Suisse Romande
Boncourt retire son équipe de SBL
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Boncourt n'évoluera pas en SBL messieurs la saison prochaine. La Red Team a annoncé mercredi soir le retrait de sa première équipe, selon une information de Radio Fréquence Jura.
Les dirigeants jurassiens ont évoqué "un déficit tant structurel que financier" au cours d'une conférence de presse pour justifier cette décision, souligne RFJ. Le club démarrera une nouvelle aventure en 1re ligue, en misant sur son académie et ses jeunes, avec Nemanja Calasan comme entraîneur.
"Nous n'avons pas obtenu la licence pour le prochain championnat de SBL. Nous ne trouvons pas de nouvelles sources de financement depuis octobre", explique le président de Boncourt Grégory Franc, cité sur le site de RFJ. Il évoque une décision "lourde et difficile mais prise avec courage".
Boncourt n'avait jamais quitté l'élite depuis sa promotion en 1998, décrochant notamment deux titres de champion dans les années 2000 (2003, 2004). En l'état, avec la promotion de Pully Lausanne, le championnat 2023/24 comprendrait donc à nouveau onze équipes. Mais Nyon serait aussi en proie à des difficultés financières.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Faux policiers: interpellation grâce à la victime d'une tentative
Un ressortissant français âgé de 19 ans et domicilié en France a été arrêté à la suite d'une tentative d'escroquerie aux faux policiers à Moudon (VD), grâce à la vigilance de la personne qu'il avait contactée par téléphone. Dénoncé au Ministère public, l'homme a été condamné par voie d'ordonnance pénale immédiate, a indiqué vendredi la police cantonale.
Les faits se sont déroulés il y a une semaine (vendredi 16 mai), précise la police vaudoise dans son communiqué. Contactée téléphoniquement vers 22h30 par un homme, une ressortissante suisse âgée de 71 ans a composé le 117 et a expliqué qu'un individu, qui prétendait travailler pour la police, allait passer à son domicile de Moudon pour récupérer ses cartes bancaires, détaille-t-elle.
Une patrouille s'est alors rapidement rendue sur place et les gendarmes ont réussi à interpeller un individu qui quittait les lieux. Interrogé, ce jeune Français a reconnu être l'auteur de la tentative d'escroquerie, poursuit la police.
Plus de 500 cas déjà en 2025
Celle-ci rappelle au passage que cette arnaque aux faux policiers a toujours cours dans le canton de Vaud. Pour l'année 2025, quelque 564 cas de faux policiers dont 159 réussites ont déjà été recensés sur le territoire cantonal, informe-t-elle.
La police cantonale rappelle également qu'elle ne se rend jamais chez des particuliers pour saisir les cartes bancaires ou les objets de valeur. Elle incite les personnes à rester vigilantes lorsqu'elles reçoivent un appel téléphonique de ce type et à composer directement le numéro 117.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: l'assainissement des sols pollués est loin de débuter
Il y a exactement quatre ans, fin mai 2021, Lausanne annonçait la détection de dioxines dans des sols des hauts de la ville. Cette pollution, d'une ampleur inédite en Suisse, semble avoir été causée par l'ancienne usine d'incinération du Vallon. Les travaux d'assainissement ne sont toutefois pas près de commencer. Explications.
"Nous ne disposons pas d'un horizon pour le début des mesures d'assainissement", indique la Direction générale de l'environnement (DGE) du canton de Vaud dans une réponse écrite à Keystone-ATS. "Les questions sont complexes tant au niveau juridique, législatif et technique pour une pollution d'une telle ampleur (...). Le temps investi pour y répondre est donc à la mesure de la complexité de la situation", souligne-t-elle.
Quelque 240 hectares - environ 343 terrains de foot - doivent potentiellement être assainis sur un périmètre allant d'Epalinges à Ouchy, et du Parc de Valency à l'ouest de Pully. Dans les zones les plus touchées, les concentrations de dioxines dépassent les 115 nanogrammes par kilo de sol, alors que la Confédération exige un assainissement au-delà de 20 nanogrammes.
Environ 3000 parcelles, comme des jardins ou des parcs, sont concernées. Des investigations doivent déterminer si les dioxines y dépassent les valeurs limites et si des enfants sont susceptibles d'y jouer. Si les deux cases sont cochées, un assainissement s'imposera.
Changer la terre...
Les autorités s'activent pour déterminer la meilleure façon d'assainir ces sols, en fonction de l'efficacité, du coût et de l'impact environnemental des méthodes à disposition.
L'une des solutions consiste à excaver les terres souillées par des dioxines pour les mettre en décharge et à les remplacer par des terres non polluées. Le canton y songe sérieusement. Les terres de remplacement seraient prises sur des chantiers de construction où des matériaux terreux excédentaires doivent être évacués. "Les prix sont de l'ordre de plusieurs dizaines de francs par m3 et varient selon l'offre et la demande", précise la DGE.
Cette option comporte cependant des "défis techniques", comme trouver suffisamment de sols non pollués, disponibles pour les remplacements. Elle impacte également la ressource en sol, puisqu'elle implique la mise en décharge d'importants volumes de terre.
