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International

Federer a pu savourer son dernier match

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L'émotion était immense après le dernier match de Federer (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Très ému après le dernier match de sa carrière, Roger Federer a pourtant assuré ne pas avoir vu sa "carrière défiler" après la balle de match, et avoir "profité" de l'évènement.

- Dans plusieurs années, quand vous repenserez à cette nuit, quel est le principal souvenir que vous garderez ?

"Je dirais tout ce qui s'est passé après la balle de match. Le match en lui-même, oui, bien sûr, était spécial (...) Mais regarder autour de moi et voir comme tout le monde était ému, je ne sais si c'était mieux comme ça ou pire, mais c'est des visages et de l'émotion dont je me rappellerai. Et celui de Rafael (Nadal, en larmes après le match et assis à côté de lui) en fait partie, désolé (rire)".

- Vous avez disputé tellement de matches importants, comment avez-vous géré celui-là, sachant que c'était le dernier ?

"Cela a été par phase. Parfois j'étais horriblement nerveux comme avant une grande finale et parfois j'oubliais totalement parce que j'étais avec les gars et on plaisantait, les bêtises habituelles ressortaient ou on avait de bonnes discussions, et j'en oubliais que je jouais dans 15 minutes. Cela a toujours été un peu comme ça. Les deux derniers jours ont été compliqués, pour dire le moins, mais j'ai pu en profiter (...) J'avais beaucoup pensé à ma retraite ce dernier mois, j'ai l'impression d'avoir bien géré la situation. Je sais que certains, dans mon équipe ou dans mon cercle proche, ne sont pas passés par les mêmes émotions avant ce soir et la soirée a été plus difficile pour eux. Mais je pense que j'ai plutôt bien géré. Oui, j'ai pleuré aussi ce soir, je n'ai pas eu un feu d'artifice dans ma tête où je voyais ma carrière défiler ou ce qui va me manquer. Ca, c'était il y a des semaines, quand je passais des coups de fil pour l'annoncer à certains. Ca m'a fait mal mais ce soir, c'était que de la joie".

- Qu'est-ce que vous appréhendiez le plus, ce soir ?

"La partie qui me faisait le plus peur, c'était de parler au micro. Je voulais une soirée sans avoir à parler au micro. Peut-être vous trouvez ça logique que je parle au micro mais pas moi parce que je sais à quel point je deviens impossible quand je suis trop ému. Mais j'ai réussi à garder en tête, sur le court, à quel point la journée avait été merveilleuse, que ce n'était pas la fin, que la vie continue, je suis en bonne santé, heureux, tout va bien, c'est juste un moment dans ma vie. C'est comme ça que j'ai réussi à dire tout ce que je voulais dire (...) qu'il y a quelques semaines, j'étais littéralement terrifié par cette perspective".

- Mettre un terme à votre carrière à la Laver Cup, c'était important pour vous ?

"J'ai songé à le faire il y a un mois mais j'ai juste pensé que si je devais le faire c'était ici. Mais en réfléchissant au scénario, je voulais aussi préserver la Laver Cup et ne pas tirer la couverture à moi. J'en suis arrivé à me dire que si je ne jouais pas du tout, ce n'était pas grave, parce que c'est tellement amusant d'être avec les gars et ça aurait été un week-end sympa. Honnêtement, j'ai été surpris de pouvoir si bien jouer ce soir, et j'en ai juste profité. Cela a été génial du début à la fin".

- Vous finissez aussi aux côtés de Rafael Nadal, votre plus grand rival qui est aussi un grand ami...

"Je ne sais pas comment on en est arrivé là au fil des années. On a surtout eu une connexion depuis les 10 dernières années, je dirais. Peut-être aussi depuis que j'ai des enfants, je ne sais pas si ça m'a aidé ou changé, ou si notre rivalité a évolué, mais je suis content de ce que c'est devenu aujourd'hui, de pouvoir l'appeler et parler de tout. J'espère qu'il ressent la même chose même si on ne le fait pas si souvent. Il a encore beaucoup à vivre avec les enfants qu'il aura nombreux, j'espère. Je lui donnerai des conseils parce que ce n'est pas facile, tellement de souvenirs, mais on a des millions de sujets à aborder et lors de toutes les soirées qu'on a passées ensemble, j'ai toujours eu le sentiment qu'elles ne durent pas assez longtemps".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Les résultats de Microsoft bien au-delà des prévisions

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Le CEO de Microsoft Satya Nadella. (© KEYSTONE/AP/CHARLES REX ARBOGAST)

Microsoft a publié mercredi des résultats très supérieurs aux attentes pour le quatrième trimestre de son exercice comptable décalé. Un exercice marqué par une nouvelle accélération de l'informatique à distance (cloud) et de l'intelligence artificielle (IA).

