Culture
La Lex Neflix veut donner plus de moyens au cinéma suisse
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Les plateformes de streaming pourraient bientôt passer à la caisse en Suisse. C'est l'objectif de la loi sur le cinéma ou "Lex Netflix" sur laquelle les Suisses s'exprimeront le 15 mai prochain.
Socialistes, centristes ou libéraux-radicaux, une large majorité parlementaire et un comité interpartis se lancent dans la bataille de la loi sur le cinéma. Une révision légale qui souhaite que les entreprises étrangères, actifs en Suisse grâce à la numérisation, investissent une part de 4% de ces profits dans l'économie de la région. Sont évidemment visées les plateformes telles que Netflix, Disney+ ou Amazon Prime. Selon le conseiller aux Etats vaudois Olivier Français, une masse très importante des profits réalisés en Suisse par les plateformes ou chaînes de télévision étrangères quittent le pays. Selon les chiffres de l'Office fédéral de la culture, le montant estimé est de l'ordre de 600 millions de francs par année.
Ce mécanisme des 4% est déjà actif en Suisse et concerne les chaînes de télévision helvétiques. Il s'agirait alors de rattraper une sorte d'égalité entre les acteurs. Elisabeth Baume-Schneider, conseillère aux Etat jurassienne.
Hausse des prix ?
Les référendaires montent au front et argumentent que ces 4% peuvent être perçus comme un taxe et que les abonnements vont augmenter avec ces changements. Le comité balaye cela, en rappelant que ce projet implique une obligation d'investir et qu'il ne s'agit pas d'une taxe. Concernant la hausse du prix des services, la concurrence et la compétitivité font dire au comité qu'elle ne devrait pas être répercutée.
Par ces changements de loi, l'audiovisuel suisse devrait recevoir environ 18 millions de francs par an. Pour le réalisateur romand Denis Rabaglia, il s'agit aussi de donner d'autres opportunités au domaine en Suisse :
Pour la conseillère aux Etats Elisabeth Baume-Schneider (PS/NE), cette loi est une chance pour les jeunes Suisses: "en renforçant notre soutien à la production, nous créons de nouvelles opportunités et favorisons la carrière des talents en Suisse". Et de rappeler que la Suisse bénéficie "d'un terreau en compétences dans les métiers liés au cinéma."
Autre point : les plateformes seront également tenues de programmer 30% de films européens, ce qu'exige aussi la majeur partie de nos voisins. Un enjeu lié également à l'exportation des films suisses. Un chiffre souligné par le comité : un film sur deux en Suisse romande est coproduit avec l'Union Européenne.
La votation du peuple suisse se déroulera le 15 mai prochain.
Culture
Tour de Suisse en musique: Béatrice Graf à la batterie et au vélo
La batteure de jazz genevoise Béatrice Graf se lance dans son 3e Cycloton de St-Gall à Villars-sur-Glâne (FR) en passant par Château-d'Oex (VD), du 8 au 25 juillet. A la force du mollet, elle franchira la barrière de röstis à vélo.
"L'énergie de ce système de sonorisation des concerts est produite par deux personnes du public qui pédalent", a dit Béatrice Graf à Keystone-ATS à Genève. Elle a découvert le Cyclotone - ce sound system, qui fonctionne à l'énergie humaine - au FestiWald dans la forêt de Moncor, à côté de Villars-sur-Glâne (FR) en 2018.
A l'énergie humaine
Pendant ce Cycloton, la version mobile, elle jouera avec Domi Chansorn, 37 ans, en duo sous le nom d'Aufzug ! (Ascenseur). Ce "Wunderkind" s'est notamment produit avec Sophie Hunger.
Une quinzaine d'artistes de chaque région complètent la programmation. Parmi eux, le duo biennois, formé de Laura Moser & Anatole Bucella, le contrebassiste Raffaele Bossard ou un autre duo, de Baden cette fois, avec Daniela Weinmann et Donat Kaufmann.
https://cycloton.ch/
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
La BD Utop'IA se penche sur l'impact de l'intelligence artificielle
Quel est l’impact de l’IA sur la biodiversité ? C’est la question que se pose une nouvelle bande dessinée du nom d’Utop’IA. Un projet publié par le Centre des sciences de l’apprentissage de l’EPFL. Le dessinateur romand Herji a collaboré avec les experts du Centre Learn de l’EPFL. L'objectif : créer une ressource pédagogique pour sensibiliser aux risques de l'intelligence artificielle.
