Culture
Ramsès II, "roi des rois" dans une exposition événement à Paris
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/04/la-presence-du-sarcophage-de-ramses-ii-a-paris-est-exceptionnelle-1000x600.jpg&description=Ramsès II, "roi des rois" dans une exposition événement à Paris', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Quatre ans après le succès de l'exposition consacrée à Toutânkhamon, un nouvel événement fastueux dédié à l'Egypte ancienne a débuté vendredi à Paris. Clou du spectacle, jusqu'au 6 septembre, le sarcophage de Ramsès II.
"Exceptionnel", "rarissime", "incroyable": dans la bouche de Bénédicte Lhoyer, égyptologue et conseillère scientifique de cette exposition à la Grande Halle de la Villette, les qualificatifs ne sont jamais trop nombreux.
"Paris sera la seule ville d'Europe à accueillir cette exposition et, surtout, la seule à montrer le sarcophage de Ramsès II grâce à une coopération inédite entre la France et l'Egypte", détaille-t-elle à l'AFP.
En 2019, plus de 1,4 million de visiteurs s'étaient rendus à l'exposition consacrée à Toutânkhamon. Place désormais à la vie et l'oeuvre de celui qui est souvent qualifié de "roi des rois", voire parfois de "Roi-Soleil": Ramsès II, pharaon de la 19e dynastie.
L'engouement est déjà manifeste: les organisateurs ont annoncé jeudi que plus de 145'000 billets avaient déjà été vendus, soit plus que pour Toutânkhamon avant l'ouverture au public.
"C'est le pharaon qui a régné le plus longtemps (66 ans), qui a épousé - entre autres - la plus belle femme du monde (Néfertari, littéralement 'la plus belle'), qui a eu la plus grande famille (a minima 50 fils, 60 filles)... Bref, c'était un roi hors-norme", poursuit Mme Lhoyer.
La dernière "visite" du pharaon en France remontait à 1976. Cette année-là, la communauté scientifique française s'était vu confier une mission: sauver la momie, rongée par les moisissures. Depuis ce sauvetage, les liens entre les deux pays se sont renforcés, insiste l'égyptologue.
"Emotion indescriptible"
Après un passage par les Etats-Unis - avant l'Australie -, place à Paris où les organisateurs n'ont pas lésiné sur les moyens: musique d'ambiance, scénographie soignée, abondance d'objets (statues, bijoux)... L'exposition offre une plongée dans plus de trois mille ans d'Histoire.
Au total, ce sont plus de 180 pièces originales, dont certaines jamais sorties d'Egypte, qui sont montrées au public.
Tout est fait pour saisir la vie de ce pharaon. Une animation en 3D transporte même le visiteur dans l'une des plus grandes batailles du roi: celle de Qadesh (dans le sud de la Syrie actuelle), qui opposait l'Egypte à l'empire hittite.
Le sel du projet n'est autre que la visite de la chambre mortuaire de ce roi bâtisseur. Contrairement à l'exposition Toutânkhamon, les organisateurs ont dû faire preuve d'imagination pour celle de Ramsès II, qui faisait quelque 820 m2 et a été entièrement pillée sous Ramsès IX.
Pour ce faire, ils sont allés chercher de précieux objets (masques, bijoux...) découverts dans d'autres chambres funéraires, notamment celles des princesses égyptiennes.
Parmi eux, l'imposant masque du cercueil du roi Aménémopé.
Reste que LA star de l'événement n'est autre que le magnifique cercueil en bois peint (sans la momie) de Ramsès II.
"Cela représente une chance extraordinaire pour les enfants mais aussi pour le public de tous les âges. C'est une émotion indescriptible", a déclaré lundi à l'AFPTV la ministre de la Culture, Rima Abdul Malak, lors du dévoilement du cercueil, en présence de l'ambassadeur d'Egypte.
Immortel
Ce sarcophage où figure le roi - bras croisés sur la poitrine, tenant le sceptre héqa et le fouet nekhakha, et coiffé d'un némès orné du cobra dressé ainsi qu'une barbe postiche tressée sous son menton - n'est en réalité pas le sarcophage originel de Ramsès II.
"Lorsque le pillage du tombeau a été avéré, il a été urgent de mettre la momie à l'abri. Elle est restée près d'un siècle dans la tombe du pharaon Séthi Ier (le père de Ramsès II, NDLR)", raconte l'égyptologue.
Ce n'est que bien plus tard qu'elle fut installée dans le sarcophage montré dans l'exposition, où elle est restée plus de 2800 ans. "Ramsès II a battu le temps. Il est, comme Toutânkhamon, devenu immortel", résume Mme Lhoyer.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Harrison Ford va recevoir un prix pour l'ensemble de sa carrière
Harrison Ford va recevoir un prix pour l'ensemble de son oeuvre dans le 7e art de la part du principal syndicat des acteurs d'Hollywood, a annoncé l'organisation jeudi, saluant une personnalité "singulière".
