Suisse
Environ 160 abus signalés après l'étude sur l'Eglise catholique
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Cent soixante victimes supplémentaires se sont manifestées depuis la publication d'une étude-pilote de l'Université de Zurich sur les abus au sein de l'Eglise catholique suisse, il y a six mois. Elles l'ont fait auprès des diocèses et des services d'aide aux victimes.
L'Evêché de Bâle a publié mardi des chiffres actualisés à ce sujet. Il a enregistré 92 signalements supplémentaires. C'est davantage que dans les autres diocèses contactés par Keystone-ATS.
Au total, quatre évêchés ont annoncé près de 70 victimes présumées. Celui de Lugano doit communiquer ses chiffres mercredi. Dans le diocèse de Coire, 21 victimes se sont adressées à l'évêché. Ces signalements dénoncent des actes allant de la tentative d'approche au viol. Seul un cas est d'actualité. Les autres remontent à une période allant jusqu'à une septantaine d'années.
Une vingtaine de cas en Suisse romande
L'Evêché de Lausanne, Genève et Fribourg a enregistré 14 nouveaux signalements. Ces victimes présumées sont huit femmes et six hommes. Elles se sont plaintes d'abus psychiques et sexuels, dont la prise de photos d'enfants nus.
A Sion, sept victimes se sont manifestées depuis septembre dernier, respectivement dix cas signalés sur l'ensemble de l'année 2023. La commission spécialisée de l'évêché valaisan n'est pas entrée en matière dans un cas par absence d'indices précis et ce dernier ayant été signalé par une tierce personne. Ses travaux de vérification sont en cours.
Selon l'Evêché de St-Gall, le nombre de cas signalés a fortement augmenté dans le diocèse depuis la publication de l'étude de l'Université de Zurich. Sa commission ad hoc s'est entretenue avec une vingtaine de victimes présumées et a fait suivre 16 cas au fonds national de dédommagement. La plupart de ces victimes ont subi des abus durant l'enfance ou l'adolescence, il y a plus de 20 ans, dans des foyers, lors du catéchisme ou en tant qu'enfants de choeur.
Points de contact
De son côté, la Conférence des évêques suisses (CES) n'a pas enregistré de signalement, car cette tâche incombe aux évêchés, a-t-elle fait savoir. Elle a toutefois annoncé la création de centres nationaux (un par région linguistique) compétents en la matière. Ce projet est en cours.
Les six évêchés suisses disposent tous de points de contact pour les victimes. S'y ajoutent des institutions indépendantes de l'Eglise, destinées aux victimes d'abus. Tel est le cas, en Suisse romande, du Groupe de soutien aux personnes abusées dans une relation d'autorité religieuse (Sapec).
Pas de délai de prescription
Les évêchés sont chargés d'apporter aux personnes concernées soutien, accompagnement et réparation. Les évêques sont tenus de porter plainte en cas d'actes punis par la loi, même si le délai de prescription est dépassé. Ils ne peuvent faire d'exception que lorsque l'auteur présumé des faits est décédé.
Le droit ecclésial catholique ne connaît aucun délai de prescription. L'Eglise catholique peut prononcer des interdictions d'exercer plusieurs décennies après les faits incriminés.
Etude protestante bientôt lancée
Quant à l'Eglise évangélique réformée de Suisse, elle ne tient pas de statistiques sur les cas d'abus, mais elle élabore actuellement une étude préliminaire. Elle appelle expressément les victimes à déposer plainte.
L'institution protestante a constaté une hausse du nombre de personnes la quittant, suite à la publication de l'étude universitaire concernant les cas catholiques. Elle prévoit de lancer une étude préliminaire sur les cas d'abus en son sein. Dans l'Eglise catholique, la vague de départs a été toutefois bien plus spectaculaire.
Selon l'étude-pilote publiée en septembre dernier, plus de 1000 cas d'abus sexuels recensés ont été commis par des prêtres, des membres d'ordres religieux catholiques depuis les années 1950. Il ne s'agit, toutefois, que de la pointe de l'iceberg, le nom de cas non recensés étant élevé. Les résultats d'une étude complémentaire seront présentés en 2027.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
La voiture, le mode de transport le plus soutenu des entreprises
Selon une enquête de la Fondation Modus publiée lundi, à Genève, la voiture est "de loin" le mode de transport le plus soutenu financièrement par les entreprises. A l'échelle du Grand Genève, 23% des actifs disposent d'une prise en charge complète de stationnement sur leur lieu de travail par leur employeur.
