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"Notre Océan": appels à protéger les eaux internationales

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Déchets sur une plage à Panama City, où s'est ouverte la conférence "Our Ocean". (© KEYSTONE/AP/Arnulfo Franco)

La conférence mondiale "Notre Océan" s'est ouverte jeudi à Panama avec des appels à adopter le plus vite possible un traité international discuté parallèlement à l'ONU pour protéger les eaux internationales. L'UE a promis 800 millions d'euros pour les océans.

La conférence "Our Ocean" est incroyablement importante car c'est une conférence centrée sur l'action et non sur les mots. Il s'agit d'engagements réels et de solutions réelles", a déclaré en ouvrant la réunion John Kerry, envoyé spécial de la Maison Blanche pour le climat.

Le prenant au mot, l'Union européenne (UE) a annoncé dans un communiqué qu'elle consacrera en 2023 plus de 800 millions d'euros (quasiment la même somme en francs) à des programmes de protection de la mer : "l'UE confirme son ferme engagement pour la gouvernance internationale des océans en annonçant 39 engagements concrets pour l'année 2023. Ces actions seront financées à hauteur de 816,5 millions d'euros".

Economie bleue

Quelque 600 délégués de gouvernements, entreprises et ONG vont débattre durant deux jours du cadre à donner à l'"économie bleue" pour l'exploitation durable et la protection des mers et des océans.

Ils plancheront sur les moyens d'élargir les zones marines protégées, réduire la pollution par les plastiques et autres déchets, combattre la pêche illégale et freiner l'exploitation minière sous-marine.

Le président panaméen Laurentino Cortizo a ouvert la conférence en signant un décret élargissant la zone maritime protégée de Banco Volcan (mer caraïbe) de 14'000 à 93'000 kilomètres carrés.

Ainsi, le Panama "protégera 54,33% de sa zone exclusive" maritime, a souligné le ministre panaméen de l'Environnement Milciades Concepcion.

Couloirs maritimes

Parmi les autres initiatives, John Kerry a annoncé que les Etats-Unis, le Panama et les Fidji avaient entamé des discussions en vue de la création de couloirs maritimes écologiques pour la circulation des navires marchands.

Ces couloirs seraient réservés aux navires à émission de carbone faible ou nulle, selon des experts. Ils permettraient également de lutter contre la pêche illégale et de protéger les espèces marines de la surpêche.

"Nous espérons (que) plus de 300 nouveaux engagements" seront pris pour la protection des ressources marines "à court, moyen et long terme", avec "la mobilisation de ressources" financières publiques et privées, selon la vice-ministre panaméenne des Affaires étrangères Yill Otero.

Traité pour la haute mer

Lors d'une rencontre précédant le sommet, des représentants de l'Union européenne, des Etats-Unis, d'Amérique latine et des îles du Pacifique ont appelé les négociateurs à New York du traité sur la haute mer, en discussion depuis plus de quinze ans à l'ONU, à aboutir le plus vite possible.

"Scellons l'accord", a dit le secrétaire d'Etat français à la Mer, Hervé Berville. "Nous en sommes très proches", selon une responsable pour les océans du département d'Etat américain, Maxine Burkett.

La haute mer commence où s'arrêtent les zones économiques exclusives (ZEE) des Etats, à maximum 200 milles nautiques (370 km) des côtes et n'est donc sous la juridiction d'aucun pays.

Représentant plus de 60% des océans et près de la moitié de la planète, elle est cruciale pour la protection de tout l'océan, lui-même vital pour l'humanité mais menacé par le changement climatique, les pollutions et la surpêche.

Mercredi, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a appelé les négociateurs des pays membres réunis à New York depuis le 20 février et jusqu'à vendredi à conclure enfin un traité "robuste et ambitieux" sur la haute mer.

"Sous pression"

"Notre océan est sous pression depuis des décennies. Nous ne pouvons plus ignorer l'urgence pour l'océan", a-t-il lancé.

Les conférences "Notre océan" ont été lancées en 2014 à l'initiative de John Kerry, alors chef de la diplomatie américaine.

"Notre océan" offre un forum unique pour aborder toutes les questions liées à la mer. A Panama sont présentes plus de 200 ONG, 60 centres de recherches, 14 structures de philanthropie et une centaine d'entreprises et organismes internationaux.