Le bénéfice net ressort à 27,2 milliards de dollars, en hausse de 24% sur un an. Rapporté par action, il atteint 3,65 dollars, soit sensiblement mieux que les 3,38 dollars projetés par les analystes, selon un consensus établi par FactSet.

Trimestre après trimestre, le groupe de Redmond (Etat du Washington) livre avec une régularité métronomique des comptes étincelants, transcendés par la montée en puissance de l'IA générative depuis fin 2022.

Pour la première fois de son histoire, l'entreprise cofondée par Bill Gates a franchi le seuil symbolique des 100 milliards de dollars de bénéfice net sur un exercice comptable (101,8).

Alors que le marché s'attend à voir, un jour ou l'autre, le rythme de cette croissance insolente ralentir, Microsoft est même monté en régime lors de la période allant d'avril à juin.

Il a ainsi enregistré une hausse de 27% de ses activités de cloud et de 39% pour sa plateforme d'informatique à distance Azure, ses meilleurs chiffres depuis la refonte de la présentation de ses résultats, il y a un an.

Le cloud et Azure dépassent 100 milliards de dollars de chiffre d'affaires sur l'année fiscale, soit plus que les revenus totaux de Microsoft il y a dix ans.

Le chiffre d'affaires du quatrième trimestre comptable se monte à 76,4 milliards de dollars, en progression de 18% sur un an.

L'entreprise n'entend pas lever le pied et prévoit d'investir "plus de 30 milliards de dollars" au premier trimestre de l'exercice 2026, qui court de juillet à septembre, a indiqué la directrice financière, Amy Hood, lors d'une conférence téléphonique.

C'est moitié plus que pour la même période de 2024.

Ce calibrage a été décidé du fait de "signaux forts de demande" de produits du groupe, a précisé la responsable, selon laquelle même à cette cadence, le géant informatique ne parvient pas à suivre l'évolution des besoins de ses clients.

Amy Hood a néanmoins prévenu que les investissements seraient moins relevés pour l'exercice 2026 que pour le précédent.

"Microsoft continue à maintenir un sain équilibre entre la croissance de son activité et ses investissements d'avenir", estime Angelo Zino, analyste de CFRA.

La publication de Microsoft a été très bien accueillie par les investisseurs. Dans les échanges postérieurs à la clôture de la Bourse de New York, le titre, déjà proche de ses plus hauts historiques, gagnait près de 9%.

"Carton plein"

"C'est carton plein ce trimestre pour Microsoft", ont commenté, dans une note, les analystes de Wedbush Securities.

"Mais nous pensons que Microsoft entre à peine dans la prochaine phase de monétisation de l'IA", à mesure que "de plus en plus d'entreprises renforcent leurs budgets" consacrés à la mise en place de cette technologie, ont-ils ajouté.

Le directeur général de Microsoft, Satya Nadella, a révélé que l'assistant IA Copilot, intégré au système d'exploitation Windows, comptait désormais plus de 100 millions d'utilisateurs actifs mensuels.

L'ensemble de logiciels Microsoft 365 "devient une plateforme à plus forte valeur ajoutée grâce à Copilot", a réagi Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.

Il a également salué le redressement de la Xbox et des services associés, dont le chiffre d'affaires a augmenté de 13% sur un an, soit nettement mieux que lors des deux trimestres précédents (8% et 2%).

"Ce n'est pas qu'un prestataire de cloud", a insisté Jeremy Goldman, "mais tout un écosystème qui prend, sans faire de bruit, une longueur d'avance sur la concurrence."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Meta décolle et enchante Wall Street malgré ses dépenses dans l'IA

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Le CEO de Meta, Mark Zuckerberg. (© KEYSTONE/AP/Jeff Chiu)

Meta (Facebook, Instagram) a ravi le marché mercredi avec de fortes croissances de ses revenus et profits trimestriels. Cela arrive malgré les turbulences macro-économiques liées aux droits de douane et des dépenses dans l'intelligence artificielle (IA).

L'empire américain des réseaux sociaux a largement dépassé les attentes avec 47,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires au deuxième trimestre, en croissance de 22% sur un an, d'après son communiqué de résultats publié mercredi.

Son bénéfice net est ressorti à 18,34 milliards (+36%), grâce notamment à la hausse des prix publicitaires et du nombre d'utilisateurs dans le monde.

Son action grimpait de plus de 9% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York.

