Suisse
Assurance maladie: les primes devraient reprendre l'ascenseur, confirme Berne
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Après une brève accalmie en 2021, les assurés devraient repasser à la caisse cette année. Sans s'avancer sur les chiffres, la Confédération confirme sans surprise que les coûts élevés de la santé vont se refléter sur les primes de l'assurance maladie.
Il n'est pas encore clair dans quelle proportion les primes vont augmenter. Plusieurs facteurs, qui auront une influence, ne sont pas encore chiffrables. C'est ce qu'a livré mardi lors d'une discussion avec les médias Thomas Christen, directeur adjoint de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).
Santésuisse, la faîtière des assureurs, a déjà alerté en janvier sur une hausse des primes à venir. L'augmentation de 5,1% par assuré des coûts de la santé observée en 2021 est la plus forte depuis 2013. Et elle ne tient pas compte des coûts de la vaccination contre le Covid-19, qui ont atteint 265 millions de francs.
Effet de rattrapage
L'année 2020 avait été marquée par la pandémie. Les opérations non urgentes ont été proscrites durant des mois et les patients sont devenus plus prudents avec les interventions. Avec pour conséquence une baisse moyenne des primes de 0,2% au niveau national.
Mais l'an dernier, il semble y avoir eu un effet "rattrapage" pour de nombreuses interventions qui avaient été repoussées, selon Thomas Christen. Et de s'attendre pour 2022 aussi à une hausse disproportionnée des coûts de la santé par rapport aux salaires.
Des mesures discutées au Parlement
Au niveau politique, des actions ont déjà été entreprises pour freiner la hausse des coûts de la santé. Le Parlement a adopté un premier paquet de mesures l'été dernier. Un deuxième volet est en cours de discussion. Et un troisième devrait arriver sur la table au deuxième semestre 2022.
Les instruments proposés par le Conseil fédéral ne font pas l'unanimité sous la Coupole. Par exemple, le système de prix de référence pour les médicaments dont le brevet a expiré ne devrait pas voir le jour. Et l'esquisse de contre-projet indirect à l'initiative populaire "Pour des primes plus basses" lancée par Le Centre suscite le scepticisme.
En revanche, le contre-projet indirect gouvernemental à l'initiative du PS "Maximum 10% du revenu pour les primes d'assurance-maladie" reçoit le soutien de la commission compétente du National. Les cantons devraient davantage participer aux réductions des primes d'assurance-maladie.
Le gouvernement veut notamment fixer des objectifs de coûts. "Ils ne mettraient pas en danger l'approvisionnement", a jugé M. Christen. Et de souligner que le Conseil fédéral ne prévoit pas que des traitements ne puissent plus être effectués une fois ces objectifs dépassés.
Responsabilité individuelle
Le directeur adjoint de l'OFSP a toutefois insisté sur la responsabilité individuelle. "Les patients ne devraient recevoir que les traitements nécessaires." Certes, ce n'est pas aux autorités de définir quelles prestations sont appropriées et lesquelles ne le sont pas, mais les fournisseurs ont le devoir d'établir des listes.
La Confédération souhaite mettre en place d'autres mesures pour freiner la hausse des coûts de la santé. Les prix dans les laboratoires devraient être analysés et réduits dans le courant de l'année, a illustré M. Christen.
Les autorités examinent déjà depuis longtemps les quelque 3000 médicaments figurant sur la liste des spécialités - environ 1000 par an. Il est difficile d'augmenter le rythme des vérifications, selon le directeur adjoint de l'OFSP, car ce travail demande beaucoup de ressources.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Temenos annonce un programme de rachat d'actions de 100 millions
L'éditeur genevois de logiciels bancaires Temenos annonce mercredi un nouveau programme de rachat d'actions d'un montant maximal de 100 millions de francs. Celui-ci débutera le 11 décembre prochain et se poursuivra jusqu'au 30 décembre 2026 au plus tard.
Les actions seront rachetées par le biais de la ligne de négociation ordinaire et seront utilisées à des fins commerciales générales, notamment pour des plans d'intéressement des salariés et/ou le financement d'acquisitions potentielles, indique Temenos dans un communiqué.
Il explique que ce rachat d'actions est soutenu "par la forte génération de flux de trésorerie disponibles". La société prévoit que son ratio d'endettement se situera dans la fourchette cible de 1,0 à 1,5 fois la dette nette par rapport à l'Ebitda ajusté d'ici la fin de l'année 2026.
