International
RDC: le M23 entre dans Bukavu, Tshisekedi renonce au sommet de l'UA
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Des combattants du M23 alliés à des troupes rwandaises sont entrés vendredi dans Bukavu, après avoir pris le contrôle de l'aéroport de la ville de l'Est de la RDC. Le président congolais a renoncé à participer au sommet de l'Union africaine ce weekend en Ethiopie.
Après s'être emparés fin janvier, au terme d'une offensive éclair, de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu, les combattants du groupe armé antigouvernemental M23 ("Mouvement du 23 mars") et les soldats rwandais ont poursuivi leur avancée dans la province voisine du Sud-Kivu.
Selon des sources sécuritaire et humanitaire, le M23 est entré presque sans résistance dans les quartiers périphériques du nord-ouest de Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu. Quelques heures plus tôt, le groupe armé avait pris le contrôle de l'aéroport provincial, site stratégique où étaient positionnées les forces armées congolaises (FARDC) et situé à une trentaine de kilomètres de la ville.
Les militaires congolais et leurs familles avaient reçu consigne dans la matinée de quitter les camps militaires situés en ville, selon des sources sécuritaires. Des motos chargées de matelas et d'affaires personnelles ont débarqué en début de journée dans les rues de Bukavu, a constaté un journaliste de l'AFP. Les magasins de la ville ont gardé le rideau baissé.
Les représentants de la société civile, dans une lettre adressée ces derniers jours aux autorités locales, avaient appelé l'armée à ne pas "engager les affrontements dans la ville" pour éviter une "boucherie humaine".
Contrôle total du lac Kivu
Selon une source sécuritaire, FARDC et troupes burundaises déployées dans la région en soutien à Kinshasa se sont majoritairement repliés vers le sud-est de Bukavu en direction de la frontière avec le Burundi. Cette frontière a été brièvement fermée jeudi après-midi aux Congolais fuyant Goma et Bukavu, selon plusieurs sources locales.
La chute imminente de Bukavu, déjà tombée en 2004 aux mains de soldats dissidents de l'armée congolaise, donnerait au M23 et aux troupes rwandaises le contrôle total du lac Kivu, qui s'étire le long de la frontière rwandaise.
Tshishekedi appelle à des sanctions
Le président congolais Felix Tshishekedi, en déplacement en Allemagne jeudi et vendredi, et qui avait initialement prévu de participer au sommet des chefs d'Etats de l'Union africaine (UA) samedi et dimanche dans la capitale éthiopienne Addis Abeba, a finalement renoncé.
"Il doit suivre la situation de terrain en RDC de près", a expliqué vendredi à l'AFP une source gouvernementale précisant que le chef d'Etat, qui a dénoncé à Munich les "ambitions expansionnistes" du Rwanda voisin et réitéré son appel à des sanctions de la communauté internationale, sera de retour à Kinshasa dans la soirée.
Risque de guerre régionale
Le président de la Commission de l'UA, Moussa Faki Mahamat, a appelé vendredi à observer "obligatoirement" un cessez-le-feu.
La semaine dernière, les dirigeants d'Afrique australe et de l'Est réunis en sommet en Tanzanie avaient appelé à un cessez-le-feu "inconditionnel" et demandé à leurs états-majors d'en proposer cette semaine un plan d'application.
Depuis la récente intensification du conflit dans l'Est congolais, les appels de la communauté internationale à une désescalade se sont en vain multipliés, sur fond de crainte d'une guerre régionale.
L'Ouganda et le Burundi voisins, mais aussi l'Afrique du Sud, ont des troupes déployées dans l'est de RDC, en appui de l'armée congolaise.
Près de 3000 morts, plus d'eau
Les dernières violences ont déjà fait près de 3000 morts selon l'ONU. A Goma, la situation humanitaire est alarmante. L'accès à l'eau est toujours partiellement coupé, certains habitants allant puiser dans le lac Kivu où des corps ont été repêchés après les combats dans la ville.
Le bureau des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha) a alerté cette semaine contre un risque de propagation du choléra.
Les centaines de milliers de déplacés, qui ont fui leur village au fur et à mesure de l'avancée des combats vers Goma et qui vivaient entassés dans des camps insalubres dans la périphérie de la ville, ont été sommés par le M23 de partir.
Zones inaccessibles à l'aide
"La crise s'aggrave à mesure que les personnes fuient vers des zones où l'aide humanitaire ne peut pas les atteindre en raison de l'insécurité", a alerté vendredi une porte-parole de l'agence de l'ONU pour les réfugiés (HCR), Eujin Byun.