Ford, dont la carrière sur grand et petit écrans ont inclus des rôles parmi les plus célèbres du cinéma, recevra le SAG-AFTRA Life Achievement Award dans le cadre des Actor Awards (auparavant appelés Screen Actors Guild Awards), en mars prochain.
Ce prix, que le SAG-AFTRA remet chaque année à un interprète qui incarne "les idéaux les plus élevés de la profession d'acteur", consacre encore un peu plus un homme dont les personnages - d'Indiana Jones à Han Solo dans "Star Wars" - font partie de l'héritage culturel des XXe et XXIe siècles.
Parmi les précédents lauréats de ce prix figurent Robert De Niro, Jane Fonda, Morgan Freeman ou encore Elizabeth Taylor.
"Harrison Ford est une présence singulière dans la vie américaine, un acteur dont les personnages iconiques ont façonné la culture mondiale", a déclaré Sean Astin, président du SAG-AFTRA.
"Une légende"
"Sa carrière a été d'une richesse inépuisable, revenant toujours à son amour du jeu. Nous sommes honorés de célébrer une légende dont l'impact sur notre art est indélébile."
Ford, qui a travaillé comme charpentier avant d'accéder à la célébrité avec le rôle de Bob Falfa dans le film de George Lucas de 1973, "American Graffiti", s'est dit "profondément honoré" d'avoir été choisi pour cette prestigieuse distinction.
"Être reconnu par mes confrères acteurs compte énormément pour moi", a-t-il déclaré. "J'ai passé la majeure partie de ma vie sur des plateaux de tournage, aux côtés d'acteurs et d'équipes exceptionnels, et je me suis toujours senti reconnaissant de faire partie de cette communauté."
Outre ses rôles récurrents dans les multiples "Star Wars" et "Indiana Jones", Ford a aussi crevé l'écran avec son interprétation du chasseur d'androïdes Rick Deckard dans "Blade Runner" (1982), rôle qu'il a repris 35 ans plus tard dans "Blade Runner 2049".
Le public télévisuel l'a découvert ces dernières années aux côtés de l'oscarisée Helen Mirren dans le western "1923", ainsi que dans la comédie dramatique "Shrinking".
La 32e cérémonie des Actor Awards se tiendra le 1er mars et sera diffusée en direct sur Netflix.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Hommage à Robert Redford à la Cinémathèque suisse
La Cinémathèque suisse à Lausanne rend hommage à Robert Redford, disparu en septembre dernier. Elle propose de redécouvrir sept films de l'acteur et réalisateur américain, en attendant de préparer une rétrospective plus large.
La Cinémathèque explique qu'elle n'a pas eu le temps de monter, en peu de temps, une programmation à la hauteur de l'exceptionnel parcours artistique et humain de Robert Redford. En attendant de revenir avec un hommage "plus large et réfléchi", elle projette ces prochaines semaines une série de ses films emblématiques.
Premier grand acteur moderne à passer derrière la caméra, Robert Redford s'est engagé pour les causes qui lui tenaient à coeur: la défense de l'environnement et le soutien au cinéma indépendant. Il a tourné dans plus de cinquante films, réalisé neuf longs métrages, et n'a cessé d'explorer, à travers ses rôles et ses mises en scène, les grands archétypes de la culture américaine.
Jusqu'en mars
Samedi, la Cinémathèque met à l'affiche "Ordinary People" (1980), sa première réalisation pour laquelle il gagna quatre Oscars. Suivra le 27 décembre "Jeremiah Johnson" (1972), de Sydney Pollack, l'un de ses rôles préférés sur grand écran.
Le cycle se poursuit en janvier et février avec cinq autres films du Golden Boy d'Hollywood, dont la carrière s'étend sur plus de six décennies. Dans "L'Arnaque" (1974), il retrouve Paul Newman. "Les hommes du président" (1976) révèle son talent pour incarner des personnages engagés alors que "The Great Gatsby" (1974) illustre l'élégance et la subtilité de son jeu.
En 1998, il dirige et joue dans "L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" (1998), reflet de son amour pour les chevaux, présents dans plusieurs de ses films. Enfin, le premier mars, place à "Out of Africa" (1985), avec Meryl Streep, qui remporta un énorme succès.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
"Racines", la nouvelle exposition de la Fondation Opale à Lens (VS)
Avec "Racines", la Fondation Opale à Lens (VS) dévoile sa nouvelle exposition d'art contemporain. L'institution propose une réflexion et un itinéraire poétique imaginés autour d'une soixantaine d'oeuvres issues de la collection de la mécène française Garance Primat.
