International
Grèves: Swiss doit annuler 16 vols côté allemand

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La grève de jeudi et vendredi dans les aéroports de Düsseldorf, Hambourg et Cologne-Bonn entraîne la suppression d'une quinzaine de vols pour la Suisse et au départ de la Suisse. Vendredi matin, le trafic ferroviaire sera ainsi impacté.
Le personnel de sécurité des aéroports se met en grève après l'échec des négociations entre le syndicat Verdi et les employeurs sur les indemnités de nuit et de week-end. Les pourparlers reprendront fin avril. Quelque 700 vols, dont 16 de la compagnie Swiss, seront ainsi supprimés, jeudi et vendredi, au départ ou à destination de Düsseldorf, Hambourg et Cologne-Bonn.
Il ne s'agira pas de la première grève dans les aéroports allemands, cette année. Selon l'association aéroportuaire ADV, plus de 900'000 passagers ont dû reporter ou annuler leur vol depuis janvier en raison d'arrêts de travail. "Entre jeudi et vendredi, près de 100'000 passagers supplémentaires seront victimes de grèves", a calculé ADV.
Un vol supprimé pour Genève
Swiss a ainsi dû annuler quatre vols de Hambourg à Zurich et deux vols de Zurich à Düsseldorf et retour, pour jeudi. Les vols de Zurich à Hambourg, en revanche, seraient assurés.
Vendredi, cinq vols de Hambourg à Zurich et un vol de Hambourg à Genève seront annulés. Les vols aller ne sont pas concernés. De plus, deux vols aller et deux vols retour à destination de Zurich et en provenance de Düsseldorf ont été supprimés. Des alternatives sont recherchées pour les passagers concernés.
Les arrêts de travail touchent le domaine de la sécurité aérienne, le contrôle des passagers, du personnel et des marchandises et les zones de service.
Voyages en train impactés
Vendredi, entre 3 h et 11 h du matin, les salariés de toutes les entreprises ferroviaires allemandes où se déroulent des négociations cesseront, eux aussi, le travail, selon une annonce, mercredi, du syndicat EVG. Par cette action, le syndicat veut augmenter la pression sur les employeurs dans le conflit salarial en cours, qui les oppose.
"Nous envoyons ainsi un signal clair. Nous ne voulons pas frapper les passagers mais les entreprises en appelant cette fois à une grève d'avertissement temporaire au petit matin", a déclaré Cosima Ingenschay, membre du conseil d'administration du syndicat des chemins de fer et des transports (EVG).
Invités à reporter son voyage
Le trafic longue distance de la Deutsche Bahn risque cependant d'être interrompu tout au long de la journée, les trains ne pouvant pas circuler dès le matin.. "Tous ceux qui peuvent reporter leur voyage sont invités à le faire", a déclaré Martin Seiler, le directeur des ressources humaines du groupe DB.
L'impact sur la Suisse n'est pas encore connu. Les CFF s'attendent à "des restrictions massives en Allemagne", avoue l'un de ses porte-paroles, Daniele Pallecci, à Keystone-ATS: les trains allemands traversant la Suisse seraient remplacés par des trains suisses partant de la frontière.
Une coïncidence
̈Le fait que les transports aérien et ferroviaire seront en grève en même temps vendredi est une coïncidence", a souligné mercredi le négociateur chez EVG Kristian Loroch lors de l'annonce des actions.
EVG négocie actuellement avec une cinquantaine d'entreprises ferroviaires dans le but d'obtenir une hausse des salaires de 650 euros par mois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / dpa
International
Trump menace l'UE de 50% de droits de douane à partir du 1er juin
Le président américain Donald Trump a menacé vendredi l'Union européenne d'appliquer 50% de droits de douane aux produits européens importés aux Etats-Unis à compter du 1er juin, estimant que les négociations en cours "ne vont nulle part".
"Il est très difficile de traiter avec l'UE, qui a été créée en premier lieu pour profiter des Etats-Unis d'un point de vue commercial", a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.
"Nos discussions ne vont nulle part. Dans ces conditions je recommande d'imposer 50% de droits de douane sur l'UE, à compter du 1er juin. Il n'y a pas de droits de douane sur les produits fabriqués aux Etats-Unis", a ajouté le locataire de la Maison Blanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Trump menace Apple de 25% de droits de douane
Le président américain Donald Trump a menacé vendredi d'imposer "au moins 25%" de droits de douane à Apple, si l'entreprise ne fabrique pas ses iPhone aux Etats-Unis.
"Cela fait longtemps que j'ai informé Tim Cook d'Apple que je m'attendais à ce que les iPhone vendus aux Etats-Unis soient fabriqués et construits aux Etats-Unis, et non en Inde ou ailleurs. Si ce n'est pas le cas, Apple devra payer des droits de douane d'au moins 25 % aux Etats-Unis", a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.
Lors de son voyage au Qatar la semaine dernière, le président américain avait affirmé avoir dit à Tim Cook, le directeur général d'Apple: "Nous vous avons très bien traités. Nous avons accepté toutes les usines que vous avez construites en Chine durant des années".
