Suisse
La vague omicron affecte davantage la région lémanique et le Tessin

- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/01/lincidence-domicron-est-plus-elevee-dans-la-region-lemanique-et-au-tessin-les-experts-de-la-confederation-ne-sexpliquent-pas-vraiment-ces-differences-geographiques-1000x600.jpg&description=La vague omicron affecte davantage la région lémanique et le Tessin', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
La vague omicron stagne à un haut niveau, a estimé Virginie Masserey, cheffe de section à l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) mardi devant les médias à Berne. La région lémanique et le Tessin sont les plus touchés par le nouveau variant.
Omicron prédomine à plus de 90%: la vague semble stagner à un haut niveau, a déclaré la responsable de la section Contrôle de l’infection et programme de vaccination, lors du point de presse des experts de la Confédération. Elle ne fait pas de prédiction quant à un "pic". Il est probable que le nombre de cas augmente, mais plus lentement, selon elle.
Le nombre réel d'infections est certainement bien supérieur à celui recensé par les tests et les déclarations, selon la spécialiste. De nombreuses infections sans ou avec peu de symptômes ne sont actuellement pas testées. Les nouveaux cas touchent surtout les jeunes et la population active.
Région lémanique plus affectée
L'incidence varie entre les régions. Les cantons les plus affectés sont ceux de la région lémanique ainsi que le Tessin, avec les incidences les plus élevées sur 14 jours: Genève affiche 6500 cas sur 100'000 habitants. C'est aussi la région lémanique qui voit la plus forte augmentation des hospitalisations.
"On ne s'explique pas vraiment ces différences géographiques et on ne sait pas non plus quelle en sera l'évolution", a dit Mme Masserey. Ces différences entre l'ouest et l'est de la Suisse se reflètent aussi au niveau de l'Europe, relève-t-elle. Avec le variant delta, c'était l'inverse.
Pas de vagues dans les hôpitaux
L'occupation dans les soins intensifs, stabilisée à un haut niveau, reste gérable. Jusqu'ici, il n'y a pas eu de véritable vague de malades dans les hôpitaux, a affirmé au cours du point de presse Rudolf Hauri, président de l'Association des médecins cantonaux de Suisse.
Mais il y a des différences considérables entre les régions. M. Hauri a indiqué qu'il n'y avait pas eu de transferts de patients à grande échelle d'un canton à l'autre.
S'agissant des capacités de dépistage dans les cantons, la charge de travail des autorités sanitaires cantonales reste élevée, et ce malgré la réduction des durées de quarantaines et d'isolement à 5 jours. Pour cette raison, il reste recommandé aux personnes testées positives d'aviser elles-mêmes par SMS leurs contacts les plus proches.
Immunité élevée
Du côté des vaccinations, 60% de la population est complètement vaccinée tandis que 4% des enfants de 5 à 11 ans ont eu une primovaccination. On compte environ 60'000 vaccinations quotidiennes, surtout des troisièmes doses. Plus de 3 millions de personnes ont reçu un rappel, soit 62% des personnes éligibles.
La tranche d'âge 12-15 ans n'a pas encore la possibilité de recevoir la dose de rappel. La Commission fédérale de vaccination prépare pour la fin de cette semaine des recommandations pour ce groupe d'âge, a précisé Virginie Masserey.
Le rappel contribue à réduire la propagation et renforce la durée de protection contre une évolution grave, quel que soit le variant. "Les vaccins spécifiques au variant omicron ne sont pas prêts d'être disponibles", affirme Virginie Masserey.
L'immunité élevée au sein de la population, même si elle ne protège pas d'une infection et d'une maladie bénigne, protège largement contre les hospitalisations, a insisté Mme Masserey. En outre, le variant omicron provoque des évolutions moins graves.
La règle des 2G justifiée
Dans ce contexte, se pose la question de l'utilité des certificats de vaccination et de guérison et de la règle des 2G. "On peut se demander à quoi bon limiter l'accès aux personnes vaccinées ou guéries, puisque ces dernières s'infectent et transmettent également le virus. Nous pensons que les restrictions sont toujours justifiées", déclare Mme Masserey.
Les personnes vaccinées et guéries ont moins de risque de s'infecter que les non-immunes, selon l'experte. Elles sont surtout beaucoup mieux protégées d'une évolution grave, en particulier dans les quatre mois qui suivent la vaccination de rappel ou si l'infection est récente.
