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Carlos Alcaraz confirme en s'imposant à Miami

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Carlos Alcaraz, un futur grand champion (© KEYSTONE/AP/Marta Lavandier)

Carlos Alcaraz (ATP 16) est devenu à 18 ans le plus jeune vainqueur du tournoi Masters 1000 de Miami. L'Espagnol a battu en finale le Norvégien Casper Ruud (ATP 8) en deux sets, 7-5 6-4.

Une tornade a tout emporté sur son passage à Miami: Carlos Alcaraz s'affirme bien comme le phénomène appelé à bientôt régner sur le tennis mondial. Dans la moiteur tropicale floridienne, un vent de fraicheur a soufflé fort et on se dit que l'Espagne du tennis a vraiment de la chance.

Alors que Rafael Nadal, vainqueur du dernier Open d'Australie et seul recordman du nombre de titres du Grand Chelem (21), n'en finit pas de renaître à 35 ans, son successeur désigné est déjà prêt à prendre la relève. Ruud, qui disputait lui aussi sa première finale d'une épreuve de cette catégorie juste en-dessous des quatre Majeurs, en a fait les frais, battu en deux manches.

Irrésistible ascension

Alcaraz a remporté le troisième tournoi de sa carrière, le plus prestigieux, après ceux glanés sur terre battue à Rio de Janeiro en février et à Umag, en Croatie, l'an dernier. Le natif d'El Palmar, bourg localisé près de Murcie dans le sud-est de l'Espagne, acte ainsi son irrésistible ascension, démarrée de façon tonitruante en septembre dernier lorsqu'il avait éliminé, au bout d'un combat épique de plus de quatre heures, le Grec Stefanos Tsitsipas au 3e tour de l'US Open.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Israël: manif pour les otages de Gaza au 600e jour de la guerre

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Des manifestants ont demandé à Tel Aviv la libération des otages, au 600e jour de la guerre. (© KEYSTONE/AP/Leo Correa)

Des milliers de personnes se sont rassemblées mercredi soir à Tel-Aviv en soutien aux otages de Gaza, point d'orgue d'une mobilisation au 600e jour de la guerre. Les manifestants ont réclamé un cessez-le-feu avec le Hamas qui permettrait la libération des otages.

"Le peuple avec les otages", pouvait-on lire sur les pancartes brandies par la foule compacte sur la "place des Otages" haut lieu de la mobilisation en faveur des captifs enlevés par le mouvement islamiste palestinien lors de son attaque sur Israël ayant déclenché la guerre, le 7 octobre 2023.

"Cela fait plus de 100 jours que j'ai été forcé de laisser mon frère derrière moi. Tant qu'Eitan et les autres otages ne sont pas de retour, je suis encore en captivité", a dit au micro Iair Horn, libéré en février lors d'une deuxième trêve à Gaza, sans son frère.

"Terminez cette guerre et ramenez les 58 otages", a-t-il ajouté à l'adresse du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, dont le gouvernement a mis fin à cette trêve mi-mars et intensifié depuis l'offensive dans le territoire palestinien.

A l'appel du Forum des familles, principale organisation plaidant pour un cessez-le-feu et la libération des otages, des centaines de personnes s'étaient auparavant réunies à des carrefours en Israël à 06h29 (05h29 en Suisse, heure du début de l'attaque du Hamas.

Des pancartes portant le chiffre 600 ont été placées le long des routes et des manifestations se sont succédé toute la journée.

"Pendant les premiers jours de captivité, j'étais convaincue que [l'armée] et l'Etat d'Israël feraient tout pour nous ramener (...) au plus sous quelques jours", a déclaré, lors d'un rassemblement au kibboutz Nir Oz, Karina Engel-Bart.

Elle a été libérée avec ses deux filles lors de la première trêve, fin novembre 2023, mais la dépouille de son mari, tué le 7-Octobre, reste retenue à Gaza.

"Mais je me suis trompée [...] ils sont encore 58 à Gaza et doivent être libérés maintenant", a-t-elle ajouté.

Nir Oz, est le kibboutz en lisière de Gaza avec le plus d'habitants enlevés, dont 14 toujours retenus à Gaza, parmi lesquels seuls trois sont présumés vivants.

Sur la pelouse du kibboutz, des ex-otages, proches d'otages et habitants côtoient des soutiens venus de tout le pays. Pas de pancartes mais des rubans jaunes (symbole de la mobilisation pour les captifs) sur les t-shirts et l'estrade où se succèdent les orateurs.

