Le 9/12 LFM
Le Carnaval de Bulle fête ses 120 ans et débute ce vendredi
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La ville de Bulle et ses habitants vont vibrer cette fin de semaine au rythme du carnaval. Au sons des guggens, mêlés de confettis, de déguisements et autres joyeusetés, cette édition 2025 marque les 120 ans de la manifestation. Un carnaval évoqué dans le 9/12.
Depuis plus d’un siècle, le Carnaval de Bulle est une tradition dans le chef-lieu gruyèrien. Celui-ci a été fondé en 1905 par "le Corps de musique de la Ville de Bulle". Entre 1965 et 1975, la manifestation fût remplacée par une "Cassée et des bals masqués" dans les établissement de la ville avant que le "FC Bulle" ne reprenne l’organisation du carnaval dès 1975, cédant sa place ensuite aux "amis du Carnaval de Bulle" qui organisèrent le 1er "Carnaval des enfants". C'est ainsi que les enfants sont devenus les rois et les reines du Carnaval de Bulle, en collaboration avec les établissements scolaires de la Gruyère. En 1984, deux sociétés se succédèrent à l’organisation de la fête : "Le Carnabul" et "La Bambulla". Puis le "Comité des Amis du Carnaval" relança l'événement dès 2002, selon le site internet de la manifestation.
Au programme de cette édition anniversaire démarrant le 21 février : un "souper fondue concert" avec MC Roger, en soirée, sous cantine, sur la place du Marché.
Le lendemain matin, aura lieu l'ouverture officielle du carnaval, avec la remise des clés par les autorités, sur la place du Veladzô, avant notamment le grand cortège, en début d'après-midi, qui devrait réunir près de 600 enfants à la Grand-Rue et une bataille de confettis à laquelle tous le monde est invité ensuite sur la place du Marché.
Le soir sous cantine, les guggenmusiks prendront part à une battle. Ces guggens bulloises et invitées qui continueront à jouer dimanche matin, sur la place du Marché, avant qu'un apéritif ne soit offert à toutes et tous en fin de matinée.
Plus d'infos sur le Carnaval de Bulle évoqué dans le 9/12 par Valérie Ogier : carnavaldebulle.com
Double Face
Double Face : Dora Formica, une fourmi travailleuse
La Lausannoise Dora Formica était l'invité de Valérie Ogier et de Double Face. Présente à BDFIL à Lausanne, l'illustratrice vient de sortir sa première BD "Certifié humain" aux Editions Helvetiq.
Illustratrice et dessinatrice, Dora Formica a reçu une carte blanche lors du dernier festival BDFIL. À 38 ans, elle y a fait ses débuts dans le monde de la bande dessinée avec une première œuvre audacieuse, intitulée "Certifié humain". Un projet qui aborde la thématique de l'intelligence artificielle.
Dora Formica a choisi de se lancer dans cette aventure après avoir consacré de nombreuses années à sa vie de maman, élevant deux filles, âgée actuellement de 10 et 12 ans. Une expérience de vie qui l'a amenée à vouloir distinguer sa vie personnelle de sa vie professionnelle, à commencer par adopter un nom d'artiste, inspiré du latin, "Formica", qui évoque la fourmi travailleuse et l'intelligence collective, tout en faisant un clin d'œil à sa passion pour le mobilier vintage.
Depuis son enfance, le dessin a toujours été une passion dévorante pour la Lausannoise. Elle décrit le dessin comme un langage parmi d'autres, un moyen d'expression qui a pris forme dans ses cahiers d'école et qui continue de s'épanouir aujourd'hui dans ses blocs-notes, aidé d'un sens aigu de l'observation qui s'est affiné au fil du temps. Une passion qui s'est professionnalisée, en 2013, avec la publication d'un livre illustré, "Curry, kiwis et caïpirinha", qui raconte un voyage autour du monde réalisé en 2011 aux côtés de son ami Matthias.
Avec "Certifié humain", Dora Formica s'inscrit dans une démarche artistique qui interroge notre rapport à la technologie et à la création. Elle nous rappelle que chaque œuvre est le fruit d'une histoire humaine, une réflexion qui résonne particulièrement dans notre époque actuelle, où l'IA prend une place de plus en plus prépondérante dans le processus créatif.
Avant de faire paraître sa première bande dessinée, Dora Formica nous explique avoir mené une double vie durant près de 10 ans entre 2013 et 2022. A la fois enseignante en primaire et illustratrice indépendante. Une seconde activité professionnelle rendue possible après avoir assisté à une conférence intitulée "Comment être éditer ?" à BDFIL, où elle a présenté son livre illustré "Curry, kiwis et caïpirinha". Un événement clé qui a permis la concrétisation de l'ouvrage, de se faire connaître, d'accepter différents mandats ensuite et de tendre à une carrière professionnelle.
