Climat
Un homme perd la vie dans une avalanche à La Fouly (VS)
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Un couple a été emporté dimanche vers midi par une avalanche sur les hauts de La Fouly, en Valais. La femme, partiellement recouverte, est parvenue à s'extraire seule de la neige. L'homme a eu moins de chance, il est décédé en soirée à l'hôpital de Sion.
Parti en ski de randonnée du lieu-dit "Le Clou", le couple souhaitait atteindre le "Chantonnet" sis à la frontière italienne, indique lundi la police cantonale dans un communiqué. Alors qu’ils étaient parvenus au pied de la face nord-est de ce sommet, une avalanche s’est déclenchée en contre-haut.
Des randonneurs qui se trouvaient dans les environs ont pu rapidement arriver sur les lieux de la coulée, rechercher puis découvrir l'homme. Une réanimation a été entreprise jusqu’à l’arrivée d’un équipage d’Air-Glaciers quelques minutes plus tard, précisent les forces de l'ordre.
Le Bernois de 54 ans domicilié dans le canton de Vaud a ensuite été rapidement héliporté à l’hôpital de Sion où il a succombé le soir même. Le Ministère public a ouvert une instruction.
Première avalanche meurtrière
Il s'agit de la première avalanche meurtrière de la saison 2022-2023, indique à Keystone-ATS un porte-parole de la police cantonale. La saison passée, trois avalanches avaient coûté la vie à trois personnes, précise-t-il. En 2020-2021, il y a eu onze avalanches meurtrières pour onze morts.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Fung-wong: un million d'évacués aux Philippines
Le super-typhon Fung-wong s'approche dimanche des Philippines où près d'un million de personnes ont été évacuées, moins d'une semaine après le passage déjà dévastateur du typhon Kalmaegi.
Fung-wong, dont le diamètre couvre virtuellement l'intégralité du pays, se dirige vers l'archipel depuis l'est en soufflant des vents de 185 km/h, voire de 230 km/h en pointe. Il doit toucher terre dans la nuit, selon le service météorologique national.
Au total, 916'863 personnes avaient été évacuées en début d'après-midi, a indiqué un haut responsable de la Défense civile, Rafaelito Alejandro, lors d'un point presse.
Les écoles et bâtiments publics resteront fermés lundi dans une large partie du pays, notamment dans la capitale Manille, et près de 300 vols ont déjà été annulés, selon les autorités.
"Les vagues ont commencé à gronder vers 07H00 du matin (minuit en Suisse). Quand elles frappent le brise-lame, on dirait que le sol tremble", a témoigné Edson Casarino, un habitant de l'île de Catanduanes (nord-est).
"De fortes pluies sont en train de s'abattre, et le vent souffle", a dit cet homme de 33 ans joint au téléphone par l'AFP.
La petite île risque d'être frappée de plein fouet par Fung-wong, a prévenu le service météorologique.
"Ils ressentent l'impact du typhon (...) car l'oeil du cyclone y est le plus proche", a expliqué M. Alejandro.
Samedi, des habitants ont tenté de river leurs habitations au sol avec des cordes dans l'espoir qu'elles résistent aux rafales, selon des images relayées sur les réseaux sociaux.
Sur une vidéo authentifiée par l'AFP, une église de la ville de Birac apparaît encerclée par les eaux de crues, qui montent jusqu'à la mi-hauteur de son entrée.
Plus au sud, sur l'île de Mindanao, des inondations provoquées par fortes pluies liées à l'arrivée de Fung-wong ont perturbé samedi le trafic, a constaté un photographe de l'AFP.
A Sorsogon, dans le sud de l'île principale de Luçon, certains ont trouvé refuge dans une église dès samedi, a constaté une équipe de l'AFP.
"Je suis là car les vagues près de ma maison sont énormes maintenant. Je vis près de la côte et les vents là-bas sont très forts à présent", a indiqué l'une d'eux, Maxine Dugan.
Cumuls de 200 millimètres
Fung-wong devrait déverser "des précipitations de 200 millimètres ou plus, qui peuvent provoquer des inondations étendues, pas seulement dans les zones de basse altitude", a mis en garde en conférence de presse Benison Estareja, un météorologue du gouvernement.
"Il est possible que nos plus importants bassins versants débordent", a-t-il alerté.
Ce super-typhon balaiera l'archipel quelques jours seulement après Kalmaegi, responsable de plus de 224 morts dans le pays d'après les derniers chiffres du gouvernement, le typhon le plus meurtrier de l'année, selon la base de données spécialisée EM-DAT.
La province de Cebu (centre) recense la majorité des victimes, et les opérations de secours y ont été suspendues samedi en raison de l'arrivée de Fung-wong.
"Nous ne pouvons pas mettre en danger nos secouristes. Nous ne voulons pas qu'ils soient les prochaines victimes", a déclaré à l'AFP Myrra Daven, une responsable des secours de la région.
Tous les ans, une vingtaine de tempêtes ou de typhons atteignent les Philippines ou s'en approchent, les régions les plus pauvres étant généralement les plus gravement affectées.
Selon les scientifiques, le réchauffement climatique généré par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.
Des océans plus chauds permettent aux typhons de se renforcer plus vite, quand des températures générales plus élevées entraînent une atmosphère plus humide et donc des pluies plus importantes.