Le volume maximal quotidien de rachats est de 34'525 actions, est-il précisé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
La cagnotte de 133,8 millions est tombée à l’Euro Millions
Une personne vivant en Belgique a trouvé la combinaison gagnante du tirage de l’Euro Millions de mardi. Elle remporte au total 133,8 millions de francs. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 8, 13, 29 et 49 et les étoiles 2 et 11.
Lors du prochain tirage vendredi, 16 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Sport
Projet NBA Europe: "Encore beaucoup de travail", estime la FIBA
La FIBA a affirmé "qu'octobre 2027" était "un objectif réaliste" pour le lancement du projet NBA Europe. Elle a aussi rappelé qu'il y avait "encore beaucoup de travail" avant d'en voir les contours.
Dans une conférence de presse organisée en visioconférence, le secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis a aussi rappelé que le rôle de l'instance était "de permettre à chacun de trouver sa place dans cet écosystème".
L'arrivée de la NBA en Europe, via une possible compétition sous l'égide également de la FIBA à l'horizon 2027, intrigue autant qu'elle divise alors que la puissante ligue nord-américaine avait confirmé son intérêt en mars dernier.
En novembre, Paulius Motiejunas, le patron de l'Euroligue - compétition européenne rassemblant cette saison 20 équipes - a notamment qualifié dans la presse italienne le projet de "mauvaise nouvelle".
De son côté, Andreas Zagklis a à nouveau défendu le projet, estimant que "ce qui est en train d'être créé est beaucoup plus compatible avec le modèle sportif européen et les critères de la FIBA que ce que nous avons connu ces dernières années".
Validant "l'objectif réaliste" d'"octobre 2027" pour son lancement, il a ajouté l'importance d'un "événement qui nous permette de tout regrouper sous un même toit".
"Sous un même toit signifie sous le toit de la FIBA, mais cela ne veut pas dire que la FIBA contrôle tout", a-t-il précisé. La Fédération internationale n'oublie pas non plus "son rôle qui est de réunir tout le monde", alors que Zagklis a mentionné "de bons échanges avec l'ECA", la société organisatrice de l'Euroligue.
Il a aussi évoqué "plusieurs autres réunions" en 2026, notamment avec l'ECA. "Nous avons beaucoup de travail à effectuer pour dessiner cette nouvelle compétition", dans laquelle certaines équipes pourraient se qualifier via la Ligue des champions (BCL) mais aussi via un possible "tournoi de qualification" de fin de saison.
Egalement interrogé sur les aspects commerciaux, notamment les sponsors ou les droits TV, le secrétaire général de la FIBA a repoussé ce sujet "entre le début et le milieu de l'année 2026" estimant que la Fédération se concentrait "sur l'élaboration du projet et comment il pourrait avoir du sens pour l'écosystème tout entier".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Suisse
Migros étend son réseau de distributeurs de snacks
Migros poursuit le développement de son réseau de distributeurs automatiques de snacks en Suisse alémanique. Ces automates permettent aux clients de se procurer des en-cas et des boissons 24 heures sur 24, aux mêmes prix qu'en supermarché.
Les distributeurs de couleur orange sont désormais disponibles à Wald, dans le canton de Zurich, et Wattwil, dans le canton de Saint-Gall, et depuis début décembre dans trois emplacements en ville de Zurich. D'autres installations sont prévues en Suisse orientale et dans la région zurichoise, a détaillé mardi à AWP un porte-parole de Migros, confirmant une information des journaux CH Media.
Pour l'instant, il n'existe aucun projet en Suisse romande. "Mais cela pourrait venir dans les prochains mois", estime un porte-parole de Migros Suisse orientale qui assure la communication concernant ces distributeurs.
Migros a installé son premier distributeur à Coire, dans les Grisons, en 2022, suivi un an plus tard par deux autres à Abtwil, dans le canton de Saint-Gall. Pour l'instant, les distributeurs sont situés exclusivement à proximité immédiate des magasins Migros existants.
Selon Migros, les produits sont proposés aux mêmes prix de vente qu'en supermarché. D'après les médias, cela pourrait permettre au distributeur de concurrencer plus efficacement le chef de file du marché, Selecta, qui est actuellement en pleine restructuration.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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