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International

La guerre entre dans son 4e mois, deux journalistes tués par Israël

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J'espère que le sang de mon fils Hamza sera le dernier à couler pour les journalistes et les habitants de la bande de Gaza", a déclaré Waël al-Dahdouh, père de Hamza al-Dahdouh, depuis l'hôpital où il se trouvait, en pleurs, étreignant la dépouille de son fils, entouré de proches et de journalistes. (© KEYSTONE/AP/Hatem Ali)

La guerre entre Israël et le Hamas palestinien est entrée dimanche dans son 4e mois sans aucun signe de répit. L'armée israélienne a mené de nouvelles frappes meurtrières à Gaza et le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, s'activait pour éviter un embrasement.

Israël a juré de détruire le Hamas après son attaque sans précédent sur son territoire le 7 octobre, qui a tué environ 1140 personnes, essentiellement des civils, selon un décompte de l'AFP à partir du bilan israélien. Environ 250 personnes ont été enlevées, dont une centaine libérées lors d'une trêve fin novembre.

L'offensive israélienne a fait 22'835 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon le dernier bilan du Hamas. Les bombardements y ont rasé des quartiers entiers, déplacé 85% de la population et provoqué une crise humanitaire catastrophique selon l'ONU.

"Le monde ferme les yeux"

Al Jazeera a annoncé la mort de deux journalistes palestiniens travaillant pour elle à Gaza, Moustafa Thuraya, un vidéaste pigiste collaborant aussi avec l'AFP, et Hamza Waël Dahdouh, tués selon elle dimanche par une frappe israélienne sur leur voiture.

La chaîne qatarie a accusé l'armée israélienne de "cibler" les journalistes palestiniens à Gaza, après les décès des deux reporters, parmi lesquels le fils du chef de son bureau dans le territoire palestinien, Wael Dahdouh, qui avait déjà perdu son épouse et deux de ses enfants fin octobre dans un frappe israélienne.

"Le monde devrait voir avec deux yeux, pas avec un oeil israélien, il devrait voir tout ce qui arrive au peuple palestinien (...) mais le monde ferme les yeux sur ce qui se passe dans la bande de Gaza", a dénoncé ce dernier, en pleurs, après les obsèques de son fils à Rafah.

Durant la nuit, l'armée israélienne a mené plusieurs frappes, dont au moins six à Rafah, proche de la frontière égyptienne, a constaté un correspondant de l'AFP. Selon le ministre de la Santé du Hamas, au moins 64 personnes ont été tuées dans ces bombardements.

D'après des témoins, Khan Younès, principale ville du sud de Gaza et nouvel épicentre des combats, a aussi été bombardée.

En Cisjordanie occupée, huit Palestiniens ont été tués dimanche, dont sept dans un nouveau raid israélien à Jénine, bastion des factions armées palestiniennes dans ce territoire où les violences ont également fait deux morts israéliens, une policière et un civil, ont indiqué des sources palestiniennes et israéliennes.

"Plus jamais" le 7 octobre

L'armée, qui a lancé son offensive terrestre le 27 octobre dans la bande de Gaza, a annoncé samedi avoir "achevé le démantèlement de la structure militaire du Hamas dans le nord", précisant se focaliser "désormais dans le centre et le sud" du territoire.

Classé "groupe terroriste" par les Etats-Unis et l'Union européenne, le Hamas a pris en 2007 le pouvoir à Gaza, deux ans après le retrait unilatéral d'Israël de ce territoire, qu'il a ensuite soumis à un blocus pendant 16 ans et assiège depuis le 9 octobre dernier.

Malgré les pressions internationales et appels au cessez-le-feu, Israël reste inflexible.

"J'ai un message clair à nos ennemis: ce qui s'est passé le 7 octobre ne se reproduira plus jamais", a déclaré dimanche le Premier ministre, Benjamin Netanyahu. "C'est l'engagement de mon gouvernement (...) Nous devons continuer jusqu'à la victoire totale", a-t-il poursuivi.

