Suisse
Mesures d'économie: l'OFSP doit renoncer à différentes tâches
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L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) va devoir réduire ou renoncer à certaines de ses tâches à partir de l'année prochaine. Cette décision découle des mesures d'économies décidées par le Conseil fédéral et le Parlement, annonce-t-il mercredi.
Au total, ces économies s'élèveront à 11 millions de francs par an dès 2026. "Elles toucheront différentes unités de l'OFSP qui contribuaient jusqu'à présent de manière essentielle au renforcement de la santé publique", précise l'office dans un communiqué.
L'OFSP devra notamment réduire la mise en ½uvre de différentes stratégies nationales: lutte contre les infections associées aux soins (NOSO), vaccination (SNV) et maladies sexuellement transmissibles (NAPS), y compris la campagne Love Life.
Les tâches supprimées concernent notamment la prévention sur le lieu de travail, la prévention dans les soins de santé et l’équité en santé. Conséquence de ces mesures: 19,5 postes équivalents plein temps seront supprimés. "Dans certains cas, des licenciements seront inévitables", écrit l'OFSP.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Personnalités et ONG lancent un "Appel" contre les renvois forcés
Plus de 130 personnalités vaudoises et une quarantaine d'ONG ont signé un "Appel" contre les renvois forcés de migrants. Elles demandent au Canton de Vaud de mieux protéger les plus vulnérables et les droits humains. Cette revendication a été officiellement lancée mercredi à Lausanne.
"Depuis plusieurs années, les associations alertent sur la situation de plus en plus critique des renvois Dublin en matière d'asile. Plusieurs événements récents ces derniers mois ont, une fois de plus, mis en lumière les conditions de ces renvois dans notre canton. C'est sur cette base qu'une quarantaine d'organisations et plus de 130 personnalités vaudoises lancent cet appel", ont-elles expliqué devant les médias.
"Nous, signataires de cet appel, appelons le Conseil d'Etat à faire preuve d'humanité en renonçant à exécuter les renvois forcés des familles avec enfants, des personnes dont la santé est menacée par le renvoi et d'autres personnes exilées en situation de vulnérabilité", déclarent-ils.
"Nous demandons au gouvernement vaudois qu'il utilise toutes les marges de manoeuvre possibles dans sa loi d'application des renvois des demandeurs d'asile, par rapport au droit fédéral qui ne règle pas tout, notamment en regard de la Convention des droits de l'enfant de l'ONU et aussi de critères de santé", a déclaré Julien Eggenberger, député socialiste et un des instigateurs de l'appel.
Trouver un autre chemin
"L'idée de cet appel est d'ouvrir une nouvelle manière de faire, d'interpeller, de créer de nouvelles opportunités, car les leviers actuels ne fonctionnent pas et les chemins législatifs sont difficiles au parlement cantonal", a pour sa part affirmé Joëlle Minacci, députée d'Ensemble à Gauche et également à l'origine de l'appel. "Nous comptons sur la mobilisation de la société civile pour faire bouger les choses, les lignes", a-t-elle ajouté.
A ce stade, les signataires viennent de différents bords politiques, des milieux sportifs, culturels, universitaires, scientifiques, de la santé, associatifs, syndicaux et des Eglises. L'objectif est d'en rassembler le plus possible et de lancer ensuite "la balle aux autorités".
Parmi les personnalités qui ont signé l'appel, on retrouve par exemple le prix Nobel Jacques Dubochet, le musicien Pascal Auberson l'écrivain Blaise Hofmann, le président du Paléo Daniel Rossellat, l'humoriste Thomas Wiesel, l'astronaute Claude Nicollier, l'ancien président du Conseil national Yves Christen ou encore l'ex-conseiller aux Etats Luc Recordon.
Moret critiquée
Mercredi, une dizaine de signataires étaient présents à la conférence de presse. Tous ont dénoncé une situation sur le front des renvois de migrants qui s'est durcie. Il y a une intensification des renvois forcés ces derniers mois et une détérioration des conditions de ces renvois, se sont inquiétés plusieurs interlocuteurs, évoquant "une violence systémique de la procédure".
