International
Le carnaval de Dunkerque fait son grand retour après le Covid-19
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Après trois éditions perturbées par le Covid-19, le carnaval de Dunkerque, l'un des principaux de France, a entamé dimanche son grand retour. Un millier de fêtards déguisés ont défilé pour la première bande de la saison carnavalesque qui se poursuit jusqu'à mi-avril.
"C'est du bonheur, ça nous a tellement manqué", lance Sébastien Demoulin, cuisinier de 42 ans, en fourrure, chapeau à gigantesques plumes de faisan et maquillage noir pailleté dans les rues de Cappelle-la-Grande (Nord), dans la périphérie de Dunkerque, où se déroulait dimanche la fête inaugurale. "On ressort les cletches (costumes, NDLR) et c'est reparti! Le carnaval, c'est la vie..."
Comme le veut la tradition des Flandres, habitants comme visiteurs d'un jour sont déguisés. Les masquelours (personnes déguisées) se retrouvent chez des particuliers ou des institutions ouvrant leurs portes pour l'occasion, et défilent dans la rue en "bande", en lignes bras dessus bras dessous derrière le tambour-major et la clique qui entonnent les airs traditionnels repris par la foule.
Besoin de cohésion
"Ça manquait tellement le carnaval! Hier soir je me disais, il faut que ça reparte, sinon je vais péter un câble", assure Christian Deroo, boucher retraité, arborant une veste composée de 1500 bouchons plastiques assortie de collants oranges et de vertigineuses sandales à talons.
"C'est les retrouvailles", a déclaré à l'AFP le maire socialiste de Cappelle-la-Grande, Julien Gokel. "On sent un besoin de cohésion, et de sortir d'un quotidien morose pour vivre une fraternité qui dépasse tous les clivages sociaux", a-t-il ajouté, saluant une affluence "plutôt élevée".
Les animations, comme le concert des Prouts, groupe star du carnaval, et une épreuve qualificative du championnat du monde du cri de la mouette, ont fait le plein malgré deux matches de Coupe de France de football dimanche dans le Dunkerquois.
"Communion dans la joie"
Pour le chanteur des Prouts, Christophe Paulino, qui s'est produit sur scène samedi soir pour la première fois depuis trois ans, "ça fait du bien, cette communion dans la joie!".
L'édition 2020 du carnaval a été interrompue en cours de route par le confinement, l'édition 2021 annulée toujours à cause du Covid-19, et l'édition 2022 suspendue par les maires en raison d'une flambée de la pandémie.
Quelques bandes s'étaient malgré tout improvisées, l'occasion de retrouver "le côté créatif, spontané et participatif de carnaval", a souligné M. Paulino.
L'événement-phare du carnaval est le jet de harengs prévu le 19 février. Il rassemble habituellement des dizaines de milliers de carnavaleux devant la mairie de la ville portuaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
Culture
La chanteuse Nicole Croisille est morte à 88 ans
Nicole Croisille, voix de la chanson française dans les années 1970 mais aussi comédienne et danseuse, est morte à 88 ans dans la nuit de mardi à mercredi "des suites d'une longue maladie", a annoncé son agent à l'AFP mercredi.
"Jusqu'au bout, elle s'est battue avec beaucoup de force et de courage", a déclaré Jacques Metges, indiquant que l'interprète des tubes "Parlez-moi de lui" et "Téléphone-moi" et de l'entêtant "dabadabada" du film "Un homme et une femme" était décédée à Paris.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Taipei et Washington commémorent les victimes de Tiananmen
Le président taïwanais Lai Ching-te a promis mercredi d'entretenir la mémoire des victimes de la place Tiananmen. Il a fait écho au secrétaire d'Etat américain Marco Rubio, 36 ans après les manifestations réprimées par le pouvoir chinois.
Des soldats et des chars chinois avaient fait évacuer de force les protestataires de la place de Pékin attenante à la Cité interdite le 4 juin 1989, après plusieurs semaines de manifestations organisées pour réclamer davantage de libertés politiques.
Le bilan exact de la répression reste inconnu. Des centaines de personnes sont mortes, voire plus d'un millier, selon plusieurs estimations.
