Culture
Oscars: "Everything Everywhere All At Once" mène la course
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La comédie "Everything Everywhere All At Once" a été nominée 11 fois aux Oscars mardi et mène la course aux prestigieuses statuettes. Celles-ci seront remises le 12 mars à Hollywood.
Cette comédie indépendante avait connu un beau succès en salles lors de sa sortie au printemps. Elle devance notamment le long-métrage allemand "A l'Ouest rien de nouveau" (9 nominations), la tragicomédie irlandaise "Les Banshees d'Inisherin" (9 nominations), le biopic "Elvis" sur la légende du rock'n'roll (8 nominations), et le très intime "The Fabelmans" de Steven Spielberg (7 nominations).
L'Académie a également honoré les blockbusters "Top Gun: Maverick" et "Avatar: la voie de l'eau", qui ont largement rempli les salles obscures trop souvent délaissées depuis la pandémie.
Ils sont tous deux nominés pour le prix du meilleur film. Dans cette catégorie reine, ils devront entre autres faire face au biopic "Elvis" sur la légende du rock'n'roll, l'émouvant "The Fabelmans" dans lequel Steven Spielberg dévoile son enfance, l'impressionnant "Tar" où Cate Blanchett campe une cheffe d'orchestre impitoyable, et la dernière Palme d'or cannoise "Sans Filtre".
Avec son scénario déjanté versant dans la science-fiction, "Everything Everwhere All At Once" raconte l'histoire d'une propriétaire de laverie épuisée par ses tracas administratifs, soudainement plongée dans des univers parallèles.
Outre l'Oscar du meilleur film, ses créateurs Daniel Kwan et Daniel Scheinert sont également nominés pour l'Oscar du meilleur réalisateur. Les autres personnages de ce long-métrage valent également une nomination pour la statuette du meilleur second rôle à leurs interprètes, l'acteur Ke Huy Quan et les comédiennes Jamie Lee Curtis et Stephanie Hsu.
Diversité, l'éternel débat
Sa tête d'affiche, la Malaisienne Michelle Yeoh, a déjà remporté un Golden Globe début janvier. Elle est désormais la deuxième Asiatique dans l'histoire des Oscars a être nommée pour la statuette de la meilleure actrice et son duel avec Cate Blanchett ("Tar") s'annonce très disputé.
Les autres nominations de cette catégorie sont toutefois susceptibles d'alimenter les critiques envers le manque de diversité des Oscars, routiniers du fait depuis le lancement du hashtag #oscarssowhite en 2015. Aucune actrice noire ne figure dans la liste, malgré les prestations remarquées de Viola Davis dans le film d'action "The Woman King" et de Danielle Deadwyler dans "Till", qui confronte le passé ségrégationniste de l'Amérique.
L'Académie leur a préféré Ana de Armas, pour son interprétation d'une Marilyn Monroe perpétuellement brutalisée dans "Blonde", Michelle Williams, qui incarne la mère de Steven Spielberg dans "The Fabelmans", et Anbdrea Riseborough pour l'inattendu "To Leslie".
Sur les réseaux sociaux, un début de polémique entoure également la catégorie meilleur réalisateur, où ne figurent que des hommes cette année, dont l'incontournable Spielberg, déjà récompensé aux Golden Globes.
Pour le prix du meilleur acteur, Colin Farrell a été nominé pour son rôle d'insulaire irlandais accablé par la rupture soudaine des liens avec son ami de toujours, dans "Les Banshees d'Inisherin". Il affrontera notamment Austin Butler, plus vrai que nature dans son incarnation du mythe Elvis Presley, et Brendan Fraser, nommé pour son personnage de professeur obèse reclus chez lui dans "The Whale".
Pas de productions suisses
Les productions suisses n'ont pas été retenues cette année pour les Oscars. Le film "Saint Omer" de Alice Diop avec la jeune comédienne genevoise Kayije Kagame dans le rôle principal était en lice pour la France dans la catégorie "International Feature Film": il n'a pas été nominé mardi. Le film suisse "Drii Winter" de Michael Koch avait été éliminé dès le premier tour de la course aux Oscars étrangers fin décembre.
