Climat
Le puissant ouragan Otis a touché terre près d'Acapulco au Mexique

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Le puissant ouragan Otis, jugé "potentiellement catastrophique", a touché terre mercredi près d'Acapulco, dans l'ouest du Mexique. C'est ce qu'a indiqué le Centre national des ouragans (NHC) américain, qui espère toutefois le voir s'affaiblir dans les heures à venir.
"Des images satellites indiquent qu'Otis a touché terre près d'Acapulco vers 06h25 GMT (08h25 en Suisse)", a indiqué le NHC, évoquant des vents pouvant souffler jusqu'à 270 km/heure.
Le cyclone d'une force maximale 5 sur l'échelle de Saffir-Simpson est "potentiellement catastrophique" quand il touche terre mais pourrait s'affaiblir "rapidement" en progressant dans les terres à l'intérieur d'une région montagneuse, prévoit le NHC.
Le DFAE suit la situation
"Mettez-vous à l'abri, restez dans des endroits sûrs: loin des rivières, des ruisseaux, des ravins et soyez vigilants", a averti sur X (ex-Twitter) le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador.
Interrogé par Keystone-ATS, le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) indique suivre la situation de près. Dans la zone de passage possible de l'ouragan, environ 1100 ressortissants suisses domiciliés sur place sont inscrits auprès de l'ambassade de Suisse à Mexico.
Le DFAE a également connaissance de trois personnes de passage inscrites sur l'application Travel Admin dans cette zone. L'ambassade de Suisse à Mexico apporte son soutien aux éventuels ressortissants suisses concernés dans le cadre de la protection consulaire. Les Suisses présents sur place sont tenus de suivre les instructions des autorités locales.
Electricité coupée
L'électricité a été coupée à titre préventif à Acapulco, où le port était plongé dans l'obscurité quand les vents puissants et les pluies intenses ont commencé à s'abattre sur la ville de 780'000 habitants.
Les hôtels sont remplis à 50% et les autorités locales ont préparé des places d'accueil dans les auberges. Acapulco se prépare à recevoir un afflux de touristes pour le pont de la Toussaint, une fête importante au Mexique.
Les écoles ont été fermées sur ordre du gouvernement de l'Etat du Guerrero, où se trouve Acapulco. Au large du Pacifique, le cyclone n'était qu'une simple tempête tropicale il y a à peine douze heures
"Il n'y a pas de visites aujourd'hui, le port est fermé aux touristes", avait déclaré Carolina Torres, opératrice locale de bateaux d'excursion, dans une vidéo de l'AFPTV.
"C'est très étrange. Il (l'ouragan Otis, ndlr) est censé être juste en face de nous, et il a l'air très calme. Nous espérons donc qu'il se dissipera un peu. Espérons-le, car s'il nous touche, ce sera très grave pour nous", a-t-elle ajouté.
Paulina, Norma, Patricia, Ingrid...
La gouverneure Evelyn Salgado a insisté sur l'importance de la coordination entre les autorités et les forces armées pour "le bien-être des habitants et éviter les risques".
La station balnéaire d'Acapulco avait été frappée le 9 octobre 1997 par l'ouragan Paulina, qui avait touché terre en catégorie 4. Paulina avait tué plus de 200 personnes, l'une des catastrophes naturelles les plus graves pour le Mexique hors tremblement de terre.
La semaine dernière, l'ouragan Norma a fait trois morts un peu plus au nord, dans l'Etat du Sinaloa. Norma a touché terre à deux reprises, une première fois dans la péninsule de Basse-Californie, puis dans l'Etat du Sinaloa.
Pris entre le Pacifique et le golfe du Mexique, le Mexique est exposé aux ouragans pendant la saison qui va de mai à octobre-novembre. Une douzaine de dépressions par an peuvent se transformer en ouragans plus ou moins dévastateurs selon leur point d'entrée.
Le plus puissant jamais enregistré, Patricia, en octobre 2015, avec des vents de 325 km/h, n'avait cependant fait que des dégâts matériels car il était entré sur le territoire par une zone montagneuse inhabitée.
En septembre 2013, l'ouragan Ingrid dans le golfe et la tempête tropicale Manuel dans le Pacifique avaient pris en écharpe simultanément le Mexique.
"Leur interaction a constitué un phénomène historique qui ne s'était pas produit depuis 1958", d'après les autorités qui avaient relevé 157 décès en incluant les victimes de glissements de terrain.
Fréquence en hausse
Avec le réchauffement de la surface des océans, la fréquence des cyclones (ou ouragans ou typhons selon les régions) les plus intenses augmente, mais pas leur nombre total.
