi les documents en sa possession sur le financier new-yorkais, mort en prison en 2019 avant son procès pour crimes sexuels.
"Il est temps pour le ministère de la Justice de publier le dossier", affirment les élus démocrates, membres d'une puissante commission à la Chambre des représentants, dans un message sur X.
Promesse non tenue
Donald Trump avait promis durant sa campagne victorieuse de 2024 des révélations fracassantes sur le "dossier Epstein", mais le président républicain exhorte ses partisans depuis plusieurs mois à tourner la page, en qualifiant l'affaire de "canular" monté en épingle par l'opposition démocrate.
Après s'y être longtemps opposé, il a dû se résoudre en novembre à promulguer une loi qui contraint son gouvernement à rendre public l'ensemble des documents dans cette affaire.
Innombrables théories du complot
La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York le 10 août 2019, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour étouffer un scandale éclaboussant des personnalités de premier plan.
Certaines des photos publiées jeudi le montrent dans un bureau en compagnie de Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump, mais aussi à bord de ce qui ressemble à un jet privé avec l'intellectuel de gauche Noam Chomsky, ou encore posant avec le réalisateur Woody Allen, emmitouflé dans un épais manteau.
D'autres images montrent des passeports et cartes d'identité de femmes ukrainiennes, russes, ou encore sud-africaines aux noms et photos d'identité barrés de noir.
L'existence de liens entre ces personnes et le financier était déjà connue. Et aucune des photos publiées depuis la semaine dernière n'ont semblé dépeindre de comportement délictueux.
"Brouillés au début des années 2000"
La semaine dernière, les élus démocrates avaient déjà publié de nombreuses images, incluant notamment Donald Trump et l'ancien président Bill Clinton, ou encore l'ex-prince britannique Andrew. Steve Bannon et Woody Allen y figuraient déjà également, de même que Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, et Richard Branson, fondateur du groupe Virgin.
Donald Trump, un temps proche de Jeffrey Epstein dans les années 1990, a toujours démenti avoir eu connaissance de son comportement criminel et assure s'être brouillé avec lui au début des années 2000, bien avant qu'il ne soit inquiété par la justice.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
USA-Venezueala: Brésil et Mexique se proposent en médiateurs
La présidente mexicaine et le président brésilien se sont proposés jeudi en médiateurs de la crise entre Etats-unis et Venezuela. Cela afin d'"éviter un conflit armé en Amérique latine".
En pleine montée des tensions entre Washington et Caracas, Lula a déclaré être "très inquiet", ajoutant être "à la disposition" des deux gouvernements et qu'il parlerait "probablement" avec son homologue américain "avant Noël" afin d'éviter une "guerre fratricide".
Le Brésil, immense pays d'Amérique latine dont il est la première puissance économique, possède une frontière commune avec le Venezuela.
Eviter une "intervention" américaine
La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum s'est aussi proposée en tant que médiatrice. "Nous allons chercher, avec tous les pays qui le souhaitent en Amérique latine ou sur d'autres continents, une solution pacifique" et à éviter une "intervention" américaine au Venezuela, a-t-elle dit au cours de sa conférence de presse matinale.
Les Etats-Unis ont déployé dans les Caraïbes, mais également le Pacifique, une flotte de navires de guerre, dont le plus grand porte-avions du monde, et d'avions de chasse pour mener des opérations antidrogue.
"S'emparer du pétrole vénézuélien"
L'administration américaine accuse Nicolas Maduro d'être à la tête d'un vaste réseau de narcotrafic. L'intéressé dément et assure que Washington veut le renverser pour s'emparer du pétrole vénézuélien, principale ressource du pays.
L'armée américaine a annoncé mercredi avoir tué "quatre narcoterroristes" présumés dans une nouvelle frappe dans l'est du Pacifique, dans le cadre d'une campagne à la légalité incertaine qui a fait une centaine de morts depuis septembre.
"Blocus total"
Et cette semaine le président Trump a ordonné un "blocus total" contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, augmentant la pression sur le président Maduro qu'il accuse d'utiliser le pétrole pour financer "le narcoterrorisme, la traite d'êtres humains, les meurtres et les enlèvements".
Le déploiement américain dans la région "ne fera que s'accroître, et le choc qu'ils subiront sera sans précédent", a récemment averti le locataire de la Maison Blanche, qui maintient le flou sur une possible intervention terrestre au Venezuela.
Des soldats américains ont également été déployés en Equateur, principal pays de départ de la cocaïne produite dans la région, pour une "opération temporaire" contre le narcotrafic opéré conjointement avec les forces équatoriennes. Le président Daniel Noboa est l'un des alliés de Trump en Amérique latine.
"Potentiellement très dangereux"
Après la Chine mercredi qui a dit s'opposer à toute tentative d'"intimidation unilatérale", le ministère russe des Affaires étrangères a appelé jeudi les Etats-Unis à ne pas "commettre une erreur fatale" au Venezuela, "pays ami" de la Russie, et de "s'abstenir de glisser davantage vers une situation qui menace d'avoir des conséquences imprévisibles pour l'ensemble de l'hémisphère occidental".
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a pour sa part indiqué jeudi que Moscou considère la "montée des tensions dans la région" comme "potentiellement très dangereuse".
"Le Venezuela est notre allié, notre partenaire, et nous sommes constamment en contact", a-t-il déclaré lors de son point presse quotidien, appelant "tous les pays de la région à la retenue".
Maduro, fidèle allié de Poutine
Le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu par téléphone début décembre avec son homologue vénézuélien Nicolas Maduro, un fidèle allié, pour lui apporter son "soutien".
L'Iran, autre soutien de Maduro, a estimé que le blocus américain est "un exemple manifeste de piraterie d'Etat et de brigandage armé en mer".
Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira en urgence mardi à la demande de Caracas "pour discuter de l'agression en cours des Etats-Unis". Une demande soutenue par la Chine et la Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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