Quant aux prédictions, elles s'annoncent ardues. "Cette année est l'une des plus incertaines", résumait avant les annonces le journaliste spécialisé Clayton Davis, du magazine Variety. Il racontait avoir parlé "plus que n'importe quelle année" à de nombreuses sources parmi les votants de l'Académie des arts et sciences du cinéma pour sonder leurs votes et tenter d'y voir plus clair. "Et je n'en ai jamais su aussi peu de toute ma carrière!", avait-il ajouté auprès de l'AFP.
Les pronostics sont rendus encore plus compliqués par le récent afflux de nouveaux membres de l'Académie venus de l'étranger, et à qui certains attribuent par exemple le succès du film sud-coréen "Parasite", en 2020.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
La comédienne française Vanessa Paradis en tournage en Valais
La star française Vanessa Paradis tourne dans un film en Valais depuis la semaine dernière. Elle incarne Irène, héroïne du troisième long-métrage du réalisateur Yann Gonzalez "J'oublierais ton nom".
Le tournage de cette co-production franco-suisse, se déroule durant six nuits dans plusieurs lieux emblématiques du Valais, comme Viège et Tourtemagne, indique la Valais Film Commission dans un communiqué. Les équipes techniques suisses et françaises "travaillent en étroite collaboration avec les autorités locales".
Une passion amoureuse
Dans ce film, Vanessa Paradis joue Irène, institutrice le jour dans un petit village de montagne. La nuit, elle séduit des hommes qu’elle ne revoit jamais jusqu’au jour où elle croise le chemin de Terence, un jeune fugueur dont Irène tombe éperdument amoureuse. Elle ignore encore que cette passion va la conduire aux confins d’un monde fantastique et inquiétant.
"La présence du réalisateur Yann Gonzales, du chef opérateur Simon Beaufils et de Vanessa Paradis dans le rôle principal marque une nouvelle étape dans l’évolution de la VFC et souligne son effort de promotion et de sensibilisation à l’international", se réjouit Tristan Albrecht, Valais Film Commissioner.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Lausanne: les aînés proposent des balades estivales à thème
Les guides d'accueil du Mouvement des aînés Vaud (MdA) invitent à découvrir Lausanne sous des facettes emblématiques ou méconnues à partir du 12 juin. D'une durée de 1h30 à 2h00 en moyenne, la dizaine de visites thématiques proposées sont gratuites et sans inscription. Elles s'étalent jusqu'au 14 septembre.
Sous le nom évocateur "Lausanne à l'heure d'été", ce programme est une invitation à porter un regard neuf sur Lausanne, à travers l'histoire, l'architecture, la nature, les arts ou encore les récits de vie, expliquent les organisateurs dans un communiqué.
"Les visites sont animées par des guides passionnés, bénévoles et formés, qui partagent avec enthousiasme leur connaissance du patrimoine lausannois. Certaines balades sont même théâtralisées ou interactives, pour une expérience immersive et ludique", ajoutent-ils. Cette année, la cathédrale de Lausanne sera particulièrement mise à l'honneur à l'occasion de son 750e anniversaire.
Outre les visites estivales, les guides d'accueil du MdA proposent également des visites de la vieille ville, - payantes celles-ci -, les jours ouvrables du 1er mai au 30 septembre.
www.lausanne-a-pied.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Magma: éruption d'un nouveau festival à Sévelin à Lausanne
Le Théâtre de Sévelin 36 à Lausanne présente un nouveau festival de danse. Baptisé "Magma", il se tiendra du 13 au 15 juin prochain et se veut une "éruption de propositions artistiques vibrantes et locales. Cette première édition se déroulera en plein air et devant le théâtre.
Spectacles, open stages, mini-performances, échauffements collectifs, DJ sets, ateliers pour enfants et un "Battle Krump" (danse exutoire) 100% féminin: Magma invite à se laisser traverser par l'énergie de la danse, annoncent les organisateurs dans un communiqué.