Les participants ne procéderont à aucun vote et n'adopteront pas d'accord mais annonceront des "engagements" volontaires.

Plusieurs organisations se sont liguées pour réclamer davantage de transparence aux gouvernements à propos de la surpêche.

"Un tiers des espèces commerciales (maritimes) sont surexploitées", a noté Monica Espinoza de Global Fishing Watch, une ONG qui surveille les bateaux par satellite.

Les gouvernements doivent "exiger que leurs flottes de pêche soient traçables, tout le temps, par satellite afin que nous sachions qu'elles pêchent honnêtement", a déclaré à l'AFP Andrew Sharpless, directeur exécutif de l'ONG Oceana.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Ukraine: attaque record de drones russes, une femme tuée

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Cette salve d'attaques de drones intervient à la veille d'un appel annoncé par le président américain Donald Trump avec son homologue russe Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/AP)

La Russie a lancé dans la nuit de samedi à dimanche une attaque record de drones visant de nombreuses régions d'Ukraine, dont celle de la capitale, Kiev. Une femme y a été tuée selon les autorités ukrainiennes, deux jours après des pourparlers de paix.

Cette salve d'attaques intervient à la veille d'un appel annoncé par le président américain Donald Trump avec son homologue russe Vladimir Poutine pour tenter de mettre fin au conflit qui a entraîné la mort de dizaines de milliers de personnes, civils et militaires confondus.

Vendredi, les discussions de paix russo-ukrainiennes menées à Istanbul, les premières depuis le printemps 2022, ont mis en exergue le gouffre qui sépare les positions de Moscou et celles de Kiev, dont l'armée souffre sur le front.

S'attaquer aux causes

Vladimir Poutine, qui s'exprimait publiquement dimanche pour la première fois depuis deux jours, a insisté à la télévision d'Etat vouloir "éliminer les causes" du conflit, "créer les conditions d'une paix durable" et "garantir la sécurité de l'État russe".

Son armée, qui bénéficie "d'assez de troupes et de moyens" pour mener à bien cet objectif d'après lui, occupe toujours près de 20% du territoire ukrainien qu'elle a envahi depuis février 2022.

Dans la nuit de samedi à dimanche, la Russie "a attaqué avec 273 drones explosifs de type +Shahed+ et des leurres", dont 88 ont été détruits, a indiqué au matin l'armée de l'air ukrainienne.

"Record"

Ce chiffre de 273 drones lancés est "un record", a déploré la vice-Première ministre Ioulia Svyrydenko, assurant que "l'objectif de la Russie est clair: continuer à massacrer des civils".

"Une femme est morte de ses blessures à la suite d'une attaque ennemie" près de Kiev, a indiqué sur Telegram le responsable de l'administration militaire régionale, Mykola Kalachnyk.

Il a fait état de trois blessés hospitalisés, dont un enfant de quatre ans.

Cette attaque a notamment touché "un immeuble d'habitation", ont dénoncé dans un communiqué les secours ukrainiens. Deux personnes ont par ailleurs été "blessées" dans une frappe de drone à Kherson (sud), selon les autorités municipales.

"Poutine veut la guerre"

Cette série d'attaques nocturnes venant de Russie a engendré une avalanche de condamnations de la part des responsables ukrainiens.

"Pour la Russie, les négociations d'Istanbul ne sont qu'une couverture, Poutine veut la guerre", a cinglé le bras droit de Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, chef de l'administration présidentielle.

"Voilà à quoi ressemble le 'véritable désir de paix' de Poutine", a embrayé Rouslan Stefantchouk, le président de la Rada, le Parlement ukrainien. De son côté, l'armée russe a revendiqué la prise d'une nouvelle localité, Bagatyr, dans la région de Donetsk (est).

Vendredi à Istanbul, les premiers pourparlers de paix entre Ukrainiens et Russes depuis 2022, n'ont pas abouti à une trêve entre les belligérants, pourtant réclamée par Kiev et ses alliés occidentaux.

Zelensky au Vatican

En l'absence d'avancée majeure obtenue - seul un échange de prisonniers a été conclu - Donald Trump a déclaré samedi qu'il parlerait par téléphone lundi à Vladimir Poutine pour évoquer une fin à la guerre, avant d'échanger avec Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants d'Etats membres de l'Otan.