Eviter les droits de douane en Chine
"Ça ne nous intéresse pas que vous en construisiez en Inde. L'Inde peut s'occuper d'elle-même toute seule, elle va très bien", avait-il poursuivi, à l'occasion de la deuxième étape de sa tournée dans le Golfe.
"Nous voulons que vous construisiez ici (aux Etats-Unis)", avait-il ajouté.
Lors de la présentation des derniers résultats d'Apple début mai, Tim Cook avait dit s'attendre à ce que "la majorité des iPhone vendus aux Etats-Unis", pendant le trimestre en cours, proviennent d'Inde.
Cette mesure permettait d'éviter des droits de douane de 145% appliqués par les Etats-Unis aux produits venus de Chine, traditionnellement coeur de la fabrication des célèbres smartphones. Depuis, les deux pays se sont mis d'accord pour une trêve de 90 jours sur leurs surtaxes douanières.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le fonds RedBird vise un rachat du quotidien The Telegraph
Le fonds américain RedBird a annoncé vendredi avoir conclu un "accord de principe" pour racheter l'influent quotidien conservateur britannique The Telegraph - qui cherche un repreneur depuis près de deux ans - pour 500 millions de livres (557,4 millions de francs).
Cet accord ouvre une nouvelle ère de croissance" pour le Telegraph, "un titre vieux de 170 ans", a fait valoir RedBird Capital Partners dans un communiqué.
Le groupe de presse britannique, propriété depuis 2004 de la richissime famille Barclay, avait été mis en vente d'office fin 2023 par la banque Lloyds pour éponger de lourdes dettes.
Une coentreprise entre Redbird et le fonds d'investissement dans les médias d'Abou Dhabi (IMI), baptisée Redbird IMI, avait d'abord passé un accord avec la famille Barclay et remboursé sa dette en échange d'une option pour prendre le contrôle de l'entreprise.
Mais la perspective de voir un fonds émirati contrôler l'une des publications les plus influentes au Royaume-Uni avait inquiété le gouvernement britannique, qui avait annoncé son intention de légiférer pour bloquer la prise de contrôle de journaux britanniques par des États étrangers. Redbird IMI avait finalement jeté l'éponge.
Investisseurs passés à la loupe
C'est désormais le fonds américain seul qui offre de devenir "l'actionnaire majoritaire" mais précise être en discussions avec "des investisseurs minoritaires britanniques" triés sur le volet, "spécialistes de la presse écrite et résolument engagés à défendre les valeurs éditoriales du Telegraph".
Le fonds, qui a déjà investi en Europe dans des clubs de football tels que le Milan AC ou Liverpool, dit vouloir se focaliser sur les opérations numériques du Telegraph, les abonnements ou "les meilleurs talents journalistiques", et développer la publication à l'international, notamment vers les Etats-Unis.
Selon The Telegraph, le fonds d'investissement émirati IMI, partenaire initial de RedBird, conservera toutefois une participation, qui pourrait atteindre 15%, seuil récemment évoqué par le gouvernement comme limite possible pour les investissements d'Etats étrangers.
Le propriétaire du site d'information américain The New York Sun, Dovid Efune, un temps donné comme repreneur favori du Telegraph, était entré en octobre dernier en "négociations exclusives" de rachat, mais il avait ensuite eu du mal à réunir les 550 millions de livres promis.
Selon The Telegraph, M. Efune n'a pas jeté l'éponge et si l'offre de RedBird "semble favorite" aujourd'hui, "des obstacles subsistent pour conclure l'accord".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Soudan du Sud: l'ONU alerte sur une possible nouvelle détérioration
Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk alerte sur la menace d'une nouvelle détérioration de la situation au Soudan du Sud. Plus de 70 civils ont été tués depuis février en raison des affrontements.
Depuis deux semaines, les violences se sont intensifiées entre l'armée (SSPDF) et les rebelles du SPLM/A-IO, de même que les milices des deux camps, a affirmé vendredi à Genève le Haut-Commissariat. Des bombardements aériens indiscriminés ont été menés par les militaires. Un centre de santé de Médecins Sans Frontières (MSF) a notamment été affecté Les rebelles ont ensuite répondu aux attaques de l'armée.
"L'augmentation des hostilités au Soudan du Sud s'accompagnent d'une menace réelle d'exacerber encore davantage la situation humanitaire et des droits humains", affirme M. Türk. Et de demander aux parties au conflit de préserver l'accord de paix de 2018 et d'honorer leurs obligations internationales en termes de protection des civils.
Les violences récentes ont été observées après des attaques en février attribuées à une milice. Des dizaines de responsables politiques des rebelles ont été détenus, dont le premier vice-président du pays, des ministres, des parlementaires et des militaires.
Le Haut commissaire est inquiet de possibles arrestations arbitraires. Il demande aux autorités de mettre un terme rapidement aux discours de haine et de relâcher les personnes arbitrairement détenues. La Mission de l'ONU au Soudan du Sud doit avoir accès à celles-ci, ajoute l'organisation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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