Selon le Groupe international des experts du climat (Giec), la proportion de cyclones particulièrement intenses (catégorie 4 et 5) devrait ainsi augmenter de 10% par rapport à l'ère pré-industrielle avec un réchauffement de +1,5°C, de 13% à +2°C et de 30% à +4°C.
Ils font notamment peser un risque de plus en plus important aux communautés côtières victimes de phénomènes de vagues-submersions (appelées également submersions marines) amplifiés par la montée du niveau des océans, qui provoquent inondations et contamination par le sel des terres et de l'eau douce.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Le fondateur d'Air Zermatt, Beat Perren, est décédé
Le fondateur d'Air Zermatt, Beat Perren, est décédé mardi à l'âge de 95 ans. L'ancien pharmacien à Zermatt (VS) avait créé cette compagnie d'hélicoptères en 1968. Il en avait passé les commandes à son fils Philipp, à l'occasion des 50 ans de la société.
Le nom de Beat Perren "est synonyme de nombreux développements révolutionnaires en matière de sauvetage alpin: des méthodes novatrices qui ont rendu les opérations plus rapides, plus sûres et plus fructueuses. D'innombrables vies ont été sauvées grâce à sa vision et à ses actions", a salué Air Zermatt jeudi sur son site internet.
En février dernier, la société avait effectué sa 60'000e mission de sauvetage depuis sa création. "60'000 missions, c’est un nombre énorme, derrière lequel il y a beaucoup d’histoires, beaucoup de joie, mais aussi beaucoup de souffrance", avait alors déclaré Beat Perren. L'entreprise emploie aujourd'hui 95 personnes et dispose de onze hélicoptères.
Lors de sa création, Air Zermatt disposait d'un hélicoptère, d'un pilote et d'un mécanicien. Par la suite, le deuxième appareil d'Air Zermatt était, lui, équipé d'un treuil pour extraire les victimes directement des parois abruptes. Le premier sauvetage par hélicoptère de la face nord de l'Eiger a par exemple été réalisé en 1971, selon la compagnie.
L'esprit de pionnier de Beat Perren ne s'est pas limité au sauvetage en montagne et à l'aviation. On lui attribue également l'invention des premiers sacs poubelles en Suisse. Dans les années 1960, il était responsable de l'élimination des déchets en tant que conseiller municipal et il avait eu en tête l'idée d'un sac poubelle en plastique pouvant être attaché.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Alertes au tsunami dans tout le Pacifique
L'un des séismes les plus importants jamais enregistrés, survenu mercredi au large de l'Extrême-Orient russe, a provoqué des tsunamis dans le Pacifique, du Japon à l'Equateur, obligeant des millions de personnes à évacuer le littoral et perturbant l'économie.
Selon l'institut géophysique américain (USGS), le tremblement de terre de magnitude 8,8 s'est produit à 11h24 locales (01h24 mercredi en Suisse) à 20,7 km de profondeur, à 126 km au large de Petropavlovsk-Kamtchatsky, la capitale de la péninsule russe du Kamtchatka.
Au moins six répliques, dont une de magnitude 6,9, ont ensuite secoué ce territoire, où une femme qui tentait de s'échapper d'une falaise en voiture y a péri.
Peu peuplé, le Kamtchatka, où le volcan Klioutchevskoï est par ailleurs entré en éruption, est une des zones sismiques les plus actives de la planète, au point de rencontre entre les plaques tectoniques Pacifique et nord-américaine.
Il s'agit du plus important séisme depuis celui, de magnitude 9,1, qui s'est produit en 2011 au large du Japon et qui a provoqué un tsunami ayant causé la mort de plus de 15'000 personnes.
Séisme record depuis 1952
Dans le port de Severo-Kourilsk, dans le nord de l'archipel russe des Kouriles, plusieurs vagues successives ont submergé les rues.
L'une d'elles, sur la péninsule du Kamtchatka, a atteint 3 à 4 mètres de haut.
L'état d'urgence a été décrété et le chef l'administration territoriale, Alexandre Ovsiannikov, a assuré que "tout le monde" avait été évacué.
"Tout est inondé, la côte entière est inondée", a témoigné un habitant de la région. "Le port et les usines de la côte sont complètement détruits", a-t-il affirmé.
Les autorités russes ont cependant levé l'alerte tsunami dans la soirée.
"Nous avons tous couru en sous-vêtements avec les enfants. Heureusement nous avions préparé une valise", a raconté une femme.
La magnitude de 8,8 est la plus élevée enregistrée au Kamtchatka depuis le 5 novembre 1952, quand un tremblement de terre de magnitude 9 avait déclenché des tsunamis dévastateurs dans tout le Pacifique.
Deux millions de Japonais
Au Japon, la télévision a montré des personnes partant en voiture ou à pied vers des lieux plus en hauteur, notamment sur l'île septentrionale d'Hokkaido.