Des dizaines de patients atteints par le virus de la variole du singe (mpox) et à l'isolement à l'hôpital de Goma ont également fui les combats, a mis en garde l'OMS.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les résultats de Microsoft bien au-delà des prévisions
Microsoft a publié mercredi des résultats très supérieurs aux attentes pour le quatrième trimestre de son exercice comptable décalé. Un exercice marqué par une nouvelle accélération de l'informatique à distance (cloud) et de l'intelligence artificielle (IA).
Le bénéfice net ressort à 27,2 milliards de dollars, en hausse de 24% sur un an. Rapporté par action, il atteint 3,65 dollars, soit sensiblement mieux que les 3,38 dollars projetés par les analystes, selon un consensus établi par FactSet.
Trimestre après trimestre, le groupe de Redmond (Etat du Washington) livre avec une régularité métronomique des comptes étincelants, transcendés par la montée en puissance de l'IA générative depuis fin 2022.
Pour la première fois de son histoire, l'entreprise cofondée par Bill Gates a franchi le seuil symbolique des 100 milliards de dollars de bénéfice net sur un exercice comptable (101,8).
Alors que le marché s'attend à voir, un jour ou l'autre, le rythme de cette croissance insolente ralentir, Microsoft est même monté en régime lors de la période allant d'avril à juin.
Il a ainsi enregistré une hausse de 27% de ses activités de cloud et de 39% pour sa plateforme d'informatique à distance Azure, ses meilleurs chiffres depuis la refonte de la présentation de ses résultats, il y a un an.
Le cloud et Azure dépassent 100 milliards de dollars de chiffre d'affaires sur l'année fiscale, soit plus que les revenus totaux de Microsoft il y a dix ans.
Le chiffre d'affaires du quatrième trimestre comptable se monte à 76,4 milliards de dollars, en progression de 18% sur un an.
L'entreprise n'entend pas lever le pied et prévoit d'investir "plus de 30 milliards de dollars" au premier trimestre de l'exercice 2026, qui court de juillet à septembre, a indiqué la directrice financière, Amy Hood, lors d'une conférence téléphonique.
C'est moitié plus que pour la même période de 2024.
Ce calibrage a été décidé du fait de "signaux forts de demande" de produits du groupe, a précisé la responsable, selon laquelle même à cette cadence, le géant informatique ne parvient pas à suivre l'évolution des besoins de ses clients.
Amy Hood a néanmoins prévenu que les investissements seraient moins relevés pour l'exercice 2026 que pour le précédent.
"Microsoft continue à maintenir un sain équilibre entre la croissance de son activité et ses investissements d'avenir", estime Angelo Zino, analyste de CFRA.
La publication de Microsoft a été très bien accueillie par les investisseurs. Dans les échanges postérieurs à la clôture de la Bourse de New York, le titre, déjà proche de ses plus hauts historiques, gagnait près de 9%.
"Carton plein"
"C'est carton plein ce trimestre pour Microsoft", ont commenté, dans une note, les analystes de Wedbush Securities.
"Mais nous pensons que Microsoft entre à peine dans la prochaine phase de monétisation de l'IA", à mesure que "de plus en plus d'entreprises renforcent leurs budgets" consacrés à la mise en place de cette technologie, ont-ils ajouté.
Le directeur général de Microsoft, Satya Nadella, a révélé que l'assistant IA Copilot, intégré au système d'exploitation Windows, comptait désormais plus de 100 millions d'utilisateurs actifs mensuels.
L'ensemble de logiciels Microsoft 365 "devient une plateforme à plus forte valeur ajoutée grâce à Copilot", a réagi Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.
Il a également salué le redressement de la Xbox et des services associés, dont le chiffre d'affaires a augmenté de 13% sur un an, soit nettement mieux que lors des deux trimestres précédents (8% et 2%).
"Ce n'est pas qu'un prestataire de cloud", a insisté Jeremy Goldman, "mais tout un écosystème qui prend, sans faire de bruit, une longueur d'avance sur la concurrence."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Meta décolle et enchante Wall Street malgré ses dépenses dans l'IA
Meta (Facebook, Instagram) a ravi le marché mercredi avec de fortes croissances de ses revenus et profits trimestriels. Cela arrive malgré les turbulences macro-économiques liées aux droits de douane et des dépenses dans l'intelligence artificielle (IA).
L'empire américain des réseaux sociaux a largement dépassé les attentes avec 47,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires au deuxième trimestre, en croissance de 22% sur un an, d'après son communiqué de résultats publié mercredi.
