International
Pyongyang répondra au feu nucléaire par l'arme atomique dit Kim
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Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a promis de réagir "résolument" et de recourir à la bombe atomique en cas d'attaque nucléaire contre son pays, a rapporté samedi KCNA. Selon l'agence, il a supervisé le tir de missile balistique intercontinental (ICBM) de vendredi.
Pyongyang "réagira [...] à un affrontement total par un affrontement sans merci", a ajouté M. Kim tel que cité par l'agence de presse nord-coréenne KCNA.
Les Etats-Unis, la Corée du Sud et le Japon ont intensifié ces derniers mois leurs manoeuvres militaires conjointes depuis que Kim Jong-un a déclaré en septembre que le statut d'Etat nucléaire de la Corée du Nord était "irréversible". Séoul et Washington ont notamment mené à la fin octobre et au début novembre les plus grands exercices aériens communs de leur histoire.
La Corée du Nord voit dans ces démonstrations de force des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à une tentative de renversement du régime.
Une fille
KCNA a indiqué que M. Kim avait assisté au lancement "avec sa fille et sa femme bien-aimées". Les médias d'Etat ont montré un Kim Jong-un rayonnant marchant devant un missile géant, accompagné d'une petite fille en doudoune et chaussures rouges.
Il est extrêmement rare que les médias d'Etat mentionnent les enfants du dirigeant nord-coréen. Il s'agirait de l'une des premières confirmations officielles de l'existence de sa fille, selon des experts.
KCNA a indiqué que l'essai de vendredi concernait le "nouveau type d'ICBM" nord-coréen, le Hwasong-17, et que le "tir d'essai a clairement prouvé la fiabilité de ce nouveau système d'armement stratégique majeur".
"Kim Jong-un a déclaré qu'il était venu pour confirmer qu'une fois de plus les forces nucléaires de la RPDC ont atteint une nouvelle capacité maximale fiable pour contenir toute menace nucléaire", ajoute KCNA, utilisant l'acronyme du nom officiel de la Corée du Nord.
Nouvelle génération
L'agence nationale nord-coréenne a indiqué que le missile avait atteint "une altitude maximale de 6040,9 km et a parcouru une distance de 999,2 km" avant "d'atterrir avec précision sur la zone prédéfinie" dans la mer du Japon.
La distance et l'altitude correspondent aux estimations données par Séoul et par Tokyo vendredi. Elles sont légèrement inférieures à celles de l'ICBM tiré par Pyongyang le 24 mars, qui semble être le test le plus puissant jamais réalisé par le Nord.
La Corée du Nord avait déjà affirmé avoir testé le 24 mars un Hwasong-17, qui compte parmi les armes les plus puissantes de Pyongyang et qui a été surnommé le "missile monstre" par des analystes militaires, mais Séoul avait ensuite mis en doute cette affirmation. Cette fois, les analystes ont déclaré qu'il semblait que le Nord avait réussi.
Des dizaines de missiles tirés
Pyongyang a procédé au début novembre à une rafale sans précédent de tirs de missiles, dont l'un est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud. La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l'année 2017, quand le dirigeant Kim Jong-un et le président américain de l'époque Donald Trump se menaçaient réciproquement d'apocalypse nucléaire.
En septembre et en octobre, Pyongyang avait déjà tiré une copieuse salve de projectiles, dont l'un avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.
Selon Soo Kim, ancienne analyste de l'agence américaine de renseignement CIA, le lancement de vendredi témoigne de "la permanence du programme d'armement du régime des Kim, car il fait partie intégrante de sa propre survie et de la continuité du règne de sa famille".
"Cela répond même en partie à des questions entourant la succession", a ajouté à l'AFP cette analyste, aujourd'hui à la RAND Corporation. "Nous avons vu de nos propres yeux la quatrième génération des Kim. Et sa fille, ainsi que d'autres éventuels frères et soeurs, sera certainement préparée par son père", a-t-elle relevé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des Israéliens pénètrent dans Gaza pour en demander la réoccupation
Plusieurs Israéliens sont entrés jeudi dans la bande de Gaza malgré l'interdiction de l'armée. Ils ont hissé le drapeau israélien dans une ancienne colonie, appelant à la réoccupation du territoire palestinien.
Des comptes de la droite israélienne ont diffusé sur les réseaux sociaux une photo montrant une vingtaine d'hommes, femmes et enfants rassemblés autour d'un drapeau israélien planté sur un terrain vague, affirmant qu'elle avait été prise à Kfar Darom.