La problématique des enfants a été plusieurs fois abordée. "Le 40% des migrants sont des mineurs et le droit des enfants n'est pas pris en compte. D'un point de vue administratif, ce ne sont que des cas rapportés", a dénoncé Bernard Borel, responsable de l'ONG Médecins Action Santé Migrants (MASM). "Il y a des questions éthiques et de dignité à se poser", a-t-il insisté.
"Cette journée du 4 juin se veut une journée forte pour dire que ça ne peut plus continuer comme ça, que le Conseil d'Etat doit changer sa manière de faire", a encore dit M. Eggenberger. La manière de mettre en oeuvre les renvois (conditions dures, arrestations brusques, présence policière parfois nombreuse, etc) est une décision politique, ont aussi rappelé les intervenants.
La conseillère d'Etat Isabelle Moret, en charge de ce dossier, a également essuyé des critiques. "Il y a un durcissement depuis qu'elle est en place. Elle fait le sale boulot que ses prédécesseurs n'ont pas fait pour se montrer bonne élève par rapport à la Confédération", a estimé Jean-Marc Béguin, conseiller communal lausannois vert'libéral.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
Conseil d'Etat valaisan: 10 millions pour les habitants de Blatten
Le Conseil d'Etat valaisan libère avec effet immédiat un montant initial de 10 millions de francs pour les habitants de Blatten. Il annonce aussi la création d'un groupe stratégique qui sera chargé de coordonner la reconstruction du village du Lötschental.
"Le village de Blatten a un avenir et ses habitants ne sont pas seuls", a indiqué mercredi Mathias Reynard, président du gouvernement valaisan, lors d'une conférence de presse à Sion en compagnie de ses quatre collègues du Conseil d'Etat.
Les modalités pour les aides financières ne sont pas encore connues, tout comme le calendrier pour envisager la reconstruction du village. "Mais il est important aujourd'hui de donner des perspectives et de montrer le soutien du Conseil d'Etat", a continué Mathias Reynard.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Fermeture provisoire de deux plages genevoises
A Genève, les plages de Pregny-Chambésy et du Vengeron sont provisoirement fermées au public. Des bactéries fécales en trop grande quantité rendent l'eau impropre à la baignade à ces endroits, indiquent mardi les Services industriels de Genève (SIG), le département du territoire (DT) et le département de la santé et des mobilités (DSM).
La pollution a été causée par l'endommagement de deux conduites parallèles d'eaux usées dans un chantier en cours à proximité de l'aéroport de Genève, explique le communiqué. A la suite de cet incident, les SIG ont interrompu le pompage et le Service d'incendie et de secours (SIS) a mis en oeuvre un dispositif de dilution.
Les autorités rappellent que l'ingestion ou le contact avec de l'eau contaminée comporte des risques pour la santé. Les bactéries fécales peuvent entraîner des gastro-entérites caractérisées par des vomissements et des diarrhées ainsi que des infections de la peau. Elles peuvent également représenter un danger pour les animaux.
Le communiqué précise cependant que cet incident "affecte uniquement la baignade et nullement l'eau potable". Cette dernière est prélevée "à une distance importante" de la zone polluée et elle "est soumise à des traitements et des contrôles rigoureux fréquents". L'interdiction sera levée une fois la situation redevenue normale.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Le Parlement décide d'interdire les e-cigarettes à usage unique
Les cigarettes électroniques à usage unique, ou "puffs", seront interdites à la vente en Suisse. Mercredi, par 19 voix contre 11, le Conseil des Etats a transmis au Conseil fédéral une motion en ce sens du National, émanant de Christophe Clivaz (Vert-e-s/VS).
Les puffs sont présents sur le marché suisse depuis 2020. Les jeunes sont particulièrement attirés par ces produits colorés et aux multiples arômes. La tendance à la consommation est à la hausse, selon le Valaisan.
Au nom de la commission, Flavia Wasserfallen (PS/BE) s'est aussi montrée préoccupée face à ces produits, dont le prix abordable, les arômes attractifs et le design séduisant attirent les jeunes et les rendent dépendants. Et de souligner l'aspect jetable de ces produits.
Le Conseil fédéral était initialement opposé à la motion, rappelant que l'UE ne connaît pas d'interdiction de ces produits. La Suisse ne doit pas faire cavalier seul, a approuvé Hannes Germann (UDC/SH).
Toutefois, reconnaissant le problème, la ministre de la santé Elisabeth Baume-Schneider a accepté la décision.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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