Plus de 2 millions de Japonais ont au total été appelés par les autorités à se mettre à l'abri en de tels endroits.
Une vague de 1,30 m a atteint un port dans le département de Miyagi, dans le nord.
L'Agence météorologique japonaise (JMA) a annoncé jeudi avoir levé l'avis de tsunami. "Il n'y a actuellement aucune zone côtière pour laquelle des alertes ou avis de tsunami sont en vigueur", a indiqué la JMA sur son site internet
"Nous étions venues ici pour nager mais dès que nous avons entendu qu'une alerte au tsunami avait été émise, nous ne sommes pas du tout allées dans l'eau", a confié Tomoyo Fujita, une femme de 35 ans accompagnée sa petite fille sur la plage d'Inage, dans la région de Chiba, proche de Tokyo.
La Chine a également émis une alerte au tsunami dans plusieurs régions côtières.
"Nous avons conseillé aux clients de rester prudents, de ne pas sortir et d'éviter d'aller sur la côte", a pour sa part raconté à l'AFP Wilson Wang, un employé d'un hôtel de Taitung, dans le sud-est de Taïwan.
Les Philippines ont quant à elles exhorté la population des côtes orientales à se rendre vers l'intérieur des terres.
Les autorités de Palau, à environ 800 kilomètres plus à l'est, ont ordonné de quitter "toutes les zones le long du littoral".
"Une peur réelle"
Sur l'autre rive du Pacifique, le Mexique a aussi mis en garde contre un éventuel raz-de-marée, de même que la Colombie, le Pérou et l'Equateur, qui ont procédé à des évacuations.
Au Chili, les autorités ont procédé à "l'évacuation peut-être la plus massive jamais menée" dans le pays, avec environ 1,4 million de personnes écartées du littoral, même si aucun dégât lié au tsunami n'a été signalé dans l'immédiat.
"Les bateaux ne sont pas sortis pêcher", a déclaré une pêcheuse de l'archipel équatorien des Galapagos, à Puerto Ayora. "On nous a avertis par haut-parleurs qu'il était préférable de ne pas s'approcher de la côte".
"Nous ressentons une peur réelle: il y a un sentiment d'incertitude, nous ne savons vraiment pas ce qui va se passer", a avoué Patricia Espinosa, une habitante de l'île Isabela, dont la population a été déplacée vers des lieux situés en altitude.
Les parcs nationaux des Galapagos ont été provisoirement interdits d'accès et les visiteurs ont dû débarquer des bateaux de tourisme pour se réfugier sur la terre ferme.
Au Pérou, plus de la moitié des ports, 65 sur 121, ont été fermés et la suspension des activités de pêche a été recommandée, tandis que les habitants ont été incités à s'éloigner de l'océan.
Les premières vagues, qui ne devraient, selon les spécialistes locaux, pas dépasser les 3 mètres de hauteur devaient arriver au port de La Cruz, dans la région de Tumbes, à la frontière avec l'Équateur, mercredi dans la matinée heure locale.
Certaines pourraient en outre atteindre le Chili et le Costa Rica.
Plusieurs mesurant un mètre et demi de haut ont commencé à toucher l'île de Nuku Hiva, dans l'archipel des Marquises, en Polynésie française.
Les Etats-Unis ont quant à eux émis une série d'alertes de différents niveaux en Alaska et jusqu'à la Californie.
Des sirènes ont retenti près de la célèbre plage de Waikiki à Hawaï, où un photographe de l'AFP a vu des personnes fuyant vers des endroits plus en altitude.
"RESTEZ FORTS ET SOYEZ EN SÉCURITÉ!", a écrit le président Donald Trump sur les réseaux sociaux.
Le niveau d'alerte au tsunami a finalement été rétrogradé à celui d'appel à la vigilance et l'ordre d'évacuation de certaines zones côtières inondables a été annulé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Chine: 30 morts en raison de fortes pluies à Pékin
Les pluies diluviennes qui frappent le nord de la Chine ont fait 30 morts et entraîné plus de 80'000 évacuations à Pékin, ont annoncé mardi les médias d'Etat.
L'agence météorologique chinoise a émis mardi son deuxième plus haut niveau d'alerte aux précipitations pour la capitale chinoise, sur une échelle en comptant quatre, a rapporté l'agence de presse officielle Chine nouvelle.
Sont également concernées les régions limitrophes de Hebei et Tianjin, ainsi que dix provinces du nord, de l'est et du sud de la Chine. Des pluies violentes y sont attendues jusqu'à mercredi, selon la même source.
"La dernière série de violents orages a fait 30 morts à Pékin jusqu'à lundi minuit", a écrit l'agence de presse officielle Chine nouvelle, citant le centre municipal de lutte contre les inondations.