Le premier jour du festival, une vingtaine d'étudiants et étudiantes de l'EPFL et de l'UNIL monteront sur scène pour présenter "DÆNCITY", l'aboutissement de cinq jours de résidence artistique intensive en avril dernier à Sévelin 36. A découvrir aussi, des mini-formats, par exemple quatre courtes pièces chorégraphiques imaginées spécialement pour le festival. Certains spectacles mêleront danses traditionnelles et danses de clubbing, indiquent les responsables.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Pas encore de verdict au procès Weinstein, qui se dit innocent
Les douze jurés chargés de décider d'un verdict au procès pour agressions sexuelles et viol de l'ancien producteur roi du cinéma Harvey Weinstein n'ont pas accordé leurs violons vendredi après deux jours de délibérations. Ils reprendront leur huis clos lundi.
Alors qu'il avait renoncé à être interrogé durant les six semaines de débats, Harvey Weinstein a lui réaffirmé son innocence dans une interview au téléphone avec la chaîne locale FOX5NY, diffusée vendredi.
"J'ai des regrets d'avoir mis ma famille là-dedans, d'avoir mis ma femme là-dedans et d'avoir commis des actes immoraux (...) mais jamais illégaux, jamais criminels", a assuré l'ancien producteur de 73 ans.
L'accusé comparaît détenu mais a obtenu de dormir à l'hôpital pendant le procès, à cause de nombreux problèmes de santé.
Celui qui est devenu le visage honni du mouvement #metoo contre les violences sexuelles a aussi accusé les trois femmes qui ont témoigné contre lui au procès de l'avoir fait pour des motivations financières, une thèse déjà mise en avant par ses avocats, et qu'elles ont réfuté vigoureusement.
Son interview a été diffusée au deuxième jour des délibérations des douze jurés, qui se sont séparés vendredi sans s'accorder sur un verdict.
"Nous aurons besoin de plus de temps pour délibérer", ont-ils fait savoir dans une note lue par le juge Curtis Farber.
Signe de possibles tensions, l'un d'eux a demandé à être démis de ses obligations après s'être plaint du comportement d'autres jurés. Mais le juge a catégoriquement refusé, trouvant normal que "ça puisse parfois chauffer" dans le huis clos des délibérations.
"Ne fais pas ça"
Le jury doit décider à l'unanimité si l'ancien puissant producteur, accusé par des dizaines de femmes d'être un prédateur sexuel, s'est rendu coupable d'agressions sur l'ancienne assistante de production Miriam Haley en 2006 et sur l'ex-mannequin Kaja Sokola la même année, en les forçant à subir un cunnilingus, et de viol en 2013 sur l'aspirante actrice Jessica Mann.
Les jurés ont demandé que leur soient relus de longs extraits des témoignages de ces trois femmes, qui ont raconté comment l'accusé leur avait imposé une relation sexuelle, après les avoir attirées dans son appartement ou une chambre d'hôtel à New York.
"S'il te plaît arrête, ne fais pas ça", ont-ils entendu par la voix d'une greffière, qui relisait l'audition de Kaja Sokola.
La défense a tout fait pour discréditer ces témoignages, en soulignant que les accusatrices avaient continué de fréquenter le producteur après les agressions alléguées.
Le fondateur des studios Miramax, producteur de films culte comme "Pulp Fiction" et d'innombrables succès ("Sexes, mensonges et vidéo", "Shakespeare in Love"), avait été condamné en 2020 à 23 ans de prison pour les faits concernant Miriam Haley et Jessica Mann, lors d'un procès retentissant qui symbolisait à l'époque une victoire pour le mouvement #MeToo.
Les enquêtes en octobre 2017 du New York Times et du New Yorker sur le tout puissant producteur, dont les films ont été auréolés de dizaines d'Oscars, avaient provoqué une onde de choc planétaire, libérant la parole de nombreuses victimes et contraignant les sociétés à de profondes remises en question sur la place des femmes.
Mais l'année dernière, la cour d'appel de New York avait annulé tout le procès, parce que d'autres victimes présumées avaient pu témoigner aux débats et raconter des agressions pour lesquelles Harvey Weinstein n'était pas inculpé.
Le procès s'est donc rejoué depuis mi-avril devant la cour pénale de Manhattan. Il a aussi porté sur l'agression sexuelle présumée contre Kaja Sokola, en 2006, des faits jugés pour la première fois au pénal.
A partir de sa chute, en 2017, Harvey Weinstein a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd.
Il n'a jamais reconnu aucune agression, évoquant toujours des relations consenties.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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