Rejoignez-nous

International

Leandro Riedi remporte le Challenger d'Oeiras

Publié

,

le

Leandro Riedi a remporté le Challenger d'Oeiras samedi (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Leandro Riedi (ATP 320) a cueilli samedi à Oeiras son troisième titre sur le circuit Challenger.

Le Zurichois s'est imposé 7-6 (8/6) 6-2 face à l'Américain Martin Damm (ATP 255) en finale au Portugal. Il a écarté une balle de set dans la première manche, avant de dominer les débats dans la seconde.

Titré à deux reprises en 2022 (Helsinki et Andria), Leandro Riedi restait sur deux finales perdues sur le front des Challengers en 2023. Son sacre au Portugal lui permettra de gagner environ 70 places dans la hiérarchie, après en avoir perdu 59 lundi dernier.

Le Zurichois de 21 ans va ainsi pouvoir refaire le plein de confiance après un exercice 2023 compliqué. Il s'était hissé jusqu'à la 126e place mondiale en mars dernier dans la foulée d'une finale à Canberra début janvier, avant de chuter dans la hiérarchie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Le gouvernement argentin sommé de distribuer de l'aide alimentaire

Publié

le

Plus de la moitié de la population argentine vit sous le seuil de pauvreté, selon les statistiques (archives). (© KEYSTONE/AP/Nicolas Aguilera)

Un juge argentin a ordonné lundi au gouvernement argentin de procéder "immédiatement" à la distribution auprès des pauvres des tonnes de denrées alimentaires en sa possession mais retenues depuis décembre. Plus de la moitié des Argentins vit sous le seuil de pauvreté.

Le juge fédéral a sommé le ministère du capital humain de fournir dans les 72 heures une liste détaillée des denrées retenues et de procéder "immédiatement" à leur distribution.

Sa décision s'inscrit dans le cadre d'une procédure judiciaire engagée en février par des organisations sociales à la suite de l'interruption, peu après l'arrivée au pouvoir en décembre du président Javier Milei, de l'approvisionnement en denrées alimentaires de leurs soupes populaires.

Le gouvernement avait justifié cette interruption par la mise en oeuvre d'un audit des organisations sociales à l'origine de soupes populaires. Récemment, lors d'une présentation devant le Parlement, le gouvernement avait indiqué que l'audit avait montré que près de 50% des soupes populaires n'existaient pas.

Appel annoncé

Ce "négoce de la pauvreté", un des chevaux de bataille du gouvernement, a conduit à la mi-mai à des perquisitions et actions en justice contre des soupes populaires "fantômes" pour détournement de l'aide sociale.

Lors d'une conférence de presse, le porte-parole de la présidence a annoncé que le gouvernement allait faire appel de la décision, expliquant qu'il s'agissait de "réserves" destinées aux "urgences" ou aux situations de "catastrophe".

Selon les organisations sociales, il existe quelque 45'000 soupes populaires dans le pays, mais un nombre indéterminé d'entre elles ont cessé de fonctionner lorsque l'approvisionnement qu'elles recevaient de l'Etat a été interrompu, tandis que d'autres fonctionnent grâce à des dons privés.

L'Eglise catholique argentine a demandé dimanche au gouvernement de livrer "rapidement" les stocks d'aide alimentaire en sa possession.

"Nous avons appris qu'il existe deux entrepôts d'aliments au sein du ministère [du capital humain, ndlr] qui disposent de cinq millions de kilogrammes d'aliments stockés [...] En période d'urgence alimentaire cela devrait nous inciter à réfléchir. Ils doivent être livrés rapidement", a indiqué le président de la conférence épiscopale argentine, Oscar Ojea, dans un message enregistré diffusé par l'épiscopat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky attendu à Bruxelles mardi

Publié

le

Volodymyr Zelensky demande plus d'aide de l'Occident pour repousser un assaut russe dans la région de Kharkiv. (© KEYSTONE/EPA/CHEMA MOYA)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est attendu mardi matin à Bruxelles, a annoncé lundi soir la chancellerie belge. Il doit y signer avec le premier ministre belge Alexander De Croo un accord bilatéral de sécurité.

Le dirigeant ukrainien, qui demande aux Occidentaux de renforcer leur aide militaire pour faire face à l'invasion de la Russie, doit ensuite rencontrer le roi des Belges, Philippe.

Le déplacement de quelques heures se conclura à la mi-journée à l'aéroport militaire de Melsbroek, près de Bruxelles, où la Belgique devrait rappeler son engagement à fournir des avions de combat F-16 à Kiev, "si possible avant la fin de l'année".

La défense belge contribue à la formation de pilotes et de techniciens ukrainiens pour l'usage de ces appareils. Volodymyr Zelensky doit rencontrer à Melsbroek quelques-uns de ces pilotes, instructeurs et techniciens belges spécialistes des F-16, selon les services de M. De Croo.

Après l'Espagne lundi et la Belgique, il a prévu de se rendre à Lisbonne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Football

Bochum (presque) comme Neuchâtel Xamax

Publié

le

Un maintien miraculeux pour Maximilian Wittek et Bochum. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

Cinq ans après l’incroyable remontada du Neuchâtel Xamax de Stéphane Henchoz à Aarau, un autre barrage de promotion/relégation a épousé un scénario improbable. Il a souri au VfL Bochum.

