International
La justice de l'UE confirme la levée de l'immunité de Puigdemont
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La justice européenne a rejeté mercredi le recours de Carles Puigdemont contre la levée de son immunité par le Parlement européen. Un revers pour l'indépendantiste catalan dans la saga judiciaire ouverte depuis l'échec de la tentative de sécession de la Catalogne.
M. Puigdemont, qui a fui l'Espagne en 2017 pour échapper aux poursuites judiciaires et est installé en Belgique, a immédiatement annoncé sur Twitter qu'il allait faire appel de cette décision du Tribunal de l'Union européenne devant la Cour de Justice de l'UE.
La décision du Tribunal concerne également Clara Ponsati et Toni Comin, eurodéputés comme M. Puigdemont et anciens membres de son gouvernement régional.
Tentative de sécession
Tous sont dans le collimateur de la justice espagnole pour leur rôle dans la tentative de sécession de la Catalogne en octobre 2017, l'une des pires crises politiques vécues par l'Espagne depuis la fin de la dictature franquiste en 1975.
Ils demandaient au Tribunal de l'UE d'annuler la levée de leur immunité par le Parlement européen sur demande de la justice espagnole. Après une procédure en référé liée au recours intenté dès l'été 2021, la juridiction établie à Luxembourg statuait cette fois sur le fond.
Dans sa décision, il rejette notamment l'argument de la supposée violation par le Parlement européen du principe d'impartialité, qui était brandi par les indépendantistes catalans.
"Le Tribunal rejette tous les moyens invoqués par les trois députés, notamment leurs arguments selon lesquels le Parlement aurait commis des erreurs en concluant que les poursuites judiciaires en cause n'ont pas été engagées dans l'intention de nuire à l'activité des députés", indique-t-il dans un communiqué.
La juridiction estime aussi que, pour se prononcer sur les demandes de levée d'immunité présentées par la justice espagnole, le Parlement européen n'avait "pas à examiner la légalité des actes judiciaires espagnols". "Cette question relève en effet de la seule compétence des autorités nationales", dit l'instance.
Recours
"Cela n'est pas terminé. Bien au contraire, cela continue. Nous allons présenter un recours" devant la Cour de justice de l'UE "et nous défendrons jusqu'au bout nos droits fondamentaux", a réagi Carles Puigdemont sur Twitter.
La Cour suprême espagnole réclame l'extradition de M. Puigdemont depuis 2017 mais la justice belge n'a jamais donné de feu vert définitif à ses demandes notamment en raison de problèmes d'équivalence des chefs d'inculpation dans les droits nationaux respectifs.
M. Puigdemont est poursuivi en Espagne pour détournement de fonds publics et désobéissance. La justice espagnole a dû abandonner en janvier ses poursuites pour sédition, qui auraient pu lui coûter une peine beaucoup plus lourde s'il est un jour jugé, après une réforme du Code pénal supprimant ce délit.
Cette réforme controversée du gouvernement du socialiste Pedro Sanchez était destinée à donner des gages au mouvement séparatiste catalan dont une partie soutient l'exécutif.
Le gouvernement indépendantiste de M. Puigdemont avait tenté en octobre 2017 de faire sécession de l'Espagne en organisant un référendum d'autodétermination, interdit par la justice, avant que le Parlement local ne déclare unilatéralement l'indépendance de la région.
Madrid avait alors suspendu l'autonomie de la Catalogne tandis que les dirigeants séparatistes avaient été incarcérés ou avaient fui à l'étranger.
Neuf d'entre eux ont été condamnés à des peines allant jusqu'à 13 ans de prison en 2019 avant d'être graciés par le gouvernement en 2021.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël a frappé un site du Hezbollah dans le sud du Liban
L'armée israélienne a affirmé samedi avoir frappé un site du Hezbollah de la région de Naqoura, dans le sud du Liban, au cours de la nuit.
"Ce site était utilisé par la 'Force Radouane' du Hezbollah pour mener des attaques terroristes contre des civils israéliens et constitue une violation flagrante des accords entre Israël et le Liban", a indiqué l'armée dans un communiqué publié au lendemain d'une mise en garde par le ministre de la Défense israélien, Israël Katz.
L'armée a précisé avoir obtenu des informations sur ce site "notamment à la suite de l'interrogatoire d'un terroriste du Hezbollah."
Dans la nuit, l'armée avait également annoncé avoir frappé un "terroriste du Hezbollah" dans le sud du Liban, sans donner plus de détails.
Vendredi, le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, avait mis en garde le mouvement chiite libanais, en lui "conseillant" d'éviter d'intervenir dans la guerre avec l'Iran.
Israël a lancé une offensive sur l'Iran il y a à peine plus d'une semaine, tandis que son armée a continué à mener des séries de frappes sporadiques sur le Liban, principalement dans le sud du pays, indiquant viser le mouvement libanais.
Après plus d'un an d'échanges de feux suivi de deux mois de guerre ouverte entre Israël et le Hezbollah, un accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 27 novembre dernier.
Armé et financé par l'Iran, le Hezbollah est ressorti très amoindri de cette guerre.
En vertu du cessez-le-feu, la formation libanaise devait retirer ses forces et démanteler toute infrastructure militaire au sud du fleuve Litani, à une trentaine de kilomètres de la frontière israélienne, et Israël retirer ses forces du sol libanais.
Mais l'armée israélienne maintient cinq positions frontalières qu'elle juge "stratégiques" et mène quasi-quotidiennement des frappes au Liban, affirmant viser le Hezbollah.
