International
Le bénéfice net annuel de Laurent-Perrier progresse
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Le groupe familial Laurent-Perrier a annoncé vendredi une "nouvelle progression de ses résultats" sur l'année 2022/23, portée par une hausse des prix de ses marques de champagne malgré un repli de ses ventes en volume.
Du 1er avril 2022 au 31 mars 2023, le bénéfice net du groupe champenois a progressé de 16,4% par rapport à l'exercice décalé précédent, atteignant 58,5 millions d'euros (56,8 millions de francs) selon un communiqué.
Son chiffre d'affaires a augmenté de 0,7%, s'établissant à 307,8 millions d'euros en 2022/23.
"Le groupe Laurent-Perrier enregistre une progression de ses résultats, fruit des efforts engagés ces dernières années sur la politique de valeur permettant de contribuer à des effets prix/mix conséquents depuis plusieurs exercices", a estimé dans ce communiqué Stéphane Dalyac, président du directoire.
Le chiffre d'affaires du champagne a progressé de 3,1% sur la période grâce à des prix tirés vers le haut, le groupe mettant en avant un "effet prix/mix positif de 9,5%", tandis que les volumes vendus ont diminué de 7,4%.
Tourné vers le marché du haut de gamme, le groupe familial de Tours-sur-Marne détient les marques Laurent-Perrier, Salon, Delamotte et Champagne de Castellane.
Le taux de marge opérationnelle du groupe, un indicateur qui témoigne de sa rentabilité, a atteint "un record de 28,1% à taux de change courants".
Malgré "un contexte géopolitique et économique incertain", le groupe dit vouloir poursuivre l'exécution de son plan d'affaires 2021-2025, en s'appuyant notamment sur les exportations de bouteilles et un "portefeuille de marques fortes".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Ukraine: Zelensky accuse la Russie de "gagner du temps"
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé mardi la Russie de "gagner du temps" en faisant traîner les discussions en vue d'un cessez-le-feu afin de "poursuivre" son invasion de l'Ukraine, au lendemain d'un appel entre Poutine et Trump sans résultats tangibles.
En l'état, aucun calendrier n'a été annoncé et il n'y a aucune garantie que Moscou et Kiev trouvent un accord, au moment où l'armée russe poursuit sa poussée dans l'Est ukrainien face à des troupes de Kiev en difficulté.
"Il est évident que la Russie tente de gagner du temps afin de poursuivre sa guerre et son occupation", a dénoncé mardi Volodymyr Zelensky, qualifiant les conditions de Moscou d'"irréalistes".
Vendredi, les délégations russe et ukrainienne, réunis sous médiation turque à Istanbul, avaient indiqué que chaque partie allait "présenter" prochainement leur "vision" d'une possible trêve, selon les termes du négociateur russe, Vladimir Medinski. Mais il est évident que deux approches s'opposent.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
RFK Jr appelle à demi-mots tous les pays à sortir de l'OMS
Le secrétaire américain à la santé Robert F. Kennedy Jr s'est exprimé pour la première fois devant les autres membres de l'OMS, alors que son pays va se retirer. Il a appelé mardi les Etats à dépasser les "limites" de l'institution et ciblé l'accord anti-pandémies.
"La collaboration mondiale est encore très importante pour le président Trump et moi-même", a affirmé le ministre devant l'Assemblée mondiale de la santé à Genève. "Mais cela ne fonctionne pas très bien avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS)", affirme-t-il aussi, parlant du retrait américain en janvier prochain comme d'une alerte pour les Etats et l'entité.
"Nous voulons libérer la collaboration internationale en termes de santé du carcan de l'interférence politique" des entreprises pharmaceutiques, de pays ennemis et des ONG, a affirmé le ministre. Et d'appeler tous ses pairs à une "nouvelle ère de collaboration", au-delà des "limites d'une OMS moribonde". Il souhaite de nouvelles institutions ou revoir celles qui existent.
Selon lui, l'accord contre les pandémies approuvé mardi va "verrouiller tous les dysfonctionnements" de la réponse de l'institution aux urgences sanitaires. "Nous ne participerons pas à cela", a-t-il insisté, demandant de relancer tout le système.