Le club de Bundesliga a sauvé sa place au sein de l’élite après avoir pourtsnt perdu... 3-0 le match aller à domicile lors de sa double confrontation contre le Fortuna Düsseldorf, le troisième de la 2e Bundesliga. Bochum a marqué à son tour à trois reprises dans le temps réglementaire avant de forcer la décision 6-5 aux tirs au but. Septième frappeur du Fortuna, le Japonais Takashi Uchino a envoyé le ballon dans le ciel de Düsseldorf...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

"Je suis en paix"

Publié

le

Un Rafael Nadal apaisé. (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

Battu lundi pour la première fois de sa carrière au 1er tour de Roland-Garros, Rafael Nadal était déçu. Mais pas abattu. "Je suis en paix", a-t-il affirmé.

Que retenez-vous de votre match ?

"J'ai démontré que j'étais prêt pour plus qu'une défaite au premier tour. Mais c'est comme ça. Quand on n'est pas tête de série, on joue contre un joueur qui est en grande forme et qui est un des meilleurs joueurs au monde. La semaine a été positive, je me suis bien entraîné et physiquement, je me suis senti beaucoup mieux. Je n'ai ressenti aucun frein y compris durant le match d'aujourd'hui. Mais j'avais un adversaire très fort. Il a très bien joué et malgré tout, j'ai eu mes chances: j'ai servi pour le set dans la deuxième manche, j'ai eu un break d'avance dans la troisième... Je n'étais pas si loin. Si c'était la dernière fois que je jouais ici, je suis en paix avec moi-même. Pendant presque vingt ans, j'ai tout essayé pour être prêt pour ce tournoi. Et ces deux dernières années, j'ai traversé vraisemblablement les moments les plus difficiles de ma carrière avec le rêve de revenir jouer à Roland-Garros. Au moins, je l'ai fait."

Dans quel état d'esprit êtes-vous pour la suite ?

"Mon état d'esprit est programmé jusqu'aux Jeux olympiques (cet été). Ensuite, il faudra voir comment je me sens, où en est ma motivation, comment se comporte mon corps, et si continuer de jouer a du sens compte tenu de mon niveau. Aujourd'hui, je suis entré sur le court avec cet étrange sentiment de jouer un premier tour à Roland-Garros sans être le favori. Mais je suis entré sur le court avec l'idée de me battre, d'y mettre l'énergie nécessaire, en espérant que mon adversaire ne joue pas à son meilleur niveau. Moi, j'aurais difficilement pu mieux jouer aujourd'hui. Par rapport aux autres fois où je suis revenu de blessures, je n'étais jamais reparti d'aussi bas. Que ce soit en terme de performance physique, de confiance ou de douleur. Jusque-là, à chaque fois que je suis revenu, j'étais en bonne santé immédiatement, ce qui n'a pas été le cas cette fois. D'abord, j'ai eu cette grosse opération (du psoas en 2023). Ensuite, à Brisbane (en janvier dernier) j'ai eu une nouvelle petite déchirure au même endroit, ensuite j'ai eu un problème aux abdominaux, puis à la hanche... Il y eu un moment où j'étais détruit psychologiquement, je n'avais plus d'énergie, je n'étais plus heureux. Je me suis alors dit qu'il fallait arrêter tout ça et quelques semaines avant Barcelone (en avril), j'ai senti qu'il y avait de grandes chances que je ne revienne jamais sur un court de tennis."

Pensez-vous que vous auriez été prêt à rejouer demain s'il le fallait ? Et pensez-vous être prêt à enchaîner les matches sans jour de repos aux JO ?

"Je ne peux pas vous dire si je serai prêt ou non dans un mois et demi, parce que depuis deux ans, mon corps, c'est la jungle. Je me réveille un matin et c'est comme si un serpent me mordait. Un autre jour, c'est un tigre. Mais la dynamique de ces dernières semaines est positive, alors je me sentais prêt aujourd'hui. Je veux dire que je pense que demain, je serais capable de jouer de nouveau si je devais. Mais ce n'est pas le cas... Maintenant, j'ai besoin d'y voir clair pour décider de mon calendrier, pour essayer d'être prêt pour les JO qui sont maintenant mon objectif principal. Je dois me préparer comme il faut pour essayer d'y arriver en bonne forme physique. Et on verra."

Qu'est-ce qui vous pousse à continuer encore ?

"Le sentiment de rentrer à la maison avec la satisfaction personnelle d'avoir fait tout ce qui était en mon pouvoir, d'avoir donné mon maximum. C'est pour ça que je ne dis pas que j'arrête ma carrière aujourd'hui: c'est pour ne pas avoir le sentiment, dans un an ou un an et demi, que je ne me suis pas donné une vraie chance, parce que juste au moment où j'aurais commencé à me sentir un peu mieux physiquement, j'aurais arrêté. Comme j'apprécie encore ce que je fais, et si je me sens suffisamment en bonne forme et compétitif, je veux continuer un moment. Je ne sais pas combien de temps. Parce que ma famille s'amuse, je m'amuse, et j'ai besoin de me donner un petit peu plus de temps pour voir si mon niveau grimpe et si mon corps tient. Donnez-moi jusqu'aux Jeux olympiques, et après on verra."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Les Sujets à la Une

X