Au départ, il y a une vision. Et "le désir de Garance d'avoir une forme d'ordre et de rythme qui présente la diversité de sa collection", relève le co-commissaire de l'exposition Samuel Gross. "Racines" s'impose ainsi comme une forme de "transcription plastique" du livre éponyme écrit par la collectionneuse.
Tout comme l'ouvrage, le parcours s'articule en sept chapitres, qui reprennent les mots-clés d'une formule élaborée par l'entrepreneuse: "Créer le Un sur terre qui est la nature de l'homme et la matrice originelle". Le récit se déroule à travers une soixantaine d'oeuvres, entre sculptures, dessins, peintures, oeuvres monumentales et objets scientifiques.
Constellation d'objets
Ici, l'art est vu comme un langage universel, et les artistes "permettent de percevoir la structure unitaire du monde," explique le curateur. Y résonnent les voix de Niki de Saint-Phalle, Olafur Eliasson, Louise Bourgeois ou encore Sheila Hicks. Quelques oeuvres d'artistes aborigènes - dont Emily Kam Kngwarray, Keith Stevens et Clifford Possum Tjapaltjarri - trouvent aussi leur place au sein du centre d'art valaisan, en écho avec sa mission de faire rayonner ce patrimoine australien en Europe.
Il s'agit d'un "ensemble vivant qui interroge nos origines et notre rapport au monde", résume la Fondation Opale. "J'ai compris, au fur et à mesure de mon parcours, qu'il y avait un fil conducteur, un message commun derrière chacune des oeuvres de ma collection qui étaient un voyage en soi", retrace Garance Primat, qui a rassemblé plus de 1200 oeuvres jusqu'à aujourd'hui.
"Ce qui nous intéressait, et ce qui est rare, c'est d'imaginer présenter une collection personnelle", raconte le commissaire d'exposition. D'habitude, les collections personnelles sont loin d'être formées comme celles institutionnelles. Le système de cohérence est différent."
Les soeurs Primat
Pour mémoire, la Fondation Opale s'appuie sur la collection de Bérengère Primat, fondatrice et présidente de l'institution, mais aussi soeur de Garance Primat. Le fonds compte plus de 1900 ½uvres de près de 440 artistes, ce qui en fait l'une des collections d’art aborigène contemporain les plus importantes au monde en mains privées.
Grâce à un nouvel espace permanent créé au centre muséal, et en parallèle à l'exposition "Racines", le public pourra s'imprégner des oeuvres issues du fonds de Bérengère Primat. Le premier accrochage est consacré à l'artiste aborigène Rover Thomas, considéré comme l'un des grands artistes du Désert de sable en Australie.
"Il y a l'idée de familiariser le public avec un certain nombre de noms", souligne Samuel Gross. Dans ce cas, l'introduction est plus qu'efficace au vu des chefs-d'oeuvre qui sont présentés."
Le tout est à découvrir du 21 décembre 2025 au 14 avril 2026.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Musique: un voyage multimédia avec Kraftwerk à Berne
Pionnier de la musique électronique, le groupe allemand Kraftwerk a proposé un spectacle multimédia dans la nouvelle Festhalle de Berne. Il y a entraîné le public dans un voyage à travers des éléments fluorescents, des images en 3D et des sons robotiques
Au coeur de la musique de Kraftwerk se trouve depuis toujours l'"homme-machine" (The Man-Machine), qui donne son titre à l'album emblématique de 1978 du même nom. Une idée qui se concrétise lors de concerts en direct. De la composition originale des années 1970, il ne reste que Ralf Hütter, l'un des fondateurs avec Florian Schneider, qui a quitté le groupe en 2008 et est décédé en 2020.
La Festhalle de Berne, inaugurée fin avril à deux pas du stade du Wankdorf, comble une lacune dans la capitale suisse en offrant une salle d'événements pouvant accueillir jusqu'à 9000 personnes. Entièrement noire et dotée d'un grand espace modulable, elle a été aménagée pour l'occasion avec des sièges.
Sur la scène extrêmement sobre et résolument minimaliste, quatre postes de travail avec chacun son ordinateur respectif ont été disposés.
Des sons robotiques
Sur le grand écran situé au fond de la scène sont projetés les chiffres 1-2-3-4-5-6-7-8. À 20 heures précises, les lumières s'éteignent et, peu après, les quatre membres de Kraftwerk entrent sous les applaudissements du public, tous habillés de la même façon, en noir avec des éléments fluorescents changeant de couleur en fonction de la lumière et de la chanson. Les chiffres sont répétés par une voix robotisée en plusieurs langues.