Cet ancien kibboutz du centre de la bande de Gaza avait été évacué, avec 20 autres colonies, lors du désengagement unilatéral d'Israël en 2005.
Depuis, une frange de la droite israélienne appelle au rétablissement des colonies israéliennes à Gaza. Ce courant s'est fait plus audible après l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre dans le territoire, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien.
"Ramenées en territoire israélien"
Plusieurs responsables israéliens ont depuis appelé à l'évacuation des Palestiniens de Gaza et au retour du contrôle d'Israël sur le petit territoire.
L'armée a indiqué jeudi que les personnes qui avaient pénétré dans la bande de Gaza avaient été "ramenées en territoire israélien", ajoutant avoir empêché "des dizaines" d'autres de s'infiltrer par un autre point de la frontière, même si certaines ont réussi à franchir les barrières de sécurité.
"Toute entrée dans une zone de combat est interdite, met en danger les civils et perturbe les opérations de Tsahal (l'armée, NDLR) dans la zone", a-t-elle ajouté.
"Début d'une nouvelle ère"
Lors d'un rassemblement à Sderot, ville frontalière de Gaza, Daniella Weiss, figure de proue du mouvement des colons, a déclaré devant une centaine de partisans que "avec l'aide de Dieu, ce lever de drapeau marquera le début d'une nouvelle ère, une ère où nous retournerons à Gaza".
"Ni les Indonésiens, ni les Turcs, ni les Egyptiens, ni aucun autre pays, seul le peuple d'Israël gouvernera Gaza", a-t-elle affirmé, en référence aux pays évoqués pour participer à une future mission de stabilisation sur le territoire.
La semaine dernière, le mouvement ultranationaliste pro-colonisation Nachala, cofondé par Mme Weiss, avait annoncé dans une lettre son intention d'organiser un lever de drapeau à Gaza, une initiative soutenue par le ministre de la Sécurité nationale issu de l'extrême droite, Itamar Ben Gvir, ainsi que par dix autres ministres et plus de vingt députés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Report en vue pour l'accord UE-Mercosur, sur fond de manifestation
Le président brésilien Lula a ouvert la voie jeudi à un report en janvier de l'accord commercial entre l'Union européenne et des pays du Mercosur. Cela au moment où les agriculteurs européens faisaient entendre leur colère à Bruxelles.
Négocié depuis plus de 25 ans, ce traité de libre-échange permettrait à l'UE d'exporter davantage de véhicules, machines, vins et spiritueux en Argentine, au Brésil, au Paraguay et en Uruguay. Dans le sens inverse, il faciliterait l'entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel et soja sud-américains, ce qui alarme les filières concernées.
Le dirigeant brésilien a relaté un échange téléphonique avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni. Selon son récit, Mme Meloni lui a demandé de la "patience, une semaine, dix jours, un mois", en assurant que l'Italie soutiendrait l'accord in fine. Lula va transmettre la requête aux autres dirigeants latino-américains du Mercosur pour trancher.
Répit de courte durée
Mais le report semble désormais en bonne voie et offre un répit de courte durée à la France, qui ne cesse de marteler que l'accord n'est pas acceptable en l'état.
Ce délai supplémentaire est un revers pour la Commission européenne, l'Allemagne et l'Espagne qui poussaient pour une signature dans les prochains jours.
Ursula von der Leyen espérait parapher ce traité de libre-échange samedi, lors du sommet du Mercosur dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu. Mais elle avait besoin au préalable de l'aval d'une majorité qualifiée d'Etats membres à Bruxelles.
Et la France, l'Italie, la Pologne et la Hongrie étaient prêtes à former une minorité de blocage pour s'y opposer. "Le compte n'y est pas pour signer cet accord", a répété Emmanuel Macron jeudi.
Lacrymogènes et vitres brisées
Jeudi à Bruxelles, en marge d'un sommet européen entre chefs d'Etat et de gouvernement, des milliers d'agriculteurs sont venus faire entendre leur colère.
Pneus en feu, jets de pommes de terre et de projectiles auxquels ont répondu des canons à eau et des tirs de gaz lacrymogènes de la police. La situation a été particulièrement tendue autour des institutions européennes, protégées par un important dispositif policier.
