International
Zelensky à Bakhmout, le point le plus chaud du front
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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est rendu mardi à Bakhmout, une ville de l'Est de son pays ravagée par d'intenses combats avec les forces russes qui tentent de la prendre depuis l'été et actuellement le point le plus chaud du front.
Cette visite surprise de M. Zelensky au plus près des affrontements apparaît comme un défi lancé à son homologue russe Vladimir Poutine qui, au même moment, remettait des décorations à des soldats et à des dirigeants séparatistes prorusses de l'Est de l'Ukraine.
Le chef de l'Etat ukrainien "a rencontré des militaires, s'est entretenu avec eux" sur place, a déclaré le service de presse de la présidence, sans plus de précisions.
Une vidéo diffusée par la chaîne ukrainienne d'Etat Freedom l'a montré se prenant en photo aux côtés de soldats dans un bâtiment et leur donnant des médailles.
"Ici, dans le Donbass, vous protégez toute l'Ukraine. Ce n'est pas juste Bakhmout, c'est la forteresse Bakhmout", a-t-il lancé aux militaires.
Plus tard, lors de son intervention quotidienne sur internet, le chef de l'Etat ukrainien a ajouté: "Nous ferons tout le possible et l'impossible, l'attendu et l'inattendu afin que nos héros disposent des moyens de vaincre. Afin de parvenir au résultat que tous les Ukrainiens, que toutes les villes et les villages sur la ligne de front attendent".
Il s'est déjà rendu à plusieurs reprises près du front comme mi-novembre à Kherson, dans le sud, après le retrait des troupes russes, et à Sloviansk, début décembre, à quelques dizaines de kilomètres du front oriental.
Cette visite à Bakhmout apparaît toutefois comme le plus risqué de ses déplacements, les forces russes se trouvant aux portes de cette ville.
"Forteresse orientale"
Les troupes de Moscou tentent depuis l'été de s'en emparer. Ravagée par les combats, Bakhmout était jadis connue pour ses vignobles et ses mines de sel et comptait environ 70'000 habitants avant l'invasion de russe.
Si les soldats russes ont revendiqué la conquête de villages et de zones situées à l'extrémité même de Bakhmout, les forces ukrainiennes semblent contrôler la ville et une partie de ses alentours.
Vladimir Poutine est pour sa part apparu mardi à la télévision en train de remettre des décorations à des soldats et à des personnalités politiques et économiques russes, à l'intérieur des murs du Kremlin à Moscou.
"Notre pays a maintes fois fait face à des défis et défendu sa souveraineté. Aujourd'hui, la Russie est à nouveau confrontée au même défi", a-t-il déclaré après avoir décoré des dirigeants de l'Est séparatiste prorusse de l'Ukraine.
M. Poutine tirera les conclusions de l'année écoulée et fixera les objectifs de son armée pour 2023 lors d'une réunion avec les hauts responsables militaires russes mercredi, a annoncé le Kremlin.
Le ministre de la Défense Sergueï Choïgou rendra notamment des comptes sur "l'état d'avancement de l'opération militaire spéciale" en Ukraine lors de cette rencontre qui impliquera 15'000 responsables.
Situation "extrêmement difficile"
M. Choïgou s'est affiché dimanche dans une vidéo le montrant en train d'inspecter le déploiement des forces russes dans le sud de l'Ukraine. Le ministère n'a pas précisé le lieu exact et la date de cette visite.
Après une série de revers militaires russes dans le nord-est et le sud de l'Ukraine, l'essentiel des combats se concentre actuellement dans l'est de ce pays.
La Russie a opté à partir d'octobre pour des bombardements massifs sur les infrastructures ukrainiennes, qui causent des coupures de courant et d'eau.
Vladimir Poutine a admis mardi que la situation était "extrêmement difficile" dans les quatre régions du sud et de l'est de l'Ukraine dont Moscou revendique l'annexion sans les avoir entièrement conquises.
Un gradé de haut rang de l'armée ukrainienne, le général Serguiï Naïev, a pour sa part affirmé voir une "augmentation du niveau de menace" d'une potentielle attaque russe à partir du Bélarus voisin, comme ce fut le cas dans les premiers jours du conflit.
Vladimir Poutine s'est rendu lundi au Bélarus pour des entretiens avec son homologue et allié Alexandre Loukachenko, tandis que l'armée russe y prend part actuellement à des manoeuvres "tactiques".
