International
Des otages ont été remis au CICR, dit une source proche du Hamas
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/11/alors-que-leurs-proches-sont-dans-lattente-de-premiers-otages-ont-ete-liberes-selon-deux-sources-proches-du-hamas-1000x600.jpg&description=Des otages ont été remis au CICR, dit une source proche du Hamas', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Des otages enlevés le 7 octobre ont été remis dans la bande de Gaza au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) pour leur retour en Israël, ont affirmé vendredi deux sources proches du mouvement islamiste palestinien Hamas.
"Il y a une demi-heure, les prisonniers ont été confiés à la Croix-Rouge qui les amènera aux Egyptiens" via le poste-frontière de Rafah, puis aux Israéliens, a indiqué à l'AFP l'une d'elle. "Les prisonniers israéliens ont bien été remis à la partie égyptienne", a-t-elle ajouté.
Une source au sein de la branche armée du Hamas, les brigades al-Qassam, a confirmé l'information à un journaliste de l'AFP. "Les brigades al-Qassam ont mené l'opération (...), il s'agit du premier groupe conformément à l'accord".
Selon le Qatar, un des médiateurs de l'accord, 13 femmes et enfants devaient être amenés au terminal de Rafah par le CICR, dans le sud de la bande de Gaza, puis rapatriés depuis l'Egypte vers Israël.
La trêve entre Israël et le Hamas à Gaza est entrée en vigueur vendredi matin, premiers signes de répit après des semaines de guerre. Pendant cette pause renouvelable de quatre jours, 50 otages retenus à Gaza doivent être libérés au total ainsi que 150 détenus palestiniens.
A la mi-journée, une liste de 39 noms de prisonniers palestiniens - 15 enfants et 24 femmes - libérables en échange des otages a par ailleurs été diffusée par la Commission chargée des prisonniers au sein de l'Autorité palestinienne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La CEDH annonce ce matin sa décision dans l'affaire Semenya
La Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme publie ce jeudi sa décision définitive dans l'affaire de la Sud-Africaine Caster Semenya. En 2023, la cour avait déjà estimé que la Suisse avait violé plusieurs droits de l'athlète hyperandrogène.
Il y a deux ans, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) avait admis la requête de Caster Semenya sur plusieurs points. Elle avait estimé en particulier que son droit à la vie privée, en relation avec l'interdiction des discriminations, avait été violé par le règlement de World Athletics (WA) imposant aux femmes présentant un excès naturel d'hormones mâles (hyperandrogènes) à prendre des hormones féminines pour participer aux compétitions.
Après sa condamnation il y a deux ans, la Suisse a porté l'affaire devant la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) afin d'obtenir une décision définitive. En effet, le règlement de WA a été confirmé par le Tribunal administratif du sport (TAS), siégeant à Lausanne, puis par le Tribunal fédéral saisi successivement par Caster Semenya.
Examen très restreint
Dans cette affaire, le Tribunal fédéral a analysé les faits avec un pouvoir d'examen très restreint, comme le veut la loi suisse lorsque cette instance agit dans des procédures d'arbitrage. A ce titre, la Sud-Africaine estime que son droit à un procès équitable et à un recours effectif a été également violé par la Suisse.
Athlète spécialisée dans les courses de demi-fond, Caster Semenya se plaint du règlement de WA qui l'oblige à réduire son taux naturel de testostérone afin de pouvoir participer aux compétitions internationales dans la catégorie féminine.
Après le TAS, le Tribunal fédéral a débouté la Sud-Africaine en 2020. Il a estimé en substance que le règlement attaqué était une mesure apte et nécessaire aux buts légitimes de l'équité sportive.
La sportive, qui présente un excès naturel d'hormones sexuelles mâles, mène depuis plus de dix ans un bras de fer avec WA. Expertises à l'appui, cette dernière a défini en avril 2018 un seuil maximal de testostérone (5 nanomoles par litre de sang) pour concourir avec les femmes sur des distances allant du 400 m au mile (1609 m), et englobant donc le 800 m où la Sud-Africaine excelle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump annonce des taxes de 50% sur le cuivre dès le 1er août
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi des droits de douane de 50% sur les importations de cuivre à partir du 1er août. Ce métal était jusqu'à présent exempté des taxes douanières plancher de 10% imposées en avril.
"J'annonce une surtaxe de 50% sur le cuivre, qui entrera en vigueur le 1er août 2025, après avoir reçu une évaluation approfondie en matière de sécurité nationale", a déclaré mercredi le président américain sur son réseau social Truth Social, sans doute en référence à une enquête du département du commerce.
"Le cuivre est le deuxième matériau le plus utilisé par le ministère de la défense", a-t-il tempêté, évoquant les besoins du pays pour construire des semi-conducteurs, avions, navires, munitions, centres de données et systèmes de défense anti-missiles, entre autres.
Au nom du rééquilibrage des relations commerciales au profit des Etats-Unis, Donald Trump a imposé en avril une surtaxe plancher de 10% sur les importations, y compris si elles ne peuvent être produites sur place, mais avec des exemptions, notamment pour l'or, le cuivre, le pétrole et les médicaments.
Brésil visé
Il est revenu mardi sur ces exceptions, envisageant par exemple une surtaxe de 200% sur les produits pharmaceutiques et de 50% sur le cuivre, une menace qui a fait s'envoler le cours du métal de près de 10% à New York mardi, dépassant son sommet historique.