Un parcours qui s'est accélérée lorsque notre invitée reçoit, il y a quelques mois, une invitation de BDFIL en vue d' une carte blanche pour une exposition. Une visibilité inédite qui lui est offerte à condition de présenter en exclusivité sa première bande dessinée "Certifié humain" durant le festival. Un projet qu'il a fallu achevé à toute berzingue pour les 20 ans de l'événement.
Fille de Marc Taraskoff, peintre et illustrateur, Dora Formica nous confiera également durant ce Double Face avoir été naturellement impacté par le travail de son père. Bien que disparu en 2015, elle se remémore les instants passés ensemble autour de ses créations. Un papa fier également des réalisations de sa fille pour qui il était difficile, à l'époque, de la suivre en Suisse, car travailler à distance n'était pas envisageable sans les technologies modernes que nous connaissons aujourd'hui. Quitter le microcosme parisien, où tout se passait, était un défi inconcevable pour l'artiste qu'il était.
Dans l'émission Double Face, Dora Formica se retrouve au micro de Valérie Ogier pour parler de sa première bande dessinée, "Certifié humain", qui aborde la thématique de l'intelligence artificielle. Cette idée a germé lors d'une rencontre avec un auteur lors d'un festival jeunesse, où elle a été interpellée en découvrant que son éditeur envisageait de réaliser la couverture de son livre avec l'aide de l'IA. Cette question l'a profondément touchée, notamment en raison de son père, illustrateur, et de son propre parcours dans le domaine. Intriguée, elle a décidé d'interroger ses pairs sur le sujet. La plupart d'entre eux privilégient la création humaine, à l'exception de Martin Panchaud, un dessinateur suisse qui utilise la souris de son ordinateur pour son art. Dans sa bande dessinée, Dora Formica a souhaité intégrer les témoignages recueillis sur l'IA. Ils sont accessibles via un QR Code, permettant aux lecteurs d'écouter des liens audios afin d'enrichir l'expérience de lecture et réfléchir sur l'impact de l'intelligence artificielle dans le monde de la création.
Pour Dora Formica, le monde rêvé est un univers où la valeur du dessin est pleinement reconnue. Elle aspire à un environnement où les dessinateurs sont non seulement valorisés, mais également mieux rémunérés pour leur travail. Le dessin, considéré comme 9ème art, a récemment gagné en reconnaissance, notamment grâce au soutien de la fondation Pro Helvetia, qui contribue à sa légitimation en tant qu'art à part entière.
Dora Formica souligne que le métier de dessinateur nécessite une certaine forme physique, un aspect que l'on peut observer dans le film "Derib, une vie dessinée", actuellement au cinéma. Malgré ses tentatives d'explorer les nouvelles technologies, comme le dessin sur tablette, Dora Formica reste profondément attachée à ses crayons. Pour elle, ces outils traditionnels sont émotionnels et essentiels pour donner vie à ses créations.
Le Double Face consacré à Dora Formica se conclut par notre séquence du "Tac-au-tac" avec différentes questions posées par Valérie Ogier. Notre invitée nous dévoile notamment aimer dessiner en musique et possède des goûts très éclectiques. Cela va des musiques du monde en passant par Shakira, Rosalia, ou du jazz comme Ibrahim Maalouf sans compter qu'elle apprécie écouter aussi des podcasts. Elle nous confie également avoir confiance en la vie et n'avoir pour l'heure aucun projets officiels après la tournée promotionnelle de sa première bande dessinée "Certifié humain", toujours disponible aux Editions Helvetiq.
Double Face
Double Face : Michel Fugain, l'infatigable chanteur français
Michel Fugain a sorti en 2024 un nouvel album "La vie, l'amour, etc...". Il était de passage en avril dernier, à Genève, en concert au BFM, avec ses succès et son nouvel album. Valérie Ogier l'a rencontré pour Double Face.
À 83 ans, Michel Fugain comptabilise une carrière qui s’étend sur près de six décennies. Son dernier album, sorti il y a quelques mois, témoigne notamment de ses talents d'auteur-compositeur. Le chanteur français nous a confié avoir écrit la majorité des chansons de ce dernier opus, explorant des thèmes universels tels que la vie, l’amour et même la mort, bien qu'il ait choisi de ne pas inclure ce dernier dans le titre de l'album.
Pour cet artiste infatigable, le processus créatif, durant lequel il rêve, il imagine, il trouve l'inspiration , avant de donner vie aux mélodies et aux paroles, est un moment passionnant ou l'écriture est, pour lui, le meilleur instant de ce genre de projet. Sur les dix titres de l'album, il en a personnellement créé huit et demi, cherchant toujours à se surprendre. Il nous avoue avoir été bluffé par certains d'entre eux. Michel Fugain souligne l'importance d'avoir quelque chose à dire à travers la musique. Pour lui, chanter sans message n'a pas d'intérêt. Il cite en exemple Céline Dion, qui, selon lui, incarne cette capacité.