Le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba a minimisé l'impact de cette rencontre mardi, estimant qu'il s'agissait d'une simple "danse" politique et qu'"aucune décision essentielle n'a été prise au cours de cette réunion".
Dans une interview à une chaine française à bord du porte-avions Charles de Gaulle au large de l'Egypte, le président Emmanuel Macron a par ailleurs indiqué que la France a livré dernièrement des lance-roquettes et des batterie de missiles Crotale à l'Ukraine et va poursuivre ses livraisons d'armements au début 2023.
"Ces derniers jours, la France a livré des armes supplémentaires, des lance-roquettes, des Crotale, des équipements au-delà de ce que nous avions déjà fait", a-t-il dit.
"Nous travaillons (...) pour qu'au premier trimestre nous puissions livrer à nouveau des armes et des munitions utiles, pour que les Ukrainiens puissent se défendre face aux bombardements", a ajouté le président français.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un tsunami inonde la ville russe de Severo-Kourilsk
Un tsunami dans l'océan Pacifique a provoqué mercredi des inondations à Severo-Kourilsk, dans le nord de l'archipel russe des Kouriles, a annoncé le ministère des Situations d'urgence.
"Le tsunami a inondé des parties de la ville portuaire de Severo-Kourilsk (...) La population a été évacuée", a écrit le ministère dans un communiqué. Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux ont montré des immeubles envahis par l'eau dans cette ville d'environ 2000 habitants.
Par ailleurs, plusieurs personnes ont été blessées mercredi dans la péninsule du Kamtchatka, sur la côte Pacifique russe, lors du puissant séisme de magnitude 8,7 qui s'est produit près de la côte et a provoqué un tsunami, a annoncé l'agence d'Etat russe Tass, citant les autorités sanitaires régionales.
Le séisme de magnitude 8,7 est le plus puissant dans la région depuis 1952, a indiqué le service régional de sismologie, mettant en garde contre de fortes répliques à venir.
"Le plus fort tremblement de terre depuis 1952 vient de se produire dans la zone sismique du Kamtchatka (...) Vu l'échelle de l'événement, de fortes répliques d'une magnitude de jusqu'à 7,5 sont attendues", a écrit sur Telegram le service géophysique du Kamchatka.
"J'exhorte tout le monde à rester loin de la côte dans les zones menacées par le tsunami et à écouter les annonces par haut-parleur", a écrit sur Telegram le gouverneur du Kamtchatka, Vladimir Solodov.
La centrale de Fukushima évacuée
Au Japon, les employés présents sur la centrale nucléaire de Fukushima (est), accidentée en 2011, ont été évacués mercredi suite à l'alerte au tsunami émise après un puissant séisme au large des côtes russes, a annoncé Tepco, l'opérateur du site.
"Nous avons évacué tous les ouvriers et nos employés", a déclaré à l'AFP une porte-parole de Tepco, ajoutant qu'"aucune anomalie n'a été observée" sur le site. La centrale nucléaire de Fukushima Daiichi avait été dévastée par un séisme et un tsunami historiques en mars 2011, et est en cours de démantèlement.
Un premier tsunami provoqué par le puissant séisme a été observé dans le nord du Japon, avec une hauteur d'environ 30 centimètres, a rapporté la chaîne de télévision NHK.
Dans la foulée de ce tsunami, qui a frappé l'île de Hokkaido (nord), la NHK a averti que les tsunamis suivants pourraient être beaucoup plus hauts. L'agence météorologique japonaise avait précédemment annoncé que des vagues pouvant atteindre jusqu'à 3 mètres étaient attendues le long des côtes nord et est du Japon, jusqu'au sud d'Osaka.
Le Mexique en alerte
Le gouvernement mexicain a donné l'ordre mercredi à la Protection civile de maintenir la population éloignée de la côte Pacifique.
La Marine du Mexique a dit s'attendre, dans un rapport, à des "courants forts à l'entrée des ports", de l'Etat de Basse-Californie (nord-ouest) jusqu'au Chiapas (sud), sur la côte ouest du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
L'Australie va interdire YouTube aux moins de 16 ans
L'Australie va se doter d'une loi pour interdire la plateforme de vidéo en streaming YouTube aux moins de 16 ans afin de les protéger contre les "algorithmes prédateurs", a annoncé mercredi la ministre de la Communication, Anika Wells.
"Il y a une place pour les réseaux sociaux, mais il n'y a pas de place pour les algorithmes prédateurs ciblant les enfants", a écrit Mme Wells dans un communiqué.
