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Économie

Feu vert des actionnaires à l'augmentation de capital de CS

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Le feu vert des actionnaires de Credit Suisse à l'augmentation de capital consacre l'entrée dans le capital du numéro deux bancaire helvétique de l'établissement saoudien Saudi National Bank (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Réunis mercredi en assemblée générale extraordinaire, les actionnaires de Credit Suisse ont donné leur feu vert à l'augmentation de capital d'un montant total de 4 milliards de francs.

L'opération, qui consacre l'entrée dans le capital du numéro deux bancaire helvétique de l'établissement saoudien Saudi National Bank (SNB), doit permettre à la banque de financer sa restructuration et de reconstituer sa base de fonds propres.

A une majorité de 91,97% des voix représentées, les actionnaires ont approuvé la première de deux augmentations de capital ordinaires. Celle-ci doit être réalisée sous la forme d'un placement privé auprès de quelques investisseurs qualifiés d'un maximum de 462 041 884 actions nouvelles à émettre, d'une valeur nominale de 0,04 CHF chacune, avec suppression des droits de souscription pour les actionnaires existants, écrit mercredi Credit Suisse.

Le placement d'actions proposé a ainsi été approuvé à plus de la majorité requise de deux tiers des voix représentées à l'assemblée générale extraordinaire.

Par ailleurs, les actionnaires ont approuvé à une majorité de 98,31% des voix représentées la deuxième augmentation de capital ordinaire sous la forme d'une offre de droits de souscription portant sur un maximum de 1 767 165 146 actions nouvelles à émettre, d'une valeur nominale de 0,04 CHF chacune, aux actionnaires existants. L'offre de droits de souscription proposée a ainsi été approuvée à plus de la majorité requise de 50,0 % des voix représentées à l'assemblée générale extraordinaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Berne donne un premier feu vert pour la gare de Lausanne

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Les CFF ont fait jeudi un état des lieux sur le chantier de la gare de Lausanne avec Charles-André Philipona, directeur du programme Léman 2030 (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'Office fédéral des transports (OFT) a donné un premier feu vert pour le nouveau concept et planning des travaux de la gare de Lausanne. Le dossier technique final du coeur du chantier sera déposé en automne 2025. L'horizon 2037 est toujours d'actualité.

Le dossier de base a été transformé pour mieux tenir compte des besoins futurs, avec notamment un élargissement des quais, a résumé devant les médias Charles-André Philipona, directeur du programme Léman 2030 aux CFF. "Il est solide et a obtenu un feu vert de l'OFT en début d'année. Nous allons produire dans les temps le dossier technique final qui sera déposé en automne 2025", a-t-il annoncé.

On parle ici de tout le sous-sol de la gare de Lausanne et des problèmes de statiques qui avaient été relevés. Le dossier devait aussi être revu plus largement afin de tenir compte de l'évolution du nombre de voyageurs.

M. Philipona en a profité pour faire le point sur les travaux. Le 25% du chantier total a déjà été investi pour près de 450 millions de francs sur un total de 1,7 milliard.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Banque Cramer dopée en 2023 par la hausse des taux d'intérêt

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La hausse des taux d'intérêt a dopé les résultats 2023 de Banque Cramer & Cie à Genève (photo prétexte). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'augmentation des volumes de gestion et l'amélioration de la marge d'intérêts ont permis à Banque Cramer & Cie de soigner sa rentabilité en 2023. Le bénéfice net a bondi de 59,7% à 9,1 millions de francs.

Le résultat opérationnel s'est lui envolé de 72% à 14,8 millions de francs, indique jeudi l'établissement genevois, actif dans la gestion de patrimoine et les services financiers aux entrepreneurs et clients fortunés. Un montant de 4,5 millions a été attribué à la réserve pour risques bancaires généraux.

Les recettes ont gonflé de 15,3% à 50 millions de francs, grâce principalement à la progression enregistrée dans les opérations d'intérêt. Les hausses de taux décidées par la Banque nationale suisse (BNS) ont eu une influence positive sur la marge d'intérêt, comme pour l'ensemble du secteur bancaire helvétique. Les charges ont pris 5% à 34,2 millions. Le rapport entre les dépenses et les revenus a été amélioré de 4,9 points de pourcentage à 82%.

La masse sous gestion s'est enrobée de 7,3% à 3,2 milliards de francs, grâce notamment à des entrées nettes d'argent de 398 millions, davantage que les 333 millions de l'exercice précédent.