Dans l'une des chansons les plus célèbres, l'écran s'est transformé en un tourbillon de couleurs, véritable voyage dans le monde robotique où les images sont parfaitement synchronisées avec les sons.
Puis c'est le retour au vert et à la simplicité, les notes principales apparaissant clairement, avant de replonger le public dans un tourbillon de bits et de couleurs qui, à la longue, a fatigué les yeux les plus sensibles.
La Terre vue de l'espace
Lors de l'exécution du morceau "Spacelab", le public s'est retrouvé à l'intérieur d'un vaisseau spatial d'où il a pu observer la Terre; les quatre membres ressemblaient presque à des astronautes. Alors qu'ils exploraient la planète, un point rouge est apparu sur la carte: Berne. Le vaisseau spatial s'est posé là, à la Festhalle, dont l'image était projetée sur l'écran.
L'acoustique de la salle est remarquable: Kraftwerk alterne les sons rugueux et robotiques avec des sons plus doux et plus vibrants.
Un moment de silence est interrompu par la voix de Ralf Hütter qui annonce qu'il doit redémarrer un ordinateur, juste avant l'attaque de "The Man-Machine", l'un des morceaux les plus célèbres. Le rouge et le blanc dominent la scène, avec des lettres en arrière-plan et des formes géométriques claires et reconnaissables.
Immédiatement après, le groupe est contraint de s'arrêter à nouveau: "On ne peut pas continuer comme ça, faisons une pause", dit Ralf Hütter. La pause est courte, pour le plus grand plaisir des spectateurs, et le concert reprend avec un set compact et très peu d'interaction avec le public, un choix parfaitement cohérent avec le concept de l'Homme-Machine.
Images d'archives et animations
Pour "Autobahn", dont l'album du même nom (1974) marque le passage du groupe du krautrock à la musique électronique, le public se retrouve à conduire sur une véritable autoroute animée. Après les interruptions techniques, l'atmosphère s'est légèrement estompée, mais le sentiment de voyage évoqué par la chanson est resté.
Suivent "Computer Liebe", accompagné d'images d'un vieux film, et "Das Model", qui est accueilli avec beaucoup d'enthousiasme par le public.
Des moments plus détendus, presque lounge, sont arrivés avec "Neonlicht", d'abord en allemand puis, dans la deuxième partie, en anglais, avec une palette sonore particulièrement élégante.
Hommage à l'ami japonais
Kraftwerk a également rendu hommage au compositeur et musicien japonais Ryuichi Sakamoto, grand ami de Ralf Hütter décédé en 2023, en reprenant la bande originale du film du même nom "Merry Christmas Mr".
Peu avant, une photo a été projetée montrant Hütter avec Ryuichi Sakamoto, à laquelle le membre fondateur du groupe a fait référence, expliquant que leur amitié remontait à l'époque de leur premier concert à Tokyo en 1981. Un beau moment instrumental avec des notes de piano, avec l'écran noirci.
Le groupe a évoqué les lieux marqués par les catastrophes nucléaires comme Tchernobyl (Ukraine), Fukushima (Japon), Harrisburg (États-Unis) et Sellafield (Royaume-Uni) dans "Radioaktivität". La chanson est chantée en plusieurs langues. Avec "Tour de France", les fans ont été plongés dans de vieilles images de la célèbre course cycliste, accompagnées d'une musique électronique chantée en français.
Lors du final, les membres sont apparus sur l'écran dans des versions robotisées stylisées, représentant la fusion de l'homme et de la machine. Un à un, ils ont quitté la scène. "Goodnight, goodbye", a déclaré Ralf Hütter avant de s'éclipser.
De retour pour un rappel avec "The Robots", les quatre membres du groupe sont apparus accompagnés de leurs alter ego numériques en 3D: l'apogée de la fusion de l'homme et de la machine a été atteinte.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Non à une réduction individuelle des primes d'assurance maladie
-
LausanneIl y a 3 jours
Quelque 350 manifestants à nouveau devant le Grand Conseil
-
VaudIl y a 2 jours
Vallée de Joux: nouvelle ligne de bus pour les noctambules
-
GenèveIl y a 1 jour
Sinistre dans des combles à Versoix: évacués mais pas blessés
-
VaudIl y a 1 jour
A Yverdon-les-Bains, les nuits seront à nouveau illuminées non-stop
-
SuisseIl y a 14 heures
Les pédiatres suisses exigent des écoles un changement de mentalité
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Un incendie a ravagé le restaurant 3023 à Verbier
-
InternationalIl y a 1 jour
Trump maintient son cap économique, accable Biden et les immigrés


