International
Une femme de 85 ans tuée par un alligator en Floride
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Une femme âgée de 85 ans a été tuée par un alligator en Floride alors qu'elle promenait son chien au bord d'un lac dans une résidence pour retraités, ont rapporté les médias américains.
Une voisine dans cette résidence de Spanish Lakes Fairways, à Fort Pierce, a raconté avoir vu la victime, venue au secours de son chien attaqué lundi par le reptile de 3 mètres de long, être à son tour emportée dans l'eau.
"Je me souviens juste d'elle en train de remonter à la surface et prendre des goulées d'air. Je lui ai dit: 'Nage vers le pédalo' et elle m'a répondu 'Je ne peux pas, l'alligator me tient'", a raconté cette voisine, identifiée seulement par son prénom, Carol, par la chaîne locale WPBF.
Carol, 77 ans, a alors prévenu les secours et tenté de secourir son amie au moyen d'une perche, mais "elle n'était plus là".
Le chien a survécu, mais sa propriétaire a succombé à ses blessures, a indiqué aux médias l'Agence de Floride pour la pêche et la préservation de la faune (FWC), qui a présenté ses condoléances aux proches de la victime.
L'alligator, repéré notamment grâce à un hélicoptère du bureau du shérif local, a été capturé. Il pesait autour de 300 kg, selon l'un des employés de l'entreprise spécialisée dans la capture de ces bêtes, cité par WPBF.
Ces reptiles sont communs en Floride, traversant parfois la rue ou profitant du soleil sur le gazon des clubs de golf.
Mais selon la FWC, la probabilité qu'un habitant de Floride soit blessé par eux n'est que d'une sur 3,1 millions. En outre, entre 1948 à 2021 - les derniers chiffres disponibles - seules 26 morsures ont été mortelles.
Selon Carol, la victime, une personne "discrète et gentille" qui n'a pas encore été identifiée, était veuve.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'armée israélienne dit avoir intercepté un missile tiré du Yémen
L'armée israélienne a annoncé jeudi avoir intercepté un missile lancé du Yémen. Lundi, elle avait mené une série d'attaques contre les infrastructures des rebelles houthis dans ce pays.
"A la suite du déclenchement il y a peu de temps des sirènes d'alerte dans plusieurs régions d'Israël, un missile lancé du Yémen a été intercepté", a indiqué l'armée sur le réseau social X.
L'armée israélienne avait bombardé tôt lundi le port de Hodeida et d'autres zones sous contrôle des insurgés yéménites soutenus par l'Iran, qui avaient riposté par des tirs de missiles eux aussi interceptés.
Depuis la fin 2023, les Houthis lancent régulièrement des missiles vers Israël, la plupart interceptés avant leur entrée dans l'espace aérien israélien. Ils ont aussi attaqué des navires considérés comme liés à l'Etat hébreu, affirmant agir par solidarité avec les Palestiniens dans la bande de Gaza où l'armée israélienne est en guerre contre le Hamas.
Les rebelles yéménites ont revendiqué mercredi une attaque contre un navire marchand en mer Rouge, la deuxième en 24 heures contre un bateau dans cette voie maritime essentielle pour le commerce mondial.
Mardi, les Etats-Unis, alliés d'Israël, ont accusé les Houthis de "porter atteinte à la liberté de navigation en mer Rouge", malgré un accord de cessez-le-feu en mai avec Washington qui a mis fin à des semaines de bombardements américains des cibles rebelles au Yémen.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La CEDH annonce ce matin sa décision dans l'affaire Semenya
La Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme publie ce jeudi sa décision définitive dans l'affaire de la Sud-Africaine Caster Semenya. En 2023, la cour avait déjà estimé que la Suisse avait violé plusieurs droits de l'athlète hyperandrogène.
Il y a deux ans, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait admis la requête de Caster Semenya sur plusieurs points. Elle avait estimé en particulier que son droit à la vie privée, en relation avec l'interdiction des discriminations, avait été violé par le règlement de World Athletics (WA) imposant aux femmes présentant un excès naturel d'hormones mâles (hyperandrogènes) à prendre des hormones féminines pour participer aux compétitions.