Dans ce contexte, Antony Blinken, dont le pays est le premier soutien politique et militaire d'Israël, s'est entretenu près de Doha avec l'émir du Qatar, Cheikh Tamim ben Hamad al-Thani.

Le riche Etat du Golfe, où est basé le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a joué un rôle clé pour négocier un cessez-le-feu d'une semaine à Gaza et la libération d'otages et de prisonniers palestiniens fin novembre.

"Les négociations entre les Qataris, Israël et le Hamas concernant la libération des otages à Gaza se poursuivent", a indiqué une source bien informée à l'AFP.

M. Blinken, qui entame une nouvelle tournée dans des pays arabes et en Israël, avait auparavant rencontré à Amman le roi Abdallah II de Jordanie.

Selon un communiqué du Palais royal, le souverain hachémite a appelé les Etats-Unis à faire pression sur Israël pour un "cessez-le-feu immédiat", mettant en garde contre les "répercussions catastrophiques" d'une poursuite des hostilités.

Il a martelé "le rejet total par la Jordanie du déplacement forcé des Palestiniens en Cisjordanie et dans la bande de Gaza", après des déclarations de ministres israéliens préconisant un retour de colons juifs à Gaza.

Anthony Blinken a réaffirmé l'opposition des Etats-Unis à un tel dessein, selon un communiqué du département d'Etat américain.

"Cycle sans fin"

Visant un centre du Programme alimentaire mondial en Jordanie, il a aussi souligné qu'il était "impératif de maximiser l'aide humanitaire à Gaza".

Samedi, Anthony Blinken avait appelé à éviter à tout prix un embrasement dans la région et à prévenir "un cycle sans fin de violences", soulignant notamment la nécessité "de travailler à une paix régionale durable et d'avancer vers l'établissement d'un Etat palestinien".

Depuis le 7 octobre, les échanges de tirs sont quasi quotidiens entre le Hezbollah libanais, allié du Hamas, et les forces israéliennes à la frontière israélo-libanaise. En Syrie et en Irak, les attaques contre des bases militaires des Etats-Unis se sont aussi multipliées, tandis que les rebelles Houthis au Yémen mènent des attaques contre des navires en mer Rouge, en soutien aux Palestiniens.

Le Hezbollah a tiré samedi des dizaines de roquettes sur une base militaire dans le nord d'Israël, une attaque présentée comme sa première riposte à l'élimination, attribuée à Israël, du numéro deux du Hamas Saleh al-Arouri, tué mardi dans une frappe à Beyrouth.

Dans la bande de Gaza, devenue selon l'ONU "tout simplement inhabitable", "un lieu de mort et de désespoir", l'ONG Médecins sans frontières (MSF) a annoncé avoir évacué dimanche son personnel d'un hôpital du centre du territoire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Économie

L'économie britannique rebondit "plus vite que prévu", selon le FMI

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Selon des données britanniques officielles publiées début mai, le pays a connu une progression du PIB de 0,6% sur les trois premiers mois de l'année. (archive) (© KEYSTONE/AP/KIRSTY WIGGLESWORTH)

Le Fonds monétaire international (FMI) a amélioré mardi ses prévisions pour l'économie britannique, qui rebondit "plus vite que prévu", mais l'institution alerte sur des "choix difficiles" à l'horizon pour stabiliser la dette publique.

"Avec une reprise de la croissance plus rapide que prévu, l'économie britannique se dirige vers un atterrissage en douceur, après une légère récession technique en 2023", a indiqué le FMI dans un rapport.

Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni est désormais attendu en progression de 0,7% pour l'ensemble de 2024, en amélioration par rapport à une hausse estimée de 0,5% dans ses projections publiées en avril.

Selon des données britanniques officielles publiées début mai, le pays a connu une progression du PIB de 0,6% sur les trois premiers mois de l'année.