...ou la nettoyer
Trois projets pilotes ont été mis sur pied afin d'explorer des alternatives. L'un d'entre eux, dit de "traitement physicochimique", a consisté à injecter de l'eau et des bulles d'air de très petite taille dans les sols touchés par les dioxines, afin de détacher les polluants et de les concentrer en surface. Ce procédé de "lavage de terre" s'est toutefois avéré inefficace.
Un autre projet, dit de "traitement thermique", a permis de confirmer que les dioxines pouvaient être retirées des matériaux terreux à des températures de l'ordre de quelques centaines de degrés. Cette méthode est donc techniquement "envisageable pour traiter les sols excavés lausannois". Cependant, les experts s'attendent à ce que la qualité du sol soit détériorée par un tel traitement.
Enfin, un projet dit de "biorémédiation" fait encore l'objet de tests. La méthode a consisté dans un premier temps à isoler en laboratoire des bactéries naturellement présentes dans des sols lausannois et capables de dégrader les dioxines, puis de les cultiver en laboratoire pour une éventuelle utilisation sur le terrain.
Dans un deuxième temps, ces bactéries ont été introduites dans trois échantillons de sols issus de parcelles publiques polluées à des degrés divers, afin d'évaluer leur efficacité à dégrader les dioxines qui y sont présentes. Cette phase est toujours en cours. "Aucune conclusion ne peut être tirée à ce stade", précisent les autorités.
Patience nécessaire
Cette dernière méthode aurait l'avantage de "pouvoir être mise en oeuvre directement" sur le terrain sans devoir littéralement déplacer des montagnes de terre. Elle présente cependant des inconvénients. D'une part, son efficacité reste "encore à démontrer", d'autre part, le temps de traitement pourrait s'étaler sur "plusieurs années, voire dizaines d'années", explique le canton.
Au final, quelle que soit l'option retenue, la patience sera de mise. "Les assainissements pourraient s'étaler sur plusieurs années", prévient la DGE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Les députés fribourgeois votent le projet d'éducation numérique
Les députés fribourgeois ont voté vendredi le projet d’équipement numérique des écoles obligatoires (ENEO). Le modèle apparaît bien éloigné de celui présenté il y a trois ans par le Conseil d'Etat, moins ambitieux et coûteux, et sans référendum financier obligatoire.
La modification de la loi scolaire a passé la rampe, après deux jours de débats, par 80 voix contre 10 et 2 abstentions. Portée par la conseillère d'Etat Sylvie Bonvin-Sansonnens, chargée de la formation, elle implique des enjeux de financement, de cohérence, d'équité, de sobriété, de durabilité, de mutualisation et de santé.
Comptant parmi les priorités de la législature, le projet a connu une récente accélération, qui a réussi à débloquer la situation. Dans une version "bis", la commission ad hoc, présidée par le député PS Pierre Vial, a proposé de laisser l'achat des équipements à la charge des communes, le canton assumant lui le support technique.
La commission évoque un "projet d'éducation numérique moins coûteux, conciliant impératifs pédagogiques et financiers".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Toujours pas de rupture du glacier au-dessus de Blatten (VS)
Dans la zone d'éboulement de Blatten (VS), il n'y a pas encore eu de rupture du glacier. La nuit de jeudi à vendredi a été "ressentie" comme plus calme, mais il n'est pas question de lever l'alerte, a déclaré un porte-parole de l'état-major régional de conduite.
Comme les nuits précédentes, des chutes de pierres isolées ont eu lieu, a déclaré vendredi matin le porte-parole de l'état-major régional de conduite du Lötschental, interrogé par l'agence de presse Keystone-ATS.
Le sentiment que la nuit a été un peu plus calme se base plus sur ce que l'on a entendu que sur ce que l'on a vu, a-t-il ajouté. Depuis plusieurs jours, on observe régulièrement des chutes de rochers. Le fait qu'il y ait eu jusqu'à présent de nombreuses petites chutes satisfait les géologues.
Des vols de reconnaissance sont prévus vendredi pour permettre aux experts de se faire une idée plus précise de la situation dans la zone de l'éboulement. La masse qui s'est effondrée doit ensuite être précisée. Selon les estimations, la masse totale de roche instable s'élève à quatre à six millions de mètres cubes.
Les blocs isolés ne posent pas de problème pour les habitations
Jeudi après-midi, le remplissage du glacier de Birch avec des débris provenant de l'effondrement du Petit Nesthorn atteignait le front du glacier. Les mouvements sur le glacier se sont accélérés pour atteindre un mètre et demi par jour. "C'est une question de temps avant que les premiers blocs ne débordent", a expliqué jeudi l'ingénieur Alban Brigger du Service des dangers naturels lors d'une conférence de presse à Ferden (VS). On ne s'attend toutefois pas à ce que des blocs isolés posent problème pour la route ou les habitations.
Le village de Blatten a été évacué lundi en raison du risque d'éboulement. Environ 300 personnes ont dû quitter leur maison. Il n'y a pas encore eu de blessés ou de dommages aux infrastructures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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