Après sa condamnation il y a deux ans, la Suisse a porté l'affaire devant la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) afin d'obtenir une décision définitive. En effet, le règlement de WA a été confirmé par le Tribunal administratif du sport (TAS), siégeant à Lausanne, puis par le Tribunal fédéral saisi successivement par Caster Semenya.
Examen très restreint
Dans cette affaire, le Tribunal fédéral a analysé les faits avec un pouvoir d'examen très restreint, comme le veut la loi suisse lorsque cette instance agit dans des procédures d'arbitrage. A ce titre, la Sud-Africaine estime que son droit à un procès équitable et à un recours effectif a été également violé par la Suisse.
Athlète spécialisée dans les courses de demi-fond, Caster Semenya se plaint du règlement de WA qui l'oblige à réduire son taux naturel de testostérone afin de pouvoir participer aux compétitions internationales dans la catégorie féminine.
Après le TAS, le Tribunal fédéral a débouté la Sud-Africaine en 2020. Il a estimé en substance que le règlement attaqué était une mesure apte et nécessaire aux buts légitimes de l'équité sportive.
La sportive, qui présente un excès naturel d'hormones sexuelles mâles, mène depuis plus de dix ans un bras de fer avec WA. Expertises à l'appui, cette dernière a défini en avril 2018 un seuil maximal de testostérone (5 nanomoles par litre de sang) pour concourir avec les femmes sur des distances allant du 400 m au mile (1609 m), et englobant donc le 800 m où la Sud-Africaine excelle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump annonce des taxes de 50% sur le cuivre dès le 1er août
Le Brésil et le cuivre sont les deux nouvelles cibles de l'offensive douanière du président américain Donald Trump. Il a invoqué, pour le premier, la défense de l'ex-président Jair Bolsonaro, jugé pour tentative de putsch, et, pour le deuxième, la sécurité nationale.
"J'annonce une surtaxe de 50% sur le cuivre, qui entrera en vigueur le 1er août 2025, après avoir reçu une évaluation approfondie en matière de sécurité nationale", a déclaré mercredi le président américain sur son réseau social Truth Social, sans doute en référence à une enquête du département du commerce.
"Le cuivre est le deuxième matériau le plus utilisé par le ministère de la défense", a tempêté le milliardaire républicain, évoquant les besoins du pays pour construire des semi-conducteurs, avions, navires, munitions, centres de données et systèmes de défense anti-missiles, entre autres.
Au nom du rééquilibrage des relations commerciales au profit des Etats-Unis, Donald Trump a imposé en avril une surtaxe plancher de 10% sur les importations, y compris si elles ne peuvent être produites sur place, mais avec des exemptions, notamment pour l'or, le cuivre, le pétrole et les médicaments.
Brésil
Il est revenu mardi sur ces exceptions, envisageant par exemple une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques et de 50% sur le cuivre, une menace qui a fait s'envoler le cours du métal de près de 10% à New York mardi, dépassant son sommet historique.
Si les droits de douane sur le cuivre entrent en vigueur, les prix des biens fabriqués avec ce métal (réfrigérateurs, voitures) pourraient grimper, comme pour les autres produits surtaxés à l'importation.
Mercredi, le président américain a aussi annoncé une surtaxe de 50% sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés, car les Etats-Unis dégagent un excédent commercial dans leurs échanges avec le géant sud-américain.
Dans un courrier adressé au président brésilien Lula, M. Trump affirme que ces droits de douane seront imposés en réponse aux poursuites lancées contre Jair Bolsonaro, jugé dans son pays pour tentative de coup d'Etat.
"La manière dont le Brésil a traité l'ancien président Bolsonaro [...] est une honte internationale", écrit M. Trump dans son courrier, estimant que les poursuites contre l'ex-dirigeant brésilien d'extrême droite sont "une chasse aux sorcières [qui] doit cesser immédiatement".
"Toute mesure de hausse des droits de douane de manière unilatérale aura une réponse à la lumière de la loi brésilienne de réciprocité économique", a répondu le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva dans un communiqué.
Une vingtaine de lettres envoyées
Depuis lundi, une vingtaine de pays ont reçu un courrier annonçant la surtaxe qui s'appliquera à compter du 1er août sur leurs produits entrant aux Etats-Unis.