"Actuellement, un total de 80'332 personnes ont été déplacées" à cause des intempéries, a indiqué sur la plateforme WeChat le journal local Beijing Daily, un média officiel.
Dans le district de Miyun, le plus sévèrement touché dans le nord-est de Pékin, un habitant a déclaré avoir vu les eaux emporter des véhicules devant son immeuble.
Des journalistes de l'AFP sur place ont vu un engin de chantier mettre des personnes et un chien en sécurité, et des sauveteurs patauger dans l'eau jusqu'aux genoux.
A proximité, dans la ville de Mujiayu, les journalistes de l'AFP ont vu un réservoir libérer un torrent d'eau, et des ambulances et véhicules militaires sillonner les rues inondées. Des lignes électriques ont été emportées par les torrents boueux.
Les pompiers ont également secouru 48 personnes piégées dans un centre de soins pour personnes âgées, a rapporté la chaîne publique CCTV.
"Graves catastrophes"
Le Beijing Daily a évoqué des "pluies continues extrêmement fortes" ayant causé de "graves catastrophes". Outre le district de Miyun, ceux de Huairou, dans le nord de Pékin, et de Fangshan, dans le sud-ouest de la ville, ont été fortement touchés, selon ce média.
Le quotidien a par ailleurs fait état de dizaines de routes fermées et de plus de 130 villages des environs privés d'électricité.
"S'il vous plaît, soyez attentifs aux prévisions et alertes météorologiques et ne vous rendez pas dans des zones à risques sauf en cas de nécessité", a lancé la publication.
Le président chinois Xi Jinping a exhorté les autorités lundi soir à accélérer la mise à l'abri des habitants des zones risquant d'être inondées.
Dans la province du Hebei, qui entoure la capitale, un glissement de terrain dans un village avait tué quatre personnes et fait huit disparus lundi, selon CCTV.
Les catastrophes naturelles sont courantes en Chine, surtout durant l'été, quand certaines régions sont submergées par des pluies diluviennes pendant que d'autres sont en proie à d'intenses canicules.
La Chine est le plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre qui, selon les scientifiques, accélèrent le changement climatique et rendent plus fréquents et intenses les événements météorologiques extrêmes.
Le géant asiatique est aussi un acteur majeur du secteur des énergies renouvelables, et vise à atteindre la neutralité carbone d'ici 2060.
Plus tôt en juillet, des crues subites dans la province du Shandong ont fait deux morts et dix disparus. Par ailleurs, dans la province du Sichuan (sud-ouest), un glissement de terrain sur une autoroute a causé la mort de cinq personnes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Plus de 50°C à Bagdad et dans le sud de l'Irak
Les températures ont atteint 51°C à l'ombre à Bagdad et dans plusieurs provinces du sud de l'Irak, ont annoncé lundi les services météorologiques, lors d'une nouvelle vague de chaleur touchant ce pays durement frappé par les effets du changement climatique.
Le pays de 46 millions d'habitants subit une hausse des températures, des coupures de courant chroniques, des pénuries d'eau et des sécheresses annuelles.
Les températures en été y atteignent souvent 52°C.
Dans les rues animées de Bagdad, des passants fatigués cherchaient lundi un peu de répit en s'approchant des brumisateurs installés près des restaurants et des magasins.
D'autres achetaient des bouteilles d'eau à des vendeurs ambulants pour se mouiller le visage pendant que des voitures s'arrêtaient sur le bord de la route pour refroidir leur moteur.
Les températures à l'ombre ont atteint 51°C à Bagdad, dans les provinces méridionales de Bassora, Missan, Dhi Qar et dans celle de Wasit, dans le centre du pays.
Pénurie d'eau et coupures d'électricité
Elle ont atteint 50°C dans huit autres provinces et devraient légèrement baisser mercredi, selon le centre météorologique cité par l'agence de presse officielle Ina.
Ces dernières années, des Irakiens se sont rassemblés chaque été pour protester contre les coupures d'électricité et les pénuries d'eau qui perturbent leur quotidien.
Des centaines de personnes ont bloqué des routes et brûlé des pneus, vendredi et dimanche près des villes de Hilla et Diwaniyah, au sud de Bagdad.
Selon le ministère des Ressources hydriques, cette année est l'une des plus sèches depuis 1933 et les réserves en eau de l'Irak sont actuellement à huit pour cent de leur capacité.
Les autorités accusent également les barrages construits en amont dans les pays voisins, l'Iran et la Turquie, de réduire drastiquement le débit du Tigre et de l'Euphrate, qui irriguent l'Irak depuis des millénaires.
Dans la région, la Turquie a enregistré samedi 50,5°C dans le sud-est, un record dans ce pays. La semaine dernière, une vague de chaleur a perturbé l'approvisionnement en eau et en électricité dans une grande partie de l'Iran.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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