Les économies subissent en ce moment les guerres commerciales américaines, mais "de nombreuses marques continuent de dépenser comme à l'accoutumée en attendant que la situation se stabilise", a commenté Minda Smiley, analyste chez Emarketer.

En outre, souligne-t-elle, "beaucoup d'annonceurs ont sans doute recentré leur budget sur des plateformes éprouvées comme Facebook et Instagram durant cette période d'incertitude".

Les solides performances du groupe de Menlo Park (Californie) tombent bien pour son patron Mark Zuckerberg, qui a besoin de convaincre le marché du bien-fondé de ses dépenses extraordinaires.

Le milliardaire veut en effet regagner du terrain dans la course à la "superintelligence" ou "IA générale", cette technologie hypothétique, aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, graal de la Silicon Valley.

"Rémunération des employés"

Il multiplie les annonces depuis que Llama 4, la dernière version du modèle d'IA générative de Meta dévoilée début avril, a déçu.

Le groupe a relevé ses prévisions d'investissements annuels à une fourchette comprise entre 66 et 72 milliards de dollars, pour construire des infrastructures IA plus puissantes.

Puis Mark Zuckerberg a évoqué ce mois-ci des "centaines de milliards de dollars" à investir dans de nouveaux centres de données conçus spécifiquement pour les modèles d'IA générative, avec des puces de pointe et des ressources énergétiques conséquentes.

Il a récemment déboursé 14,3 milliards de dollars pour acquérir 49% du capital de Scale AI, une start-up spécialisée dans la mise en état de données pour les modèles.

Surtout, il a débauché son patron milliardaire Alexander Wang et plusieurs employés d'OpenAI, Anthropic et Google, en leur offrant des primes faramineuses.

"En dehors des infrastructures, nous prévoyons que la rémunération des employés sera le deuxième facteur de croissance des dépenses en 2026, avec le recrutement de talents dans les domaines prioritaires", a indiqué l'entreprise dans son communiqué mercredi.

Jusqu'à présent, le marché a suivi Zuckerberg. La capitalisation de Meta a bondi de 20% depuis le début de l'année.

"Mais ces énormes investissements" vont être surveillés de près selon Debra Aho Williamson, analyste de Sonata Insights, d'autant que "le groupe ne prévoit pas de monétiser directement l'IA cette année"

Lunettes et "superintelligence"

La firme de Menlo Park se concentre sur l'adoption de ses nouveaux outils par les utilisateurs, annonceurs et développeurs, mais "elle risque de voir OpenAI continuer à creuser l'écart", grâce à la "forte notoriété de ChatGPT auprès du grand public", a ajouté l'experte.

Meta dispose cependant d'un effet d'échelle considérable: en juin 2025, 3,48 milliards de personnes dans le monde se connectaient tous les jours sur au moins une des plateformes de Meta (Facebook, Instagram, Threads, WhatsApp et Messenger), qui donnent aussi accès à son assistant IA, Meta AI.

Mercredi, avant la publication des résultats, Mark Zuckerberg a publié un billet de blog sur sa vision de la "superintelligence", qui a selon lui "le potentiel d'ouvrir une nouvelle ère d'émancipation personnelle".

Il assure que les lunettes connectées seront centrales dans le déploiement de cette technologie.

Les ventes des Ray-Ban Meta, dont les montures intègrent micros, caméra et Meta AI, ont triplé sur un an, d'après leur fabricant EssilorLuxottica.

La branche Reality Labs du géant américain, chargée du développement d'appareils et de logiciels pour le métavers (mélange des univers réels et virtuels via des lunettes et casques high tech), a de nouveau creusé ses pertes, à 4,5 milliards de dollars ce trimestre.

Meta attend par ailleurs le verdict du procès qui s'est tenu en avril: le gouvernement américain l'accuse d'avoir racheté Instagram et WhatsApp il y a plus de dix ans pour empêcher toute concurrence d'émerger contre Facebook et Messenger.

Si le juge tranche en faveur des Etats-Unis, Meta pourrait être forcé de se séparer de ses deux plateformes phares.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Droits de douane: Trump décide 50% sur les produits brésiliens

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Donald Trump impose une surtaxe au Brésil "en représailles aux poursuites contre l'ex-président Jair Bolsonaro (Archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDRE BORGES)

Le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret imposant 40 points de pourcentage (pp) de droits de douane supplémentaires sur les produits brésilien, ce qui porte la surtaxe à 50%, a annoncé la Maison Blanche.

Le gouvernement américain a de surcroît renforcé mercredi sa pression sur le Brésil, en soutien à l'ex-président Jair Bolsonaro, en annonçant de nouvelles sanctions contre le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes.

