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Fury dit que son combat avec Joshua n'aura pas lieu

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Tyson Fury pourrait ne pas affronter Anthony Joshua (© KEYSTONE/EPA/NEIL HALL)

Tyson Fury, champion du monde WBC des poids lourds, a affirmé que son offre de combat 100% britannique contre Anthony Joshua ne tenait plus.

Son compatriote, qui n'avait pas signé le contrat lundi comme l'exigeait le Gipsy King, a toutefois assuré qu'il allait le faire.

Samedi, Tyson Fury avait fixé un ultimatum à Joshua, estimant que celui-ci traînait des pieds par lâcheté: "On sera fixé lundi de toute façon, parce que si ce n'est pas fait lundi, je passe à autre chose". Et lundi soir, il a publié une vidéo sur Instagram pour indiquer que son offre était caduque.

"Bon, les gars, c'est officiel. Le jour J est arrivé et il est passé. On est après 17h00, lundi. Pas de signature sur le contrat", a-t-il expliqué. "C'est officiellement terminé pour Joshua. Il est seul, dehors, avec la meute de loups. On oublie. Idiot. Lâche. Tu n'es qu'une me***. Bodybuilder. J'ai toujours su que tu n'avais pas les cou***** d'affronter le Gypsy King", a-t-il ensuite lancé dans une de ses diatribes coutumières. "Quoique tu racontes, maintenant, je m'en fous. Bonne chance avec ta carrière", a-t-il conclu.

Entre les mains des avocats

Le promoteur de Joshua, Eddie Hearn, avait prévenu qu'il n'y avait "aucune chance" que le contrat soit signé lundi et Joshua avait indiqué dimanche, dans une vidéo en direct sur Instagram, que le contrat était actuellement étudié par ses avocats. "Ce n'est pas entre mes mains, c'est avec mon équipe juridique. C'est pour ça qu'on paye des avocats", avait-il souligné, "bien sûr que je vais le signer, ce contrat, mais là tout de suite il est avec les avocats".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ONU "scandalisée" après les civils tués à Abou Chouk au Soudan

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Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk demande aux parties au conflit d'établir des pauses humanitaires dans les territoires assiégés au Soudan (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'ONU est "scandalisée" après l'attaque qui a tué lundi au moins 57 civils à El-Facher et dans le camp d'Abou Chouk au Soudan. Mercredi à Genève, le haut commissaire aux droits de l'homme a dit que son bureau suivait les accusations d'exécutions de déplacés.

"C'est avec consternation que nous avons vu à nouveau une horreur inenvisageable pour les civils à El-Facher", affirme l'Autrichien. "Ces attaques répétées" posent de graves questions sur des violations du droit international humanitaire (DIH) et sont "entièrement inacceptables et doivent s'arrêter", selon lui.

Les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont ciblé à de nombreuses reprises les camps de déplacés à El-Facher et dans les territoires environnants. Le site d'Abou Chouk a été attaqué au moins à 16 reprises par ce groupe entre janvier et juin, faisant plus de 210 victimes.

"Je sonne à nouveau l'alarme sur la menace grave de persécution motivée par des raisons ethniques", ajoute encore le haut commissaire. Des membres du Haut-Commissariat ont récemment discuté avec plus de 150 rescapés d'une attaque contre le camp de Zamzam il y a quelques mois. Ceux-ci ont corroboré de précédentes indications de tueries, viols répandus, disparitions forcées ou encore torture.

Pauses humanitaires

L'Autrichien demande à nouveau aux parties au conflit de protéger les civils et il leur enjoint d'établir des pauses humanitaires dans les territoires assiégés. Les responsables de violations doivent être poursuivis, selon lui.

La Mission d'établissement des faits a à plusieurs reprises dénoncé de la part des paramilitaires des actes équivalant à des crimes contre l'humanité. L'armée soudanaise s'est elle vu reprocher de possibles crimes de guerre.

En plus de deux ans de conflit, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées, dont au moins 4300 civils l'année dernière, selon l'ONU. Des régions sont exposées à la famine.

Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont plus de quatre millions de réfugiés. Au total, 25 millions de personnes sont gravement affamées et 40% de la population a besoin urgemment d'une assistance sanitaire. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Plastique: le président présente un nouveau texte moins ambitieux

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Le président des négociations sur le plastique Luis Vayas Valdivieso a dévoilé un nouveau texte pour tenter d'arracher un accord à Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le président des négociations pour un accord international contre la pollution plastique a présenté un nouveau projet de texte moins ambitieux à Genève. Aucun objectif de réduction de la production ne figure dans celui-ci.

Selon ce nouveau projet dévoilé mercredi après-midi, les plus de 170 Etats qui négocient, s'ils ratifient un futur accord, ne s'engageraient qu'à des efforts nationaux pour améliorer la production en vue d'une économie circulaire. Ils chercheraient à renforcer la durabilité et la sécurité des produits plastiques, mais sans contrainte.

Il était d'abord suggéré que la première réunion des Etats parties approuve un objectif mondial de diminution de la consommation et de la production. Un dispositif inacceptable pour les pays pétroliers qui bloquent à nouveau les discussions depuis une semaine.

Autre changement, les propositions, notamment de la Suisse, pour une liste de produits et d'additifs à interdire ne sont elles plus reflétées. Greenpeace cible "un cadeau à l'industrie pétrochimique".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Italie: au moins 20 morts dans un naufrage au large de Lampedusa

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La région de L'île de Lampedusa est régulièrement le théâtre d'intervention des gardes-côtes italiens pour sauver des migrants dans des embarcations de fortune en perdition (Photo d'illustration, archives). (© KEYSTONE/AP Italian Coast Guard)

Un naufrage au large de l'île italienne de Lampedusa a fait environ 20 morts, a affirmé mercredi sur le réseau social X un porte-parole du Haut commissariat aux réfugiés de l'Onu, le HCR.

"Profonde angoisse après l'énième naufrage au large de Lampedusa, où le HRC assiste les survivants", a écrit Filippo Ungaro, ce porte-parole, sur son compte X, ajoutant qu'il semble y avoir "20 cadavres retrouvés, et autant de disparus".

Un journaliste de Radio Radicale, Sergio Scandura, indique sur X que l'embarcation transportait 97 personnes quand elle a fait naufrage à environ 20 kilomètres du sud-ouest de Lampedusa.

La chaîne RaiRadio1 fait état de 12 à 17 migrants disparus, et affirme que 60 rescapés ont été ramenés en sécurité sur l'île.

Les migrants qui tentent de rejoindre l'Italie par Lampedusa depuis l'Afrique du Nord font souvent la traversée dans des bateaux surchargés ou qui fuient, par la route maritime au centre de la Méditerranée, particulièrement dangereuse.

"Il y a eu 675 morts depuis le début de l'année en Méditerranée centrale", écrit Filippo Ungaro dans son message sur X, appelant à "renforcer les voies légales" d'immigration.

D'après le ministère italien de l'Intérieur, 38'263 migrants sont arrivés en Italie cette année par la voie maritime.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'armée israélienne approuve le plan de prise de la ville de Gaza

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Un camion transporte un char israélien près de la frontière avec la bande de Gaza mardi. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir "approuvé" le plan pour la prise de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien, dans le cadre d'une nouvelle phase de son offensive destinée à vaincre le Hamas et assurer la libération des otages.

Des témoins ont signalé mercredi des frappes aériennes très intenses sur la ville ainsi que la présence de chars israéliens et de fortes explosions dans les quartiers de Tal al-Hawa et Zeitoun, où l'armée démolissait des maisons.

Après 22 mois de guerre, Israël entend prendre le contrôle de cette ville du nord du territoire et de camps de réfugiés voisins, l'une des zones les plus densément peuplées de la bande de Gaza, afin d'y démanteler ce qu'il présente comme les derniers bastions du Hamas.

Le mouvement islamiste palestinien a dénoncé mercredi "des incursions agressives dans la ville de Gaza" et une "escalade dangereuse de la part d'Israël".