Les autorités communistes cherchent depuis à supprimer toute évocation publique de l'événement.
"Les gouvernements autoritaires choisissent souvent de réduire l'histoire au silence et de l'oublier. Les sociétés démocratiques choisissent de préserver la vérité et refusent d'oublier ceux qui ont contribué à l'idéal des droits humains", a écrit le président taïwanais dans une publication sur Facebook, en amont d'une veillée devant se tenir à Taipei, place de la Liberté.
"Nous nous souvenons du sacrifice de nos prédécesseurs, nous connaissons la valeur de la liberté, et nous ne pouvons ignorer l'érosion de la démocratie" dans le monde, a ajouté M.Lai.
Des commémorations publiques sont organisées chaque année à Taïwan. Pékin considère l'archipel comme une partie de son territoire et a menacé de recourir à la force pour en prendre le contrôle.
Les Etats-Unis ont eux aussi pris la parole: "le monde n'oubliera jamais" ce qui s'est passé en 1989 même si Pékin "tente activement de censurer les faits", a lancé le secrétaire d'Etat Marco Rubio dans un communiqué.
"Nous commémorons aujourd'hui la bravoure des Chinois qui ont été tués alors qu'ils essayaient d'exercer leurs libertés fondamentales, et de ceux qui continuent de souffrir de persécutions" en cherchant à ce que justice soit rendue pour "les événements du 4 juin 1989", a-t-il ajouté.
En tant que sénateur, avant son entrée dans l'administration Trump, M. Rubio s'est souvent exprimé pour défendre les droits humains, tout particulièrement en Chine, notamment en ce qui concerne la minorité ouïghoure, très majoritairement musulmane, qui constitue le principal groupe ethnique du Xinjiang (nord-ouest).
Depuis plusieurs années, les défenseurs des droits humains accusent Pékin de mener une répression contre les Ouïghours et d'autres minorités musulmanes du Xinjiang, incluant le travail forcé et la mise en détention dans des camps.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Une tournée américaine entre repérage et peaufinage
L'équipe de Suisse va disputer deux matches de préparation aux Etats-Unis ces prochains jours. A trois mois des qualifications du Mondial 2026 le sélectionneur Yakin doit trouver la bonne formule.
A un an de la Coupe du monde en Amérique du Nord, la Suisse est partie en repérage. Certes, ni Salt Lake City, où elle a atterri et affrontera samedi le Mexique (22h00 en Suisse), ni Nashville, où elle défiera les Etats-Unis trois jours plus tard (mercredi 2h00 en Suisse), n'accueilleront de matches lors du Mondial, mais Murat Yakin souhaitait mettre ses joueurs à l'heure américaine. Histoire de leur donner un avant-goût, ainsi que toute la motivation nécessaire pour y retourner en juin 2026.
"C'est pour cela qu'on a décidé d'organiser ce voyage, pour dire +Ok les gars, nous voulons revenir ici dans un an+. C'est le message que nous voulons faire passer", avait insisté le Bâlois au moment de révéler sa liste le 22 mai.
Il faut également rappeler que la tenue de l'Euro féminin en Suisse en juillet a compliqué l'organisation de matches de la sélection masculine à domicile. C'est aussi pour cette raison que l'ASF a tout fait pour que cette tournée américaine puisse avoir lieu.
Le retour des cadres
Au mois de mars, Murat Yakin avait dû composer avec l'absence de plusieurs cadres - Granit Xhaka et Manuel Akanji, pour ne citer qu'eux - et avait fait appel à trois néophytes: Stefan Gartenmann, Lucas Blondel et Isaac Schmidt.
Les trois défenseurs sont encore de la partie et ont été rejoints par un autre petit nouveau: Johan Manzambi. Le talentueux milieu de terrain genevois de 19 ans a été récompensé pour son excellente fin de saison au SC Fribourg, avec qui il a terminé 5e de Bundesliga.