Kalmaegi a également fait cinq morts au Vietnam, qu'il a frappé en s'affaiblissant après avoir dévasté les Philippines.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Blatten (VS): 70% du village passe en zone inconstructible
Cinq mois et demi après la catastrophe de Blatten, la commune haut-valaisanne bénéficie de nouvelles cartes des dangers naturels. Il ne sera désormais plus possible de reconstruire le hameau de Ried. Quant à Blatten, 70% du village se retrouve en zone rouge.
Les cartes des dangers révisées intègrent l’ensemble des dangers naturels gravitaires : inondations, érosions de berges, laves torrentielles, glissements de terrain, chutes de pierres et blocs, éboulements et avalanches et d’autres dangers tels que des ruptures glaciaires.
Les interactions entre ces processus naturels ont également été analysées. Un nouvel éboulement du Petit Nesthorn ou une lave torrentielle provoquerait un embâcle sur la rivière Lonza.
L'effondrement du glacier du Birch a réduit de 15,7 hectares la surface disponible pour la reconstruction. Il reste encore 14,2 hectares utilisables dont 6,8 situés à Blatten même. La surface constructible au coeur du village s'est réduite de 70%. Le hameau de Ried ne pourra pas être reconstruit, puisque désormais à 100% en zone rouge.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Climat: 2025 en passe d'être la 2e ou la 3e plus chaude
L'année 2025 est en passe de devenir la 2e ou la 3e année la plus chaude jamais enregistrée, alors que des concentrations records de CO2 dans l'atmosphère alimentent le réchauffement climatique. Le rapport publié jeudi en prélude à la COP30 à Bélem donne le ton.
Les 11 dernières années (2015-2025) figurent d'ores et déjà chacune parmi les 11 années les plus chaudes sur les 176 années d'observation, avec les trois dernières années (2025, 2024 et 2023) qui ressortent comme les trois années les plus chaudes depuis les débuts des relevés, selon le rapport de l'OMM qui fait partie d'une série d'états des lieux du climat dressés par des agences onusiennes en perspective de la COP30.
"Cette période sans précédent de températures élevées, conjuguée à l'augmentation record des émissions de gaz à effet de serre l'an dernier, montre clairement qu'il sera pratiquement impossible de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C dans les prochaines années sans dépasser temporairement cet objectif.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg
Climat
Philippines: le typhon Kalmaegi tue plus de 90 personnes
Le bilan du typhon Kalmaegi aux Philippines a dépassé les 90 morts mercredi, selon des chiffres officiels compilés par l'AFP sur cette catastrophe qui a provoqué des inondations d'une rare violence.
Des villes entières de la province de Cebu (centre), la plus durement frappée, ont été inondées la veille, les habitants grimpant sur les toits pour échapper aux eaux boueuses qui emportaient voitures, camions, et même d'énormes conteneurs de marchandises.
Le porte-parole de Cebu, Rhon Ramos, a indiqué mercredi à l'AFP que 35 corps avaient été découverts à Liloan, municipalité de la zone métropolitaine de la capitale locale, portant le bilan régional à 76 morts.
Dans la matinée, Rafaelito Alejandro, un responsable de la défense civile nationale, avait fait état de 17 morts dans le reste du pays. Le bilan total s'élève à ce stade à au moins 93 victimes.
"Ce sont les grandes villes qui ont été touchées, les zones très urbanisées", a indiqué M. Alejandro à la radio, précisant que 26 personnes étaient portées disparues.
Près de 400'000 personnes avaient été préventivement éloignées de la trajectoire du typhon. Mercredi matin, l'AFP a rencontré des habitants en train de nettoyer les rues, submergées la veille.
"La rivière a débordé. C'est de là que l'eau est venue", a témoigné Reynaldo Vergara, 53 ans.
"Vers 4 ou 5 heures du matin, le flot des eaux était si fort qu'on ne pouvait pas faire un pas dehors (...) rien de tel n'était jamais arrivé. Les eaux étaient déchaînées", a-t-il dit, expliquant que le courant avait tout emporté dans sa boutique.
"Sans précédent"
Kalmaegi est arrivé par l'est du pays lundi peu avant minuit (15H00 GMT), touchant terre au niveau de la province des îles Dinagat, d'après le service météorologique national.
Sur les 24 heures précédentes, 183 millimètres de précipitations s'étaient abattus sur la zone autour de la ville de Cebu, bien au-dessus de la moyenne mensuelle de 131 millimètres, a souligné auprès de l'AFP la météorologue Charmagne Varilla.
La gouverneure de la province, Pamela Baricuatro, a évoqué une situation "sans précédent".
"Nous nous attendions à ce que les vents soient dangereux, mais (...) l'eau est ce qui met véritablement notre population en danger", a-t-elle dit aux journalistes, qualifiant les inondations de "dévastatrices".
Mercredi vers 11h00 locales, Kalmaegi progressait vers l'ouest et les sites touristiques de la région de Palawan, soufflant des vents de 130 km/h, avec des pics à 180 km/h.
Chaque année, une vingtaine de tempêtes ou typhons frappent les Philippines ou s'en approchent, les régions les plus pauvres du pays étant généralement les plus gravement touchées.
En comptant Kalmaegi, l'archipel d'Asie de l'Est a déjà atteint cette moyenne annuelle, a affirmé Mme Varilla. Et au moins "trois à cinq autres" de ces phénomènes pourraient survenir d'ici à décembre, a-t-elle prévenu.
Le typhon Ragasa et la tempête Bualoi, tous deux meurtriers, avaient déjà balayé les Philippines en septembre.
Selon les scientifiques, le réchauffement climatique provoqué par l'activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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