Selon la police bruxelloise, 7300 personnes, avec une cinquantaine de tracteurs, ont pris part à la manifestation autorisée, principalement dans le calme. Mais 950 tracteurs supplémentaires s'étaient massés dans le quartier européen, engorgeant plusieurs rues.
Dès la matinée, la police a usé de canons à eau pour disperser certains manifestants. Des feux de pneus ou de poubelles ont émaillé la manifestation.
"Concurrence déloyale"
Mercosur, taxes sur les engrais, réforme de la Politique agricole commune (PAC): les sujets de mécontentement sont nombreux, ont rappelé plusieurs manifestants interrogés par l'AFP.
Le Mercosur? "C'est de la concurrence déloyale, ils vont importer des produits, traités avec des choses que nous, on n'a pas le droit d'utiliser (...). On nous ramène des poulets de merde", fustigeait la Française Florence Pellissier, 47 ans, agricultrice de grande culture (betterave, maïs, colza) en Seine-et-Marne.
"On est là pour dire non au Mercosur, surtout parce qu'on a l'impression qu'aujourd'hui, Ursula (von der Leyen) veut passer en force, elle veut imposer sa loi", a protesté de son côté Maxime Mabille, producteur laitier belge.
"L'Europe sera toujours derrière vous"
La présidente de la Commission européenne a rencontré dans la matinée une délégation d'agriculteurs. "L'Europe sera toujours derrière vous", a promis Ursula von der Leyen, dans un message diffusé sur X à l'issue de la réunion.
La Copa-Cogeca, principal lobby agricole européen, a revendiqué 10'000 manifestants venus de plusieurs pays, notamment de nombreux Français. "Notre fin = votre faim", résumait un slogan peint sur un cercueil noir.
Réglementations pas respectées
Les pays sud-américains du Mercosur sont accusés par de nombreux agriculteurs européens de ne pas respecter les réglementations environnementales et sociales auxquelles eux-mêmes sont soumis, avec à la clé l'opportunité de vendre des produits moins chers.
Ces inquiétudes s'ajoutent à celles sur la réforme des subventions de la PAC, que la Commission européenne est accusée de vouloir "diluer" dans le budget européen.
Pour les agriculteurs français, la gestion par le gouvernement Lecornu de l'épizootie de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) vient encore amplifier le mécontentement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des démocrates US publient de nouvelles photos liées à Epstein
Des élus démocrates au Congrès américain ont publié jeudi de nouvelles images liées à Jeffrey Epstein. Cela à la veille de la date limite pour la publication par le gouvernement de Donald Trump des documents en sa possession sur le criminel sexuel mort en prison.
Les 68 nouvelles images proviennent des 95'000 que les élus avaient dit la semaine dernière avoir reçues des légataires de Jeffrey Epstein.
Leur publication vise à faire pression sur le gouvernement de Donald Trump, qui doit divulguer au plus tard vendredi les documents en sa possession sur le financier new-yorkais, mort en prison en 2019 avant son procès pour crimes sexuels.
"Il est temps pour le ministère de la Justice de publier le dossier", affirment les élus démocrates, membres d'une puissante commission à la Chambre des représentants, dans un message sur X.
Promesse non tenue
Donald Trump avait promis durant sa campagne victorieuse de 2024 des révélations fracassantes sur le "dossier Epstein", mais le président républicain exhorte ses partisans depuis plusieurs mois à tourner la page, en qualifiant l'affaire de "canular" monté en épingle par l'opposition démocrate.
Après s'y être longtemps opposé, il a dû se résoudre en novembre à promulguer une loi qui contraint son gouvernement à rendre public l'ensemble des documents dans cette affaire.
Innombrables théories du complot
La mort de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu dans sa cellule à New York le 10 août 2019, a alimenté d'innombrables théories du complot selon lesquelles il aurait été assassiné pour étouffer un scandale éclaboussant des personnalités de premier plan.
Certaines des photos publiées jeudi le montrent dans un bureau en compagnie de Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump, mais aussi à bord de ce qui ressemble à un jet privé avec l'intellectuel de gauche Noam Chomsky, ou encore posant avec le réalisateur Woody Allen, emmitouflé dans un épais manteau.
D'autres images montrent des passeports et cartes d'identité de femmes ukrainiennes, russes, ou encore sud-africaines aux noms et photos d'identité barrés de noir.
L'existence de liens entre ces personnes et le financier était déjà connue. Et aucune des photos publiées depuis la semaine dernière n'ont semblé dépeindre de comportement délictueux.