Sur 251 personnes enlevées le 7-Octobre, 57 restent retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par les autorités israéliennes. Le Hamas retient aussi toujours la dépouille d'un soldat israélien tué en 2014 lors d'une précédente guerre à Gaza.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Andrew Tate et son frère inculpés de viol et trafic d'êtres humains

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Tristan et Andrew Tate (archive). (© KEYSTONE/AP/Vadim Ghirda)

L'influenceur masculiniste britannico-américain Andrew Tate et son frère Tristan ont été inculpés en janvier 2024 pour viol, trafic d'être humains et coups et blessures au Royaume-Uni. Le bureau du procureur (CPS) a fait cette annonce mercredi.

Dix chefs d'inculpation ont été retenus à l'encontre d'Andrew Tate, 38 ans, y compris celui de "proxénétisme", pour des faits concernant trois victimes présumées. Tristan Tate, 36 ans, fait face à onze chefs d'inculpation pour des faits concernant une victime présumée.

Les deux hommes sont sous le coup d'un mandat international émis par le Royaume-Uni, rappelle le CPS, qui précise que les faits reprochés s'étendent entre 2012 et 2015.

Il n'a pas donné davantage d'informations. Il n'a pas non plus précisé pourquoi il communiquait plus d'un an après avoir procédé à ces inculpations.

Andrew et Tristan Tate sont également poursuivis en Roumanie pour traite d'êtres humains et viol. Ils sont accusés d'avoir dupé plusieurs femmes à des fins d'exploitation sexuelle, y compris des mineures.

Fin février, ils ont quitté le pays pour les Etats-Unis après que leur interdiction de quitter le territoire roumain a été levée.

Par ailleurs, les autorités pénales de Floride ont engagé une enquête pénale à leur encontre, disant avoir "une tolérance zéro pour l'exploitation d'êtres humains et la violence contre les femmes".

Au Royaume-Uni encore, quatre femmes accusent Andrew Tate de viols et violences au civil. Né aux Etats-Unis d'un père américain et d'une mère britannique, Andrew Tate, qui est un ancien combattant professionnel de kickboxing, a été banni d'Instagram et TikTok pour des propos misogynes.

Il est suivi par plus de 10 millions de personnes sur le réseau social X, où il s'exhibe muscles saillants, fumant des cigares et fascinant les adolescents avec ses voitures de luxe. Il y promeut des thèses masculinistes et monnaie ses conseils aux hommes pour les aider à devenir riches.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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C'est déjà fini pour les Suisses

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Jil Teichmann: rien à espérer contre la puissance d'Aryna Sabalenka. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Il n’y a pas eu de miracle pour Jil Teichmann (WTA 97) à Paris. Malgré un début de rencontre remarquable, la gauchère s’est logiquement inclinée 6-3 6-1 devant la no 1 mondiale Aryna Sabalenka.

Jil Teichmann a mené 3-1 0-30 avant de subir la loi de la Bélarusse qui s’avance comme la grandissime favorite du tournoi même si elle n’a encore jamais joué une finale à Roland-Garros. Au fil des minutes, Aryna Sabalenka a imposé sa formidable puissance pour ne laisser que des miettes à son adversaire, le jeu de l’honneur du second set à 4-0 pour être précis.

Huitième de finaliste du tournoi en 2022, Jil Teichmann n’a pas signé l’impossible exploit pour porter encore les couleurs suisses à Roland-Garros. Après les défaites de Stan Wawrinka lundi, de Viktorija Golubic et Jil Teichmann mercredi, la quinzaine se poursuivra sans aucun ressortissant de Swiss Tennis encore en lice dans les simples. Classé bien trop loin pour être protégés par un statut de tête de série, ce trio abordait, il est vrai le tournoi avec des ambitions fort limitées.

Le tennis suisse est vraiment au creux de la vague avec un Stan Wawrinka en bout de course, une Belinda Bencic trop souvent trahie par son corps et une relève qui tarde à justifier toutes les promesses entretenues ces dernières années. On doute que le rebond puisse se produire dans un mois à Wimbledon.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Face aux mesures de Trump, l'angoisse des étudiants étrangers

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Etudiants et professeurs manifestent contre les mesures de l'administration Trump, devant Harvard. (© KEYSTONE/AP/Leah Willingham)

Se sentant "déshumanisés" par l'administration Trump, des étudiants étrangers abandonnent leur rêve d'étudier dans les grandes universités américaines. D'autres, déjà sur place, s'interrogent sur leur avenir aux Etats-Unis.

Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump s'est lancé dans une vaste campagne contre des universités qu'il accuse de propager une idéologie "woke", de servir de courroie de transmission au parti communiste chinois, voire d'être des bastions de l'antisémitisme sur fond de bombardements israéliens dans la bande de Gaza palestinienne.

Réseaux sociaux des universitaires étrangers surveillés

Son administration a coupé des subventions de recherche à différents établissements, arrêté et menacé d'expulsion des manifestants propalestiniens, demandé l'interdiction à la prestigieuse Harvard de recevoir des étudiants étrangers, et ordonné, mardi, la suspension du traitement de leurs visas pour passer au crible leurs réseaux sociaux.

Autant de mesures qui angoissent de jeunes universitaires comme le Pakistanais Abdullah Shahid Sial, 20 ans, étudiant en économie et mathématiques appliquées à Havard, qui se sent "déshumanisé" par l'administration américaine.

"C'est vraiment malheureux. Vous avez des jeunes de 18, 19, 20 ans qui viennent ici sans famille et qui, pour la plupart, n'avaient jamais mis les pieds aux Etats-Unis. Et là, ils se retrouvent confrontés à des situations que même des avocats redouteraient", dit-il.

"Rares sont les universités qui offrent autant d'opportunités que Harvard. Malgré ses quelques défauts, c'est un endroit formidable. Mais je conseille vivement (aux candidats) de postuler à davantage d'universités et de s'assurer d'avoir un plan B", ajoute-t-il.

Originaire de Lahore, dans le Pendjab pakistanais, Abdullah Shahid Sial dit avoir un ami diplômé de Harvard qui voulait poursuivre ses études dans cette université, considérée comme l'une des plus prestigieuses au monde. Mais, ajoute-t-il, après avoir soumis son dossier à l'école de droit de Harvard et Columbia à New York et deux autres institutions britanniques "pas aussi réputées", son ami a fini par opter pour le Royaume-Uni.

"Il préférait de loin Harvard, mais (...) il n'en pouvait plus de cette incertitude qui planait sur ses études".

"En plein brouillard"

Bien que bloquée temporairement par un juge, la décision de l'administration Trump d'empêcher Harvard de recevoir des étudiants étrangers inquiète des milliers de jeunes universitaires qui pourraient ne pas pouvoir retourner en classe après les vacances d'été.

"Je me doutais bien que je ferais partie du groupe cible de Trump. Mais là, je suis en plein dedans. Une de mes options serait de partir pour l'étranger (...) J'ai postulé à Oxford (Royaume-Uni) à cause de toutes les mesures prises par Trump", explique Karl Molden, étudiant de Harvard originaire d'Autriche. "C'est vraiment très difficile", dit le jeune homme de 21 ans, qui étudie la politique et les lettres classiques.

Des professeurs de Harvard disent de leur côté ressentir aussi l'impact des mesures de l'administration Trump par le biais de témoignages de collègues à l'étranger qui avaient tendance à promouvoir les universités américaines auprès de leurs meilleurs étudiants.

"J'ai entendu des professeurs dans d'autres pays qui disaient 'nous encourageons nos meilleurs étudiants à aller aux Etats-Unis' et se demandent aujourd'hui s'ils peuvent encore dire une chose pareille", a déclaré à l'AFP le professeur Ryan Enos lors d'une manifestation mardi destinée à dénoncer les mesures de l'administration Trump.

Une étudiante espagnole qui refuse d'être identifiée par crainte de mesures de représailles, à l'heure où le gouvernement américain promet de surveiller les comptes des réseaux sociaux des universitaires étrangers, souhaite néanmoins venir étudier à Columbia, à New York.

"Ca fait peur, car on se dit que toute notre activité sur les réseaux sociaux peut être scrutée, par exemple le fait qu'on like des publications pro-Palestine, ou des publications anti-Trump. Tout ça peut potentiellement nous priver de visa", dit-elle à l'AFP.

"Je suis en plein brouillard", lance de son côté Alfred Williamson, un étudiant de Harvard d'origine gallo-danoise. "Comme beaucoup d'autres étudiants internationaux, je m'accroche simplement à l'espoir que Harvard remporte sa bataille (judiciaire) contre la Maison Blanche", dit l'étudiant de 20 ans en physique.

Pour le Pakistanais Abdullah Shahid Sial, les étudiants étrangers à Harvard sont contraints d'espérer une victoire dans "cette bataille à laquelle personne ne souhaitait s'engager": "c'est vraiment regrettable d'en arriver là".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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