Son bénéfice net est ressorti à 18,34 milliards (+36%), grâce notamment à la hausse des prix publicitaires et du nombre d'utilisateurs dans le monde.
Son action grimpait de plus de 9% lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse de New York.
Les économies subissent en ce moment les guerres commerciales américaines, mais "de nombreuses marques continuent de dépenser comme à l'accoutumée en attendant que la situation se stabilise", a commenté Minda Smiley, analyste chez Emarketer.
En outre, souligne-t-elle, "beaucoup d'annonceurs ont sans doute recentré leur budget sur des plateformes éprouvées comme Facebook et Instagram durant cette période d'incertitude".
Les solides performances du groupe de Menlo Park (Californie) tombent bien pour son patron Mark Zuckerberg, qui a besoin de convaincre le marché du bien-fondé de ses dépenses extraordinaires.
Le milliardaire veut en effet regagner du terrain dans la course à la "superintelligence" ou "IA générale", cette technologie hypothétique, aux capacités cognitives supérieures à celles des humains, graal de la Silicon Valley.
"Rémunération des employés"
Il multiplie les annonces depuis que Llama 4, la dernière version du modèle d'IA générative de Meta dévoilée début avril, a déçu.
Le groupe a relevé ses prévisions d'investissements annuels à une fourchette comprise entre 66 et 72 milliards de dollars, pour construire des infrastructures IA plus puissantes.
Puis Mark Zuckerberg a évoqué ce mois-ci des "centaines de milliards de dollars" à investir dans de nouveaux centres de données conçus spécifiquement pour les modèles d'IA générative, avec des puces de pointe et des ressources énergétiques conséquentes.
Il a récemment déboursé 14,3 milliards de dollars pour acquérir 49% du capital de Scale AI, une start-up spécialisée dans la mise en état de données pour les modèles.
Surtout, il a débauché son patron milliardaire Alexander Wang et plusieurs employés d'OpenAI, Anthropic et Google, en leur offrant des primes faramineuses.
"En dehors des infrastructures, nous prévoyons que la rémunération des employés sera le deuxième facteur de croissance des dépenses en 2026, avec le recrutement de talents dans les domaines prioritaires", a indiqué l'entreprise dans son communiqué mercredi.
Jusqu'à présent, le marché a suivi Zuckerberg. La capitalisation de Meta a bondi de 20% depuis le début de l'année.
"Mais ces énormes investissements" vont être surveillés de près selon Debra Aho Williamson, analyste de Sonata Insights, d'autant que "le groupe ne prévoit pas de monétiser directement l'IA cette année"
Lunettes et "superintelligence"
La firme de Menlo Park se concentre sur l'adoption de ses nouveaux outils par les utilisateurs, annonceurs et développeurs, mais "elle risque de voir OpenAI continuer à creuser l'écart", grâce à la "forte notoriété de ChatGPT auprès du grand public", a ajouté l'experte.
Meta dispose cependant d'un effet d'échelle considérable: en juin 2025, 3,48 milliards de personnes dans le monde se connectaient tous les jours sur au moins une des plateformes de Meta (Facebook, Instagram, Threads, WhatsApp et Messenger), qui donnent aussi accès à son assistant IA, Meta AI.
Mercredi, avant la publication des résultats, Mark Zuckerberg a publié un billet de blog sur sa vision de la "superintelligence", qui a selon lui "le potentiel d'ouvrir une nouvelle ère d'émancipation personnelle".
Il assure que les lunettes connectées seront centrales dans le déploiement de cette technologie.
Les ventes des Ray-Ban Meta, dont les montures intègrent micros, caméra et Meta AI, ont triplé sur un an, d'après leur fabricant EssilorLuxottica.
La branche Reality Labs du géant américain, chargée du développement d'appareils et de logiciels pour le métavers (mélange des univers réels et virtuels via des lunettes et casques high tech), a de nouveau creusé ses pertes, à 4,5 milliards de dollars ce trimestre.
Meta attend par ailleurs le verdict du procès qui s'est tenu en avril: le gouvernement américain l'accuse d'avoir racheté Instagram et WhatsApp il y a plus de dix ans pour empêcher toute concurrence d'émerger contre Facebook et Messenger.
Si le juge tranche en faveur des Etats-Unis, Meta pourrait être forcé de se séparer de ses deux plateformes phares.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Droits de douane: Trump décide 50% sur les produits brésiliens
Le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret imposant 40 points de pourcentage (pp) de droits de douane supplémentaires sur les produits brésilien, ce qui porte la surtaxe à 50%, a annoncé la Maison Blanche.