Le Hezbollah avait ouvert un front début octobre 2023 en tirant des roquettes à partir du sud du Liban sur le nord d'Israël, disant agir en soutien au mouvement islamiste palestinien Hamas.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bencic de retour à Bad Homburg
Forfait sur blessure pour Roland-Garros, Belinda Bencic (WTA 35) effectuera son retour à la compétition sur le gazon de Bad Homburg.
La St-Galloise affrontera Ekaterina Alexandrova (WTA 18) au 1er tour d'un WTA 500 qui débute dès dimanche.
La championne olympique de Tokyo 2021 s'est déjà mesurée à sept reprises à la Russe, tête de série no 8 du tableau en Allemagne. Elle s'est imposée quatre fois, dont une sur le gazon de Berlin en quart de finale d'une édition 2021 dans laquelle elle avait atteint la finale.
Blessée à un bras, Belinda Bencic n'a plus joué depuis son abandon au 1er tour à Rome le 7 mai. Quant à Ekaterina Alexandrova, elle reste sur un échec mortifiant une semaine plus tôt sur l'herbe de Bois-le-Duc: elle a en effet manqué pas moins de 11 balles de match dans sa demi-finale perdue face à Elise Mertens.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Bayern contient la furia Boca et fonce en 8es
Largement supérieur dans le premier acte, bousculé dans le second, le Bayern Munich a fini par vaincre Boca Juniors (2-1) grâce à Harry Kane et Michael Olise, vendredi dans le Mondial des clubs.
Le "Rekordmeister" a ainsi logiquement acté sa qualification pour les 8es de finale.
Muet et plutôt discret lors du premier match face aux amateurs d'Auckland, malgré l'avalanche de buts inscrits (10-0), Harry Kane s'est montré bien plus actif et tranchant cette fois. C'est lui qui a ouvert le score dans le style létal qui le caractérise, d'un tir croisé du gauche après avoir hérité d'un centre mal repoussé par un défenseur adverse (18e).
Et c'est lui aussi qui a judicieusement dévié un ballon cafouillé dans la surface vers Olise, qui n'a pas manqué en ouvrant son pied de remettre le Bayern devant au score (84e). L'attaquant français, s'est ainsi fait pardonner après sa perte de balle à l'origine de l'égalisation de Boca peu après l'heure de jeu. Mais tout le mérite en est revenu à l'Uruguayen Miguel Merentiel, lancé à pleine vitesse par Alan Velasco, qui a pris Jonathan Tah de vitesse et réussi un grand pont sur Josip Stanisic, avant de tromper Manuel Neuer (66e).
Il fallait alors entendre et voir la réaction des fans survoltés de Boca, qui n'avaient certes jamais arrêté de chanter dans les tribunes du Hard Rock Stadium de Miami, quasiment plein pour cette affiche et paré de bleu et de jaune. Ce supplément d'âme a évidemment aidé leur équipe - qui évoluait sans son international suisse Lucas Blondel - à revenir à la hauteur des Bavarois au coeur d'une seconde période bien plus proactive de la part du CABJ.
Boca devra gagner
La défaite concédée par Boca, la première d'un club sud-américain depuis le début du tournoi, n'est pas synonyme d'élimination. Mais la formation argentine n'a plus son destin entre les mains. Il lui faudra un succès le plus large possible contre Auckland conjugué à un revers de Benfica face au Bayern lors des deux derniers matches du groupe C, pour espérer aussi avancer en 8es de finale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le Pakistan dit proposer Trump au Nobel de la paix
Le Pakistan a annoncé samedi avoir proposé Donald Trump au prix Nobel de la paix, un mois et demi après que le président américain a annoncé, à la surprise générale, un cessez-le-feu entre Islamabad et New Delhi.
Du 6 au 10 mai, les deux puissances nucléaires voisines et rivales depuis leur partition sanglante en 1947 avaient fait redouter au monde entier le point de non-retour.
Leur conflit s'était terminé par l'annonce sur le réseau social de M.Trump d'un cessez-le-feu obtenu, selon l'hôte de la Maison Blanche, à l'issue "d'une longue nuit de négociations organisées par les Etats-Unis".
Depuis, Islamabad ne cesse de saluer l'action de Washington, longtemps son grand partenaire militaire dans la "guerre contre le terrorisme" avant de se retirer d'Afghanistan et de délaisser la région.
Le Premier ministre indien Narendra Modi répète de son côté qu'il n'y a eu aucune médiation américaine pour parvenir au cessez-le-feu.
M.Trump, lui, assure être derrière une demi-douzaine d'accords de paix ou simplement le maintien de bonnes relations de voisinage ces dernières années et s'est plaint, dans un long message sur son réseau social dans la nuit, de ne pas avoir obtenu de prix Nobel pour cela.
Islamabad, qui a échappé de peu à la faillite en 2023 grâce à un énième prêt du Fonds monétaire international (FMI) ne cesse de lancer des appels du pied aux capitales étrangères, Washington en tête, espérant qu'elles investissent dans ses ressources minières.
De nouveau, mercredi, en déjeunant avec M.Trump à Washington, le chef de l'armée pakistanaise, le maréchal Asim Mounir, a proposé "un partenariat aux bénéfices mutuels" citant notamment "minerais", "cryptomonnaies" et "intelligence artificielle", autant de domaines dans lesquels M.Trump investit personnellement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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