"Brouillés au début des années 2000"
La semaine dernière, les élus démocrates avaient déjà publié de nombreuses images, incluant notamment Donald Trump et l'ancien président Bill Clinton, ou encore l'ex-prince britannique Andrew. Steve Bannon et Woody Allen y figuraient déjà également, de même que Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, et Richard Branson, fondateur du groupe Virgin.
Donald Trump, un temps proche de Jeffrey Epstein dans les années 1990, a toujours démenti avoir eu connaissance de son comportement criminel et assure s'être brouillé avec lui au début des années 2000, bien avant qu'il ne soit inquiété par la justice.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
USA-Venezueala: Brésil et Mexique se proposent en médiateurs
La présidente mexicaine et le président brésilien se sont proposés jeudi en médiateurs de la crise entre Etats-unis et Venezuela. Cela afin d'"éviter un conflit armé en Amérique latine".
En pleine montée des tensions entre Washington et Caracas, Lula a déclaré être "très inquiet", ajoutant être "à la disposition" des deux gouvernements et qu'il parlerait "probablement" avec son homologue américain "avant Noël" afin d'éviter une "guerre fratricide".
Le Brésil, immense pays d'Amérique latine dont il est la première puissance économique, possède une frontière commune avec le Venezuela.
Eviter une "intervention" américaine
La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum s'est aussi proposée en tant que médiatrice. "Nous allons chercher, avec tous les pays qui le souhaitent en Amérique latine ou sur d'autres continents, une solution pacifique" et à éviter une "intervention" américaine au Venezuela, a-t-elle dit au cours de sa conférence de presse matinale.
Les Etats-Unis ont déployé dans les Caraïbes, mais également le Pacifique, une flotte de navires de guerre, dont le plus grand porte-avions du monde, et d'avions de chasse pour mener des opérations antidrogue.
"S'emparer du pétrole vénézuélien"
L'administration américaine accuse Nicolas Maduro d'être à la tête d'un vaste réseau de narcotrafic. L'intéressé dément et assure que Washington veut le renverser pour s'emparer du pétrole vénézuélien, principale ressource du pays.
L'armée américaine a annoncé mercredi avoir tué "quatre narcoterroristes" présumés dans une nouvelle frappe dans l'est du Pacifique, dans le cadre d'une campagne à la légalité incertaine qui a fait une centaine de morts depuis septembre.
"Blocus total"
Et cette semaine le président Trump a ordonné un "blocus total" contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, augmentant la pression sur le président Maduro qu'il accuse d'utiliser le pétrole pour financer "le narcoterrorisme, la traite d'êtres humains, les meurtres et les enlèvements".
Le déploiement américain dans la région "ne fera que s'accroître, et le choc qu'ils subiront sera sans précédent", a récemment averti le locataire de la Maison Blanche, qui maintient le flou sur une possible intervention terrestre au Venezuela.
Des soldats américains ont également été déployés en Equateur, principal pays de départ de la cocaïne produite dans la région, pour une "opération temporaire" contre le narcotrafic opéré conjointement avec les forces équatoriennes. Le président Daniel Noboa est l'un des alliés de Trump en Amérique latine.
"Potentiellement très dangereux"
Après la Chine mercredi qui a dit s'opposer à toute tentative d'"intimidation unilatérale", le ministère russe des Affaires étrangères a appelé jeudi les Etats-Unis à ne pas "commettre une erreur fatale" au Venezuela, "pays ami" de la Russie, et de "s'abstenir de glisser davantage vers une situation qui menace d'avoir des conséquences imprévisibles pour l'ensemble de l'hémisphère occidental".
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a pour sa part indiqué jeudi que Moscou considère la "montée des tensions dans la région" comme "potentiellement très dangereuse".
"Le Venezuela est notre allié, notre partenaire, et nous sommes constamment en contact", a-t-il déclaré lors de son point presse quotidien, appelant "tous les pays de la région à la retenue".
Maduro, fidèle allié de Poutine
Le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu par téléphone début décembre avec son homologue vénézuélien Nicolas Maduro, un fidèle allié, pour lui apporter son "soutien".
L'Iran, autre soutien de Maduro, a estimé que le blocus américain est "un exemple manifeste de piraterie d'Etat et de brigandage armé en mer".
Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunira en urgence mardi à la demande de Caracas "pour discuter de l'agression en cours des Etats-Unis". Une demande soutenue par la Chine et la Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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