Économie
La zone euro "se rapproche" d'une récession de près de 1% en 2023

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L'activité économique de la zone euro tend vers un scénario de récession de près de 1% en 2023 dans le contexte de resserrement monétaire et de crise énergétique lié à la guerre en Ukraine, a déclaré vendredi le vice-président de la BCE.
La Banque centrale européenne (BCE) a établi en septembre plusieurs hypothèses pour la croissance de la zone euro en 2023 et "ce que nous considérions comme notre scénario baissier (...) se rapproche du scénario de base", indique Luis de GuindosLuis de Guindos dans une interview au quotidien lituanien Verslo Zinios.
Dans le scénario baissier, le produit intérieur brut de la zone euro se contracterait de près de 1% l'an prochain, tandis que celui de référence prévoit une croissance de 0,9%.
La différence "réside dans l'évolution des approvisionnements énergétiques en provenance de Russie", rappelle M. de Guindos.
Dans l'hypothèse de base, 20% des livraisons d'énergie continueraient d'être fournies, contre une coupure totale dans le pire des cas, qui est désormais le plus clairement envisagée.
Si la croissance du PIB est encore attendue à 3,1% en 2022 en zone euro par la BCE, la fin de l'année et le début de la suivante offrent "une combinaison très difficile de faible croissance économique, y compris la possibilité d'une récession technique, et d'inflation élevée", ajoute M. de Guindos.
La BCE voit l'inflation osciller autour de 10% jusqu'à la fin 2022 et commencer à diminuer progressivement en 2023.
"Le contexte mondial actuel, y compris l'action de la politique monétaire, le choc énergétique et la détérioration des termes de l'échange, entre autres, pointent vers un ralentissement de l'économie mondiale et, éventuellement, du taux d'inflation également", selon M. de Guindos.
Cette situation a amené la BCE à resserrer de manière abrupte depuis juillet ses taux pour tenter de ramener l'inflation à l'objectif de 2%.
La prochaine réunion du conseil des gouverneurs de l'institution, prévue le 27 octobre, pourrait déboucher sur une nouvelle hausse de 0,75 point des taux directeurs, comme en septembre, selon les déclarations de banquiers de la zone euro et d'observateurs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Crédit hypothécaire: la Finma tance un certain laxisme des banques
Le gendarme helvétique de la finance dénonce une tendance des banques à observer dans leurs directives internes des critères d'octroi de crédits hypothécaires moins strictes que les recommandations légales, voire faire des entorses aux critères de solvabilité.
L'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) a également identifié des faiblesses dans les procédés d'évaluation des biens immobiliers, à l'instar des taux de capitalisations plus faibles pour la valorisation des immeubles de rendement.
Rappelant que les principes d'autorégulation constituent un standard minimal en matière de surveillance, la Finma perçoit un potentiel d'amélioration du cadre réglementaire pour un domaine qu'elle considère comme l'un des plus gros risques pour la place helvétique.
Pour s'inscrire dans une perspective durable, l'évaluation de la solvabilité des débiteurs devrait aussi tenir compte des potentielles fluctuations des taux d'intérêt.
Le constat repose les observations des pratiques de 27 établissements bancaires et 18 assureurs au cours de l'année dernière, précise un communiqué diffusé jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Lausanne: RDR architectes récompensé par le prix DEF 2025
La Ville de Lausanne a décerné mercredi soir le 10e prix Diversité–Emploi–Formation (DEF) 2025 au bureau lausannois RDR architectes. Cette récompense salue l'engagement exemplaire de l'entreprise en faveur de l'intégration professionnelle de jeunes migrants, notamment par le biais de l'apprentissage.
RDR architectes accueille et forme des jeunes provenant de l'asile et de la migration dans les domaines de l'architecture, l'urbanisme et le design d'intérieur. Deux de ces jeunes ont récemment obtenu leur CFC d'architectes et ont intégré les effectifs de l'entreprise, tandis qu'une troisième poursuit actuellement sa formation dans ce domaine, a indiqué la Ville de Lausanne dans un communiqué.