Le premier coup est venu du département du Trésor, avec des sanctions visant M.de Moraes, que Washington accuse de "détentions arbitraires" et de non-respect de "la liberté d'expression".

Le Trésor estime que le juge a profité de sa position pour "cibler des opposants politiques, notamment l'ex-président Jair Bolsonaro, des journalistes, des réseaux sociaux américains et d'autres entreprises américaines et internationales".

L'ancien président brésilien, allié de Donald Trump, est poursuivi dans son pays pour une tentative présumée de coup d'Etat après sa défaite lors de l'élection de 2022.

"Alexandre de Moraes s'est octroyé le droit d'être juge et jury pour orchestrer une chasse aux sorcières illégale contre des citoyens et entreprises américaines et brésiliennes. Les sanctions de ce jour rappellent que le Trésor tiendra pour responsable ceux qui menacent les intérêts américains et la liberté de nos citoyens", a déclaré le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, cité dans un communiqué.

Ces sanctions entraînent le gel de l'ensemble des avoirs détenus par M.de Moraes aux Etats-Unis ainsi que l'interdiction pour des citoyens ou entreprises américaines de faire affaire avec le juge brésilien, sous peine de poursuites.

Elles viennent compléter celles annoncées par le département d'Etat le 18 juillet, qui visaient tous les juges de la Cour suprême ainsi que leurs proches parents, qui sont tous désormais interdits d'entrer aux Etats-Unis.

"Que cela serve d'avertissement à ceux qui voudraient bafouer les droits de leurs concitoyens. Une robe de juge ne peut pas vous protéger", a réagi sur X le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio.

Le gouvernement brésilien a qualifié ces sanctions d'"arbitraires" et d'"injustifiables", et y voit "une attaque grave et inacceptable contre la souveraineté" du Brésil, d'après un communiqué de l'Agence brésilienne pour la défense légale de l'Etat (AGU).

La ministre en charge des Relations institutionnelles du Brésil, Gleisi Hoffmann, a de son côté exprimé le "rejet total du gouvernement Lula" envers ces sanctions.

"Très reconnaissant"

Mais Washington ne s'est pas arrêté là, pour lutter contre ce que Donald Trump présente comme une "chasse aux sorcières" à l'encontre de son allié d'extrême droite.

Après avoir menacé depuis plusieurs jours Brasilia de 50% de surtaxes douanières à compté du 1er août, le président américain a finalement signé, un peu plus tard dans la journée, un décret en ce sens.

Selon le décret, publié sur le site de la Maison Blanche, la surtaxe, qui entrera en vigueur à partir du 6 août, se justifie par "la menace inhabituelle et extraordinaire que constitue le Brésil pour la sécurité nationale, l'économie et la politique étrangère des Etats-Unis",

Fort de ce soutien américain, le fils de l'ancien président, Eduardo Bolsonaro, s'est dit "très reconnaissant", appelant "les autres leaders du monde libre à s'unir aux Etats-Unis".

Le procès de Jair Bolsonaro pour une tentative présumée de coup d'Etat contre l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva doit s'achever dans les prochaines semaines. L'ex-chef d'Etat (2019-2022), âgé de 70 ans, risque plus de 40 ans de prison.

Outre le port d'un bracelet électronique, Jair Bolsonaro est contraint de rester chez lui soir et week-end, et interdit de recourir aux réseaux sociaux et de contacter ambassades et autorités étrangères.

Les autorités brésiliennes ont également adopté une posture très ferme concernant la lutte contre la désinformation, la Cour suprême ayant durci en juin 2024 la régulation des réseaux sociaux.

Le juge Moraes avait bloqué durant 40 jours X au Brésil, jusqu'à ce que le réseau du multimilliardaire Elon Musk se conforme aux ordres de supprimer des comptes accusés de diffuser des infox.

Pour les mêmes raisons, il a ordonné en février le blocage de la plateforme vidéo Rumble, prisée des conservateurs américains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Taux d'intérêt américains: la Fed maintient le statu quo

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La décision de la Fed était comme toujours très attendue. C'est finalement le statu quo. (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

La banque centrale des Etats-Unis (Fed) a sans surprise laissé ses taux d'intérêt inchangés mercredi, pour la cinquième fois de suite, une décision marquée par la rare opposition de deux gouverneurs qui souhaitaient une baisse.

Dans son communiqué, la Réserve fédérale remarque que la croissance américaine a "ralenti au premier semestre" 2025 mais que le marché du travail reste "solide", avec un taux de chômage "bas".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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