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L'éolien dans le monde franchit la barre d'un térawatt
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L'énergie éolienne dans le monde, sur terre et en mer, a franchi en juin la barre d'un térawattheure (TW) de capacités, a indiqué jeudi le Global Wind Energy Council (GWEC), organisation professionnelle du secteur.
Il aura fallu plus de 40 ans pour arriver à "cette étape majeure", mais avec la montée continue de l'éolien, le prochain TW devrait être atteint en moins de sept ans, d'ici 2030, souligne le GWEC, qui se fonde sur sa base de données.
Ce 1 TW, capacité équivalente à plusieurs centaines de centrales nucléaires, a été atteint avec le raccordement en mai-juin de trois parcs terrestres en Chine (dont un gigantesque en Mongolie intérieure de 1600 MW), d'un en Arizona et d'un autre au Maroc, et de deux fermes offshore, aux Pays-Bas et en Ecosse (Seagreen, le plus grand d'Ecosse).
"Le chemin est là"
"C'est un moment majeur pour l'industrie éolienne, mais c'est aussi un moment que le monde entier doit fêter: cette réalisation marquante montre que le chemin vers un futur énergétique propre est là", a commenté Ben Backwell, le directeur du Conseil qui rassemble quelque 1500 entreprises et organisations de 80 pays.
"L'énergie renouvelable doit être au centre de nos efforts collectifs en vue de la neutralité carbone, avec l'énergie du vent comme fondement de notre nouveau système énergétique aux côtés du solaire photovoltaïque et d'autres technologies renouvelables", a-t-il ajouté.
Ce 1 TW ne représente cependant encore qu'une portion minime de l'électricité, et a fortiori de l'énergie, consommée dans le monde.
Le GWEC vise 8 TW d'éolien d'ici 2050. Un objectif qui "nécessitera une coopération sans précédent à travers le monde et l'avènement d'une main d'oeuvre nouvelle", estime son directeur, qui appelle gouvernements, entreprises, collectivités à travailler ensemble pour "faire de cette vision une réalité".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Jim Lovell, commandant de la mission Apollo 13, est mort
L'astronaute américain Jim Lovell, commandant de la célèbre mission lunaire Apollo 13, qui avait manqué de tourner à la catastrophe en 1970 après une explosion en vol, est mort à l'âge de 97 ans, a annoncé vendredi la Nasa.
"La Nasa présente ses condoléances à la famille du capitaine Jim Lovell, dont la vie et l'oeuvre ont inspiré des millions de personnes au fil des décennies", a déclaré l'agence spatiale dans un communiqué, saluant son "caractère et son courage inébranlable" ayant permis aux Etats-Unis "d'atteindre la Lune".
L'Américain, qui n'a jamais marché sur la Lune, est resté l'un des grands noms du programme lunaire américain, mondialement connu pour avoir prononcé le fameux "Houston, nous avons un problème".
Incarné sur le grand écran par Tom Hanks dans le blockbuster éponyme "Apollo 13" sorti en 1995, son sang-froid lors de cette odyssée spatiale chaotique lui ont valu une large reconnaissance.
Lancée le 11 avril 1970, neuf mois après les premiers pas historiques de Neil Amstrong sur la Lune, la mission pilotée par Jim Lovell aux côtés des astronautes Fred Haise et Jack Swigert devait se poser sur l'astre.
Mais une explosion survenue en plein vol, entraînant une fuite d'oxygène, a bouleversé ces plans. "Houston, nous avons un problème", avait alors annoncé laconiquement Jim Lovell au centre de contrôle de la Nasa.
L'Amérique, qui considérait déjà ces vols comme une routine, se retrouva alors projetée en direct dans une tragédie inédite, trois hommes risquant de rester à jamais dans l'espace. Grâce au sang-froid du commandant et de la Nasa, le trio s'en était heureusement sorti, réussissant à revenir sain et sauf sur Terre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump va signer un accord avec l'Azerbaïdjan et l'Arménie
L'Arménie et l'Azerbaïdjan, qu'un conflit territorial oppose depuis des années, vont signer vendredi à Washington un accord qualifié d'"historique" par Donald Trump. Il permet aussi aux Etats-Unis d'avancer leurs pions dans une région hautement stratégique.
"Beaucoup de dirigeants ont tenté de mettre fin à la guerre, sans succès, jusqu'à maintenant, grâce à 'TRUMP'", a claironné le président américain jeudi soir sur son réseau Truth Social.
Donald Trump, qui estime mériter le prix Nobel de la paix pour ses efforts de médiation dans divers conflits, a dit qu'une "cérémonie de signature de la paix" serait organisée lors de ce "sommet historique" avec la participation du président azerbaïdjanais Ilham Aliev et du Premier ministre arménien Nikol Pachinian.
Le dirigeant arménien est arrivé peu avant 15h00 locale (21h00 en Suisse) à la Maison Blanche pour une entrevue avec le président américain. Le leader azerbaïdjanais est attendu un peu plus tard, également pour une réunion bilatérale avec Donald Trump, avant la rencontre et la signature tripartite.
Les deux anciennes républiques soviétiques du Caucase vont "signer une déclaration commune" prévoyant la création d'une "zone de transit" passant par l'Arménie et reliant l'Azerbaïdjan à son enclave du Nakhitchevan plus à l'ouest, a indiqué Anna Kelly, une porte-parole de la Maison Blanche, vendredi dans un échange avec la presse. Les Etats-Unis y disposeront de droits de développement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'OMC améliore sa prévision du commerce mondial grâce à Trump
L'Organisation mondiale du commerce (OMC) anticipe une progression du commerce mondial de 0,9% pour cette année, mieux qu'attendu en avril. En raison des annonces de droits de douane de Donald Trump, les importations américaines ont bondi au premier trimestre.