Depuis mars, l'établissement est dirigé par Thomas Müller, dans l'optique de sa prochaine entrée au capital de Norinvest Holding, actionnaire unique de Banque Cramer & Cie. Le nouveau patron a été "appelé pour franchir une nouvelle étape dans le développement de la banque", précise le communiqué.

Autre changement dans les instances dirigeantes, le conseil d'administration est désormais présidé par Alain Sierro, qui a dirigé l'établissement de 2005 à 2008 et qui siège à l'organe de surveillance depuis 2019. Le président sortant Massimo Esposito continuera à oeuvrer en qualité d'administrateur.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Nouvelle directrice générale pour Arval Suisse

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La firme genevoise Arval Suisse, filiale du géant bancaire français BNP Paribas, adepuis le 1er mai une nouvelle directrice générale en la personne d'Eva Rothe (photo d'illustration). (© KEYSTONE/AP/MICHEL EULER)

La société financière Arval Suisse, spécialisée dans les solutions de location de voitures longue durée, a trouvé une nouvelle directrice générale en la personne d'Eva Rothe. La responsable a succédé à Pascal Seeger le 1er mai.

Mme Rothe occupait jusqu'ici le poste de cheffe commerciale d'Arval en Allemagne, où elle est arrivée en 1992 et a réalisé toute sa carrière, indique jeudi la firme genevoise, filiale du géant bancaire français BNP Paribas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'inflation repart à la hausse en avril

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En avril, les prix de l'essence ont notamment contribué à la hausse du renchérissement (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'inflation a connu une nouvelle poussée en avril en Suisse, après une pause en mars. Les prix des voyages à forfait, du transport aérien, de l'ameublement et de l'essence ont augmenté, alors que les tarifs de l'hôtellerie et de la parahôtellerie ont diminué.

Le renchérissement s'est inscrit à 1,4% sur un an en avril, selon les indications publiées jeudi par l'Office fédéral de la statistique (OFS). L'inflation avait ralenti en mars à 1,0%. Elle avait progressé de 1,2% en février, de 1,3% en janvier et de 1,7% en décembre.

En rythme mensuel, les prix ont gonflé de 0,3%, indique l'OFS dans son communiqué.

Les économistes interrogés par l'agence AWP s'attendaient à une inflation moins forte en rythme annuel, leurs prévisions s'établissaient entre 1,0% et 1,2%. La variation mensuelle était attendue entre +0,1 et +0,2%.

L'indice des prix à la consommation (IPC) s'est fixé à 107,4 points en avril. Le baromètre de l'inflation sous-jacente - apurée des produits frais et saisonniers, de l'énergie et des carburants - a atteint 105,2 points, soit +1,2% sur un an ou +0,4% par rapport au mois de mars.

Produits indigènes plus chers

Les tarifs des produits indigènes ont grandement soutenu l'inflation sur un an, ceux-ci ayant bondi de 2,0% (+0,1% en comparaison mensuelle). Pour les produits importés, les prix se sont repliés de 0,4% sur douze mois et ont augmenté de 1,1% en glissement mensuel.

Fin mars, la Banque nationale suisse (BNS) a raboté ses prévisions d'inflation pour 2024, les ramenant à 1,4% contre 1,9% précédemment. Ces perspectives ont poussé l'institut d'émission à abaisser son taux directeur à 1,5%, contre 1,75% précédemment, rompant avec le statu quo monétaire observé depuis septembre 2023 et à la grande surprise de la majorité des observateurs.

Le ralentissement des prix devrait se prolonger l'année prochaine. La BNS a également revu à la baisse ses estimations pour 2025, prévoyant une inflation à 1,2%, contre 1,6% lors du pointage précédent. Pour 2026, un taux de 1,1% est escompté par les banquiers centraux.

Le rebond de l'inflation en avril est largement imputable à l'alimentation et aux carburants, des composantes volatiles de l'IPC, note l'économiste Adrian Prettejohn, de Capital Economics. Les chiffres publiés jeudi renforcent la conviction du spécialiste que la BNS ne procèdera pas à une nouvelle baisse de taux en juin. L'assouplissement - de 50 points de base - devrait intervenir plus tard dans l'année, car les pressions inflationnistes sous-jacentes restent faibles, prédit M. Prettejohn.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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