Hormis, Ruben Vargas, qui se remet encore d'une blessure à une cuisse contractée début avril, tous les hommes forts du sélectionneur bâlois ont fait le voyage outre-Atlantique. Alors que la dernière trêve internationale avait été l'occasion pour Yakin de réaliser une large revue d'effectif, il doit désormais trouver la bonne formule au pays de l'Oncle Sam avant le premier match des qualifications face au Kosovo, le 5 septembre à Bâle.
Les retours de Xhaka et d'Akanji dans le onze de départ ne font aucun doute. En attaque, Breel Embolo et Dan Ndoye semblent intouchables, tout comme Gregor Kobel devant le but. Mais Yakin fait sans doute face à un casse-tête en ce qui concerne le milieu de terrain.
Zakaria en défense?
Avec son statut de meilleur joueur du championnat belge, Ardon Jashari mérite de figurer dans le onze de départ. Tout comme Denis Zakaria, capitaine d'un AS Monaco qui sera encore au rendez-vous de la Ligue des champions la saison prochaine. Et avec Remo Freuler et Vincent Sierro, "Muri" dispose de deux autres milieux tout à fait capables d'endosser le costume de titulaire.
"Nos meilleurs joueurs jouent au centre du terrain", a justement évoqué Yakin lundi lors d'un point presse organisé dans l'avion reliant Zurich à Salt Lake City. "C'est à moi de créer un système qui permet d'aligner les meilleurs. Mais je ne veux pas me borner à un seul schéma que j'essaierais à tout prix d'imposer."
Pour résoudre ce casse-tête, Yakin pourrait bien aligner Zakaria au sein d'une défense à trois, en tout cas face au Mexique, aux côtés d'Akanji et d'un troisième homme qui pourrait être Ricardo Rodriguez. Cela offrirait le flanc gauche à Miro Muheim, lequel a montré face au Luxembourg en mars (3-1) tout ce qu'il pouvait apporter dans ce rôle de piston.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le Zimbabwe va abattre des éléphants et distribuer la viande
Le Zimbabwe va abattre des dizaines d'éléphants et distribuer leur viande pour la consommation. Le but de la manoeuvre est de réduire leur forte prolifération, a affirmé mardi l'autorité chargée de la protection de la faune et de la flore.
Ce pays d'Afrique australe abrite la deuxième plus grande population d'éléphants au monde après le Botswana.
L'abattage, prévu dans une vaste réserve privée du sud-est du pays, viserait dans un premier temps 50 éléphants, a indiqué l'Autorité des parcs et de la faune sauvage du Zimbabwe (ZimParks) dans un communiqué.
Elle n'a pas précisé combien d'animaux seraient abattus au total ni sur quelle période.
En 2024, selon une étude aérienne, la réserve, la Save Valley Conservancy, comptait 2550 éléphants, soit plus de trois fois sa capacité d'accueil, qui est de 800, a indiqué ZimParks.
Au moins 200 d'entre eux ont été transférés dans d'autres parcs ces cinq dernières années.
"La viande d'éléphant provenant de l'exercice de gestion sera distribuée aux communautés locales, tandis que l'ivoire sera la propriété de l'État et sera remise à ZimParks pour être conservée", selon cette dernière.
Le Zimbabwe ne peut vendre son stock de défenses en raison de l'interdiction mondiale du commerce de l'ivoire, et met celles qu'il trouve dans des entrepôts gouvernementaux.
L'annonce de mardi est intervenue au lendemain de l'arrestation de quatre personnes à Harare, la capitale, en possession de plus de 230 kg d'ivoire pour lesquels elles cherchaient prétendûment un acheteur.
En 2024, le Zimbabwe a abattu 200 éléphants en raison d'une sécheresse sans précédent qui a entraîné des pénuries alimentaires. Il s'agissait du premier abattage important depuis 1988.
La décision de chasser les éléphants pour se nourrir a suscité de vives critiques, d'autant plus que ces animaux constituent une attraction touristique majeure.
En septembre 2024 en Namibie voisine, le gouvernement avait annoncé l'abattage de plus de 700 animaux sauvages - dont des hippopotames, éléphants, buffles ou zèbres - notamment pour nourrir les populations affamées par la pire sécheresse depuis des décennies.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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