Les personnes infectées par le passé avec d'anciens variants sont cependant mal protégées contre omicron, rappelle l'experte de l'OFSP. Il leur est donc recommandé de se faire vacciner, une seule dose étant suffisante.
Quarantaines en hausse
Le nombre de personnes en isolement et en quarantaine a crû par rapport à la semaine dernière, malgré la réduction de la durée de ces mesures. Selon M. Hauri, cela s'explique par le fait que les membres de la famille des personnes infectées doivent continuer à être placés en quarantaine, contrairement aux autres personnes de contact.
Les quarantaines sont aussi en hausse parce que les contaminations restent élevées, a complété Mme Masserey. Au vu de la période d'incubation plus courte d'omicron, la durée de l'isolement et de la quarantaine a été réduite de dix à cinq jours en raison du manque croissant de main-d'½uvre dans de nombreux secteurs professionnels. Sur ce front, une détente ne s'est donc pas encore produite.
Registre long Covid
La question du traitement médical des patients atteints de Covid long a aussi été abordée. Mme Masserey a rappelé que certains hôpitaux universitaires disposaient de consultations spéciales et que les médecins traitants sont par ailleurs spécialement formés pour s'occuper de ces cas de Covid long.
De son côté, M. Hauri a indiqué qu'aucun canton ne prévoyait pour l'instant de créer un centre spécialisé pour les patients de Covid long. Les médecins de famille restent les premiers interlocuteurs de ce type de patients, selon lui.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Une partie du sommet s'est effondrée au-dessus de Blatten (VS)
Une partie du sommet au-dessus de Blatten (VS) s'est effondrée lundi soir, mais il ne s'agit pas de l'événement majeur attendu, a indiqué un porte-parole de l'état-major régional de conduite du Lötschental.
Entre 150'000 et 200'000 mètres cubes de roche se sont détachés, a déclaré le porte-parole lundi soir à l'agence de presse Keystone-ATS, confirmant les informations du "Walliser Bote" et de la RTS.
La rupture s'est produite entre 17h00 et 18h00. Pour l'instant, il s'agit de la dernière rupture de cette ampleur, a ajouté le porte-parole. On s'attend toutefois à ce que d'autres morceaux de roche se détachent.
La population évacuée en raison du risque d'éboulement
Aux dernières nouvelles, on s'attend à ce qu'un à trois millions de mètres cubes de matériaux s'effondrent, a déclaré Alban Brigger, chef du service des dangers naturels, lundi après-midi. C'est une question d'heures et pas forcément de jours. "Notre objectif est que personne ne soit blessé", a-t-il précisé lors d'une conférence de presse.
Le président de la commune de Blatten, Matthias Bellwald, a déclaré devant les médias : "Il y a cinq jours, personne ne pensait qu'une montagne que nous admirons depuis des années allait bouger". L'affaissement du Petit Nesthorn s'est rapidement accéléré depuis la semaine dernière et les fissures sont devenues visibles, a-t-il ajouté.
Tout le village a été évacué. On ne sait pas quand les 300 habitants pourront rentrer chez eux. "Nous espérons que les gens pourront rentrer le plus vite possible dans leur maison", a déclaré Matthias Bellwald.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Une partie du sommet s'est effondrée au-dessus de Blatten (VS)
Une partie du sommet au-dessus de Blatten (VS) s'est effondrée lundi soir, mais il ne s'agit pas de l'événement majeur attendu, a indiqué un porte-parole de l'état-major régional de conduite du Lötschental.
Entre 150'000 et 200'000 mètres cubes de roche se sont détachés, a déclaré le porte-parole lundi soir à l'agence de presse Keystone-ATS, confirmant les informations du "Walliser Bote" et de la RTS.
La rupture s'est produite entre 17h00 et 18h00. Pour l'instant, il s'agit de la dernière rupture de cette ampleur, a ajouté le porte-parole. On s'attend toutefois à ce que d'autres morceaux de roche se détachent.
Lundi après-midi, Alban Brigger, chef du service des dangers naturels, a déclaré que l'on s'attendait à ce qu'un à trois millions de mètres cubes s'effondrent. La population du village a été évacuée lundi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La flotte civile de l'administration fédérale est trop grande
Les quatre avions et les trois hélicoptères civils de l'administration fédérale sont très peu utilisés. Pour le Contrôle fédéral de finances, la taille de la flotte doit être réduite ou les aéronefs loués pour améliorer la rentabilité.