Deux enfants australiens sur cinq disent avoir visionné des contenus inappropriés sur la plateforme américaine, a affirmé la ministre.
Concrètement, "les jeunes âgés de moins de 16 ans ne seront pas en mesure d'avoir un compte sur YouTube", a décrit le Premier ministre Anthony Albanese à la presse mercredi.
"Nous voulons que les familles et parents australiens sachent que nous les soutenons", a ajouté le chef du gouvernement travailliste.
Le Parlement australien a déjà adopté en novembre 2024 une loi pionnière en matière de régulation de l'internet, interdisant l'accès aux réseaux sociaux tels que TikTok, X ou encore Facebook et Instagram pour les moins de 16 ans. Le texte, qui a bénéficié d'un soutien bipartisan, invoquait des raisons similaires.
Le gouvernement avait cependant indiqué que YouTube, très largement utilisé en cours à l'école, ne serait pas concerné.
La plateforme "n'est pas un réseau social", a réagi mercredi un porte-parole de ce site parmi les plus fréquentés au monde.
"Notre position reste claire: YouTube est une plateforme de partage de vidéos avec une bibliothèque de contenu gratuit, de haute qualité, de plus en plus regardé sur les écrans de télévision", s'est défendu le géant du streaming après ce revirement politique.
La mesure voulue par le gouvernement pourrait n'être que symbolique, ont averti des experts, peu de détails ayant filtré quant aux modalités de son application aux plateformes, prévue pour le 10 décembre.
Les sites visés, qui risquent jusqu'à 49,5 millions de dollars australiens d'amende (25,94 millions de francs) s'ils ne coopèrent pas, ont qualifié de "vague", "problématique" ou encore "précipité" le projet du gouvernement. TikTok a accusé le gouvernement d'ignorer les experts de la santé mentale, de la sécurité en ligne et des jeunes, qui s'opposent à cette mesure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: trois soldats tués, 18 blessés par une frappe russe
Au moins trois soldats ukrainiens ont été tués et 18 blessés par une frappe russe mardi contre un camp d'entraînement militaire, a annoncé l'armée ukrainienne.
Ces attaques interviennent alors que le président américain Donald Trump a donné dix jours à compter de mardi à son homologue russe Vladimir Poutine pour mettre un terme au conflit, sous peine de sanctions des Etats-Unis.
"L'ennemi a lancé une frappe de missile sur le territoire d'une des unités à l'entraînement des forces terrestres", a indiqué l'armée de terre sur Facebook. "Trois militaires sont morts et 18 sont blessés", a-t-elle ajouté, sans préciser où l'attaque s'est produite.
Sur la journée de mardi, la Russie a tiré "six missiles" et mené "1229 frappes" avec des drones suicide, a détaillé l'armée.
Au cours de la nuit précédente, au moins 25 civils avaient été tués et plus de 70 personnes blessées par une série de frappes russes, selon les autorités. Parmi les morts figurent une quinzaine de détenus d'une colonie pénitentiaire de la région de Zaporijjia (sud).
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé sur les réseaux sociaux cette attaque contre une prison, estimant qu'"il s'agissait d'une frappe délibérée, intentionnelle" et que "les Russes ne pouvaient ignorer qu'ils y visaient des civils".
Le Kremlin a démenti, par la voix de son porte-parole Dmitri Peskov, s'en prendre à "des cibles civiles", affirmant que l'armée russe n'effectuait des bombardements que "sur des infrastructures militaires ou liées à l'armée".
"Aucun progrès"
L'armée de l'air ukrainienne a expliqué avoir fait face dans la nuit de lundi à mardi à deux missiles et 37 drones ou leurres, dont 32 ont été abattus. Ce nombre est plus bas que d'habitude alors que la Russie a intensifié ses frappes ces derniers mois, étant capable de tirer plus de 500 engins par nuit.
Volodymyr Zelensky a accusé les militaires russes d'avoir tiré sur un hôpital de la ville de Kamianske, dans la région de Dnipropetrovsk (centre), y provoquant la mort de trois personnes dont une femme enceinte de 23 ans, et en blessant 22.
D'autres attaques russes ont fait six morts dans la région de Kharkiv (nord-est), ont fait savoir les autorités. La ville de Kharviv était à nouveau visée mercredi à l'aube par une attaque de drones, selon le maire Igor Terekhov.