Utop'IA raconte l'histoire de deux étudiants qui ont une vision radicalement opposée de l’intelligence artificielle. Une professeur du nom d'Eliza présente à ces deux étudiants l’envers du décor de l’IA, en particulier sur son impact environnemental. Un impact très souvent négatif comme nous l’explique Herji.
La réalisation de la bande dessinée est le fruit d’une collaboration entre Herji et le Centre des sciences de l’apprentissage de l’EPFL. Le scénario a été validé par un comité scientifique. Six experts de différentes disciplines ont participé à ce projet pour proposer un contenu basé sur des faits établis. Mais pourquoi s'intéresser à l'impact de l'IA sur la biodiversité ? Ecoutez Herji.
Plusieurs milliers de téléchargement
D’autres ressources supplémentaires à destination des enseignants sont disponibles sur le site de l’EPFL. Pour l'heure, les retours sont positifs.
La bande dessinée Utop’IA peut être téléchargée gratuitement sur le site de la maison d'édition EPFL Press. Elle est également disponible en librairie.
Culture
Lausanne: carton plein pour le Festival de la Cité
L'édition 2025 du Festival de la Cité à Lausanne a attiré 110'000 personnes. Une affluence qui n'avait plus été enregistrée depuis 2013 avec 113'000 spectateurs. La manifestation se conclut dimanche soir.
"Malgré les températures intenses, cette édition a été un véritable succès tant en termes de fréquentation que dans la force des ½uvres présentées durant six jours", résume Martine Charlverat, directrice du Festival de la Cité dans un communiqué de presse diffusé dimanche.
"Nous avons mis en place notre plan canicule pensé pour assurer le bon déroulé et la sécurité de la manifestation, notamment en multipliant les points d’eau gratuits accessibles sur le site, en déplaçant des spectacles et en communiquant de manière active sur les bonnes pratiques à adopter face à de telles chaleurs", a encore précisé Martine Chalverat. "Un travail en amont de la manifestation a par ailleurs été réalisé pour penser des lieux de représentation adaptés au régime climatique qui tendra incontestablement à s’intensifier dans les années à venir."
Près de 200 représentations
Du 1er au 6 juillet, la manifestation a proposé 140 projets artistiques sur 20 lieux pour un total de 196 représentations gratuites mêlant danse, théâtre, musique et cirque. Pendant six jours, la manifestation aura attiré 110'000 spectateurs, contre un peu plus de 100'000 personnes en 2023 et 2024.
Installée sur la place du Château, la structure monumentale "Crescendo" du céramiste suisse Julian Vogel aura été l'épicentre du Festival, accueillant spectacles d’arts vivants et concerts, selon les organisateurs.
Cette 53e édition a mis à l’honneur la scène musicale féminine suisse, avec un coup de projecteur particulier sur les personnes intersexes, trans, agenre et non-binaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Zoë Më ne participerait pas une nouvelle fois à l'ESC
Zoë Më ne participerait pas une deuxième fois au Concours Eurovision de la Chanson (ESC), du moins pas en tant qu'artiste, indique-t-elle dans une interview avec la "Sonntagszeitung".
Participer à l'Eurovision cette année à Bâle a été une belle expérience, confie la jeune femme de 24 ans, qui ne veut toutefois pas monter une deuxième fois sur la scène de l'ESC. Car pendant que d'autres faisaient encore la fête, elle s'est couchée tôt et a ménagé sa voix. "C'était du travail", résume-t-elle.
La jeune femme peut toutefois s'imaginer une autre participation, mais dans un autre rôle qu'artiste, par exemple en tant que compositrice pour quelqu'un d'autre. Zoë Më se considère clairement comme une compositrice. Il était donc important pour elle de représenter la Suisse avec "Voyage", une chanson sur laquelle elle a également travaillé.
Une fois l'Eurovision terminée, la musicienne s'est directement plongée dans le travail. Elle voulait ainsi éviter de tomber dans un trou, comme c'est arrivé à d'autres participants, selon elle. Elle a aujourd'hui l'impression que sa prestation était comme un rêve. C'est "comme si je ne l'avais pas vraiment fait".
Même si elle ne peut pas encore vivre de la musique, Zoë Më n'a pas l'intention d'exploiter sa nouvelle notoriété. Sa chanson "Million de Mois", qui vient d'être publiée, est trop personnelle pour cela, relève-t-elle. Commercialement, elle n'attend pas grand-chose de cette sortie. "Je souhaite qu'elle trouve un beau foyer auprès du public".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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