Dans sa liste de reproches, le ministre a mentionné le "boursouflage bureaucratique" de l'OMS, des "conflits d'intérêt" et des attitudes politiques. Mais aussi la défense par l'institution, selon lui "de l'idéologie du genre", là encore en ligne avec ce qu'à dit à de nombreuses reprises son président.
Et de reprendre aussi une allégation régulière contre Pékin, accusée d'utiliser l'OMS pour ses propres intérêts et pas ceux des populations mondiales. Selon lui, "sous la pression de la Chine", celle-ci a manqué d'une "gouvernance adaptée".
Le retrait annoncé des Etats-Unis, qui alimentent près de 20% du financement de l'organisation, a provoqué un séisme à l'OMS. Il a poussé le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus à lancer une réforme importante de l'organisation. Des licenciements vont avoir lieu, de même que des délocalisations. D'ici 2027, l'organisation doit trouver plus de deux milliards de dollars.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
L'UE prête à assouplir ses règles de renvoi des demandeurs d'asile
La Commission européenne a proposé mardi d'assouplir ses règles pour renvoyer les demandeurs d'asile, répondant à une demande répétée des Etats membres de durcir sa politique migratoire.
Cette proposition inquiète les ONG de protection de migrants, qui assurent que cela expose l'Union européenne à un chantage des pays qui recevront ces demandeurs d'asile.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Forte perte de Vodafone sur l'année, le groupe s'attend à un rebond
Vodafone a essuyé une perte nette de 4,17 milliards d'euros (près de 3,9 milliards de francs) sur son exercice 2024-2025, reflet d'une dépréciation d'actifs. L'opérateur téléphonique britannique entend cependant repartir sur de bonnes bases.
"Il reste encore beaucoup à faire, mais cette période de transition a repositionné Vodafone sur le marché européen", a estimé Margherita Della Valle, directrice générale du groupe.
Face à des performances en berne, l'entreprise a lors des deux dernières années supprimé 10'000 emplois (10% de ses effectifs), vendu ses branches espagnoles et italiennes et attend le bouclage "au cours du premier semestre" 2025 de sa fusion avec l'opérateur Three au Royaume-Uni.
"Faire faire demi-tour à un supertanker n'a jamais été une tâche facile, surtout lorsque l'entreprise évolue dans un environnement extrêmement concurrentiel", a souligné Richard Hunter, analyste d'Interactive Investor.
"Mais certains signes montrent que Vodafone commence à opérer de vrais changements", a-t-il noté, voyant résulter de cette restructuration "une entreprise plus petite, moins géographiquement dispersée, mais plus concentrée".
Si le chiffre d'affaires de l'entreprise est en hausse de 2%, à 37,45 milliards d'euros, elle enregistre sur son exercice fiscal achevé en mars une perte nette de 4,17 milliards d'euros, après un bénéfice de 1,1 milliard l'an passé.
Celle-ci s'explique par des charges de dépréciation de 4,35 milliards d'euros en Allemagne et 165 millions en Roumanie, qui "reflètent la dernière évaluation par la direction des conditions commerciales et économiques probables" de l'entreprise.
En Allemagne, son premier marché, les difficultés se poursuivent avec un excédent brut d'exploitation (après loyers) "significativement plus faible au cours de l'exercice" et des prévisions de croissance "plus faibles à moyen terme".
"Cette branche souffre encore de pertes de clients, liées notamment à des hausses tarifaires imposées l'an dernier, à une concurrence intense et aux effets persistants de la réforme du droit de la télévision", qui a réduit de moitié le nombre de clients, a expliqué Richard Hunter.
Ce changement de la législation empêche les propriétaires d'inclure un abonnement à la télévision par câble dans les charges collectives, contraignant les consommateurs à souscrire des contrats individuels.
Margherita Della Valle dit cependant s'attendre à ce que "l'Allemagne renoue avec la croissance de son chiffre d'affaires au cours de l'année" et espère "un élan généralisé en Europe et en Afrique".
L'action de Vodafone était en hausse de près de 1,6% mardi vers 10h40.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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