Climat
L'Espagne attend des records de températures pour un mois d'avril
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La vague de chaleur exceptionnellement précoce vécue par l'Espagne va connaître son pic jeudi et vendredi. Avec des records de températures pour un mois d'avril attendus en particulier dans le sud du pays.
"Il est très probable que le pic de cet épisode soit atteint jeudi et vendredi", a indiqué l'agence météorologique espagnole (Aemet), selon laquelle de "nombreux records de températures" ont déjà été battus mercredi.
La "masse d'air très chaud et sec venant d'Afrique du nord", qui provoque cette vague de chaleur, entraîne depuis le début de la semaine une montée des températures à "des niveaux dignes de l'été et exceptionnellement élevés pour la période", a ajouté l'agence.
Jusqu'à 37 degrés
Jeudi, le thermomètre pourrait ainsi monter jusqu'à 32-34 degrés dans le sud du pays et même jusqu'à 37 degrés dans la vallée du fleuve Guadalquivir, selon l'Aemet qui a revu en baisse ses prévisions après avoir évoqué 40 degrés en début de semaine.
Le thermomètre a déjà atteint ou dépassé les 37 degrés mercredi dans trois stations météo des provinces de Séville et Huelva, en Andalousie (sud), a indiqué l'Aemet.
Cette vague de chaleur survient alors que l'Espagne connaît un printemps anormalement chaud et sec, une situation catastrophique pour l'agriculture, pilier de l'économie espagnole.
60% des terres agricoles "asphyxiées"
Selon le Coag, principal syndicat d'agriculteurs, 60% des terres agricoles espagnoles sont actuellement "asphyxiées" par le manque de précipitations.
Face à cette situation, le gouvernement espagnol a demandé mardi à la Commission européenne d'activer la "réserve de crise" de la Politique agricole commune (PAC) pour aider ses agriculteurs et a annoncé parallèlement des coups de pouce fiscaux.
Pays européen en première ligne face au changement climatique, avec près de 75% de son territoire en voie de désertification selon l'ONU, l'Espagne avait connu l'an dernier son année la plus chaude jamais enregistrée, avec plusieurs vagues de chaleur à partir du mois de mai, selon l'Aemet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Les crues qui ont changé la gestion des dangers naturels en Suisse
Les graves inondations survenues voici 20 ans ont changé la manière de gérer les dangers naturels. Avec 590 millions de francs de dommages, le canton de Lucerne a été l'un des plus touchés par les intempéries qui ont frappé la Suisse en août 2005.
Construire des digues et des murs ne suffit plus, a déclaré lundi Viktor Schmidiger, chef du département des dangers naturels du canton de Lucerne. Les mesures d'aménagement du territoire et des mesures naturelles ont gagné en importance pour minimiser les risques mais la collaboration avec la protection de la population est aussi nécessaire.
Les zones le long de la Reuss et de la Petite Emme avaient été très touchées. Depuis, 100 millions de francs ont été investis dans la protection contre les crues le long de la Petite Emme. Le projet sur la Reuss est lui bloqué par des oppositions.
Les intempéries des 21 et 22 août 2005 avaient fait sept victimes et pour 3 milliards de francs de dégâts. Des zones en ville de Lucerne, Berne, Sarnen et Engelberg (OW) s'étaient retrouvées sous l'eau.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Plus de 1000 personnes évacuées à cause d'incendies en Espagne
Des feux de forêt dans le nord-ouest de l'Espagne, alimentés par des températures caniculaires et des vents forts, ont entraîné dimanche l'évacuation de plus de 1000 personnes, ont déclaré les autorités. Les flammes menacent un site classé par l'UNESCO.
Quelque 400 personnes ont été déplacées dans et autour de la ville de Carucedo et 700 autres de plusieurs localités situées près du site de Las Médulas, une ancienne zone d'extraction d'or romaine connue pour ses spectaculaires rochers rouges et inscrite au patrimoine mondial.
Selon le chef du gouvernement régional de Castille-et-León, Alfonso Manueco, plusieurs de ces incendies sont d'origine criminelle. "Nous serons implacables avec les auteurs de ces attaques contre la vie et la sécurité des personnes et contre notre patrimoine historique et naturel", a-t-il écrit sur le réseau social X.
Deuxième semaine de canicule
Des incendies de forêt ont également frappé les régions de Galice (nord-ouest) et de Navarre (nord).
L'Espagne subit une vague de chaleur qui entre dans sa deuxième semaine, avec des températures atteignant près de 40 degrés dans de nombreuses régions. Cette canicule devrait durer au moins jusqu'à jeudi.
La protection civile a émis une alerte aux feux de forêt dans une grande partie du pays, avec un risque élevé à extrême.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
La canicule s'étale sur presque toute la moitié sud en France
La vague de chaleur en cours depuis vendredi, la deuxième de l'été à toucher la France, s'étend dimanche à presque toute la moitié sud du pays. 42 départements ont été placés en vigilance orange canicule par Météo-France.
"Dimanche, dans la continuité des jours précédents, la chaleur va encore monter d'un cran dans le sud", a prévenu samedi le service national de prévisions. Le thermomètre devrait ainsi grimper "fréquemment" jusqu'à 40 degrés Celsius, voire les "dépasser" dans l'Hérault, le Var et le sud des départements de l'Ardèche et de la Drôme, a-t-il prévenu.