Après avoir atteint un pic à plus de 11% fin 2022, l'inflation au Royaume-Uni "a diminué plus rapidement que prévu l'année dernière et devrait revenir durablement début 2025" à l'objectif de 2% visé par la Banque d'Angleterre, a poursuivi le FMI.

L'institution prévoit que le PIB progressera de 1,5% en 2025, à mesure que la réduction de l'inflation soutiendra le pouvoir d'achat et que les conditions financières s'assoupliront.

A quelques mois d'élections nationales pour lesquelles son parti est donné largement perdant face à l'opposition travailliste, le ministre des Finances conservateur Jeremy Hunt a salué mardi un rapport qui "montre clairement (...) que l'économie britannique a franchi un cap".

Pour autant, "des choix difficiles devront être faits à moyen terme pour stabiliser la dette publique, compte tenu des pressions importantes sur les services publics et des besoins d'investissement critiques", a prévenu le FMI.

Le fonds a notamment suggéré d'accroître les recettes fiscales tout en faisant preuve de mesure sur les dépenses et en améliorant l'efficacité des services publiques.

M. Hunt, qui a diminué ces derniers mois les cotisations sociales à deux reprises, a au contraire promis vendredi des baisses d'impôts si les conservateurs restent au pouvoir lors de la prochaine législature.

Le FMI a "déconseillé" mardi "toute réduction d'impôts supplémentaire, à moins qu'elle ne favorise de manière crédible la croissance et soit correctement compensée par des mesures soignées de réduction du déficit".

L'institution internationale appelle à "des réformes structurelles ambitieuses", alors que les perspectives à long terme du Royaume-Uni restent pénalisées par une "faible productivité au travail et des niveaux d'inactivité légèrement plus élevés que prévu en raison de maladies de longue durée".

Les autorités britanniques doivent aussi "maintenir le cap en matière de politique climatique", selon le FMI, qui souligne que les politiques et les dépenses actuellement prévues seront insuffisantes pour atteindre les objectifs du pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Intenses combats dans le nord-est de l'Ukraine, Baerbock inquiète

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La cheffe de la diplomatie allemande visite une centrale thermique endommagée par les bombardements russes en compagnie du ministre ukrainien de l'énergie Herman Halushchenko. (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

D'intenses combats se déroulent mardi dans le nord-est de l'Ukraine, où les troupes russes poursuivent leur offensive. La cheffe de la diplomatie allemande Annalena Baerbock, en visite à Kiev, s'inquiète d'une situation qui s'est "dramatiquement aggravée" pour Kiev.

Mme Baerbock a estimé que, pour la protéger de la "pluie de missiles et de drones russes", l'Ukraine avait "besoin de toute urgence d'une défense antiaérienne renforcée", après une nouvelle attaque nocturne russe de drones explosifs sur la ville de Kharkiv et sur d'autres régions ukrainiennes.

"La situation en Ukraine s'est encore une fois dramatiquement aggravée avec les frappes aériennes russes massives sur les infrastructures civiles et la brutale offensive russe dans la région de Kharkiv", a déclaré Mme Baerbock après son arrivée en train de nuit dans la capitale ukrainienne.

Crainte d'une offensive plus large

Selon le président ukrainien Volodymyr Zelensky, l'assaut russe déclenché le 10 mai dans le secteur pourrait être la "première vague" d'une offensive beaucoup plus large.

Le chef de l'administration d'occupation dans la région ukrainienne de Kharkiv a affirmé mardi que l'armée russe contrôlait désormais "environ 40%" de la localité de Vovtchansk, l'une des deux zones frontalières du nord-est où elle est passée à l'attaque.

Les soldats russes "continuent d'avancer vers la Vovtcha, la rivière qui divise la ville en deux parties (...). La partie nord de la ville a déjà été complètement libérée", a déclaré Vitali Gantchev à la chaine de télévision russe Pervy Kanal.

"Des forces (ukrainiennes) très puissantes se rapprochent, essayant de déloger nos combattants", a-t-il ajouté.