"Poutine rejette un cessez-le-feu, évite une réunion des dirigeants et prolonge la guerre", s'est agacé mardi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga, appelant à priver la Russie de son "budget de guerre".
De son côté, Donald Trump a accentué la pression en précisant son ultimatum lancé à Vladimir Poutine: ce dernier dispose de dix jours - à compter de mardi - pour mettre fin à la guerre déclenchée par l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022. Sans quoi les Etats-Unis infligeront des sanctions à Moscou, des "droits de douane et d'autres choses".
"Il n'y a aucune raison d'attendre. Nous ne voyons aucun progrès", avait justifié lundi le président américain, qui avait d'abord privilégié l'option du dialogue mais avec très peu de résultats.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Vatican: le pape s'offre un bain de foule auprès de 120'000 jeunes
Le pape Léon XIV s'est offert mardi soir à Rome un bain de foule surprise auprès de quelque 120'000 jeunes catholiques de tous les continents réunis pour une semaine de pèlerinage dans le cadre du Jubilé, "Année sainte" de l'Eglise.
Le Vatican a annoncé la participation de quelque 500'000 personnes de 146 pays pour cette semaine d'évènements culturels, religieux et festifs consacrée aux étudiants et jeunes professionnels, et jusqu'à un million pour le week-end de clôture avec le pape Léon XIV.
Mardi soir, environ 120'000 personnes selon le Vatican ont participé à la messe d'ouverture sur la place Saint-Pierre, où le responsable de l'organisation du Jubilé a souhaité la bienvenue aux jeunes "du monde entier", notamment de régions touchées par la guerre, comme "l'Ukraine et la Palestine".
A l'issue de la messe, le pape Léon XIV a fait une apparition surprise avant de bénir les fidèles à bord de sa "Papamobile", sous les vivats de la foule. Dans une ambiance survoltée, il a parcouru au crépuscule les allées de la célèbre place et descendu la Via della Conciliazione, l'artère principale menant au Vatican, noyée sous les drapeaux de différents pays.
Il s'agit de la première rencontre majeure entre les jeunes catholiques et Robert Francis Prevost, qui a succédé le 8 mai au pape François, très populaire auprès de la jeune génération.
Depuis lundi, les groupes de fidèles, laïcs et religieux, inondent les rues de la capitale italienne pour cet évènement surnommé les "Petites journées mondiales de la Jeunesse" (JMJ), fondées par le pape Jean-Paul II.
Influenceurs
Pour la première fois, le Vatican a choisi de consacrer une série d'évènements aux influenceurs catholiques, signe de l'importance croissante des réseaux sociaux pour l'Eglise catholique, dont une messe mardi matin avec le pape.
Accueilli par une nuée de smartphones dans une ambiance chaleureuse, Léon XIV les a mis en garde contre le danger de porter atteinte à la "dignité humaine" dans un contexte croissant d'utilisation de l'IA et la propagation de fausses informations.
Francesca Parisi, influenceuse de 31 ans qui se présente comme "missionnaire numérique" sur Tiktok et Instagram, a expliqué à l'AFP considérer son activité en ligne comme "une forme d'apostolat plutôt qu'un travail". "J'aime parler de manière légère, surtout parce que nous sommes de toute façon sur les réseaux sociaux, qui ont leur propre registre linguistique", a-t-elle déclaré.
Conflits, réchauffement climatique, IA
Parmi les sujets de préoccupation les plus cités par les participants figurent les conflits dans le monde, les dangers liés à l'IA ou le réchauffement climatique.
"Le sujet le plus important pour moi c'est la guerre, tout le monde ici en parle, y pense, nous voulons vraiment savoir ce que le pape pense et ce qu'il attend de nous", a expliqué à l'AFP Tiago Santos, jeune Portugais de 25 ans.
Malgré la guerre au Proche-Orient et les récentes attaques meurtrières contre des églises, "voir autant de jeunes venir pour ce même but me donne foi en l'humanité", a pour sa part confié Theophanie Nasta, 26 ans, une Libanaise qui voyage pour la première fois à l'étranger.
Plus tôt mardi, quelque 600 catéchumènes (futurs baptisés) et néophytes français ont été reçus au Vatican par le pape américain, qui les a invités à "renoncer à une culture de la mort très présente dans notre société".
Ce rassemblement international est présenté comme le point d'orgue du Jubilé lors duquel les pèlerins peuvent recevoir l'"indulgence plénière", le pardon des péchés selon la tradition.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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