Au plus chaud de la journée, 42 degrés sont également attendus à Nîmes et 40 degrés à Perpignan, avec des pointes à 38 degrés à Bordeaux et Toulouse dans l'après-midi. Cet épisode, qui nécessite "une vigilance particulière notamment pour les personnes sensibles ou exposées", a souligné Météo-France.
Pic attendu lundi ou mardi
Samedi, 42,2 degrés ont été relevés à Tiranges, en Haute-Loire, et 39 degrés à Lyon, dans une région où le mercure devrait "légèrement" baisser dimanche d'après le dernier bulletin de prévision.
Après une première vague de chaleur cette année du 19 juin au 4 juillet, c'est la 51e enregistrée en France depuis 1947.
Lundi, plus de la moitié de l'Hexagone, avec 46 départements centraux et de la partie sud, seront placés en vigilance orange, selon un bulletin actualisé de Météo-France. Les Deux-Sèvres, la Vienne, la Creuse et la Haute-Corse passeront à ce niveau d'alerte dès dimanche à midi.
"Le pic est attendu entre lundi et mardi" pour cette canicule, qui "devrait durer jusqu'en fin de semaine prochaine, a écrit Météo-France.
Selon le prévisionniste, qui observe "une accélération de la survenue des vagues de chaleur" liée au changement climatique, le pays n'a connu que deux étés sans ce type d'épisode au cours des 16 dernières années.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Blatten: l'armée achèvera sa mission lundi soir
Active à Blatten depuis le 27 juin dernier, l’armée suisse quittera le Haut-Valais lundi soir. La majorité du bois flottant sur le lac de Blatten a été retirée, sans qu'un volume n'ait été calculé.
Dans l'après-midi du 28 mai dernier, une partie du glacier du Birch situé au-dessus de Blatten se rompait. Des millions de mètres cubes de gravats, de glace et d'eau se décrochaient, recouvrant et détruisant le petit village haut-valaisan en moins d'une minute.
Dans un premier temps, l’armée est intervenue sur la base de l’Ordonnance sur l’aide militaire en cas de catastrophe. Du 27 juin au 3 août, puis depuis lundi dernier et jusqu’à lundi 11 août, l’armée a poursuivi sa mission sur demande des autorités de la commune de Blatten, en appliquant l’Ordonnance concernant l’appui d’activités civiles et hors du service avec des moyens militaires (OACM).
Au rythme des précipitations
Depuis fin juin, l’armée a rempli les missions demandées par la commune soit : un déblaiement du lac des bois flottants et des parties de maison retrouvées (toits, pans de granges soufflés par l'éboulement), ainsi que le tri et la préparation pour le traitement des matériaux retirés de l’eau. "Avec une profondeur actuelle de quelque 40 cm, le lac ne permet plus d’utiliser nos bateaux", précise le lieutenant-colonel de la division territoriale 1, Jean-Claude Gagliardi pour expliquer la fin de la mission en cours.
"Chaque important épisode de pluie charrie du bois flottant. Une partie de celui-ci s’accumule à la sortie du lac. Toutefois, on peut estimer que la majorité du bois qui flottait à notre arrivée a été retiré du lac", poursuit le Bas-Valaisan.
Pour rappel, le bois récolté a été brûlé par l'armée, en collaboration avec les pompiers du Lötschental, sur décision de la commune de Blatten. Les morceaux de vie (photos, effets personnels) retrouvés ont été rendus à leurs propriétaires.
Pas d'ordre de grandeur officiel
"Il n’est pas possible de donner un ordre de grandeur du volume de déchets récoltés. La quantité de débris et de bois extraits du lac n’est pas mesurée", a rappelé le lieutenant-colonel Jean-Claude Gagliardi. Il y a un mois, le Service valaisan de l'environnement (SEN) parlait de 480 mètres cubes de fois flottants à évacuer.
Trente militaires ont été engagés du 27 juin au 3 août. On parle de spécialistes du Génie, de fantassins et de spécialistes de montagne. Du 4 au 11 août, 16 spécialistes du Génie ont ½uvré sur le terrain. Les Forces aériennes ont, elles, "volé durant une trentaine d’heures", selon une information du service de presse de l'armée.
A partir de lundi et jusqu’au 29 août, la route d’urgence amenant aux principaux hameaux de Blatten va être consolidée et sécurisée.
Le lac s'est réduit d'un tiers
Au niveau géologique, des travaux d’identification de la composition des matériaux sont toujours en cours de réalisation sur le cône de déjection, "dans des endroits peu exposés et sous surveillance stricte", a précisé à Keystone-ATS, le Service des dangers naturels de l’Etat du Valais (SDANA), qui rappelle que "la majorité du cône de déjection peut être touchée en cas de gros éboulement depuis le Petit Nesthorn et qu'il subsiste un danger de lave torrentielle."
Le débit de la rivière Lonza se trouve, lui, "dans des valeurs annuelles moyennes pour la saison. Le volume du lac s’est vidé d’environ un tiers (ndlr: depuis fin mai) et le passage de l’eau s’écoule normalement", constate le SDANA. Une situation qui n'a que peu évolué depuis début juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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