Soutien de l'Allemagne et de l'UE

Selon un porte-parole des forces ukrainiennes dans la région, la situation sur le terrain "reste difficile et change vite".

En réponse à Mme Baerbock au sujet des livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine, le Kremlin a, comme d'habitude, dit que même si celles-ci augmentaient, cela ne modifierait pas l'avantage dont dispose actuellement la Russie sur le front.

"Cela ne permettra pas aux forces armées ukrainiennes de changer d'une manière ou d'une autre la dynamique sur les fronts", a déclaré aux journalistes le porte-parole Dmitri Peskov.

Il s'agit de la huitième visite de la cheffe de la diplomatie allemande en Ukraine depuis le début de l'invasion russe en février 2022.

L'objectif de sa visite est d'assurer les interlocuteurs ukrainiens du soutien de l'Allemagne et de l'UE, même compte tenu de l'aggravation de la situation militaire, selon le ministère des Affaires étrangères.

"Kiev gagnera cette guerre"

"Notre soutien repose sur la profonde conviction que l'Ukraine gagnera cette guerre", a souligné Mme Baerbock. Le président russe, Vladimir Poutine, table sur le fait qu'"à un moment donné, nous manquerons d'air mais nous avons la capacité de tenir", a-t-elle ajouté.

Kiev réclame aux Occidentaux plus de systèmes de défense antiaérienne pour protéger la région de Kharkiv, frontalière de la Russie et qui est régulièrement la cible de bombardements.

L'armée de l'air ukrainienne a par ailleurs annoncé mardi avoir abattu 28 des 29 drones explosifs Shahed envoyés dans la nuit par la Russie, notamment sur la ville de Kharkiv, la deuxième d'Ukraine, et des régions du sud et du centre.

A Kharkiv, une trentaine de camions, de bus et de voitures ont été endommagés et deux maisons, un garage et un minibus incendiés par la chute de débris de drones, a précisé le gouverneur régional, Oleg Synegoubov.

Deux personnes ont par ailleurs été blessées tôt dans la ville, "à la suite d'une attaque de roquettes contre une entreprise de transport", a-t-il ajouté.

Plus de 14'000 déplacés

Dans l'ensemble de cette région, ce sont plus de 14'000 personnes qui ont été déplacées par les combats, a déploré mardi l'Organisation mondiale de la santé mardi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Clap de fin cet été pour l'international allemand Toni Kroos

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Toni Kroos: une immense carrière remplie de trophées (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Toni Kroos (34 ans) mettra fin à sa carrière professionnelle après l'Euro cet été. Le milieu de terrain allemand du Real Madrid l'a annoncé sur Instagram.

Le meneur de jeu a précisé vouloir arrêter à son meilleur niveau. Kroos s'est construit un immense palmarès tant avec ses clubs qu'avec le maillot de l'équipe nationale allemande. Il a ainsi gagné la Coupe du monde 2014 avec la Mannschaft.

Avec le Bayern Munich, il a gagné la Ligue des champions (2013), la Bundesliga (2008, 2013, 2014), la Coupe d'Allemagne (2008, 2013, 2014) et le Mondial des clubs (2013). Au Real Madrid, qu'il a rejoint à l'été 2014, il a accumulé quatre Ligues des champions (2016, 2017, 2018, 2022), quatre titres de champion d'Espagne (2017, 2020, 2022, 2024), une Coupe d'Espagne (2023) et cinq Coupes du monde des clubs (2014, 2016, 2017, 2018, 2022).

Il aura l'occasion d'ajouter une nouvelle Ligue des champions le 1er juin à Wembley en finale contre Borussia Dortmund. Ce sera son dernier match avec le club madrilène.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Seize entreprises d'IA prennent de nouveaux engagements

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Plusieurs entreprises mondiales d'intelligence artificielle (IA), dont les représentants sont réunis à Séoul, ont pris des engagements pour assurer le développement en toute sécurité de cette science. (© KEYSTONE/AP/Ahn Young-joon)

Seize des principales entreprises mondiales d'intelligence artificielle (IA), dont les représentants sont réunis mardi à Séoul, ont pris de nouveaux engagements pour assurer le développement en toute sécurité de cette science, a annoncé le gouvernement britannique.