Sur ordre du cabinet militaire du Premier ministre Benjamin Netanyahu, l'armée, qui exerce actuellement son contrôle sur les trois-quarts du territoire, se prépare à lancer cette nouvelle phase de ses opérations afin de libérer tous les otages israéliens retenus à Gaza et y "vaincre" le Hamas, selon ses objectifs affichés.

Le chef d'état-major, le lieutenant-général Eyal Zamir, "a approuvé le cadre principal du plan opérationnel de l'armée dans la bande de Gaza", a annoncé mercredi l'armée sans qu'aucun calendrier n'ait été donné.

Dans les rues de Gaza-ville, des familles palestiniennes fuyaient à nouveau, bagages et matelas entassés sur des vélos ou des charrettes.

"Les chars avancent"

"Depuis plusieurs jours, des chars avancent (...) dans la partie sud-est du quartier de Zeitoun, en détruisant des maisons. Des chars avancent également dans la partie sud de Tal al-Hawa", a raconté à l'AFP Abou Ahmed Abbas, un homme de 46 ans dont la maison a été détruite à Tal al-Hawa.

"Les frappes sont extrêmement intenses. Elles se sont intensifiées et il y a aussi des tirs d'artillerie depuis dimanche", a-t-il ajouté.

"Les explosions sont massives, il y a beaucoup de frappes aériennes (...) les chars sont toujours là et j'ai vu des dizaines de civils fuir" vers l'ouest de la ville, a aussi témoigné Fatoum, une femme de 51 ans qui vit avec son mari et sa fille sous une tente à Tal al-Hawa.

Selon la Défense civile et des sources médicales, 18 Palestiniens, dont plusieurs enfants, ont été tués mercredi par des bombardements et des tirs israéliens, dont onze qui attendaient de l'aide humanitaire.

Les préparatifs israéliens coïncident avec l'annonce par le Hamas qu'une délégation du mouvement est arrivée au Caire pour des "entretiens préliminaires" avec des responsables égyptiens sur une nouvelle trêve.

L'Egypte avait annoncé mardi travailler avec le Qatar et les Etats-Unis en vue d'un cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza, où la guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sanglante du Hamas sur le sol israélien.

Benjamin Netanyahu avait affirmé dimanche que le plan israélien "ne visait pas à occuper Gaza, mais à la démilitariser".

Il avait énuméré les objectifs d'Israël: "Premièrement, désarmer le Hamas. Deuxièmement, tous les otages sont libérés. Troisièmement, Gaza est démilitarisée. Quatrièmement, Israël exerce un contrôle de sécurité prépondérant. Et cinquièmement, une administration civile pacifique non israélienne".

"Arrêtez la guerre!"

Le Premier ministre fait face à une très forte pression de son opinion publique qui s'émeut du sort des 49 otages encore retenus à Gaza, dont 27 sont morts selon l'armée, pendant qu'à l'étranger, les appels se multiplient pour mettre fin aux souffrances des plus de deux millions d'habitants du territoire assiégé, menacés d'une "famine généralisée" selon l'ONU.

L'attaque du Hamas a entraîné du côté israélien la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles.

Les représailles israéliennes à Gaza ont fait 61'722 morts, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.

Mercredi, le chef d'état-major a souligné "l'importance d'accroître la disponibilité et la préparation des troupes pour le recrutement de réservistes", une question politique épineuse alors que les ultra-orthodoxes, qui représentent potentiellement des dizaines de milliers d'hommes, refusent la conscription.

Mardi, plusieurs centaines de pilotes de l'armée de l'air à la retraite ont manifesté à Tel-Aviv aux cris de "Arrêtez la guerre!" pour faire rentrer les otages.

"Nous ne nous sommes jamais opposés à aucune guerre dans notre passé. Jamais", a témoigné l'ex-général Dan Halutz, ancien chef d'état-major de l'armée.

"C'est la toute première fois. Et si les gens qui ont combattu pour ce pays pendant des dizaines d'années sortent dans la rue, cela signifie quelque chose", c'est "un avertissement au gouvernement", a-t-il souligné.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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