Ces chiffres ressortent d'une enquête réalisée auprès de 3105 habitants du Grand Genève. Outre ces 23% de personnes qui jouissent d'une place de parc, 8% des sondés ont dit avoir un véhicule entièrement payé par leur entreprise et 6% ont leurs frais de déplacement entièrement couverts.
Par comparaison, l'incitation des employés à utiliser les transports en commun pour se rendre au travail est bien moindre. La prise en charge complète d'un abonnement de transport public ne concerne que 8% des actifs qui ont répondu à l'enquête, relève dans un communiqué la Fondation Modus.
Désirs d'alternatives
Pourtant, beaucoup aimeraient être moins dépendants de la voiture. Ainsi, 65% des actifs qui travaillent en France souhaiteraient réduire leur temps passé au volant, mais ils constatent que l'offre en alternatives est insuffisante. En Suisse, seuls 43% des sondés voudraient diminuer leur usage de la voiture.
Parmi les alternatives envisagées pour se rendre à son travail, le covoiturage organisé en entreprise et le covoiturage entre collaborateurs suscitent pas mal d'intérêt, tout comme les transports publics et le vélo électrique. Mais les problèmes de sécurité freinent les ardeurs pour la bicyclette.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Il perd la vie au guidon de son vélo électrique
A Genève, un homme de 45 ans est décédé après être parti en embardée au guidon de son vélo électrique, vendredi, dans le quartier de l'ONU. Le malheureux a été grièvement blessé. Il est décédé samedi à l'hôpital.
L'accident s'est produit sur le chemin de l'Impératrice en direction de la route de Lausanne, précise la police genevoise, lundi, dans un communiqué. Peu avant le passage sous les voies du chemin de fer, le cycliste a perdu le contrôle son vélo électrique et a chuté. Une enquête a été ouverte pour déterminer les raisons de cette sortie de route.
Il s'agit du troisième décès sur les routes genevoises cette année, relève encore la police genevoise.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Appel à la prudence en raison du risque d'incendie en forêt
Genève, qui fait face à plusieurs jours de fortes chaleurs, élève son niveau de vigilance par rapport au risque d'incendie en forêt et lance un appel à la prudence. Les feux en plein air ne sont pas totalement interdits, mais ils doivent faire l'objet d'une surveillance accrue.
L'indicateur utilisé est basé sur l'analyse de données objectives relatives à la température, l'humidité relative, la vitesse du vent et aux dernières précipitations. Il passe au statut "danger marqué", soit le niveau de danger 3 sur une échelle de 5.
Les règles en vigueur doivent donc être strictement respectées, notamment par les pique-niqueurs, indique lundi le Département du territoire. En dehors des emplacements aménagés et dotés de foyers fixes, les feux sont interdits dans les espaces forestiers et dans tous les sites protégés à moins de 10 mètres des lisières.
Les personnes qui allument un feu de plein air sur un lieu autorisé doivent prendre toutes les précautions requises. Il faut surveiller en permanence les feux allumés et éteindre immédiatement les flammèches et veiller à bien éteindre le feu et sécuriser ses alentours avant de partir. En cas de forts vents, mieux vaut renoncer totalement à faire du feu.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Collision entre un TGV et un tracteur viticole
Lundi, lors d'une manoeuvre, un tracteur viticole a terminé sa course sur la voie ferrée, à Russin (GE), et a été percuté par un TGV qui circulait à une vitesse de 95 km/h. Le conducteur de l'engin a été éjecté avant la collision. Sa vie n'est pas en danger. Aucun des quelque 200 passagers du train n'a été blessé, a indiqué le Service d'incendie et de secours (SIS) de Genève, lundi, dans un communiqué.
Le train a, en revanche, subi d'importants dégâts. En collaboration avec les sapeurs-pompiers du train d'Extinction et de Sauvetage (TES) des CFF, les hommes du SIS ont sécurisé le convoi et découpé les tôles de carénage qui menaçaient de se détacher. Le TGV a ensuite été acheminé à la gare de Genève-Cornavin.
Le tracteur viticole (enjambeur) qui était coincé sur la ligne de chemin de fer a été dégagé à l'aide d'un train des CFF équipé d'une grue. L'intervention des secours a duré trois heures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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