Si les droits de douane sur le cuivre entrent en vigueur, les prix des biens fabriqués avec ce métal (réfrigérateurs, voitures) pourraient grimper, comme pour les autres produits surtaxés à l'importation.
Mercredi, le président américain a aussi annoncé une surtaxe de 50% sur les produits brésiliens, jusqu'ici épargnés, car les Etats-Unis dégagent un excédent commercial dans leurs échanges avec le géant sud-américain.
Dans un courrier adressé au président brésilien Lula, M. Trump affirme que ces droits de douane seront imposés en réponse aux poursuites lancées contre l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro, jugé dans son pays pour tentative de coup d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La capitale ukrainienne Kiev visée par une attaque russe
Des frappes de drones russes sur la capitale ukrainienne Kiev dans la nuit de mercredi à jeudi ont fait au moins huit blessés, selon les autorités locales. Elles ont mis en garde contre l'approche d'autres missiles.
Le maire de la capitale Vitali Klitschko a indiqué sur le réseau social Telegram que les frappes avaient fait cinq blessés, dont quatre ont été hospitalisés. L'administration militaire de Kiev, qui a mis en garde contre une menace de missile balistique sur la ville, a plus tard fait état de huit personnes blessées.
Au moins six districts ont été visés. Les frappes ou les débris de drones interceptés ont notamment touché des immeubles résidentiels, des véhicules, des entrepôts et des immeubles de bureaux, selon le chef de l'administration militaire Timour Tkatchenko, qui a appelé les habitants à rester dans les abris.
"L'attaque ennemie se poursuit, les forces de défense abattent les cibles ennemies", a-t-il ajouté sur Telegram. L'armée de l'air ukrainienne a pour sa part annoncé qu'un "groupe de missiles" était "en approche de Kiev depuis l'est".
Intensification des attaques
Des journalistes de l'AFP à Kiev ont entendu de puissantes déflagrations sur la ville pendant la nuit et ont vu les explosions de projectiles interceptés par la défense antiaérienne.
Plusieurs dizaines d'habitants ont trouvé refuge dans une station de métro du centre-ville où des matelas et du matériel de camping étaient à leur disposition en attendant la fin de l'attaque.
L'Ukraine a affirmé mercredi que la Russie avait lancé la nuit précédente sa plus grande attaque aérienne depuis le début de l'invasion en février 2022, avec 728 drones et 13 missiles dont la quasi-majorité a été interceptée, selon Kiev, dans un contexte d'intensification des frappes russes et d'impasse diplomatique.
Réunions à Londres et Kuala Lumpur
A Londres, le premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron doivent participer jeudi à une réunion en visioconférence sur l'Ukraine, avec notamment le président ukrainien Volodymyr Zelensky, la première ministre italienne Giorgia Meloni ou le chancelier allemand Friedrich Merz.
Selon l'Elysée, des représentants américains devraient également y assister. Le président américain Donald Trump a durci le ton contre la Russie ces derniers jours, menaçant de nouvelles sanctions tout en promettant du matériel militaire supplémentaire aux Ukrainiens.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio doit pour sa part rencontrer jeudi son homologue russe Sergueï Lavrov en marge de la réunion des chefs de diplomatie des pays d'Asie du Sud-Est (Asean) à Kuala Lumpur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump félicite le président libérien pour son niveau d'anglais
Le président américain Donald Trump a complimenté mercredi à la Maison-Blanche le président du Liberia, Joseph Boakai, pour son niveau d'anglais, qui est la langue officielle de ce pays d'Afrique de l'Ouest.
"Merci, et dans un si bon anglais, si beau", a déclaré le président américain alors qu'il recevait cinq présidents africains à la Maison-Blanche pour évoquer des questions commerciales, notamment d'exploitation de minerais.
"Où avez-vous appris à le parler de manière aussi belle? Où avez-vous étudié? Au Liberia?", a pressé Donald Trump. Joseph Boakai a d'abord eu un petit rire gêné avant de simplement répondre "oui monsieur" à la dernière question.
Etudes au Kansas
"Eh bien, c'est très intéressant. C'est un bel anglais. J'ai des gens autour de cette table qui sont loin de le parler aussi bien que vous", a conclu le président américain.
Le Liberia est la plus ancienne république d'Afrique subsaharienne, fondée en 1822 sous l'impulsion des Etats-Unis pour des esclaves noirs affranchis. L'anglais est sa langue officielle et la plus largement utilisée à travers le pays.
Président depuis 2024, Joseph Boakai a étudié à l'université du Liberia, dans la capitale Monrovia, ainsi qu'à l'université d'Etat du Kansas, dans le centre des Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
LausanneIl y a 3 jours
Les "Seniors en forme" reviennent cet été
-
ClimatIl y a 3 jours
Texas: 27 personnes du camp de vacances dévasté décédées
-
InternationalIl y a 3 jours
Theres Rösti parle de sa vie au côté d'un conseiller fédéral
-
InternationalIl y a 2 jours
France: le député LR Olivier Marleix a mis fin à ses jours
-
InternationalIl y a 3 jours
Australienne coupable d'un triple meurtre aux champignons vénéneux
-
SuisseIl y a 3 jours
Zurich veut interdire les adaptations de sexe chez les ados
-
GenèveIl y a 2 jours
L'Imad a effectué 226 visites supplémentaires durant la canicule
-
SuisseIl y a 3 jours
Les BOB commandent chez Stadler Rail pour 50 millions de francs