Objectif de l'appel: "Mettre fin au 'bain de sang'", a déclaré sur sa plateforme Truth Social le président américain, qui depuis son retour à la Maison Blanche pousse Moscou et Kiev à cesser les combats.

Cet échange téléphonique "est en préparation", a confirmé samedi soir le Kremlin à l'agence d'Etat TASS.

En l'état, comme l'a montré la réunion bilatérale de vendredi, sous médiation turque, qui a duré moins de deux heures, les positions des Russes et des Ukrainiens restent inconciliables.

Le Kremlin maintient des revendications maximalistes: que l'Ukraine renonce à rejoindre l'Otan, abandonne quatre de ses régions partiellement contrôlées par la Russie, en plus de la Crimée annexée en 2014, et que cessent les livraisons d'armes occidentales.

L'Ukraine rejette fermement ces exigences, demandant que l'armée russe, qui occupe toujours près de 20% de son territoire, s'en retire. Ce dont Moscou n'a pas l'intention.

Pour éviter une nouvelle invasion russe dans le futur, Kiev appelle aussi à des "garanties de sécurité" solides.

Enfin, Volodymyr Zelensky, qui a assisté dans la matinée au Vatican à la messe inaugurale du nouveau pape Léon XIV, sera reçu dans la journée par le souverain pontife, qui a évoqué dimanche l'"Ukraine martyrisée" par l'invasion russe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un voilier mexicain heurte un pont à New York: deux morts

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Aucun dommage structurel n'a pour l'heure été constaté sur le pont de Brooklyn. (© KEYSTONE/EPA/PORTER BINKS)

Un navire-école de la marine mexicaine a heurté le pont de Brooklyn à New York samedi soir, faisant deux morts et 19 blessés dont deux graves. Les trois mâts du voilier se sont fracassés contre la structure emblématique.

Les passants qui profitaient d'une soirée printanière au bord de l'East River ont vu avec stupéfaction le Cuauhtémoc, se diriger toutes voiles déployées et lumières allumées vers le pont, sans que la hauteur ne permette le passage de ses mâts.

"Plus tôt dans la soirée, le grand navire Cuauhtémoc de la marine mexicaine a perdu de la puissance et a heurté le pont de Brooklyn", a posté le maire de New York Eric Adams sur X.

Il a précisé que sur les 277 personnes à bord, 19 avaient été blessées, dont deux ans un état critique, tandis que "deux autres sont malheureusement décédées des suites de leurs blessures".

La présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, s'est dite "très attristée" après ce "regrettable accident", dans un message posté sur X. Construit en 1982, le navire, dont la hauteur atteint 48,2 mètres, participe à de nombreux rassemblements de voiliers dans le monde.

"Panique sur le bateau"

Le navire a perdu de la puissance alors que le capitaine le manoeuvrait, le forçant à se diriger vers la culée du pont du côté de Brooklyn, a déclaré Wilson Aramboles, chef des opérations spéciales de la police de New York, lors d'une conférence de presse.

Plusieurs marins qui se trouvaient sur la partie supérieure du navire ont été blessés lorsque celui-ci a percuté le pont, a-t-il ajouté. Il n'a pas précisé si ces marins figurent parmi les personnes décédées.

"C'était la panique sur le bateau", a raconté auprès de l'AFP Nick Corso, 23 ans, habitant de Brooklyn, qui se tenait près de l'East River. Il s'apprêtait à prendre une photo, mais lorsqu'il a réalisé l'accident qui se préparait, il est passé à la vidéo.

"La chose qui m'a surtout frappé, c'est la panique qui régnait sur le bateau. Il y avait un homme à l'arrière qui faisait signe aux gens de s'éloigner de la passerelle où nous nous trouvions", a-t-il ajouté.

Aucune personne à bord "n'est tombée à l'eau, ce qui fait qu'il n'a pas été nécessaire d'activer des opérations de secours", a indiqué la marine dans un communiqué.

Le navire quittait New York peu avant la collision et un énorme drapeau mexicain flottait à l'arrière du navire.

Quelques secondes après que le navire a quitté le quai, "nous avons soudainement vu les lumières, la collision avec le pont, et les marins qui sont tous tombés", a raconté à l'AFP Arturo Acatitla, un habitant de 37 ans.