Sensible au temps qui passe, Michel Fugain nous confie avec humour avoir toujours 17 ans dans sa tête. Plus sérieusement, il se sent plutôt comme à ses 40 ans, débordant d'énergie. Pour lui, monter sur scène est bien plus qu'un simple concert : c'est une véritable récréation, un moment de pur plaisir où il peut distraire son public en jouant sur toutes les émotions. Majeures ou plus intimes comme sa chanson "Lisez-moi", extraite de son dernier album. Un titre rendant hommage aux cicatrices de la vie que chacun d'entre nous peut porter.
Au début de la carrière de Michel Fugain, dans les années 60, le chemin vers l'art n'était pas celui que son père, médecin et ancien résistant, avait envisagé pour lui. Ce dernier l'imaginait plutôt devenir neurochirurgien. Cependant, Michel Fugain était animé par une passion pour le cinéma et se trouvait à un carrefour difficile entre ses rêves et les attentes familiales.
N'osant pas aborder le sujet directement avec son père, il lui écrit une lettre, remise à sa mère et sa sœur au préalable, au courant de ses aspirations, puis Michel Fugain se réfugia durant une semaine chez un ami, le temps que les choses se tassent. À son retour à la maison, à la demande de son père, il fut interrogé sur ses projets d'avenir. Afin de mieux comprendre le désir de son fils, le père de Michel sollicita l'aide d'un ami, Guy Joubert, également originaire de Savoie. Ce dernier rassura le papa de Michel Fugain, encourageant même son fils à le rejoindre à Paris, avec l'idée de le présenter à des personnes influentes du milieu.
Depuis 1967, Michel Fugain est un artiste emblématique avec son premier succès "Je n'aurai pas le temps". Depuis il a su tracer sa voie dans la musique et non dans le cinéma, comme imaginé, la force chevillée au corps, faisant, selon lui, des choix judicieux tout au long de sa carrière, expliquant son succès. De plus contrairement à d'autres, nous a-t-il confié, il ne se regarde pas le nombril ; il s'intéresse véritablement à ses semblables, une qualité qu'il considère comme essentielle.
Pour lui, la musique est un véritable engagement. Il se voit comme un préposé à l'imaginaire, dévoué à servir le peuple à travers ses chansons populaires. Une profonde humanité qui transparaît également dans les paroles et les mélodies de son dernier album "La vie, l'amour, etc..." toujours disponible.
À la page
Dans les coulisses de l'Eurovision avec Jean-Marc Richard
C’est un évènement chaque année: l’Eurovision est un concours qui rassemble désormais plus de 160 millions de téléspectateurs! La finale de la 69ème édition ne dérogera pas à la règle ce samedi à Bâle.
Si on fait les comptes de toutes les éditions, selon les spécialistes:
La victoire est revenue dans 72,9 % des cas à un.e artiste solo.
Côté thème, 59,7 % des chansons élues parlent d’amour, de sentiments ou de relations.
Et les femmes l’emportent: plus de la moitié des gagnants sont des gagnantes à 56,3 %!
Derrière les chiffres, il y a des histoires et Jean-Marc Richard, avec 33 ans de commentaires au compteur (34 samedi!), est bien placé pour nous les raconter.
C’est ce qu’il a fait chaque semaine depuis le début de cette année et jusqu’à aujourd’hui au micro de Valérie Ogier.
Retour sur ces anecdotes et les titres qui vont avec en 16 épisodes !
Double Face
Double Face : Valérie Lemercier à l'affiche d'"Aimons-nous vivants"
Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris étaient les invités de Valérie Ogier dans Double Face à l'occasion de la sortie du film "Aimons-nous vivants". Rencontre avec le réalisateur et l'actrice principale de cette comédie romantique tournée en partie à Genève.
Lors de la tournée promotionnelle du film "Aimons-nous vivants", Valérie Ogier a eu l'opportunité de rencontrer Valérie Lemercier et le réalisateur Jean-Pierre Améris. Le film, actuellement à l'affiche, est une comédie abordant des thématiques profondes telles que la vie, la mort, la vieillesse et le déclassement social, tout en offrant une belle dose d'humour.