Le gouvernement américain a de surcroît renforcé mercredi sa pression sur le Brésil, en soutien à l'ex-président Jair Bolsonaro, en annonçant de nouvelles sanctions contre le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes.
Le premier coup est venu du département du Trésor, avec des sanctions visant M.de Moraes, que Washington accuse de "détentions arbitraires" et de non-respect de "la liberté d'expression".
Le Trésor estime que le juge a profité de sa position pour "cibler des opposants politiques, notamment l'ex-président Jair Bolsonaro, des journalistes, des réseaux sociaux américains et d'autres entreprises américaines et internationales".
L'ancien président brésilien, allié de Donald Trump, est poursuivi dans son pays pour une tentative présumée de coup d'Etat après sa défaite lors de l'élection de 2022.
"Alexandre de Moraes s'est octroyé le droit d'être juge et jury pour orchestrer une chasse aux sorcières illégale contre des citoyens et entreprises américaines et brésiliennes. Les sanctions de ce jour rappellent que le Trésor tiendra pour responsable ceux qui menacent les intérêts américains et la liberté de nos citoyens", a déclaré le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, cité dans un communiqué.
Ces sanctions entraînent le gel de l'ensemble des avoirs détenus par M.de Moraes aux Etats-Unis ainsi que l'interdiction pour des citoyens ou entreprises américaines de faire affaire avec le juge brésilien, sous peine de poursuites.
Elles viennent compléter celles annoncées par le département d'Etat le 18 juillet, qui visaient tous les juges de la Cour suprême ainsi que leurs proches parents, qui sont tous désormais interdits d'entrer aux Etats-Unis.
"Que cela serve d'avertissement à ceux qui voudraient bafouer les droits de leurs concitoyens. Une robe de juge ne peut pas vous protéger", a réagi sur X le secrétaire d'Etat américain, Marco Rubio.
Le gouvernement brésilien a qualifié ces sanctions d'"arbitraires" et d'"injustifiables", et y voit "une attaque grave et inacceptable contre la souveraineté" du Brésil, d'après un communiqué de l'Agence brésilienne pour la défense légale de l'Etat (AGU).
La ministre en charge des Relations institutionnelles du Brésil, Gleisi Hoffmann, a de son côté exprimé le "rejet total du gouvernement Lula" envers ces sanctions.
"Très reconnaissant"
Mais Washington ne s'est pas arrêté là, pour lutter contre ce que Donald Trump présente comme une "chasse aux sorcières" à l'encontre de son allié d'extrême droite.
Après avoir menacé depuis plusieurs jours Brasilia de 50% de surtaxes douanières à compté du 1er août, le président américain a finalement signé, un peu plus tard dans la journée, un décret en ce sens.
Selon le décret, publié sur le site de la Maison Blanche, la surtaxe, qui entrera en vigueur à partir du 6 août, se justifie par "la menace inhabituelle et extraordinaire que constitue le Brésil pour la sécurité nationale, l'économie et la politique étrangère des Etats-Unis",
Fort de ce soutien américain, le fils de l'ancien président, Eduardo Bolsonaro, s'est dit "très reconnaissant", appelant "les autres leaders du monde libre à s'unir aux Etats-Unis".
Le procès de Jair Bolsonaro pour une tentative présumée de coup d'Etat contre l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva doit s'achever dans les prochaines semaines. L'ex-chef d'Etat (2019-2022), âgé de 70 ans, risque plus de 40 ans de prison.
Outre le port d'un bracelet électronique, Jair Bolsonaro est contraint de rester chez lui soir et week-end, et interdit de recourir aux réseaux sociaux et de contacter ambassades et autorités étrangères.
Les autorités brésiliennes ont également adopté une posture très ferme concernant la lutte contre la désinformation, la Cour suprême ayant durci en juin 2024 la régulation des réseaux sociaux.
Le juge Moraes avait bloqué durant 40 jours X au Brésil, jusqu'à ce que le réseau du multimilliardaire Elon Musk se conforme aux ordres de supprimer des comptes accusés de diffuser des infox.
Pour les mêmes raisons, il a ordonné en février le blocage de la plateforme vidéo Rumble, prisée des conservateurs américains.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Taux d'intérêt américains: la Fed maintient le statu quo
La banque centrale des Etats-Unis (Fed) a sans surprise laissé ses taux d'intérêt inchangés mercredi, pour la cinquième fois de suite, une décision marquée par la rare opposition de deux gouverneurs qui souhaitaient une baisse.
Dans son communiqué, la Réserve fédérale remarque que la croissance américaine a "ralenti au premier semestre" 2025 mais que le marché du travail reste "solide", avec un taux de chômage "bas".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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