Pont pas endommagé

"Les inspections se poursuivent, mais aucun dommage structurel n'a été constaté sur le pont de Brooklyn", a indiqué le département des transports new-yorkais sur X. Le pont qui relie Brooklyn à Manhattan a été fermé pendant une quarantaine de minutes avant de rouvrir.

Les victimes ont été transportées à l'hôpital, a déclaré l'ambassadeur du Mexique Esteban Moctezuma Barragan lors d'une conférence de presse, tandis que des sirènes retentissaient à proximité du lieu de l'accident.

"Avec mariachis, danses folkloriques et une communauté en liesse, nous avions célébré son arrivée au quai 17 à Manhattan", a indiqué l'ambassade mexicaine.

Le Cuauhtémoc a subi des dommages lors de "l'incident", a confirmé la Marine mexicaine dans un communiqué publié sur X.

"Le ministère de la Marine réaffirme son engagement envers la sécurité de son personnel, la transparence de ses opérations et l'excellence dans la formation des futurs officiers", précise le communiqué.

Le navire a été déplacé à proximité du pont de Manhattan, a constaté un journaliste de l'AFP.

La police de New York a conseillé aux habitants, via X, d'éviter le secteur en raison d'une "circulation dense" et d'une "importante présence de véhicules d'urgence".

Selon le chef des opérations spéciales de la police de New York, le Cuauhtémoc, faisait route vers l'Islande au moment de l'accident.

L'incident est la deuxième collision mortelle d'un navire contre un pont aux États-Unis en un peu plus d'un an, après qu'un cargo a percuté un pont à Baltimore en mars 2024, provoquant son effondrement et la mort de six ouvriers.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Léon XIV débute son pontificat en pointant les excès du capitalisme

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Avant la messe, le pape de 69 ans est allé en papamobile au contact des fidèles. (© KEYSTONE/AP/Andrew Medichini)

Léon XIV a donné le ton de son pontificat en dénonçant dimanche une économie exploitant la nature et marginalisant les pauvres. Il s'exprimait devant des dizaines de milliers de personnes et des dirigeants étrangers, dont le vice-président américain JD Vance.

Dix jours après son élection, le nouveau guide spirituel des 1,4 milliard de catholiques a également insisté sur la paix et l'unité lors de cette messe solennelle célébrée en plusieurs langues et sous haute sécurité sur la place Saint-Pierre, en présence de quelque 200'000 personnes, selon les autorités italiennes.

"À notre époque, nous voyons encore trop de discorde, trop de blessures causées par la haine, la violence, les préjugés, la peur de l'autre, par un paradigme économique qui exploite les ressources de la Terre et marginalise les plus pauvres", a déploré le premier pape américain, qui a lui-même vécu deux décennies dans une région déshéritée du Pérou.

Il confirme ainsi l'orientation sociale qu'il entend donner à son action, après le choix de son nom de règne en hommage à Léon XIII (1878-1903), le père de la doctrine sociale de l'Eglise qui avait dénoncé l'exploitation des ouvriers à la fin du XIXe siècle.

Emotion

Lors de la messe riche en rites et symboles place Saint-Pierre, Robert Francis Prevost, élu le 8 mai, est apparu ému en recevant les emblèmes pontificaux, le pallium, bande d'étoffe qui se porte sur la chasuble, et l'anneau du pêcheur, une bague rendue inutilisable après la mort de chaque pape.

Disant sa "gratitude", il a insisté sur "l'unité" de l'Eglise, appelant à "la charité" plutôt que "d'emprisonner les autres par la domination, la propagande religieuse ou les moyens du pouvoir".

Avant la cérémonie, le pape de 69 ans est allé pour la première fois en papamobile au contact des fidèles. Debout et souriant, il a salué et béni la foule qui l'a applaudi, certains criant son nom, d'autres agitant des drapeaux de leur pays d'origine ou le filmant avec leur smartphone.

"C'est la bonne personne au bon moment et il fera certainement ce qu'il a promis, il abattra des murs et construira des ponts", a confié à l'AFP Maria Grazia La Barbera, 56 ans, une Sicilienne venant de Palerme.

Elle s'est aussi dite convaincue que Léon XIV continuera "les batailles ouvertes par le pape François".

"Un monde nouveau"

Le vice-président américain JD Vance - dernier dirigeant à rencontrer le pape François, le 20 avril à la veille de sa mort - était présent à la messe aux côtés du secrétaire d'Etat Marco Rubio, ces deux responsables étant d'ailleurs de fervents catholiques.