Et elles ont prix 11% au premier semestre par rapport à la même période l'année dernière, a précisé vendredi l'organisation à Genève. Les entreprises américaines se sont précipitées sur les marchandises de leurs partenaires étrangers avec l'incertitude liée à la situation après la pause de trois mois sur les tarifs décrétée par le président américain.
"Le commerce mondial a montré de la solidité" face aux perturbations, "y compris les augmentations de droits de douane récentes", a estimé la directrice générale de l'OMC Ngozi Okonjo-Iweala. "L'impact entier des récentes mesures tarifaires n'a toutefois pas encore eu lieu", selon elle.
En avril, au milieu de la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine, l'OMC parlait d'une contraction de 0,2% du commerce mondial pour cette année. Un effet correctif en raison des nouveaux tarifs est toutefois attendu pour le second semestre.
La trêve entre Washington et Pékin et certaines exceptions contribuent positivement. Mais les nouveaux droits de douane entrés en vigueur jeudi affecteront davantage les importations aux Etats-Unis. Celles-ci devraient reculer de 8,3%.
Asie en première place
Et la situation s'annonce désormais surtout difficile pour l'année prochaine, selon les économistes de l'OMC. La progression devrait s'établir à 1,8%, contre 2,5% estimés auparavant.
Autre explication pour cette année, la situation économique mondiale est plus favorable. La dépréciation du dollar devrait faciliter les conditions pour les pays en développement. Et la chute des prix du pétrole devrait soutenir la croissance dans les économies industrialisées, même si elle devrait diminuer la demande en importations dans les régions pétrolières.
Par région, l'Asie va continuer de porter le commerce mondial avec des exportations en augmentation de 4,9% et des importations qui vont progresser de 3,3%. Les exportations européennes devraient elles diminuer de 0,9%.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Poutine appelle ses alliés avant une possible rencontre avec Trump
Vladimir Poutine s'est entretenu vendredi au téléphone avec le président chinois Xi Jinping et le Premier ministre indien Narendra Modi avant sa rencontre prévue, dans les jours à venir, avec Donald Trump pour tenter de mettre fin au conflit en Ukraine.
Ces appels interviennent le jour où doit expirer l'ultimatum lancé à la Russie la semaine dernière par M. Trump pour faire avancer les négociations avec Kiev, sous peine de nouvelles sanctions américaines.
L'offensive russe à grande échelle contre l'Ukraine, déclenchée en février 2022, a fait a minima des dizaines de milliers de morts dans les deux pays et causé d'immenses destructions.
Mais après plus de trois ans de combats, les positions ukrainienne et russe sont toujours irréconciliables. La Russie est accusée de bloquer les pourparlers en maintenant des demandes maximalistes, à un moment où ses forces ont l'avantage sur le front et continuent d'y gagner du terrain.
Pour tenter de faire avancer les choses, l'émissaire américain Steve Witkoff a été reçu au Kremlin par Vladimir Poutine, ce qui a permis une accélération au plan diplomatique marquée par l'annonce jeudi par Moscou d'un "accord de principe" pour un prochain sommet entre les dirigeants américain et russe.
Il s'agirait du premier tête-à-tête entre les deux hommes depuis juin 2019 au Japon. Ni sa date, ni son lieu n'ont toutefois été annoncés pour l'heure.
Pas de "solutions simples"
Dans ce contexte, Vladimir Poutine a informé vendredi au téléphone Xi Jinping des "résultats" des discussions concernant le conflit en Ukraine qu'il a eues mercredi avec Steve Witkoff, a fait savoir le Kremlin.
"La Chine se réjouit de voir la Russie et les Etats-Unis maintenir le contact, améliorer leurs relations et promouvoir un règlement politique de la crise ukrainienne", a dit le chef de l'Etat chinois à son homologue russe, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
M. Xi "a souligné que les questions complexes n'avaient pas de solutions simples", ajoutant que "la Chine soutiendra toujours (...) la paix et la promotion des pourparlers", selon la télévision publique CCTV.
Le Premier ministre indien Narendra Modi a, quant à lui, déclaré vendredi qu'il avait eu un "bon" échange avec son "ami" Vladimir Poutine. Dans un communiqué, le Kremlin a écrit que M. Poutine avait parlé à M. Modi des "résultats" de sa rencontre avec l'émissaire américain.
La veille, Vladimir Poutine avait reçu à Moscou le conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre indien. Cette rencontre avait eu lieu au lendemain de la décision américaine d'imposer 50% de droits de douane sur les produits indiens importés, les Etats-Unis reprochant à l'Inde ses achats de pétrole russe.
Ultimatum américain
Washington a menacé de s'en prendre aux pays qui commercent avec la Russie, comme l'Inde et la Chine. Mais, jeudi, interrogé sur le maintien ou non de son ultimatum adressé à la Russie, qui doit expirer vendredi, le président américain a esquivé : "Cela va dépendre de Poutine, on va voir ce qu'il va dire."
"Très déçu", a-t-il enchaîné, semblant parler du chef de l'Etat russe. En juillet, il s'était déjà dit "déçu" à plusieurs reprises par M. Poutine du fait de l'absence d'avancées dans les négociations entre Kiev et Moscou.
Entre la Russie et l'Ukraine, les positions sont encore aux antipodes. Le dernier cycle de négociations directes entre les deux belligérants à Istanbul en juillet n'avait débouché que sur un nouvel échange de prisonniers et de dépouilles de soldats.
Parallèlement, l'armée russe poursuit ses attaques aériennes meurtrières sur l'Ukraine et ses assauts sur le front, où ses soldats sont plus nombreux et mieux équipés.
Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan.
Des exigences inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales, dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie. L'Ukraine demande aussi, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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