Vaud
Yverdon accueille une nouvelle succursale du CSIR
Le Centre social d'intégration des réfugiés (CSIR) a ouvert une nouvelle antenne dans le canton de Vaud. Après le siège de Lausanne et Montreux, il est désormais présent à Yverdon-les-Bains, où environ 550 personnes bénéficient de ses services.
Tandis que l'Etablissement vaudois d’accueil de migrants (EVAM) s'occupe des demandeurs d’asile (permis N et S), le CSIR accompagne les réfugiés reconnus avec octroi de l'asile (permis B) ou avec admission provisoire (permis F), rappelle mardi l'Etat de Vaud.
La mission du CSIR consiste à intégrer au mieux les réfugiés dans la société et le marché de travail. Il offre ainsi un soutien pour trouver un logement, un stage, un emploi ou encore des cours de français.
Le bilan d'accompagnement des réfugiés des dernières années est "très positif", poursuit le communiqué. Et de relever notamment que 80% des bénéficiaires du CSIR ont terminé une formation professionnelle et deviennent financièrement autonomes.
Proximité régionale
Le siège principal à Lausanne assiste 1015 personnes. L'antenne régionale de Montreux, ouverte en octobre 2020, s'occupe de 899 personnes. Quant à celle qui vient d'ouvrir à la rue de la Blancherie à Yverdon, elle accompagne 563 réfugiés.
"Nous constatons que renforcer l'intégration par la régionalisation porte ses fruits", affirme la conseillère d'Etat Rebecca Ruiz, en charge de l'action sociale, citée dans le communiqué. "Etre sur place permet au CSIR de bien connaître le réseau économique et social régional, les employeurs potentiels et les institutions socio-culturelles", ajoute-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
40 bougies pour la liaison Lausanne-Paris par rails
Ouverte en 1984, la liaison ferroviaire entre Lausanne et Paris souffle ses quarante bougies cette année. Une ligne inaugurée seulement trois ans après l'arrivée en France du train à grande vitesse.
Depuis quatre décennies, un train grande vitesse relie deux capitales : Lausanne, l'Olympique, et Paris, la Française, en moins de quatre heures. Une liaison qui faisait suite, trois ans plus tard, à l'arrivée de la ligne Paris-Genève, en. 1981.
Une liaison ferroviaire transfrontalière qui possède de nombreux avantages, souligne la conseillère d'Etat vaudoise en charge des infrastructures, Nuria Gorrite :
Depuis quarante ans, ce ne sont pas moins de 200 millions de voyageurs qui ont emprunté les différentes liaisons franco-suisses, indique TGV Lyria.
Noces d'émeraude
40 ans de mariage de cette ligne, célébré ce 14 juin en gare de Lausanne. La ligne Lausanne-Paris fut ouverte en 1984, seulement trois ans après l'arrivée en France du train à grande vitesse. Lausanne a donc été reliée par le TGV avant même d'autres villes dans l'Hexagone. Une preuve de l'importance de cette liaison transfrontalière, souligne le Consul général de France en Suisse :
Cet anniversaire doit aussi être l'occasion de voir vers le futur, notamment sur l'offre des dessertes au départ de Lausanne :
Pour la ministre vaudoise des infrastructures, il faut continuer à se battre pour maintenir cette ligne. Mais aussi voir plus loin en ce qui concerne les destinations :
Vaud
Le Canton de Vaud et l’EVAM au chevet des mineurs non-accompagnés
Le nombre de mineurs non-accompagnés a explosé dans le canton de Vaud en 5 ans. En 2019, 42 d’entre eux étaient pris en charge, contre 478 à la fin de l’année dernière. Un véritable défi pour le Canton, qui souhaite améliorer la prise en charge. Les autorités et l’EVAM ont planché sur une feuille de route, présentée ce vendredi.
Le Canton de Vaud veut mieux prendre en charge les mineurs non-accompagnés. Pour ce faire, le gouvernement a établi une feuille de route en collaboration avec l’EVAM. Elle a été dévoilée ce vendredi. L’objectif : faire face à un afflux grandissant dans de bonnes conditions. Car si le Canton ne prenait en charge que 42 mineurs non-accompagnés en 2019, ils étaient presque 500 à la fin de l’année dernière.
Concrètement, le document doit fixer une vision commune de l’EVAM et de l’Etat pour la protection de ces jeunes, afin notamment de répondre à leurs besoins spécifiques. Le document doit aussi renforcer l’organisation de l’EVAM ainsi que la surveillance des structures. Jusqu’ici, la surveillance n’était, en effet, qu’administrative. Isabelle Moret, conseillère d’Etat chargée notamment de l’économie.
Cette feuille de route découle d'un audit critique réalisé en 2022. Il avait alors démontré que les besoins spécifiques des mineurs n'étaient pas suffisamment pris en considération.