JD Vance a échangé dimanche une brève poignée de mains avec le nouveau pape, mais n'a pas été reçu en audience privée. Il pourrait toutefois le voir lundi avant son retour aux Etats-Unis.

L'élection de Léon XIV, natif de Chicago, a suscité un vif enthousiasme aux Etats-Unis même s'il s'était opposé à la politique antimigratoire de l'administration Trump, notamment sur son compte X, supprimé depuis.

Sophia Tripp, une Américaine de 20 ans étudiant justement à Chicago, s'attend à ce qu'il y ait "davantage de poids (sur ses épaules) parce qu'il est américain". "Je crois qu'il va y avoir davantage d'yeux fixés sur lui, peut-être des critiques, à cause de son origine", prédit-elle.

Nombreux dirigeants

Le pape a aussi appelé à "construire un monde nouveau où règne la paix", un message à la résonance particulière alors qu'étaient présents les présidents ukrainien Volodymyr Zelensky, qu'il doit recevoir en audience privée dimanche, et israélien Isaac Herzog, dont les pays sont déchirés par la guerre.

A l'issue de la messe, il a d'ailleurs évoqué l'Ukraine "martyrisée" dans l'attente de "négociations pour une paix juste et durable" et Gaza, où "les enfants, les familles, les personnes âgées qui survivent souffrent de la faim".

Karin Keller-Sutter a représenté la Suisse à la messe d’intronisation du pape. "Puisse son pontificat renforcer le dialogue et la compréhension entre les peuples", a déclaré la présidente de la Confédération dans un message sur X.

Parmi les autres dignitaires place Saint-Pierre figuraient le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre français François Bayrou, la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Des représentants d'autres religions étaient également présents, notamment juifs et musulmans.

Les têtes couronnées ne manquaient pas à l'appel, avec les souverains belges Philippe et Mathilde, espagnols Felipe VI et Letizia, mais aussi monégasques, Albert II et Charlène.

Au cours de sa première semaine en tant que pape, Léon XIV avait déjà profité de ses audiences pour lancer ses premiers appels, de la libération des journalistes emprisonnés à la proposition de médiation aux belligérants du monde entier.

Devant le corps diplomatique vendredi, il avait appelé à lutter contre les "inégalités mondiales" et les "conditions de travail indignes" tout en défendant une vision de la "famille fondée sur l'union stable entre un homme et une femme".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Scottie Scheffler prend les commandes du PGA Championship

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Scottie Scheffler a pris les commandes du PGA Championship dans le 3e tour (© KEYSTONE/EPA/ERIK S. LESSER)

Scottie Scheffler a viré en tête après le 3e des 4 tours du PGA Championship, deuxième Majeur de la saison, samedi à Charlotte.

Le no 1 mondial devançait de 3 coups son plus proche poursuivant, le Suédois Alex Noren.

Cinquième à 3 coups du leader Jhonattan Vegas à l'issue de la deuxième journée, Scottie Scheffler a rendu samedi une carte de 65 soit 6 en dessous du par (-11 au total). L'Américain a pris feu sur la fin du parcours de Quail Hollow, réussissant un eagle sur le trou no 15, puis trois birdies sur les nos 15, 17 et 18.

Le Suédois Alex Noren a fait à peine moins bien samedi en rendant une carte de 66, mais sa tâche s'annonce compliquée. Le Vénézuélien Jhonattan Vegas, en tête depuis le premier jour, a en revanche manqué son affaire samedi (+2) pour se retrouver à -6. Il partageait le 5e rang avec l'Espagnol Jon Rahm et le Sud-Coréen Si Woo Kim.

Bryson DeChambeau a quant à lui craqué sur ses trois derniers trous, après avoir brièvement pris les commandes après un birdie sur le no 15 (-8). L'Américain s'est fait l'auteur d'un bogey sur le 16 et d'un double bogey sur le 17 pour pointer au 8e rang à 6 coups du leader.

Favoris au même titre que Scheifele avant l'entame du tournoi, le tenant du titre Xander Schauffele et le vainqueur du récent Masters Rory McIlroy partageaient quant à eux la 49e place avec un total de +2 (+1 sur la journée). Ils avaient passé de justesse le "cut", se retrouvant déjà à égalité après le 2e tour au 62e rang.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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