Économie
Royaume-Uni: l'inflation au plus bas en 2 ans à 3,9% en novembre
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L'inflation a fortement marqué le pas au Royaume-Uni en novembre sur un an, à 3,9%, soit le rythme le plus faible depuis septembre 2021, indique mercredi l'Office national des statistiques (ONS).
En octobre, la hausse des prix atteignait un rythme de 4,6%, rappelle l'ONS.
Le net coup de frein en novembre, plus marqué qu'attendu par les analystes, est attribué par l'ONS principalement aux tarifs dans les transports, la culture et les divertissements, l'alimentation et les boissons non-alcoolisées.
L'inflation sous-jacente, hors énergie, alimentation alcools et tabac, particulièrement scrutée par la Banque d'Angleterre, a marqué le pas un peu moins, passant de 5,6% en octobre à 5,2% en novembre.
"Avec l'inflation plus que divisée en deux, nous commençons à enlever les pressions inflationnistes de l'économie", s'est félicité le ministre des Finances Jeremy Hunt, estimant que le pays est de retour sur "une trajectoire de croissance saine et durable".
A son pic en octobre 2022, l'inflation britannique dépassait 11%.
M. Hunt reconnait cependant que "beaucoup de familles éprouvent toujours des difficultés avec les prix élevés", et affirme que le gouvernement du Premier ministre conservateur Rishi Sunak va "continuer à donner la priorité aux mesures qui aident les gens confrontés aux pressions sur le coût de la vie".
Pour Ashley Webb, de Capital Economics, ces chiffres "ramènent l'inflation du Royaume-Uni plus près des taux aux Etats-Unis (3,1%) ou de la zone euro (2,4%) et vont alimenter les attentes selon lesquelles la Banque d'Angleterre va commencer à baisser ses taux d'intérêt à partir de mai 2024".
Yael Selfin, cheffe économiste chez KPMG UK, note cependant que l'inflation sous-jacente reste relativement élevée tout comme celle dans le secteur des services, et que les prix alimentaires restent au-dessus de leur niveau d'avant la pandémie.
"Nous nous attendons à ce que les pressions inflationnistes continuent à faiblir en 2024, menées par un plus ample ralentissement des prix des biens grâce à une nette amélioration dans la chaine d'approvisionnement", après la crise provoquée par la reprise post-covid, note Mme Selfin.
Elle anticipe que la Banque d'Angleterre garde ses taux inchangés jusqu'au deuxième semestre 2024.
La semaine dernière, l'institut monétaire britannique a laissé son taux directeur inchangé à 5,25% jeudi, jugeant que des pressions inflationnistes persistaient, et que ses taux resteraient probablement élevés "sur une période prolongée".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
La Suisse suit de près les discussions sur les fonds russes gelés
La Suisse suit de près les discussions internationales sur l'utilisation des fonds de la banque centrale russe. Jeudi à Bruxelles, les chefs d'Etats et de gouvernements européens ont discuté de cette possibilité pour soutenir l'Ukraine.
Aux yeux de la Suisse, il est essentiel que toute approche convenue au niveau international soit pleinement conforme aux principes de l'Etat de droit et du droit international, a indiqué à Keystone-ATS le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO).
La stabilité financière doit aussi être préservée afin d'éviter des conséquences imprévues pour les marchés financiers et les futures opérations des banques centrales au sein du système financier international.
Pas moins de 7,45 milliards de francs appartenant à la banque centrale russe étaient gelés en Suisse le 31 mars 2025, selon le SECO.
Jusqu'à 210 milliards d'euros
Les chefs d'Etats et de gouvernements de l'Union européenne (UE) ont discuté à Bruxelles de l'utilisation des fonds russes gelés dans l'UE. La Commission européenne a proposé de les mettre à disposition de l'Ukraine sous forme de prêts.
Selon les calculs des autorités, jusqu'à 210 milliards d'euros (environ 196 milliards de francs) pourraient ainsi être versés en Ukraine, dont 90 milliards pour les deux prochaines années. La Russie ne récupérerait cet argent qu'en contrepartie de réparations des dommages causés en Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assisté jeudi à l'ouverture du sommet, espérant une décision positive pour son pays. Il a déclaré en conférence de presse que si l'Ukraine ne recevait pas de soutien, elle risquait de plier.