"Ces engagements garantissent que les principales entreprises d'IA du monde feront preuve de transparence et de responsabilité quant à leurs projets de développement d'une IA sûre", a déclaré le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, dans un communiqué publié par le ministère britannique de la Science, de l'Innovation et de la Technologie.

L'accord, signé notamment par OpenAI (ChatGPT), Google DeepMind et Anthropic, s'appuie sur les consensus atteint lors du premier "sommet" mondial sur la sécurité de l'IA, l'an dernier à Bletchley Park, au Royaume-Uni. Ce second "sommet" à Séoul est organisé conjointement par les gouvernements sud-coréen et britannique.

Les entreprises d'IA qui n'ont pas encore rendu publique la façon dont elles évaluent la sécurité des technologies qu'elles développent s'engagent à le faire.

Risques "intolérables"

Il s'agit notamment de déterminer quels sont les risques "jugés intolérables" et ce que les entreprises feront pour s'assurer que ces seuils ne sont pas franchis, explique le communiqué.

Dans les circonstances les plus extrêmes, les entreprises s'engagent également à "ne pas développer ou déployer un modèle ou un système" si les mesures d'atténuation ne permettent pas de maintenir les risques en deçà des seuils fixés". Ces seuils seront définis avant le prochain "sommet" sur l'IA, en 2025 en France.

Parmi les entreprises qui acceptent ces règles de sécurité figurent également les géants américains de la technologie Microsoft, Amazon, IBM et Meta, le français Mistral AI et le chinois Zhipu.ai.

Le succès fulgurant de ChatGPT peu après sa sortie en 2022 a déclenché une ruée dans le domaine de l'IA générative, les entreprises technologiques du monde entier investissant des milliards de dollars dans le développement de leurs propres modèles.

Avantages et risques

Les modèles d'IA générative peuvent produire du texte, des photos, du son et même des vidéos à partir de simples invites. Leurs partisans les présentent comme une percée qui améliorera la vie des citoyens et des entreprises dans le monde entier.

Mais les défenseurs des droits humains et les gouvernements craignent aussi leur utilisation à mauvais escient dans un grand nombre de situations, notamment pour manipuler les électeurs par le biais de fausses nouvelles ou de photos et de vidéos "deepfake" de dirigeants politiques.

Beaucoup exigent que des normes internationales soient instituées pour encadrer le développement et l'utilisation de l'IA.

"Le domaine de la sécurité de l'intelligence artificielle évolue rapidement et nous sommes particulièrement contents de soutenir les engagements" pris à l'occasion de ce sommet dans ce domaine, a déclaré Anna Makanju, vice-président d'OpenAI pour les affaires globales, dans un communiqué annonçant les nouveaux engagements mardi.

Accusée par l'actrice Scarlett Johansson d'avoir volontairement et à son insu copié sa voix, l'entreprise avait annoncé peu avant qu'elle allait en changer la tonalité, quelques jours seulement après la dissolution de son équipe en charge d'atténuer les éventuels dangers à long terme d'une IA trop intelligente.

L'annonce avait été marquée par le départ d'un des cofondateurs de l'entreprise, Ilya Sutskever, ainsi que du responsable de l'équipe, Jan Leike.

Outre la sécurité, le "sommet" de Séoul examinera comment les gouvernements peuvent contribuer à stimuler l'innovation (notamment la recherche sur l'IA dans les universités) et comment la technologie pourrait contribuer à résoudre des problèmes tels que le changement climatique et la pauvreté.

La réunion de Séoul, qui dure deux jours, se tient partiellement de façon virtuelle, certaines séances se déroulant à huis clos tandis que d'autres sont ouvertes au public dans la capitale sud-coréenne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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