Nouvelle structure à Lausanne
La feuille de route et ses mesures devraient être mises en oeuvre d'ici début 2025. Et cela se fera dans un contexte toujours tendu, en témoignent les besoins en nouvelles structures. Erich Dürst, directeur de l'EVAM.
La feuille de route présentée ce vendredi pourrait aussi avoir un impact du côté de Berne. Le gouvernement espère en tout cas qu'elle pourra peser dans de futures discussions avec la Confédération. Explications de Vassilis Venizelos, conseiller d'Etat chargé de la jeunesse.
Vaud
La Police Nyon Région instaure deux mesures concrètes
La Police Nyon Région (PNR) met en place deux mesures afin de combattre le harcèlement de rue. Dès samedi, une plateforme de signalement en ligne ainsi qu'un réseau de lieux sûrs, appelé dispositif "Angela", sont introduits pour renforcer la sécurité publique, indique-t-elle vendredi dans un communiqué.
"La sécurité dans l'espace public est une préoccupation croissante, notamment pour les femmes, les membres de la communauté LGBTIQ+, et d'autres personnes vulnérables, souvent confrontées à des comportements inappropriés et menaçants. Suivant l'exemple de villes romandes comme Lausanne, Yverdon et Vevey, la PNR prend des mesures concrètes pour répondre à cette problématique sur son territoire", écrit-elle.
La première initiative consiste en la création d'une page internet dédiée sur le site de la PNR, accompagnée d'un formulaire de signalement. Ce formulaire permettra, tant aux victimes qu'aux témoins de harcèlement de rue, de rapporter les incidents, soit de manière anonyme, soit en choisissant d'être recontactés par l'Unité prévention de la PNR, explique la police régionale.
La seconde mesure concerne la mise en place du réseau appelé "Angela". Il s'agit d'un dispositif de lieux sûrs où les personnes menacées peuvent trouver refuge et assistance en demandant "Angela". Environ 60 établissements publics à Nyon, Crans et Prangins s'inscrivent déjà dans ce dispositif, selon la PNR.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
La limite olympique reste un objectif pour Mumenthaler
Tout frais champion d'Europe du 200 m, Timothé Mumenthaler a déjà son prochain objectif en tête.
Quasiment assuré de décrocher un ticket pour les JO par le biais du classement mondial, il espère valider sa qualification en réussissant la limite, fixée à 20''16.
"Ce chrono reste un objectif. Il semblait lointain, mais il me paraît atteignable après mes 20''28 des Européens". Pour y parvenir, "je devrai réussir une très bonne course, dans de très bonnes conditions", a-t-il expliqué vendredi lors d'une conférence de presse organisée par Athletissima.
Mais "j'ai fait mes calculs. Je suis 32e dans la Road to Paris", alors que 48 athlètes participeront aux JO 2024. "Je ne veux pas vendre peau de l'ours avant de l'avoir tué. Mais statistiquement, ma place aux Jeux est garantie", a lâché Timothé Mumenthaler, qui accompagnera le Grison Williams Reais sur cette distance.
Le Genevois de 21 ans espère néanmoins pouvoir profiter des championnats de Suisse de Winterthour (28/29 juin), où il bénéficiera aussi de la concurrence de William Reais (3e aux Européens) et de Felix Svensson, pour réussir cette limite. "Mais je ne courrai pas le 200 m à AtleticaGenève" le 22 juin.
Objectif 4x100 m
Timothé Mumenthaler aura un autre objectif dans le Stade du Bout-du-Monde: la qualification olympique en relais, que la Suisse doit aller chercher en faisant mieux que 38''30. Soit le chrono réalisé cette saison par Trinité & Tobago, qui détient pour l'heure le 16e et dernier ticket disponible sur 4x100 m.
"On fera une tentative à Genève. Mais, et tout le monde en est conscient, on doit remanier l'équipe" par rapport à la finale des Européens, que le quatuor Mancini/Reais/Lestrade/Mumenthaler avait conclue au 5e rang en 38''68.
"De mon point de vue, on a assez de jeunes talents en Suisse. William (Reais) et Felix (Svensson) sont en forme, Bradley (Lestrade) a réussi un bon virage à Rome. On a quatre coureurs en forme, avec une composition idéale pour Genève", précise Timothé Mumenthaler.
"On n'a pas forcément de meilleur partant que Pascal (Mancini)", concède-t-il. "On perdrait sur les 30 premiers mètres, mais on serait plus rapide sur la suite", assure le Genevois qui, à 21 ans, n'a pas sa langue dans sa poche.
Des examens à repousser
Timothé Mumenthaler a par ailleurs un autre objectif en tête: convaincre la direction de l'EPFL de repousser ses examens. "J'ai eu beaucoup de stress, et n'ai pas pu suivre les cours comme j'aurais dû. Ca me libérerait d'un poids mental si je n'avais pas à préparer mes examens maintenant", a-t-il glissé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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