Selon lui, le transfert à l'Ukraine d'avoir russes gelés se justifie pleinement, dans le sens où la Russie mène une guerre d'agression.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Partners Group acquiert un hôtel de 240 chambres à Barcelone
Partners Group a acquis, en collaboration avec la société hawaïenne d'investissements Trinity Investments et un autre investisseur non nommé, l'hôtel The Hoxton Poblenou à Barcelone. Aucun montant n'a été dévoilé.
L'établissement quatre étoiles, composé de 240 chambres et d'une piscine, "bénéficie d'une forte demande dans le segment des voyages d'affaires et de loisirs", assure le gestionnaire d'actifs zougois dans un communiqué jeudi. Il est actuellement géré par la chaîne hôtelière française Accor.
Cette acquisition s'inscrit dans le cadre de la stratégie hôtelière de Partners Group, dont le portefeuille représente un milliard de dollars d'actifs bruts.
L'hôtel catalan représente le quatrième investissement de Partners Group et Trinity, depuis que le premier a pris une participation minoritaire dans le second. L'an passé, ils ont mis la main sur The Standard Hotel, un hôtel londonien de luxe doté de 266 chambres, recensé dans le portefeuille de la chaîne hôtelière Hyatt.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'inflation américaine a ralenti en novembre, selon l'indice CPI
L'inflation aux Etats-Unis, qui n'avait fait quasiment qu'accélérer ces derniers mois, a ralenti en novembre à 2,7% sur un an, selon l'indice des prix à la consommation. L'évolution du renchérissement s'est inscrite à rebours des attentes des économistes.
Le rapport officiel témoigne d'une nette décélération, alors que le dernier indice CPI disponible, pour le mois de septembre, s'affichait à 3% sur un an. Les économistes s'attendaient au contraire à ce que l'inflation accélère encore un peu, à 3,1%, selon le consensus publié par MarketWatch.
Cet instantané sur le niveau des prix publié jeudi était très attendu, la longue paralysie budgétaire aux Etats-Unis ("shutdown", du 1er octobre au 12 novembre) ayant entraîné l'annulation du rapport pour octobre. En novembre, l'inflation sous-jacente (hors prix volatils de l'alimentation et de l'énergie) a aussi ralenti, à 2,6% (contre 3% en septembre).
La question du coût de la vie est revenue au sommet du débat public aux Etats-Unis. L'inflation, qui avait entamé une longue décrue après le pic atteint au printemps 2022 (avec un CPI autour de 9%), a réaccéléré cette année à partir d'avril, quand le président Donald Trump a annoncé une vague de nouveaux droits de douane sur les produits entrant aux Etats-Unis.
Le républicain a fait un retour triomphal à la Maison Blanche en promettant notamment de redresser le pouvoir d'achat des Américains. Mercredi soir, dans une allocution de fin d'année, M. Trump a assuré que les prix baissaient "rapidement", tout en indiquant que la lutte contre l'inflation n'était "pas encore finie".
De fait, si les prix ont augmenté moins vite le mois dernier, ils ne baissent pas. Des catégories marquent même des hausses "significatives" sur un an, souligne le service officiel des statistiques: les dépenses de santé (+2,9%), l'équipement pour la maison (+4,6%), les voitures et camions d'occasion (+3,6%).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Le commerce extérieur suisse au ralenti en novembre
Exportations et importations suisses n'ont que peu évolué en novembre, poursuivant sur la faible tendance du mois précédent.
Hormis la bijouterie-joaillerie qui a fortement progressé, la plupart des autres catégories de produits ont peiné à l'export et les ventes vers l'Europe ont reculé.
Pendant le mois sous revue, les exportations ont accéléré d'à peine 1,6% sur un mois en termes nominaux (non corrigé de l'inflation), voire même reculé de 0,6% en termes réels (ajustés des prix), a indiqué jeudi l'Office fédéral des douanes et de la sécurité des frontières (OFDF).
Les produits chimiques et pharmaceutiques, locomotive des exportations suisses, ont progressé de 1,5%, les machine et l'électronique de 1% et l'horlogerie d'à peine 0,3%, tandis que la bijouterie-joaillerie a accéléré de 8,2%.
Les importations ont suivi la même tendance, les achats reculant de 0,8% en nominal et montant de 0,2% en réel.
Malgré cette faible performance, la balance commerciale helvétique a bouclé sur un excédent de 3,02 milliards de francs, en hausse de 20,5% sur un mois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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