Dans le détail, les produits algériens devraient être taxés à 30% (inchangé par rapport à l'annonce initiale de début avril), tout comme ceux provenant de Libye (-1 point de pourcentage), d'Irak (-9 points) et du Sri Lanka (-14 points), ceux provenant de Moldavie et du Brunei le seront à 25% (respectivement -6 points et +1 point). Quant aux produits philippins, la surtaxe sera de 20% (+3 points).
Lundi, quatorze capitales, principalement d'Asie, avaient reçu une lettre, avec une surtaxe allant de 25% (Japon, Corée du Sud, Tunisie notamment) à 40% (Laos et Birmanie) en passant par 36% (Cambodge et Thaïlande).
Donald Trump avait affirmé mardi qu'il comptait envoyer d'autres lettres cette semaine, notamment vers l'Union européenne (UE). Mercredi, un porte-parole de la Commission européenne a assuré que l'UE comptait parvenir à un accord avec les États-Unis "dans les prochains jours".
L'objectif de l'UE est d'éviter toute surtaxe (au-delà du plancher de 10%), avec des exemptions pour des secteurs clés tels que l'aéronautique, les cosmétiques et les boissons alcoolisées.
Initialement, les nouvelles surtaxes devaient commencer à être collectées le 9 juillet, après un précédent report, mais M. Trump a signé en début de semaine un décret pour repousser la date au 1er août.
Dans ses lettres, M. Trump assure que toute riposte sera sanctionnée par une surtaxe additionnelle de même ampleur.
Le président américain avait annoncé début avril des droits de douane punitifs allant jusqu'à 50% sur les produits des pays ayant un excédent commercial avec les Etats-Unis, avant d'instaurer, face à la panique des marchés, une pause de 90 jours afin de négocier des accords bilatéraux. Pour l'heure, seuls deux ont été annoncés, avec le Royaume-Uni et le Vietnam, alors qu'un compromis a été paraphé avec la Chine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La capitale ukrainienne Kiev encore visée par une attaque russe
Une attaque russe nocturne contre la capitale ukrainienne a fait au moins deux morts, a annoncé le chef de l'administration militaire de Kiev Timour Tkatchenko jeudi matin. Il avait fait état auparavant de 13 blessés.
L'administration militaire de Kiev a mis en garde contre une menace de missile balistique sur la ville. Au moins six districts ont été visés.
Les frappes ou les débris de drones interceptés ont notamment touché des immeubles résidentiels, des véhicules, des entrepôts et des immeubles de bureaux, selon le chef de l'administration militaire Timour Tkatchenko, qui a appelé les habitants à rester dans les abris.
"L'attaque ennemie se poursuit, les forces de défense abattent les cibles ennemies", a-t-il ajouté sur Telegram. L'armée de l'air ukrainienne a pour sa part annoncé qu'un "groupe de missiles" était "en approche de Kiev depuis l'est".
Intensification des attaques
Des journalistes de l'AFP à Kiev ont entendu de puissantes déflagrations sur la ville pendant la nuit et ont vu les explosions de projectiles interceptés par la défense antiaérienne.
Plusieurs dizaines d'habitants ont trouvé refuge dans une station de métro du centre-ville où des matelas et du matériel de camping étaient à leur disposition en attendant la fin de l'attaque.
L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé la nuit précédente sa plus grande attaque aérienne depuis le début de l'invasion en février 2022, avec 728 drones et 13 missiles dont la quasi-majorité a été interceptée, selon Kiev, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique.
Réunions à Londres et Kuala Lumpur
A Londres, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron doivent participer jeudi à une réunion en visioconférence sur l'Ukraine, avec notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la première ministre italienne Giorgia Meloni ou le chancelier allemand Friedrich Merz.
Selon l'Elysée, des représentants américains devraient également y assister. Le président américain Donald Trump a durci le ton contre la Russie ces derniers jours, menaçant de nouvelles sanctions tout en promettant du matériel militaire supplémentaire aux Ukrainiens.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio doit pour sa part rencontrer jeudi son homologue russe Sergueï Lavrov en marge de la réunion des chefs de diplomatie des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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