Valérie Lemercier a partagé avec enthousiasme, au micro LFM, qu'elle se reconnaît dans son personnage, notamment par son optimisme et sa capacité à s'intéresser aux autres. Cependant, elle a souligné deux différences notables : contrairement à son personnage, quand elle dit non, c'est un non définitif. Elle apprécie la joie de vivre que son rôle dégage, de cette femme s'émerveillant de tout, tout le temps, même si, parfois, dans sa propre vie elle nous confie être habitée par des moments de hauts mais aussi de bas. Un film qui se déroule principalement à Genève, dans un cadre à la fois exotique et familier pour Valérie Lemercier. Exotique car à l'étranger et en des lieux dans lesquels elle n'avait pas eu l'occasion de tourner et familier puisque connaissant déjà Genève et sa région. Un film dans lequel les rebondissements sont nombreux ce qui a aussi beaucoup plus à l'actrice.
Valérie Lemercier, actuellement à l'affiche du film "Aimons-nous vivants", n'en garde pas moins le désir ardent de remonter sur scène. Passionnée par l'écriture, elle souhaite créer des rôles qu'elle pourra interpréter, tout en se laissant également tenter, dans le même temps, par la danse et le chant. Au micro de Valérie Ogier, elle a partagé que plusieurs de ses projets, initiés avant le film de Jean-Pierre Améris, sont sur le point de voir le jour. Elle évoque notamment son prochain spectacle.
Dans "Aimons-nous vivants", Valérie Lemercier incarne Victoire, une femme pleine de vie et avide de liberté. Un personnage flamboyant qui croise le chemin d'Antoine Toussaint, interprété par Gérard Darmon, un chanteur célèbre en quête de rédemption après un AVC. Leur rencontre inattendue révèle à Antoine qu'il peut être aimé pour ce qu'il est, et non pour son statut.
Valérie Lemercier se réjouit de son rôle dans ce film, affirmant qu'elle se laisse porter par la direction du metteur en scène, se concentrant uniquement sur son jeu. Elle nous confie avoir particulièrement apprécié sa collaboration avec Jean-Pierre Améris, qui puise dans son vécu pour nourrir ses créations. Ce film, coécrit avec Marion Michaud se veut une comédie romantique touchante et authentique.
Dans le film "Aimons-nous vivants", le statut de l'artiste et la solitude sont notamment abordés. Valérie Lemercier nous confie être aussi sujette à cette solitude. Elle la ressent particulièrement lorsqu'elle sort de scène. Un sujet traité dans son film "Aline". Contrairement à Antoine Toussaint, interprété par Gérard Darmon, dans le film, qui semble prisonnier de son succès, Valérie Lemercier aborde la célébrité avec légèreté. Elle la décrit comme agréable, jamais intrusive, mais plutôt sympathique, et si un jour elle ne peut plus jouer, elle ne se sentirai pas dépossédée d'elle-même, elle saurai trouver du plaisir, de la joie dans d'autres activités.
Valérie Lemercier tout comme Gérard Darmon ont accepté avec enthousiasme d'interpréter leurs rôle dans le 7ème film de Jean-Pierre Améris, un choix qui a ravi le réalisateur. Des rôles sur mesure pour l'un et pour l'autre Lemercier. Il s'est réjoui de les voir jouer ensemble. Les deux comédiens avaient déjà partagé l'affiche dans "Bienvenue à bord" d'Éric Lavaine en 2011.
Jean-Pierre Améris, admiratif des parcours de Lemercier et Darmon, n'hésite pas à qualifier Valérie de "génie comique" et à souligner l'autodérision dont a pu faire preuve Gérard Darmon dans de précédents rôles. Le réalisateur, qui a parfois dû faire face à des refus de la part d'autres acteurs, comprend que chacun doit être en accord avec ses choix artistiques pour donner le meilleur de lui-même.
Jean-Pierre Améris s'est souvent impliqué personnellement dans ses films, comme dans "Les émotifs anonymes", ayant lui-même été l'un d'entre eux dans le passé. Il parvient à transcender ses peurs et ses inquiétudes à travers le rire, une approche qui se retrouve dans son dernier film, "Aimons-nous vivants". Un road movie qui se déroule principalement à Genève et dans ses environs, mettant en lumière des lieux familiers pour le réalisateur, originaire de Lyon. Un tournage qui outre certains décors suisses a vu la participation d'acteurs du cru, dont Jean-Pierre Gos, particulièrement apprécié par le réalisateur français.
Dans ce Double Face, avec en invités Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris, cette dernière partage quelques confidences sur sa vie dans cette dernière séquence. Elle avoue, entre autres, aimer rire, peu dormir la nuit d'où la nécessité de sieste quotidienne. Côté gastronomie, elle préfère les plats simples et chauds, savourés loin de la table. Passionnée de couture, elle en parle avec fierté, elle évoque pour nous ses créations et une autre facette de sa personnalité. Actuellement, son grand plaisir est de composer des chansons, un projet qui lui tient à cœur. Bien qu'elle ait déjà réalisé sept morceaux, elle précise qu'aucune date de sortie pour un éventuel album n'est encore à l'ordre du jour.
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