L'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC) est chargé de la surveillance de l'aviation civile suisse et de la politique aéronautique. Afin de maintenir les compétences relatives aux aéronefs non complexes (comme les avions de sport), les pilotes de l'OFAC doivent suivre des formations et des perfectionnements. A cette fin, l'office exploite une flotte de sept appareils.
Les frais d'exploitation de cette flotte s'élevaient à environ 3,5 millions de francs en 2023. Pourtant, les engins ne sont utilisés que 2,6 heures par semaine. Le rapport coût/utilité est défavorable, indique le Contrôle fédéral des finances (CDF) dans un audit publié lundi.
Partager un hélicoptère
Deux engins sont exclusivement réservés à l'usage du Service suisse d'enquête de sécurité (SESE), le Pilatus PC-12 et l'Airbus H-125. Si le CDF reconnaît que les enquêteurs du SESE doivent être rapidement sur place, il estime qu'il existe d'autres possibilités.
Et de mentionner notamment l'armée et les organisations de sauvetage qui disposent de pilotes formés. L'OFAC dispose également d'un hélicoptère du même type. Un seul engin pourrait être utilisé par les deux services.
L'OFAC et le Département fédéral des transports (DETEC), en charge de la flotte, envisagent déjà de réduire la taille de la flotte ou d'y renoncer au profit d'une location, ce que salue le Contrôle des finances. Ce dernier recommande au SESE et à l'OFAC de chercher une collaboration plus étroite au sein de l'administration fédérale pour réaliser d'autres potentiels de synergie et de réduction des coûts.
Pas les avions du Conseil fédéral
Le Contrôle fédéral des finances précise encore que l'audit ne concerne que le service de vol du DETEC, dont les aéronefs sont immatriculés au civil, et non le service de transport aérien de la Confédération. Ce service comprend les jets du Conseil fédéral, qui volent avec une immatriculation militaire et sont gérés par le Département fédéral de la défense.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Projet de transformation numérique: Skyguide à nouveau épinglée
Les problèmes s'enchaînent dans le projet de transformation numérique Virtual Center de Skyguide. Retards, augmentation des coûts, échec des objectifs d'économies: le Contrôle fédéral des finances (CDF) épingle à nouveau l'entreprise de contrôle aérien.
Skyguide, détenue à plus de 99% par la Confédération, mise sur Virtual Center pour mener la transformation numérique du contrôle aérien. Ces dernières années, le projet a déjà fait l'objet de plusieurs audits.
La situation est toujours problématique, indique lundi le CDF dans un rapport. Il recommande d'examiner si le projet permet toujours d'atteindre les objectifs stratégiques de Skyguide.
Le CDF souligne plusieurs problèmes. La fin des travaux a été reportée de 2024 à 2031. Une des causes du retard est la pénurie durable de personnel informatique.
Coûts à la hausse
Les reports entraînent des hausses de coûts. Les travaux, initialement devisés à 262 millions de francs, devraient coûter 286 millions. En parallèle, les économies attendues ne sont pas réalisées.
Le CDF se montre encore préoccupé par le financement des activités de Skyguide. La société fait face à des problèmes depuis plusieurs années.
Dans sa prise de position publiée dans l'audit, Skyguide s'est dite consciente des défis soulevés. Elle examinera des adaptations nécessaires lors de révisions internes. Mais Virtual Center reste central dans sa stratégie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
SuisseIl y a 3 jours
Un motard héliporté au CHUV après un grave accident
-
CultureIl y a 2 jours
"Oui, Céline Dion est à Bâle", confirme Jean-Marc Richard
-
CultureIl y a 2 jours
Nemo chante "The Code" à l'ouverture de la finale de l'Eurovision
-
VaudIl y a 1 jour
Un motard perd la vie dans un accident à l'Etivaz (VD)
-
CultureIl y a 2 jours
L'Autriche remporte l'Eurovision devant Israël
-
InternationalIl y a 3 jours
Ukraine: neuf morts dans une attaque de drone sur un minibus
-
SuisseIl y a 2 jours
La police arrête trois auteurs de vols dans les cimetières
-
InternationalIl y a 2 jours
Philippe en meeting à Marseille pendant que LR élit son chef