L'accompagnement proposé va bien au-delà de l'encadrement professionnel. Il inclut un soutien administratif, linguistique et personnel, dans une volonté d'inclusion globale. Cette approche prend sa source et sa différence dans une culture d'entreprise profondément pluriculturelle, où quinze nationalités sont représentées.
Avec ce prix, l'entreprise va pouvoir offrir plus de places de stages de découverte des métiers de l'architecture aux jeunes issus de la migration, en finançant des cours de français et en développant un dictionnaire simplifié regroupant le vocabulaire métier essentiel, se réjouit Antoine Barc, associé du bureau. L'entreprise souhaite également financer des AG CFF à ceux qui y feront un apprentissage.
Le prix DEF, d'une valeur de 10'000 francs, a été créé en 2016 par la Ville de Lausanne. Il valorise et encourage les initiatives exemplaires des entreprises en matière d'intégration professionnelle des personnes migrantes, en faveur de l'égalité des chances et de la non-discrimination. Il est décerné sur préavis du Bureau lausannois pour les immigrés (BLI) et de la Commission lausannoise pour l'intégration.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Des votations et une élection complémentaire en septembre à Genève
Les Genevois voteront le 28 septembre sur les initiatives "Pour un canton qui marche", "Pour plus de logements en coopérative" et pour protéger la police, ainsi que sur les lois pour maîtriser les charges et les engagements à l'Etat. S'y ajoutera l'élection complémentaire d'un membre du Conseil d'Etat.
Le souverain devra choisir entre l'initiative "piétonne" et son contreprojet, a indiqué mercredi le gouvernement. En revanche, aucun contreprojet n'a été élaboré par rapport aux initiatives populaires "Pour + de logements en coopérative" et "Oui, je protège la police qui me protège!", qui vise à limiter les poursuites pénales à l'encontre des membres des forces de l'ordre.
Les deux lois dites "corsets" seront aussi à l'ordre du jour. Applicables en cas de budgets déficitaires, elles visent à contenir les charges et les engagements afin de préserver les prestations publiques. Sur décision du Grand Conseil, l'une est soumise au référendum obligatoire, tandis que l'autre a été attaquée par voie référendaire par la gauche et les syndicats.
Deux scrutins fédéraux auront aussi lieu fin septembre, et le Conseil d'Etat pourrait encore ajouter des votations communales. D'entente avec la Ville de Genève, celle sur l'achat de la propriété de Zep n'aura lieu qu'en novembre.
Suite à la démission du conseiller d'Etat Antonio Hodgers, le premier tour de l'élection complémentaire d'un membre de l'exécutif aura aussi lieu le 28 septembre. Les listes de candidatures devront être déposées le 23 juin au plus tard.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les faîtières patronales dénoncent des chantiers pénalisants
Les travaux entamés il y a dix jours par les Services industriels de Genève (SIG) dans le quartier des Eaux-Vives et de Rive provoquent la grogne des organisations patronales genevoises. Mercredi, ces dernières ont dénoncé "la gabegie" que ces chantiers engendrent sur la circulation et ont réclamé des mesures urgentes.
La Fédération des entreprises romandes Genève (FER), la Nouvelle organisation des entrepreneurs (NODE), l'ASTAG Genève, Genève Commerces et le Groupement professionnel des restaurateurs et hôteliers (GPRH) estiment nécessaire d'assurer une meilleure coordination des travaux et de raccourcir leur durée.
Dans un communiqué, les cinq associations patronales indiquent qu'il "serait par exemple possible de mettre en place des horaires de travail élargis, en utilisant toute la souplesse de la législation sur le travail, qui permettrait de travailler de 06h00 à 23h00, en deux ou trois équipes".
Les faîtières rappellent que ces chantiers causent d'importants embouteillages au centre-ville. Les acteurs de transport professionnel ne peuvent plus assurer les livraisons à temps, les transports publics sont bloqués dans le trafic et même les cyclistes sont contraints de slalomer dangereusement entre les véhicules.
Les cinq organisations ne remettent pas en cause la nécessité de ces travaux qui ont pour finalité la construction par les SIG de réseaux thermiques structurants. Ceux-ci permettront notamment d'utiliser l'eau du lac Léman pour rafraîchir des bâtiments ou pour les chauffer en utilisant des pompes à chaleur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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